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Emissions

Voitures en feu au parking du Paléo

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L'incendie s'est produit peu avant 19h00, alors qu'Angèle se produisait sur la grande scène du Paléo. (©KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Des voitures ont pris feu vendredi en début de soirée sur le parking du camping du Paléo Festival à Nyon. Seize véhicules ont été touchés, dont six entièrement détruits. Une enquête a été ouverte.

Les six véhicules calcinés ont été évacués et pris en charge par une dépanneuse, a expliqué samedi la police cantonale à Keystone-ATS, confirmant une information de plusieurs médias. Les propriétaires des dix voitures endommagées ont pu repartir avec leur véhicule.

La cause du sinistre n'est pas formellement établie. Sur des parkings en chaume, la piste privilégiée est celle d'un embrasement du sol lorsque les voitures arrivent avec un catalyseur chaud.

Le feu a pris peu avant 19h00 et a pu être éteint rapidement. Des pompiers se tiennent en permanence sur le site, a expliqué Michèle Müller, la porte-parole du festival.

Sources : ATS

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Expositions et spectacles

Une soirée théâtrale avec "Les Amazones" au profit du Centre Otium

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© Théatre de l'espérance

Le rire sera à l'honneur ce mercredi soir au Théâtre de l'Espérance avec une représentation supplémentaire de la comédie "Les Amazones", avec notamment Véronique Mattana. Cette soirée ne sera pas comme les autres, car dédiée à une noble cause: soutenir le Centre Otium, qui aide celles et ceux qui luttent de près ou de loin contre le cancer. Catherine Fouquet, directrice adjointe des centres Otium, était mon invitée.

 

 

Alors que les représentations battent leur plein, l'excitation est palpable autour de la date du 1er mai. Mais au-delà du divertissement, c'est une démarche de solidarité qui anime cette soirée théâtrale. "C'est un magnifique cadeau qu'ils nous font ce soir-là", confie Catherine Fouquet, évoquant la générosité du Théâtre de l'Espérance.

Le Centre Otium, bien connu pour son approche à 360 degrés, offre quotidiennement un soutien aux personnes touchées par le cancer, ainsi qu'à leur entourage. "On accueille chaque jour des hommes, des femmes, des jeunes qui sont touchés de près ou de loin par le cancer", explique Mme Fouquet. Elle souligne l'importance de "continuer à s'ouvrir à la vie de tous les jours et notamment à profiter des bons moments, comme par exemple, aller au théâtre".

Et de bons moments, il y en aura. La pièce "Les Amazones" raconte l'histoire de trois femmes qui, déçues par leur vie amoureuse, décident de vivre ensemble, déclenchant une série de situations aussi comiques qu'inattendues. "Ce n'est pas une pièce qui parle de la maladie, ça n'a rien à voir", précise la directrice adjointe, rappelant le caractère léger et divertissant de la soirée.

Financé uniquement par des dons, le Centre Otium offre une gamme étendue de thérapies complémentaires, allant de l'atelier maquillage à la méditation, en passant par l'auto-hypnose, le yoga du rire et la nutrition. "Il faut pouvoir s'adapter à ce public assez multiple", insiste Catherieque Fouquet. Elle ajoute que "les gens apprennent à se reconnecter à ce qui leur fait vraiment du bien", dans un environnement où l'expression des émotions est encouragée.

Quant au financement du Centre, Catherine Fouquet rassure: "Les personnes qui viennent au Centre Otium vont pouvoir accéder à des rendez-vous individuels qui sont payants. Elle va se faire ensuite rembourser par son assurance de base ou sa complémentaire". Elle précise également que des cours collectifs sont offerts gratuitement, assurant ainsi l'accessibilité à tous.

La soirée s'annonce donc sous le signe de la générosité et de la joie. Avec un tarif spécial de 20 francs et une coupette offerte, le public est invité à rire tout en contribuant à une cause essentielle. Car, comme le rappelle Catherine Fouquet, "ce qui est important, c'est de vivre et de ressentir les émotions et de leur laisser libre cours".

Une soirée à ne pas manquer, pour le plaisir du théâtre et le soutien d'une mission qui touche chacun de nous, de près ou de loin.

Avec IA

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Il suffit de demander

Doit-on vraiment boire 1,5L d’eau par jour?

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On nous le répète à longueur de journée, il faut boire  1,5 L d’eau par jour pour éliminer! Mais en est-on capable? 

Et est-ce vraiment bon pour notre corps?

Boire de l'eau est essentiel pour maintenir une bonne santé. Notre corps est composé à environ 60 % d'eau et son hydratation adéquate est cruciale pour le bon fonctionnement de nombreuses fonctions physiologiques. L'eau est nécessaire pour maintenir l'hydratation des cellules, des tissus et des organes de notre corps. En buvant suffisamment d'eau, on favorise le transit intestinal et on aide le corps à éliminer les déchets de manière régulière.Une bonne hydratation est importante pour maintenir des niveaux d'énergie optimaux et améliorer les performances physiques. 

Les risques de boire beaucoup d’eau

Seules les personnes souffrant de calculs rénaux, d’infection urinaire ou les personnes âgées qui perdent un un peu la sensation de soif, les sportifs doivent évidemment consommer plus d’eau,et tout le monde en cas de chaleur excessive mais si vous voulez maigrir,boire énormément d’eau ne vous fera pas perdre de gras.Boire excessivement peut diluer les niveaux de sodium dans le sang, un état connu sous le nom d'hyponatrémie. Cela peut provoquer des symptômes tels que des nausées, des maux de tête, des convulsions et même dans les cas graves, un œdème cérébral.Attention à la surcharge hydrique et à l’impact sur les reins:Ils sont conçus pour filtrer les déchets du corps, une surconsommation d'eau peut exercer une pression excessive sur ces organes. Cela peut augmenter le risque de développer des problèmes rénaux, surtout chez les personnes ayant déjà des troubles rénaux préexistants.Boire plus de 1,5L d’eau par jour est une croyance bien ancrée qui n’aurait aucun fondement. Le mieux est simplement de  boire quand on a soif.

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Expositions et spectacles

Un musée romand fait (re)découvrir 300 oeuvres en ligne

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Une personne observe l'oeuvre "Mere et enfant, 1914" du peintre Suisse Ferdinand Hodler, désormais aussi en ligne (Archives) (KEYSTONE/Laurent Gillieron)

Quelque 300 oeuvres du Musée Jenisch de Vevey (VD) sont désormais accessibles en ligne via une plateforme. L'institution, qui conserve pas moins de 40'000 estampes, 11'000 dessins et 1600 peintures, compte ainsi valoriser la richesse de ses collections.

 

"Ce travail répond à une volonté d'offrir au public une expérience de proximité avec les oeuvres emblématiques du musée, qu'elles soient exposées ou conservées dans les réserves", fait savoir l'institution dans un communiqué. Ces pages du site internet sont appelées à devenir une "nouvelle vitrine" du musée.

Pour des raisons de conservation, les oeuvres sur papier ne peuvent pas être exposées plus de trois mois tous les trois ans. La mise en ligne des "trésors des réserves" était donc "primordiale", estiment les responsables.

Outre une image de l'oeuvre en haute définition, la plateforme donne les informations essentielles relatives à l'oeuvre, parfois accompagnées d'un commentaire. Le projet de mise en ligne des collections du Musée Jenisch est soutenu par l'Office fédéral de la culture. La base de données sera enrichie au fil des années.

Avec Keystone-ATS

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Environnement

Du maïs pour lutter contre l'arsenic dans les sols

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Quelques épis de maïs (Pexels, Livier Garcia)

Le maïs est capable de se défendre contre l'arsenic, une substance toxique. Ses racines libèrent une sorte d'antidote dans le sol, comme le montrent des chercheurs suisses dans la revue américaine PNAS. Ainsi, la plante absorbe non seulement moins d'arsenic, mais détoxifie également le sol.

 

Cette découverte pourrait permettre de cultiver des plants de maïs qui absorbent particulièrement peu d'arsenic, a indiqué mardi l'Université de Bâle dans un communiqué.

L'arsenic est un semi-métal toxique. Une trop forte exposition est cancérigène et peut entraîner des troubles neurologiques. La substance est naturellement présente dans de nombreux sols et eaux. D'autres sont pollués par l'exploitation minière ou l'agriculture, qui utilisait autrefois l'arsenic comme insecticide.

Des pays comme le Bangladesh, le Vietnam et la Chine sont particulièrement touchés. Mais il existe également en Suisse quelques points chauds où l'arsenic est naturellement présent en concentrations supérieures à la moyenne, par exemple dans les sols de Liesberg (BL).

Par les racines

Les plantes confondent l'arsenic avec le phosphore, un nutriment important. Comme les deux substances se comportent chimiquement de manière similaire, l'arsenic est absorbé par les canaux de transport du phosphore via les racines.

Dans leur étude, les scientifiques emmenés par Klaus Schläppi, de l'Université de Bâle, et Matthias Erb, de l'Université de Berne, montrent que le maïs se défend contre l'arsenic grâce à des benzoxazinoïdes. Les plants libèrent cette substance dans le sol par leurs racines.

"Des indices laissaient penser que le maïs absorbait moins d'arsenic que d'autres espèces végétales", indique Klaus Schläppi, cité dans le communiqué. Pour découvrir pourquoi, les scientifiques ont planté des variétés de maïs sauvages et des plants de maïs présentant un défaut génétique empêchant la production de benzoxazinoïdes sur des sols contenant ou non de l'arsenic.

L'antidote tient longtemps

Il s'est avéré que le maïs de type sauvage poussait nettement mieux sur les sols contenant de l'arsenic que le maïs qui ne sécrétait pas l'antidote. De plus, l'effet protecteur de l'antidote libéré par les plantes de maïs a duré longtemps: même une deuxième génération de maïs a profité de l'antidote libéré par la première.

Selon les auteurs, le fonctionnement exact de ce mécanisme de défense n'est pas encore entièrement élucidé. Ils supposent que les benzoxazinoïdes transforment l'arsenic toxique de telle sorte qu'il ne puisse plus être absorbé par les racines.

Avec Keystone-ATS

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Il suffit de demander

Les restos d’Edouard:Le comptoir du boulevard

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Le boulevard Georges Favon rime avec bon! Edouard Amoiel nous emmène au comptoir du boulevard ,un régal sur place ou à l’emporter.

Entrons dans l’arcade et installons nous au comptoir ou dans la petite salle à l'abri des regards… Une terrasse est prévue pour les beaux jours. Trois jeunes gens sont à l’origine de la création du lieu,Charlotte de Benedetti, Charlotte Hennessy et Romain Bortolotti,un trio pas comme les autres qui a su aller au bout de son imagination et de ses envies,le tout enrobé d’une volonté et d’un dynamisme à toute épreuve.

Qu’est-ce qu’on mange?

Il y a les Tramezzini ,de petits sandwichs de pain de mie coupés en triangle garnis par exemple, de mortadelle et champignons ou de caponata (une ratatouille en version transalpine).On se laisse tenter par les carottes rôties et confites relevées d’une touche

de harissa, des fregolas sardes aux herbes (vous savez ces petites pâtes élaborées en mélangeant de la semoule de blé dur et de l’eau) et par les choux-fleurs relevés d’un pesto à l’ail des ours.

Et les sandwichs?

Ils sont élaborés avec du pain de la boulangerie des grottes. Simple mais efficace, le jambon beurre. Bonne mâche, pain croustillant, bon jambon et une généreuse dose de beurre. Le sandwich œuf mayo est déjà un classique ,et n’oublions pas le pan bagnat à déguster au bord du lac….Nous terminerons pas le tiramisu maison qui est à se damner. Au comptoir du boulevard vos papilles seront à la fête!!

Retrouvez les restos d’Edouard chaque Jeudi 11h20 dans l’émission il suffit de demander et recevez la newsletter d’Edouard Amoiel https://amoiel.ch/

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