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Politique

Le Conseil municipal adopte un contre-projet à l’initiative qui veut réduire les fêtes de Genève

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Les genevois voteront en 2018 sur deux variantes des Fêtes de Genève.

Dix jours, c’est la durée des Fêtes de Genève telle que décidée par le Conseil municipal de la Ville mardi soir.  Il a adopté, à une large majorité, un contre-projet à l’initiative IN 5 qui propose de les réduire à 7 jours avec des forains déplacés à Plainpalais. Le Contre-projet privilégie la formule des 10 jours et 11 soirées, soit la même que cette année. Le tout sur la rade de Genève. Le MCG et une partie du PLR souhaitaient que les fêtes durent 17 jours soit trois week-end. Le Conseil municipal n’en a pas voulu. La réaction du Conseiller administratif en charge de l’environnement urbain, Guillaume Barazzone.

Guillaume BarazzoneConseiller administratif en charge de l’environnement urbain

Des propos recueillis par Judith Monfrini

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International

Explosion d'un stock de munitions: vingt soldats cambodgiens tués

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L'explosion s'est produite sur une base militaire de la province de Kampong Speu, dans l'ouest du Cambodge (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Eugene Hoshiko)

Vingt soldats cambodgiens ont été tués dans l'explosion d'un stock de munitions sur une base militaire de l'ouest du pays, a annoncé samedi le Premier ministre Hun Manet. La cause de l'explosion n'est pas connue à ce stade.

La déflagration, qui a également blessé plusieurs soldats, s'est produite samedi après-midi à la base militaire de la province de Kampong Speu, a indiqué Hun Manet dans un communiqué sur Facebook, sans fournir plus de précisions.

"Je suis profondément choqué d'apprendre cet incident dû à l'explosion de munitions", a-t-il écrit, exprimant ses "condoléances les plus sincères" aux familles des victimes.

Des images sur les réseaux sociaux montrent un bâtiment d'un étage détruit, dans un nuage de fumée. Les habitants d'un village voisin ont quant à eux partagé des images de leurs fenêtres brisées.

Le Premier ministre indique encore avoir ordonné au ministre de la Défense et au commandant en chef de l'armée de prendre en charge l'organisation des funérailles des soldats tués.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Double non du PVL aux initiatives santé, oui pour l'électricité

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Le président du PVL Jürg Grossen a été réélu samedi à Bienne. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les Vert'libéraux réunis en assemblée des délégués samedi à Bienne ont balayé les initiatives du PS et du Centre visant respectivement à limiter les primes maladie et à freiner les coûts de la santé. La première est jugée trop rigide, l'autre trop chère.

Les deux textes soumis à votation le 9 juin ont recueilli moins de 10 voix chacun, contre plus de 120 oppositions.

L'initiative sur le "frein aux coûts" ne précise pas comment atteindre ce but, critique le parti dans un communiqué. Elle "se concentre uniquement sur les coûts", ce qui est réducteur, poursuit le PVL, qui soutient en revanche le contre-projet.

Le parti est tout aussi opposé à l'initiative demandant que les primes maladie n'excèdent pas 10% du revenu. La classe moyenne a certes "besoin d'un allégement", mais "transférer la charge financière des cantons au gouvernement fédéral n'est pas viable", juge le PVL, qui soutient le contre-projet indirect.

Enfin, le PVL plébiscite la nouvelle loi sur l'électricité et balaie l'initiative "Pour la liberté et l'intégrité physique".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Nouvelles mesures pour mettre fin à la crise agricole en France

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Les agriculteurs français avaient protesté notamment en bloquant des autoroutes, comme ici à Jossigny près de Paris (archives). (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Le gouvernement français a rendu publiques samedi des mesures "complémentaires" en faveur des agriculteurs, dans l'espoir de clore pour de bon la crise du début de l'année qui continue de couver chez les paysans.

Parmi ces mesures figurent la présentation promise "début mai" de la version définitive du plan Ecophyto de réduction des pesticides, mis en pause à la faveur de la crise agricole, de nouvelles aides à la trésorerie des exploitations, l'accélération de 100 projets de stockage d'eau ou d'irrigation et un plan d'aide à trois départements du Sud et du Sud-Ouest frappés par les crises météorologiques (Hérault, Pyrénées-Orientales, Aude).

Le gouvernement confirme en outre que la réforme des retraites agricoles s'appliquera en 2026.

Ces mesures, qui s'ajoutent aux 62 engagements déjà présentés par le gouvernement, visent à mettre fin à la crise agricole historique de cet hiver qui a aussi gagné toute l'Europe. En France, des mobilisations avaient été organisées en janvier-février. Le président Emmanuel Macron avait été copieusement hué fin février au Salon de l'Agriculture où des heurts avaient opposé sécurité et agriculteurs.

La nouvelle version du plan Ecophyto 2030 reprend les engagements du gouvernement de se fonder désormais sur un indicateur européen, au lieu du français utilisé jusqu'à présent. Un changement de méthode dénoncé par plusieurs ONG qui reprochent à l'indicateur européen de moins bien différencier la nocivité des pesticides.

Plan "d'accompagnement"

Pour la trésorerie des agriculteurs, la banque publique d'investissements BPI France apportera au moins 100 millions d'euros sous forme de prêts de trésorerie personnels (jusqu'à 75.000 euros) ou de garanties pour les prêts des banques privées, par exemple, a-t-on précisé de source gouvernementale.

Le gouvernement prévoit aussi d'augmenter en cas de sinistre climatique ou sanitaire le taux de dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés non bâties.

A plus long terme, le gouvernement prévoit de lancer un plan "d'accompagnement" pour les agriculteurs des Pyrénées-Orientales, de l'Aude et de l'Hérault, particulièrement touchés par la sécheresse, le gel ou les inondations, qui sera doté de 50 millions d'euros pour des projets d'adaptation au changement climatique et d'évolution des filières locales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Hamas dit "étudier" une contre-proposition de trêve israélienne

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Gaza est devenu le théâtre du conflit entre le Hamas et Israël après l'attaque du 7 octobre. (© KEYSTONE/EPA/HAITHAM IMAD)

Le mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé samedi "étudier" une contre-proposition israélienne en vue d'une trêve dans les combats à Gaza associée à la libération d'otages, un nouveau développement dans les pourparlers que l'Egypte tente de relancer.

La guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas fait rage depuis le 7 octobre dans la bande de Gaza où la ville surpeuplée de Rafah, située à la pointe sud de la frontière avec l'Egypte, a été visée dans la nuit par au moins trois frappes aériennes, selon un correspondant de l'AFP.

"Aujourd'hui, le Hamas a reçu la réponse officielle de l'occupation sioniste (Israël, ndlr) à notre position qui avait été remise aux médiateurs égyptiens et qataris le 13 avril", a déclaré le numéro 2 de la branche politique du Hamas pour Gaza, Khalil al-Hayya. "Le mouvement étudiera cette proposition et soumettra sa réponse une fois son étude terminée", a-t-il ajouté dans un communiqué publié samedi.

Le Hamas avait précédemment insisté sur un cessez-le-feu permanent, hypothèse rejetée par Israël, qui insiste plutôt sur une pause de plusieurs semaines dans les combats.

Israël se prépare à lancer une offensive terrestre à Rafah en dépit des craintes de la communauté internationale. De nombreuses capitales et organisations humanitaires redoutent un bain de sang dans cette ville où s'entassent un million et demi de Palestiniens, pour beaucoup dans des camps de tentes, sans eau ni électricité.

Cadre pour un "cessez-le-feu"

Après six mois et demi de bombardements et de combats au sol, Israël estime que le Hamas dispose de quatre bataillons regroupés dans cette ville.

La guerre à Gaza a été déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent menée contre Israël par des commandos du Hamas, qui a entraîné la mort de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Plus de 250 personnes ont été enlevées et 129 restent captives à Gaza, dont 34 sont mortes selon des responsables israéliens.

En représailles, Israël a juré d'anéantir le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007 et qu'il considère comme une organisation terroriste, de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Son armée a lancé une offensive qui a fait au total 34'388 morts, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste.

L'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis tentent en vain de conclure un nouvel accord de trêve à Gaza, après une pause d'une semaine dans les combats en novembre, qui a permis d'échanger 80 otages contre 240 Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes.

Les détails de la contre-proposition israélienne n'ont pas filtré mais la presse israélienne a évoqué plus tôt cette semaine la libération possible, dans un premier temps, de 20 otages considérés comme des "cas humanitaires".

Vendredi, une délégation égyptienne est arrivée en Israël pour discuter d'un "cadre global pour un cessez-le-feu" à Gaza, selon le média égyptien proche des renseignements Al-Qahera News, citant un haut responsable égyptien.

"Nous sommes fatigués"

La guerre entre Israël et le Hamas sera également au centre des entretiens de diplomates arabes et européens de haut rang, notamment les ministres français et allemand des Affaires étrangères, attendus ce weekend en Arabie saoudite.

Une réunion spéciale du Forum économique mondial, qui doit débuter dimanche dans la capitale Ryad, comprendra lundi une session consacrée à Gaza, à laquelle participeront le nouveau Premier ministre palestinien, Mohammed Mustafa, le Premier ministre égyptien, Mostafa Madbouly, et Sigrid Kaag, coordinatrice de l'aide des Nations unies pour la bande de Gaza.

Samedi, l'armée israélienne a déclaré que ses avions avaient frappé plus de 25 cibles au cours de la journée précédente dans la bande de Gaza.

Après six mois et demi de bombardements aériens, de tirs d'artillerie et de combats au sol, la guerre a dévasté Gaza où l'ONU estime à 37 millions de tonnes la masse de débris et gravats à déblayer. Le Programme alimentaire mondial (PAM) a prévenu que la famine constituait "une menace réelle et dangereuse" à Gaza.

Dans la ville de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza où d'intenses combats ont fait rage en février, certains habitants ont déclaré qu'ils préféraient retourner vivre dans les ruines.

"Nous sommes fatigués après sept mois de déplacement et de lutte dans les camps. Nous avons donc insisté pour rentrer et rester dans une tente sur les décombres de notre maison", a dit Abdelqader Mohammed Qwaider.

Liban, Yémen, Etats-Unis

L'Agence des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), "colonne vertébrale des opérations humanitaires" à Gaza selon son patron, Philippe Lazzarini, est confrontée à une baisse de ses financements après les accusations d'Israël en janvier selon lesquelles plusieurs de ses employés étaient impliqués dans l'attaque du 7 octobre. L'ONU a annoncé vendredi avoir classé ou suspendu cinq dossiers sur 19 visant des employés de l'UNRWA.

La guerre entre Israël et le Hamas a provoqué une flambée de violences à la frontière nord d'Israël avec le Liban, où les échanges de tirs sont quotidiens entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste libanais Hezbollah, soutenu par l'Iran.

Au Yémen, les rebelles Houthis, soutenus eux aussi par l'Iran et disant agir en soutien des Palestiniens à Gaza, ont revendiqué dans la nuit de vendredi à samedi des attaques ayant endommagé l'Andromeda star, un navire naviguant en mer Rouge selon le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom).

Aux Etats-Unis, proche allié d'Israël, un mouvement de protestation contre la guerre à Gaza se généralise sur les campus, après être parti il y a plus d'une semaine de l'université Columbia à New York.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La première semaine de débats s'achève au procès Trump

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L'ancien président américain Donald Trump est apparu vendredi avec des traits tirés et le visage grave. (© KEYSTONE/AP/Jeenah Moon)

Le procès pénal de Donald Trump a conclu vendredi à New York une première semaine de débats. Ceux-ci étaient consacrés au rôle d'un tabloïd à scandales dans sa conquête de la Maison Blanche en 2016, un prélude au coeur de l'affaire.

Dans cette affaire, l'une des quatre où il est inculpé, Donald Trump est poursuivi pour 34 chefs de falsification de documents comptables, pour dissimuler un paiement ayant permis d'étouffer un potentiel scandale sexuel dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle de 2016.

L'argent, 130'000 dollars, avait été versé à l'ancienne star de films X Stormy Daniels, pour acheter son silence sur une relation sexuelle qu'elle affirmait avoir eue avec lui en 2006, alors qu'il était déjà marié à son épouse Melania. Une relation que le candidat des républicains à la présidentielle de novembre dément.

Vendredi, le 45e président des Etats-Unis, traits tirés et visage grave, a de nouveau vu les 12 jurés et six suppléants qui décideront de son sort judiciaire marcher devant lui jusqu'à leurs bancs, sans lui adresser un regard.

Juste avant d'entrer dans le prétoire, il a souhaité devant les caméras un joyeux anniversaire à son épouse et encore brocardé un procès "horrible et inconstitutionnel" qui l'oblige à passer ses journées dans une salle d'audience "gelée" plutôt que de faire campagne. Puis, en quittant l'audience, il a relevé le challenge d'un débat télévisé avec son adversaire Joe Biden, "quand il veut".

Scandales

Entre les deux, celui qui risque une condamnation au pénal avant l'élection a assisté pendant des heures, souvent attentif, parfois affaissé dans son fauteuil l'air assoupi, à l'interrogatoire fleuve du premier témoin de l'accusation, l'ancien patron de tabloïds David Pecker. Car pour l'instant, les débats se sont surtout penchés sur des paiements antérieurs à celui de Stormy Daniels.

Depuis lundi, David Pecker, qui possédait le titre "The National Enquirer", a détaillé comment, après une rencontre à la Trump Tower en août 2015 à New York avec son "ami Donald" et son avocat de l'époque Michael Cohen, il s'était mis à leur service lors de la campagne présidentielle de 2016 pour chasser les scandales en achetant l'exclusivité des droits sur des histoires racoleuses.

Une opération menée à deux reprises: 30'000 dollars pour étouffer les allégations - fausses - d'un portier de la Trump Tower sur l'existence d'un enfant caché de Donald Trump, puis 150'000 dollars pour acquérir l'histoire de Karen McDougal, mannequin du magazine Playboy, qui disait avoir eu une aventure avec le milliardaire.

"On a acheté cette histoire pour qu'elle ne soit pas publiée ailleurs. On ne voulait pas qu'elle gêne M. Trump ou qu'elle affecte sa campagne", a expliqué David Pecker. Cet homme fluet de 72 ans, front dégarni et cheveux blancs coiffés en arrière, a raconté comment Donald Trump s'était inquiété plusieurs fois du silence de Karen McDougal. "Comment va notre fille?", lui aurait-il demandé en le recevant à la Trump Tower après sa victoire.

Outrage

Durant le contre-interrogatoire de la défense vendredi, David Pecker a dû préciser que lors d'une conversation sur Karen McDougal, Donald Trump lui avait dit "je n'achète pas les histoires", ajoutant "vois avec Michael (Cohen)". L'un des avocats de Donald Trump, Emil Bove, s'est aussi employé à démontrer que ces opérations appelées "catch and kill" aux Etats-Unis étaient banales, faisant égrainer à David Pecker les noms d'Arnold Schwarzenegger ou de Tiger Woods.

Mais ce témoignage a permis à l'accusation de planter le décor de l'affaire. Vendredi, deux autres témoins se sont succédé à la barre, une ancienne assistante directe de Donald Trump à la Trump Organization, Rhona Graff, et un banquier, Gary Farro, qui gérait les affaires de l'avocat Michael Cohen.

La première a indiqué que les contacts de Karen McDougal et de Stormy Daniels étaient enregistrés dans un carnet d'adresses électroniques qu'elle gérait à la Trump Organization. Elle s'est aussi souvenue, sans donner de date précise, avoir vu Stormy Daniels à la Trump Tower, mais selon elle pour une place dans l'émission de télé-réalité qui avait décuplé la célébrité de Donald Trump, "The Apprentice".

De son côté, Donald Trump voit déjà planer la menace d'une condamnation pour outrage au tribunal, à la demande des procureurs, pour ses attaques, via internet et les réseaux sociaux, contre témoins et jurés. Le juge Juan Merchan doit encore statuer sur ce point. Les débats reprendront mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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