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Santé

Quarante ans après sa découverte, le VIH n'est toujours pas vaincu

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L'objectif de l'OMS est de mettre fin à l'épidémie de VIH d'ici 2030 (photo symbolique). (© KEYSTONE/EPA/NARENDRA SHRESTHA)

Il y a 40 ans, le gouvernement américain annonçait que le VIH est à l'origine du sida. Malgré d'importants progrès, la maladie reste aujourd'hui encore un problème. En Suisse, le virus est diagnostiqué chez plus d'une centaine de personnes chaque année.

"Mais la situation actuelle est fondamentalement différente de celle d'il y a quarante ans", a indiqué Dominique Braun, de l'Hôpital universitaire de Zurich, à Keystone-ATS. Ce médecin et chercheur participe à l'Etude suisse de cohorte VIH, en cours depuis plus de 35 ans.

Il y a exactement quarante ans, les scientifiques du monde entier ont lancé une course aux armements contre le virus de l'immunodéficience humaine ou VIH. Le 23 avril 1984, la ministre américaine de la santé Margaret Heckler annonçait lors d'une conférence de presse: "La cause probable du sida a été trouvée!"

Selon son pronostic, audacieux, un vaccin empêchant la contamination serait probablement disponible dans les deux ans. Un grand moment, car une contamination par le VIH équivalait alors à une condamnation à mort. Cinq à six ans après l'infection, le système immunitaire des personnes atteintes du sida, nom donné au stade final de l'infection, était tellement affaibli qu'elles mouraient.

En 1994, le sida était la première cause de mortalité chez les 25 à 44 ans aux États-Unis. A l'heure actuelle, il n'existe toujours pas de vaccin et le nombre d'infections a continué d'augmenter dans le monde entier.

Premier traitement efficace

La première grande percée dans la lutte contre le VIH n'a eu lieu qu'en 1996, avec la trithérapie. Il s'agit d'une combinaison de trois médicaments qui attaquent le VIH à différents endroits. Les décès ont ainsi pu être réduits de manière drastique. L'Etude suisse de cohorte VIH a joué un rôle décisif dans la démonstration de l'efficacité de cette thérapie.

"Ces premières thérapies étaient toutefois si toxiques que la qualité de vie des personnes concernées était faible", note Dominique Braun. Ce n'est que progressivement que les effets secondaires ont été réduits.

Un autre grand pas a été franchi en 2008: le Bulletin des médecins suisses publie le "Swiss Statement", dans lequel il est mentionné que les personnes recevant un traitement efficace ne sont plus contagieuses.

"Pour les personnes concernées et leurs proches, cela a été libérateur", souligne le médecin. La Suisse a ainsi été le premier pays à stipuler que les personnes séropositives sous traitement peuvent renoncer au préservatif lors de rapports sexuels.

Aujourd'hui, le VIH se traite bien. Non seulement les personnes sous traitement ne sont plus contagieuses, mais leur espérance de vie est comparable à celle de la population générale. La grande majorité des patients prend une pilule combinée contenant deux ou trois substances actives par jour.

Réduction drastique

Ainsi, même sans vaccination, le nombre de contaminations a pu être drastiquement réduit. Alors que dans les années 1990, 1300 cas par an en moyenne étaient déclarés à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), ils n'étaient plus que 371 en 2022. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes sont proportionnellement les plus touchés.

Les spécialistes espèrent une nouvelle réduction grâce à la prophylaxie pré-exposition (PrEP) qui protège contre l'infection. Elle sera remboursée par l'assurance maladie en Suisse à partir de juillet 2024. Elle est destinée aux hommes et aux femmes qui ne sont pas porteurs du VIH et qui ont des relations sexuelles avec de multiples partenaires ou avec des personnes dont le statut sérologique n’est pas connu.

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 39 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde. L'objectif de l'OMS est de mettre fin à l'épidémie de VIH d'ici 2030.

"On dispose des instruments qui pourraient théoriquement réduire encore plus les nouvelles infections", relève Dominique Braun. Mais dans la pratique, les choses sont plus compliquées, ajoute le chercheur, jugeant cet objectif "très ambitieux". La situation politique ou les ressources financières dans certains pays rendent en effet difficiles les mesures de lutte ou de prévention.

Des recherches sont également menées afin de guérir le sida. Les cinq cas de guérison répertoriés dans le monde prouvent que c'est possible. On sait comment cela pourrait fonctionner, mais les risques sont encore beaucoup trop grands par rapport aux bonnes possibilités de traitement qui existent actuellement, conclut le médecin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Vente record à Genève d'une broche de Napoléon

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La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une broche ornée de diamants ayant appartenu à Napoléon Bonaparte et récupérée par l'armée prussienne à Waterloo a été vendue mercredi au prix record de 3,79 millions d'euros à Genève, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

Le prix de vente de ce bijou historique, l'une des pièces les plus en vue de cette semaine du luxe sur les bords du Léman, a très largement dépassé les attentes de Sotheby's, qui l'avait estimé entre 130'000 et 220'0 euros.

La broche faisait partie des effets personnels que l'empereur avait dû abandonner dans sa fuite dans la plaine de Waterloo (près de Bruxelles, dans l'actuelle Belgique) face aux soldats britanniques et prussiens à l'issue de la célèbre bataille qui scella sa chute.

Le bijou circulaire, d'environ 45 mm de diamètre, présente en son centre un grand diamant ovale de 13,04 carats, entouré de près d'une centaine de diamants anciens taillés à la mine, de formes et de tailles variées, disposés sur deux rangées concentriques.

Pour orner le bicorne

Cette pièce unique fut créée pour Napoléon vers 1810, "probablement pour orner son bicorne lors d'occasions spéciales", précise la maison de vente. Elle fut ensuite offerte parmi d'autres objets au roi de Prusse Frédéric-Guillaume III comme trophée de guerre le 21 juin 1815, trois jours seulement après la bataille de Waterloo.

Autre pièce maîtresse des ventes Sotheby's, "The Glowing Rose" ou "Rose éclatante", un diamant rose vif de 10,08 carats estimé à environ 20 millions de dollars, a finalement été retiré des ventes mercredi soir. Sollicité par l'AFP, Sotheby's n'était pas immédiatement disponible pour fournir des explications sur ce retrait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Alcon stabilise son cap après trois partiels

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Le géant des lentilles et implants oculaires a redressé le tir, après deux trimestres décevants d'affilée en 2025. (archive) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le géant des consommables et dispositifs ophtalmique genevo-texan Alcon a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'exercice au sortir du troisième partiel.

La direction avait quelque peu modéré ses ambitions initiales à l'issue de chacun des deux premiers pointages, invoquant dans les deux cas un impact des droits de douane appliqués à l'entrée de l'incontournable marché américain.

Le chiffre d'affaires annuel doit ainsi toujours s'établir dans un couloir de 10,3 à 10,4 milliards de dollars comme évoqué en août. La fourchette pour la marge brute opérationnelle (Ebitda) de base demeure fixée entre 19,5% et 20,5%, selon un compte-rendu diffusé mardi soir.

Les projections reposent sur les postulats d'une faible croissance des marchés dans lesquels évolue Alcon et de taxes douanières et exemptions inchangées jusqu'à la fin de l'exercice. L'impact de ces taxes reste devisé à environ 100 millions de dollars sur l'année et doit être compensé par des effets de change et des mesures opérationnelles.

Ultime virage à négocier

"Il nous reste du travail pour concrétiser nos ambitions 2025," a reconnu en téléconférence le directeur général David Endicott.

Sur le plan des résultats, les revenus ont accentué entre juillet et fin août leur rebond amorcé au deuxième trimestre pour atteindre 2,59 milliards de dollars (+6% sur un an ou plus 5% à taux de change constants). La marge opérationnelle brute (Ebitda) ajustée s'est par contre étiolée à 12,8% (13,6%). Le bénéfice par action (BPA) de base a fondu de 2 cents à 79 cents. Biais non récurrents intégrés, le BPA a reculé de cinq cents à 48 cents.

Le bénéfice net s'est étiolé d'un dixième à 237 millions.

La division Surgical a vu ses ventes augmenter de 5% à 1,42 milliard de dollars durant la période sous revue et la division Vision Care a elle affiché une hausse de 7% à 1,17 milliard.

Analystes comblés

La performance est en phase avec les attentes des analystes consultés par l'agence AWP pour le chiffre d'affaires, pour lequel le consensus s'établissait à 2,60 milliards. Elle est un peu meilleure que prévu pour la marge Ebitda de base, qui était attendue à 19,7% et est conforme aux prévisions pour le BPA ajusté qui était attendu à 47 cents.

Sans s'aventurer à ce stade sur le terrain des perspectives quantifiées pour l'année prochaine, la direction ambitionne de faire progresser les recettes au-delà de 2025 également. "Le projet d'acquisition de Staar Surgical demeure dans cette optique attrayant, mais n'est pour autant pas indispensable à la concrétisation de nos ambitions de croissance à terme," a assuré M. Endicott.

L'impact des droits de douane doit s'atténuer dès l'année prochaine, pour s'établir dans un couloir de 50 à 100 millions, a de son côté évalué le directeur financier Tim Stonesifer.

Les analystes saluent tant le retour à un rythme de croissance satisfaisant que la confirmation du plan de vol à brève échéance, après deux avertissements sur résultats cette année déjà. "Pour autant, toutes les attentes n'ont pas encore été remplies," égratigne néanmoins Sibylle Bischofberger de Vontobel.

Daniel Jelovcan, pour la Banque cantonale de Zurich, considère que la performance trimestrielle ouvre la voie à un rebond pour un titre soumis à forte pression ces derniers temps.

A 15h40, la nominative Alcon s'appréciait de 5,2% à 64,88 francs et caracolait seule en tête d'un SLI en hausse de 0,79%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Une centrale laîtière suspend l'usage d'un additif de DSM-Firmenich

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L'emploi de l'additif de DSM-Firmenich est depuis peu obligatoire au Danemark pour les troupeaux de plus de cinquante bovins. (archive) (© KEYSTONE/EPA/LARSEN, HAAKON MOSVOLD)

La principale centrale laitière norvégienne a annoncé mercredi suspendre "par mesure de précaution" l'usage d'un additif anti-méthane dans l'alimentation bovine, produit par DSM-Firmenich, après des problèmes de santé rapportés dans des troupeaux au Danemark.

Depuis début octobre, date à laquelle l'emploi de l'additif Bovaer est devenu obligatoire dans les élevages de plus de 50 vaches au Danemark, des éleveurs danois ont rapporté des cas de fièvre, diarrhée, réduction de fertilité et même de morts dans leurs troupeaux.

La pause décidée en Norvège est mise en place dans l'attente d'informations supplémentaires sur les causes de ces problèmes, a indiqué le groupe Norsk melkeråvare, filiale de la plus grande coopérative laitière Tine.

"À ce jour, aucun effet négatif documenté n'a été constaté en lien avec l'utilisation de Bovaer en Norvège", a noté le directeur de l'entreprise, Johnny Ødegård, dans un communiqué.

"Par mesure de précaution, Norsk Melkeråvare (...) choisit toutefois de faire une pause pendant que nous approfondissons nos connaissances", a-t-il ajouté.

Produit par le conglomérat helvéto-néerlandais DSM-Firmenich et approuvé par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), le Bovaer inhibe la production de méthane lors de la digestion des vaches.

Selon l'EFSA, le lait des vaches ayant ingéré du Bovaer est sûr pour la santé humaine, aucune trace de cette molécule de synthèse y ayant été retrouvée à ce jour.

L'additif permet de réduire de 20 à 45% les émissions de méthane des instestins des bovins.

L'élevage dans son ensemble, de la production de fourrage et d'engrais à la rumination des animaux, est responsable d'environ 12% des émissions de gaz à effet de serre causées par les humains.

Cela est largement dû aux rejets de méthane -le deuxième gaz causant le réchauffement derrière le dioxyde de carbone (CO2)- émis lors du processus de digestion des ruminants qui libèrent du méthane en éructant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Santé

Sandoz conclut un accord de licence mondial avec EirGenix

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Sandoz a signé un accord de licence mondial pour la commercialisation d'un projet de biosimilaire du médicament oncologique pertuzumab avec le taïwanais EirGenix. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Sandoz a signé un accord de licence mondial pour la commercialisation d'un projet de biosimilaire du médicament oncologique pertuzumab avec le taïwanais EirGenix. Celui-ci porte sur un montant total pouvant atteindre 152 millions de dollars.

Le contrat comprend un paiement initial et d'autres incitations potentielles dépendant des performances du marché, précise le producteur de médicaments génériques et biosimilaires dans un communiqué publié mercredi.

Le marché du médicament de référence est estimé à 4,1 milliards de dollars en ventes mondiales, et le pertuzumab doit compléter le portefeuille de Sandoz avec pour objectif de tirer parti d'un marché des biosimilaires estimé à environ 300 milliards de dollars au cours des dix prochaines années.

Selon les termes de l'accord, Sandoz détient les droits commerciaux exclusifs mondiaux pour un biosimilaire du pertuzumab, à l'exception de certains pays d'Asie, tandis qu'EirGenix sera responsable du développement, de la fabrication et de la fourniture. Le médicament a déjà fait l'objet d'une étude clinique sur la similarité pharmacocinétique chez l'homme.

Le médicament de référence Perjeta est un anticorps monoclonal IgG1 humanisé qui est utilisé en association avec d'autres traitements, notamment le trastuzumab. Il traite le cancer du sein HER2-positif à un stade précoce et le cancer du sein HER2-positif métastatique ou localement récurrent et inopérable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Espagne: l'ex-mausolée de Franco sera bientôt remodelé

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La basilique qu'a fait ériger France est couronnée d'une croix de 150 mètres de haut (archives). (© KEYSTONE/AP/MANU FERNANDEZ)

L'impressionnant mausolée du "Valle de los Caídos", site emblématique du franquisme qui abritait jusqu'en 2019 la tombe du dictateur, va bientôt être remodelé, a annoncé mardi le ministère espagnol du logement.

"'La base et la croix', projet gagnant du concours international d'idées pour la 're-signification' de la vallée de Cuelgamuros [...] propose une nouvelle vision de l'ensemble monumental" alliant "discrétion dans le paysage, tout en assumant une transformation claire de l'environnement", indique le ministère sur le réseau social X, à quelques jours du 50e anniversaire de la mort de Franco, le 20 novembre 1975.

Le "Valle de los Caídos" (la "vallée des déchus"), rebaptisé "Valle de Cuelgamuros" par le gouvernement de gauche, reste un lieu de pèlerinage pour les nostalgiques du franquisme.

Afin d'éviter que cet endroit ne demeure un lieu de recueillement, le gouvernement de Pedro Sánchez avait lancé ce concours d'architecture anonyme "pour modifier conceptuellement la dimension affective" du lieu.

Des milliers de corps inhumés

Le premier ministre socialiste s'est efforcé depuis son arrivée à la tête de l'exécutif (2018) de réhabiliter la mémoire des victimes de la guerre civile et du franquisme. A cette fin, il a fait voter en 2022 une loi dite de "mémoire démocratique", qui honore les victimes de la dictature et incite les autorités locales à éliminer les symboles du régime franquiste.

Le site de l'ex-Valle de los Caídos abrite une basilique érigée sur ordre de Franco à 50 kilomètres de Madrid. C'est là que reposait son corps jusqu'à son exhumation en 2019.

Dans la basilique, couronnée d'une croix de 150 mètres de haut visible à plusieurs kilomètres, reposent quelque 33'000 combattants ayant appartenu aux deux camps de la guerre civile: les franquistes et les républicains. Parmi ces derniers, les corps de beaucoup d'entre eux y ont été emmenés sans même que leurs familles en soient informées.

Les restes de Franco ont occupé une place privilégiée dans l'autel de la basilique de sa mort jusqu'en octobre 2019, lorsque le gouvernement de Pedro Sánchez les a transférés dans un cimetière de la banlieue de Madrid.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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