Rejoignez-nous

Actualité

Cinéma : le streaming, concurrent important pour les salles

Publié

,

le

La fréquentation des cinémas en Suisse a diminué l’an passé. Face aux mastodontes du streaming comme Netflix, la chute semble inévitable. La Confédération a annoncé vouloir faire payer ces nouveaux diffuseurs. Enquête.

« Les compagnies meurent rarement d’aller trop vite, mais elles meurent fréquemment d’aller trop lentement ». Cette phrase, lâchée en 2011 dans un long message de Reed Hasting, patron de Netflix, était prémonitoire. Depuis, l’entreprise californienne peut se targuer d’une croissance folle et de posséder la plus grande base de consommateurs dans le secteur de la SVOD (subscription video on demand, soit une plateforme qui propose ses films et séries en accès illimité à ses abonnés) : 139 millions de comptes actifs, dans 190 pays. Contactée, l’entreprise refuse de fournir les chiffres officiels pour la Suisse. Mais certains médias estiment qu’il y aurait un million et demi d’utilisateurs payants dans le pays. A titre de comparaison, le service « télévision » d’UPC Cablecom rassemblerait 1,1 millions d’abonnés.

La société, créée en 1997, produit du contenu en masse – séries, documentaires, films – et certaines de ses réalisations sont même récompensées : Roma d’Alfonso Cuaron a remporté le Lion d’or du meilleur film à la dernière Mostra de Venise. Cependant, la concurrence augmente, avec les plateformes d’Amazon ou d’Apple, récemment annoncée et disponible cet automne. Sans oublier les futurs acteurs de la bataille : un projet du groupe de la Warner et surtout celui de Disney, qui frappera un grand coup avec son catalogue orienté famille, super-héros et Star Wars. Sur la seule année 2019, la firme aux grandes oreilles va investir seize milliards de dollars dans ses contenus. La plateforme devrait être disponible d'ici la fin de l’année.

Dans cette jungle du streaming et sa population d’adeptes toujours grandissante, les salles de cinéma pourraient trembler. En 2018, outre cette nouvelle concurrence, une Coupe du monde de football, un automne sec et chaud et des prix parfois élevés ont affecté la fréquentation des salles en Suisse. Les chiffres font état d’une baisse de 13% par rapport à 2017. Une situation similaire à la crise traversée lors de la création de la télévision ?

« La comparaison est évidemment tentante mais elle fait apparaître à la fois des discontinuités et des continuités, explique Mireille Berton, spécialiste du cinéma à l’Université de Lausanne (UNIL). Discontinuités, car la télévision n’est pas aujourd’hui seule en cause dans cette désaffection des salles de cinéma. Continuités parce qu’il s’agit d’une occasion pour l’industrie du cinéma de diversifier son offre et se positionner sur un autre terrain. »

Changement de consommation

Avec l’essor de telles plateformes, c’est le mode de consommation du produit cinéma qui a changé : Netflix et consorts doivent alimenter en permanence leur vidéothèque pour garder leurs clients, tout en proposant du contenu distrayant. Mais, pour Lionel Baier, réalisateur et directeur du département cinéma de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL), cette situation n’est pas vraiment nouvelle : « Même avant ces diffuseurs, le côté entertainment a toujours existé. Ce qui change désormais, c’est la grande offre dont nous disposons à la maison. Mais, selon moi, il y aura un contrecoup dans le futur : le besoin de ressortir, de retrouver le plaisir de la salle. »

Un constat partagé par Patrick Dentan, programmateur de quatre salles en Romandie : « La salle offre quelque chose d’unique et reste le meilleur moyen de s’immerger dans un film. Les spectateurs doivent cependant voir la plus-value d’une salle : un invité, la qualité de son installation… Ils n’ont pas hésité à aller voir le biopic sur Freddie Mercury, par exemple. Mais, il est vrai que l’offre est pléthorique et, parfois, on a du mal à s’y retrouver. On ressent une baisse de fréquentation. »

Pas tous à la même enseigne

Pourtant, des exemples prouvent que si certaines salles souffrent, d’autres résistent. La preuve avec le Ciné 17 et le Cinérama Empire à Genève. Ces deux salles, gérées par la société ProCitel, ont réalisé de bons scores d’entrées en 2018. « Plus vingt-cinq pour cent pour le Ciné 17 et plus trente cinq pour cent pour le Cinérama ! se réjouit Didier Zuchuat, administrateur de la société. Nous avons deux des positionnements clairs qui nous permettent de tirer notre épingle du jeu. Le Ciné 17 vise essentiellement les films en langue originale et fédère les anglophones de la Genève internationale. Pour le Cinérama, on s’autorise des grands films, mais également des rediffusions, des films d’art et d’essai ou même des exclusivités francophones comme le fameux Roma. » Le film a réalisé les meilleures entrées de la salle depuis sa rénovation en automne 2015.

Il ne faudrait donc pas enterrer toutes les salles trop vite. Car, même si d’autres marchés européens subissent des baisses de fréquentation d’une année sur l’autre – comme en France –, ces chiffres sont à relativiser avec des entrées toujours importantes. Dans l’Hexagone, un peu plus de deux cents millions de tickets ont été vendus. « Ce n’est pas un phénomène global, explique Emmanuel Cuénod, directeur du Festival du film de Genève (GIFF). On crie peut-être vite au loup... Souvenez-vous des réactions lors de la sortie des livres de poche, ou des DVD ! » Mireille Berton abonde dans son sens : « Il faut se garder d’interpréter le phénomène en termes de crise car on assiste plutôt à une diversification des types de loisirs. Complémentaires et non rivaux. »

Nouvelle génération de cinéphiles

Pour autant, certains s’inquiètent de la perte d’intérêt de la jeune génération pour les salles – au profit d’autres supports – ce qui pourrait leur porter atteinte à l’avenir. Patrick Dentan, programmateur : « C’est davantage la cinéphilie que les salles qui sont en danger. Avec ces nouvelles manières de consommer en ligne, sur notre téléphone, on perd le côté “oeuvre artistique”. Fera-t-on encore la différence dans dix ans entre un téléfilm, une longue publicité ou une série ? » Et comme indique Lionel Baier, « la vertu première du cinéma est d’être exceptionnel. Si cela devient banal, on risque de perdre ce plaisir. »

La spécialiste de l’UNIL, Mireille Berton nuance : « Voir un film au cinéma ou sur son téléphone portable, cela n’est pas comparable et les diffuseurs en sont bien conscients.» La diffusion de Roma à Genève en est une nouvelle preuve.

Une certitude toutefois, le milieu du cinéma se rend compte qu’une évolution est en route : « La désacralisation de la salle est réelle. Les spectateurs ont compris qu’ils pouvaient aussi avoir des émotions fortes devant une oeuvre, même sur un petit écran, analyse Emmanuel Cuénod. Et pourtant, les jeunes sont au rendez-vous du GIFF. La tranche des 18-35 ans représente plus de la moitié de notre public ! »

Quant à la nouvelle génération de talents du cinéma, cinéphiles ou réalisateurs, elle peut se réjouir de l'avènement du numérique pour se construire une culture cinématographique plus développée. « C’est désormais impensable pour un étudiant de l’ECAL de ne pas avoir vu des classiques, constate Lionel Baier, directeur de la section cinéma de l’école cantonale. Auparavant, il était difficile de trouver certains films, désormais tout est en ligne. Cela permet aussi d’avoir une plus grande connaissance du septième art. »

Reste que, face à la nouvelle donne du streaming, les autorités suisses haussent le ton. Le 1er février dernier, l’Office fédéral de la culture a demandé aux fournisseurs de streaming de participer au financement des productions helvétiques à hauteur de 4% des revenus générés dans le pays. A quand House of Cards sous la Coupole fédérale ?

@RobinJaunin

Suisse Romande

Différences justifiées entre agents de sécurité et policiers

Publié

le

La formation des agents de sécurité publique se distingue de celle des policiers. (archives) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Tribunal fédéral déboute un agent de sécurité publique armé et une association professionnelle qui recouraient contre le nouveau règlement général sur le personnel de police du canton de Genève. Ils contestaient plusieurs dispositions, concernant l'avancement et l'exécution des missions, notamment.

Pour les recourants, le règlement général sur le personnel de police (RGPPol), entré en vigueur début juillet 2024, entraînait une inégalité de traitement entre les agents de sécurité publique (ASP) et les policiers. Ainsi, les premiers sont soumis à une évaluation de leurs compétences après cinq ans pour accéder au grade d'appointés alors que les seconds y accèdent sans examen.

Dans un arrêt publié lundi, le Tribunal fédéral rappelle que le nombre de grades est différent dans les deux corps. Le grade le plus élevé chez les ASP est celui de capitaine alors que ceux de major, lieutenant-colonel et colonel existent pour les policiers.

Les juges fédéraux soulignent aussi que les missions et les conditions d'admission aux deux professions sont différentes. Ainsi, seuls sont engagés comme policiers les titulaires d'un brevet fédéral de policier alors qu'un examen de connaissances générales et d'aptitudes suffit pour les ASP.

Dans ce contexte, les conditions posées par le RGPPol ne violent ni l'égalité de traitement, ni l'interdiction de l'arbitraire, conclut la 1ère Cour de droit public. (arrêt 1C_256/2025 du 23 octobre 2025)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Le Lausannois Lorenzo Viotti signe avec l'Opéra de Zurich pour 2028

Publié

le

Lorenzo Viotti, né à Lausanne, sera le nouveau directeur musical de l'Opéra de Zurich à partir d'août 2028 (archives). (© Keystone/PETER SCHNEIDER)

Lorenzo Viotti sera le nouveau directeur musical de l'Opéra de Zurich. Le jeune chef d'orchestre lausannois a signé un contrat de deux ans et succède à ce poste à Gianandrea Noseda.

Lorenzo Viotti a été nommé nouveau directeur musical de l'Opéra de Zurich pour les saisons 2028/2029 et 2029/2030, précise lundi l'institution dans un communiqué. La durée initiale du contrat est fixée à deux ans et s'aligne sur le mandat actuel de l'intendant Matthias Schulz.

Le chef d'orchestre suisse n'est pas un inconnu à Zurich, où il a notamment dirigé "Werther" en 2018. Actuellement, il peut être entendu au pupitre de l'orchestre de l'Opéra de Zurich avec la nouvelle production de l'opérette de Strauss "Die Fledermaus" (la Chauve-Souris).

Matthias Schulz se félicite de l'arrivée de "l’une des voix les plus influentes de sa génération à l’international". Le Lausannois a notamment dirigé des productions à Milan, Paris et Dresde et sera à l'affiche de scènes mondiales cette saison. A partir de 2026/27, il deviendra également directeur musical de l’Orchestre symphonique de Tokyo.

Né en 1990 à Lausanne au sein d'une famille de musiciens franco-italiens, Lorenzo Viotti a d'abord étudié le piano, le chant et la percussion à Lyon avant de suivre une formation de chef d'orchestre à Vienne et à Weimar. En 2017, il a été distingué comme "Nouveau venu de l'année" aux International Opera Awards.

Le futur directeur musical de l'Opéra de Zurich succèdera à l'Italien Gianandrea Noseda, qui occupe ce poste depuis août 2021. Pour la suite de son mandat, ce dernier évoque des projets ambitieux, y compris de nouvelles productions et grandes tournées qui seront annoncées dans les semaines à venir.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Le stablecoin Tether "plus solide que les banques traditionnelles"

Publié

le

En 2022, la ville de Lugano a conclu un partenariat, baptisé "Plan B", avec Tether. Elle a investi plus de 100 millions de francs pour créer un environnement favorable aux entreprises du secteur des cryptomonnaies (image symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Paolo Ardoino, patron de la cryptomonnaie Tether et partenaire de la ville de Lugano, rejette la mise en garde sur la solidité de son stablecoin formulée par S&P. L'agence de notation représente la "vieille finance qui a peur du changement", selon le milliardaire.

Dans une interview publiée lundi dans le "Corriere del Ticino", Paolo Ardoino, 41 ans, assure que Tether représente un véritable modèle bancaire alternatif, plus solide que le modèle traditionnel.

Le milliardaire, qui a fait récemment les gros titres en Italie avec une offre d'achat (rejetée) du club de football de la Juventus de Turin, souligne que les institutions bancaires traditionnelles détiennent environ 10% des actifs liquides et prêtent les 90% restants. La couverture de Tether va jusqu'à 120% des dépôts, assure-t-il.

"Tether a résisté à un bank run"

"Aujourd'hui, sur environ 186 milliards de dollars de dépôts, nous avons plus de 140 milliards de dollars en bons du Trésor américain à court terme, environ 15 milliards de dollars en or physique et le reste en d'autres instruments équivalents à des liquidités, comme les bitcoins. C'est un portefeuille extrêmement plus sûr que celui d'une banque traditionnelle", argumente Paolo Ardoino.

Et de détailler le fonctionnement de sa cryptomonnaie: "Nous émettons, avec une couverture totale, un jeton numérique équivalent à un dollar américain: quand l'utilisateur souhaite récupérer son dollar, il lui suffit de nous restituer le jeton (le token) et nous lui rendons son dollar. En 2022, lors de l'effondrement du stablecoin Terra-Luna, nous avons été confrontés à une véritable ruée vers les guichets ("bank run"): en 48 heures, nous avons remboursé 7 milliards de dollars, et 25 milliards supplémentaires en 20 jours. Aucune institution financière n'a supporté un retrait de 25% de ses dépôts au cours des 50 dernières années".

L'entrepreneur souligne que la chute du Credit Suisse ou de banques régionales américaines en 2023 montre que le modèle traditionnel n'est pas sans risque. "La nôtre est une innovation technologique disruptive et il est normal qu'elle n'émane pas du système bancaire: il est difficile pour un secteur économique d'inventer quelque chose qui détruit son propre modèle d'affaires. C'est comme si les chauffeurs de taxi avaient inventé Uber. C'est improbable".

Partenariat avec Lugano

En 2022, la ville de Lugano a conclu un partenariat, baptisé "Plan B", avec Tether. Elle a investi plus de 100 millions de francs pour créer un environnement favorable aux entreprises du secteur des cryptomonnaies.

Fin novembre dernier, l'agence de notation S&P Global Ratings a réduit son jugement sur la capacité de Tether à maintenir son ancrage au dollar, en la faisant passer de 4 (limitée) à 5 (faible). La société a pointé l'augmentation de l'exposition des réserves de Tether à des actifs à haut risque. Elle a aussi souligné les lacunes persistantes dans la communication sur la composition de ces mêmes réserves.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Nokia France: vers la suppression de 421 postes

Publié

le

La branche française de l'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a signé un accord avec deux syndicats en vue de supprimer 421 postes. (archive) (© KEYSTONE/AP Lehtikuva/SEPPO SAMULI)

La branche française de l'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a signé un accord avec deux syndicats en vue de supprimer 421 postes, ont indiqué lundi à l'AFP plusieurs sources syndicales.

Les syndicats CFDT et CFE-CGC, majoritaires, ont approuvé le 19 décembre un plan de rupture conventionnelle collective (RCC), qui concerne 78 postes sur le site de Lannion (Côtes-d'Armor) et 343 postes sur les sites de Paris-Saclay, en région parisienne.

Les RCC, qui n'ont pas à être justifiées par des motifs économiques, doivent nécessairement obtenir l'approbation des représentants du personnel pour être mises en oeuvre.

"Les suppressions d'emplois ne sont jamais une bonne nouvelle" même si ce plan peut constituer "une opportunité" pour les salariés les plus anciens, a commenté auprès de l'AFP Olivier Marcé, délégué syndical central CFE-CGC.

Pour ce représentant du personnel, l'enjeu est de "rajeunir la moyenne d'âge de la société".

Les salariés pourront se porter volontaire au départ à partir de début janvier 2026 jusqu'à fin juin, a précisé M. Marcé, ajoutant que l'accord devait encore être validé par la direction du travail.

Cette réduction d'effectifs concerne plus de 18% des quelque 2.300 salariés de Nokia en France.

Le syndicat CGT, qui n'a pas signé l'accord, a de son côté dénoncé dans un tract "une stratégie de démantèlement qui sacrifie l'emploi".

La rupture conventionnelle collective est devenue "un outil presque routinier de gestion des effectifs, permettant d'enchaîner les réductions sans jamais interroger la stratégie industrielle", a fustigé l'organisation syndicale, qui avait signé les deux RCC précédentes, en 2023 et 2024.

"On ne peut plus accompagner ce genre de procédés", a complété un délégué syndical central CGT.

Sollicitée par l'AFP, la direction de Nokia France n'avait pas réagi dans l'immédiat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Suisse

Les hospitalisations d'urgence augmentent fortement en hiver

Publié

le

Chaque hiver, les blessures dues à des chutes ou à des accidents entraînent environ 22'000 hospitalisations d'urgence, soit 9% de plus que le reste de l'année (image symbolique). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le risque de chute est particulièrement élevé en hiver. En cette période, environ 22'000 hospitalisations d'urgence sont dues à des blessures causées par des chutes et des accidents. Cela représente 9% de plus que pendant le reste de l'année, a annoncé lundi l'OFS.

Les hospitalisations liées à des blessures augmentent fortement à partir de décembre et atteignent leur pic en février dans les régions touristiques des Grisons et du Valais. Selon une analyse, le nombre de cas dans ces deux cantons est deux fois plus élevé que pendant le reste de l'année.

Dans les Grisons, par exemple, 35 cas par jour ont été enregistrés en février entre 2022 et 2024, contre 18 cas en Valais. En septembre, ce chiffre était respectivement de 11 et 9 cas par jour. Selon l'Office fédéral de la statistique (OFS), la majorité des patients proviennent d'autres cantons ou de l'étranger.

Représentant un quart de tous les cas, les blessures à la tête sont les plus fréquentes. Cependant, ce sont les blessures au genou et à l'épaule qui augmentent le plus pendant les mois d'hiver.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

Suisse RomandeIl y a 59 minutes

Différences justifiées entre agents de sécurité et policiers

Le Tribunal fédéral déboute un agent de sécurité publique armé et une association professionnelle qui recouraient contre le nouveau règlement...

CultureIl y a 2 heures

Le Lausannois Lorenzo Viotti signe avec l'Opéra de Zurich pour 2028

Lorenzo Viotti sera le nouveau directeur musical de l'Opéra de Zurich. Le jeune chef d'orchestre...

SuisseIl y a 3 heures

Le stablecoin Tether "plus solide que les banques traditionnelles"

Paolo Ardoino, patron de la cryptomonnaie Tether et partenaire de la ville de Lugano, rejette...

InternationalIl y a 4 heures

Nokia France: vers la suppression de 421 postes

La branche française de l'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a signé un accord avec deux...

SuisseIl y a 4 heures

Les hospitalisations d'urgence augmentent fortement en hiver

Le risque de chute est particulièrement élevé en hiver. En cette période, environ 22'000 hospitalisations...

SuisseIl y a 4 heures

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité

Plus d'un quart des décès survenus l'an dernier dans la population résidante en Suisse étaient...

InternationalIl y a 4 heures

Italie: Apple sanctionné pour abus de position dominante

Le gendarme italien de la concurrence (AGCM) a annoncé lundi avoir infligé une amende de...

SuisseIl y a 4 heures

L'or bat un nouveau record

Le cours de l'or a franchi lundi matin pour la première fois la barre des...

InternationalIl y a 5 heures

Royaume-Uni: la croissance revue à la baisse au deuxième trimestre

La croissance de l'économie britannique au deuxième trimestre a été revue à la baisse lundi...

EnvironnementIl y a 6 heures

L'agriculture suisse a vécu une année de contrastes

L'agriculture suisse a connu une année de contrastes. De bonnes récoltes ont permis de remplir...