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Ukraine: des frappes font quatre morts dans le sud et le centre

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L'Ukraine est visée quotidiennement par des attaques aériennes de la Russie (archives). (© KEYSTONE/AP)

Des frappes russes ont tué trois personnes vendredi dans une ville portuaire à l'extrême sud-ouest de l'Ukraine, près de la Roumanie, et une autre dans le centre du pays, ont indiqué les autorités locales.

Deux femmes âgées et un septuagénaire ont été tués par une attaque de drones à Izmaïl, a écrit sur Telegram Oleg Kiper, gouverneur de la région d'Odessa Onze autres personnes ont été blessées, dont un enfant, selon lui.

La localité, qui se trouve sur le Danube, est voisine de la Roumanie. Bien qu'elle soit très éloignée du front, elle est parfois visée par les forces russes en raison des infrastructures portuaires qu'elle abrite, cruciales pour le transit de marchandises.

Des incendies se sont déclarés en raison de l'attaque, mais ont été éteints par les pompiers, a indiqué Oleg Kiper.

Le gouverneur a publié des images montrant un bâtiment en proie aux flammes, partiellement détruit et aux vitres soufflées. En Roumanie, membre de l'Otan, les radars ont détecté la possible incursion d'un des drones impliqués dans l'attaque.

Quatre avions F-16 et F-18, roumains et espagnols, ont décollé en pleine nuit pour surveiller la situation, selon un communiqué du ministère de la Défense, et les habitants de la région de Tulcea (sud-est) ont reçu des avertissements sur leur téléphone.

Aucun impact sur le sol n'a été constaté à ce stade mais les recherches se poursuivent.

Violations répétées

Depuis le début de la guerre, la Roumanie condamne régulièrement les violations répétées de son espace aérien et a découvert à plusieurs reprises des débris de drones.

Dans le centre de l'Ukraine, une personne a été tuée et cinq autres ont été blessés dans une frappe contre un bâtiment administratif à Kryvyï Rig, selon le gouverneur régional Serguiï Lyssak.

Le corps de la victime, une femme, a été retrouvé "sous les décombres", a-t-il ajouté sur Telegram.

Cette attaque de roquettes a visé un bâtiment de la police, a indiqué un autre responsable local, Ievguène Sytnytchenko, ajoutant que les opérations de recherches se poursuivaient dans les décombres.

Une attaque de missile nocturne a également visé Dnipro, dans le centre-est de l'Ukraine. "Une infrastructure industrielle a été endommagée" mais personne n'a été blessé, a affirmé Serguiï Lyssak, sans plus de détails.

Avancée russe dans l'est

L'Ukraine est visée quotidiennement par des attaques aériennes de la Russie, qui a lancé une invasion contre son territoire en février 2022. Elle réplique en frappant elle aussi régulièrement les régions russes, surtout celles situées près de sa frontière.

Kiev cherche notamment à perturber la logistique de l'armée russe. Les services ukrainiens ont récemment mené des attaques contre des dépôts de munitions et d'armement. Mais les forces russes, mieux équipées et plus nombreuses, continuent d'avancer dans l'est de l'Ukraine.

Vendredi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise d'un petit village de la région de Donetsk, Marynivka. Cette localité est située à proximité de la ville de Selydové, dont les soldats russes se rapprochent ces dernières semaines.

Ces derniers visent aussi une grande ville de la région, Pokrovsk, qui est stratégique pour la logistique des troupes ukrainiennes.

L'Ukraine a de son côté lancé le 6 août une attaque transfrontalière dans la région russe de Koursk, qui a pris Moscou de court.

Les forces russes ont depuis lancé une contre-offensive et auraient repris du terrain, mais l'Ukraine affirme y contrôler une centaine de localités et quelque 1000 km2, une humiliation pour le président Vladimir Poutine.

Au-delà de la portée symbolique, l'Ukraine espérait forcer la Russie à détourner ses troupes de la région de Donetsk et ainsi freiner leur avancée, ce qui ne semble pas s'être produit pour l'heure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Automobile: 5e mois consécutif de hausse des ventes dans l'UE

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Les hybrides ont représenté 34,6% du marché des voitures neuves vendues de janvier à novembre 2025 dans l'Union européenne. (archives) (© KEYSTONE/EPA MTI/ZSOLT SZIGETVARY)

Les immatriculations de voitures neuves dans l'UE ont progressé en novembre, pour le cinquième mois consécutif, soutenues par les voitures hybrides et la hausse continue de la part des véhicules électriques.

Sur le mois de novembre, 887'500 véhicules neufs ont été vendus dans les 27 pays de l'Union européenne, soit une hausse de 2,1% par rapport à novembre 2024 (après +5,8% en octobre), selon les chiffres publiés mardi par l'Association des constructeurs ACEA

Sur les onze premiers mois, le nombre de véhicules neufs vendus atteint 9,86 millions, soit +1,4% par rapport à la même période de 2024.

Les voitures hybrides (dotées d'un moteur thermique et d'un moteur électrique) restent les plus populaires chez les acheteurs européens, avec une dynamique particulière pour les hybrides rechargeables (qui ont donc à la fois un réservoir essence et une prise pour recharger la batterie), note l'ACEA.

Les hybrides ont représenté 34,6% du marché des voitures neuves vendues de janvier à novembre 2025. Il s'est vendu près de 3,41 millions de véhicules hybrides neufs (+14,5% par rapport aux onze premiers mois 2024), avec des ventes en hausse de 26% en Espagne, 24,2% en France, 8,7% en Allemagne et 7,9% en Italie.

Pour les hybrides rechargeables, leurs immatriculations ont totalisé près de 913'000 unités. Elles représentent désormais 9,3% des ventes de voitures neuves, contre 7,1% l'an dernier, toujours sur onze mois. Les ventes ont augmenté de 113% en Espagne, de 80,6% en Italie et de 62,7% en Allemagne.

La part des voitures électriques continue de croître, à 16,9% des ventes pour la période janvier-novembre 2025, contre 13,4% il y a un an, "un niveau qui doit encore augmenter pour atteindre les objectifs de la transition", selon l'Association, qui défend les intérêts des constructeurs automobiles.

L'ACEA a été en pointe pour réclamer l'assouplissement de la règlementation européenne sur le passage aux véhicules tout électrique. Le 16 décembre, l'Union européenne a finalement renoncé à imposer aux constructeurs de véhicules de passer au tout-électrique à partir de 2035, qui était pourtant une mesure environnementale phare.

Tesla en chute libre

Les immatriculations de voitures tout électrique neuves ont atteint 1,66 million d'unités sur onze mois, soit 27,6% de plus que sur la même période l'an dernier.

La part des ventes de voitures neuves à moteur à essence ou diesel continue de diminuer: à 27% fin novembre, contre 33,7% un an avant pour les essence, avec 2,67 millions d'unités vendues sur les dix mois, et à 9% pour les diesel, avec 890'000 unités neuves.

Volkswagen Group, premier constructeur européen, a vendu 252'239 voitures en novembre 2025 (+3,5% sur un an) et 2,731 millions sur les onze premiers mois (+5%), soit 27,7% de part du marché au total (contre 26,8% un an auparavant).

Le numéro deux, Stellantis, a vu ses ventes augmenter de 0,3% à 124'716 en novembre, tirées par les marques Citroën et Fiat, mais ses ventes reculent de 5,5% sur l'ensemble des onze mois (à 1,54 million). Il compte pour 15,6% du marché des véhicules neufs sur onze mois, en léger repli sur un an.

Les ventes de Renault Group ont affiché une hausse de 2,3% en novembre, par rapport à novembre 2024, à 103'707 véhicules, et de 6,5% sur les onze premiers mois 2025 (+6,9% pour la seule marque Renault), à quelque 1,12 million de voitures neuves. Soit 11,4% du marché en moyenne sur la période janvier-novembre, en légère hausse sur un an.

Tesla continue de chuter (-34,2% sur le mois et -38,8% sur les onze mois à quelque 129'000 véhicules).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Amazon a bloqué des candidatures nord-coréennes trompeuses

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Amazon a bloqué plus de 1800 candidatures nord-coréennes, alors que Pyongyang est accusée de contourner les sanctions de l'ONU en faisant embaucher à l'étranger des salariés télétravaillant depuis le pays. (archives) (© KEYSTONE/DPA/PETER KNEFFEL)

Le géant américain Amazon a annoncé avoir bloqué plus de 1800 candidatures nord-coréennes, alors que Pyongyang est accusée de contourner les sanctions de l'ONU en faisant embaucher à l'étranger des salariés télétravaillant depuis le pays.

Des Nord-Coréens "cherchent à obtenir des emplois en télétravail dans l'informatique auprès d'entreprises du monde entier, en particulier aux Etats-Unis", a affirmé le responsable sécurité d'Amazon Stephen Schmidt la semaine dernière, dans une publication sur le réseau social LinkedIn.

Selon lui, l'entreprise a vu une augmentation de près d'un tiers de ces candidatures au cours de l'année.

Derrière ces profils se trouvent des "laptop farms": des locaux remplis d'ordinateurs installés physiquement aux Etats-Unis, mais contrôlés depuis un autre pays, a expliqué Stephen Schmidt.

Selon lui, le problème "ne concerne pas uniquement Amazon" mais "se produit probablement à grande échelle dans l'ensemble du secteur".

Le programme de cyberguerre de Pyongyang remonte au moins au milieu des années 1990. Il s'est depuis développé en une unité de 6000 membres, connue sous le nom de Bureau 121, opérant dans plusieurs pays, selon un rapport de l'armée américaine publiée en 2020.

"La Corée du Nord forme activement des cyberagents et infiltre des sites clés à travers le monde", a expliqué à l'AFP Hong Min, analyste à l'Institut coréen pour l'unification nationale de Séoul.

"Compte tenu de la nature des activités d'Amazon, le motif semble largement économique, avec une forte probabilité que l'opération vise à dérober des actifs financiers", a-t-il ajouté.

Hackers d'Etat

En novembre, Washington a annoncé des sanctions contre huit personnes accusées d'être des "hackers parrainés par l'Etat", volant et blanchissant de l'argent pour "financer le programme d'armement nucléaires du régime".

En juillet, une Américaine avait été condamnée à plus de huit ans de prison pour avoir dirigé une "laptop farm", permettant à des Nord-coréens d'obtenir des emplois en télétravail dans plus de 300 entreprises américaines du secteur informatique.

Ce système avait généré plus de 17 millions de dollars pour elle et la Corée du Nord, selon les autorités.

Les renseignements sud-coréens avaient averti l'an dernier que des agents nord-coréens utilisaient LinkedIn pour se faire passer pour des recruteurs, approchant des Sud-Coréens du secteur de la défense pour obtenir des informations.

En vertu des sanctions de l'ONU, les travailleurs nord-coréens ont interdiction de gagner de l'argent à l'étranger.

Un rapport de 2024 de l'organisation 38 North, basée aux Etats-Unis, affirme que des spécialistes de l'informatique nord-coréens - dissimulant leurs nationalités - ont déjà obtenu des contrats pour travailler sur des projets d'animation dirigés par des entreprises japonaises et américaines telles qu'Amazon et HBO Max.

Selon le Trésor américain, des cybercriminels affiliés à la Corée du Nord ont dérobé plus de 3 milliards de dollars au cours des trois dernières années, principalement en cryptomonnaies.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Le Cambodge demande à la Thaïlande de négocier en terrain neutre

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Les combats entre le Cambodge et la Thaïlande se poursuivent malgré l'annonce de discussions. (© KEYSTONE/AP)

Le Cambodge a demandé à la Thaïlande que leurs discussions prévues mercredi pour tenter de mettre un terme à leur conflit frontalier se tiennent en terrain neutre, en Malaisie. Sur le terrain, les combats se poursuivaient mardi matin.

"Pour des raisons de sécurité liées aux combats en cours le long de la frontière, cette réunion devrait se tenir dans un lieu sûr et neutre", a écrit le ministre cambodgien de la défense, Tea Seiha, dans une lettre datée de lundi adressée à son homologue thaïlandais, Nattaphon Narkphanit.

La Malaisie, qui assure la présidence tournante de l'association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), a accepté d'accueillir ces pourparlers à Kuala Lumpur, a-t-il ajouté.

Le ministre thaïlandais des affaires étrangères, Sihasak Phuangketkeow, avait indiqué lundi que les échanges auraient lieu dans la province thaïlandaise de Chanthaburi, dans le cadre d'un comité frontalier bilatéral pré-existant dont les réunions sont organisées alternativement dans les deux pays.

Poursuite des combats

Le ministre thaïlandais de la défense, Nattaphon Narkphanit, a déclaré mardi à des journalistes que la province de Chanthaburi était "sûre" et qu'il n'y avait "quasiment pas de combats" dans cette région frontalière.

"Je ne sais pas encore s'ils [les Cambodgiens] ont pris une décision, mais ils ont l'air inquiets", a-t-il ajouté. "Je voudrais leur dire qu'ils peuvent être rassurés quant à leur sécurité".

La porte-parole du ministère cambodgien de la défense a par ailleurs fait savoir mardi matin que les combats se poursuivaient à la frontière.

Selon les derniers bilans officiels respectifs, au moins 44 personnes ont été tuées, 23 du côté thaïlandais et 21 du côté cambodgien, depuis la reprise des hostilités, le 7 décembre. Plus de 900'000 personnes ont été contraintes d'évacuer les régions frontalières de part et d'autre au total.

Le conflit trouve son origine dans un différend territorial sur le tracé de leur frontière de 800 kilomètres, effectué pendant la période coloniale française.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland, martèle Trump

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Donald Trump affirme qu'il y a des bateaux russes et chinois partout autour du Groenland. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland pour assurer leur sécurité face à la Chine et à la Russie, a martelé lundi le président américain Donald Trump. Peu avant, l'Union européenne s'était à nouveau opposée à toute mainmise américaine sur ce territoire danois.

"Nous avons besoin du Groenland pour notre sécurité nationale", a déclaré le président américain lors d'une intervention au côté du ministre américain de la défense, Pete Hegseth, à Palm Beach en Floride.

"Si on regarde les côtes du Groenland, il y a des bateaux russes et chinois partout. Nous en avons besoin pour notre sécurité nationale", a-t-il insisté. Les Groenlandais "ne sont pas protégés militairement" par Copenhague, a-t-il affirmé.

Ces propos interviennent après l'annonce par le chef d'Etat américain de la nomination d'un envoyé spécial pour ce vaste territoire autonome danois qu'il menace régulièrement d'annexer.

Cette nomination a provoqué une vive réaction de Copenhague et de l'Union européenne, qui a exprimé lundi sa "pleine solidarité avec le Danemark".

Le premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, et la première ministre danoise, Mette Frederiksen, ont rappelé dans une déclaration que "les frontières nationales et la souveraineté des Etats sont fondées sur le droit international".

Ambassadeur américain convoqué

"On ne peut pas annexer un autre pays, pas même en invoquant la sécurité internationale", ont souligné les deux dirigeants, ajoutant attendre "le respect de notre intégrité territoriale commune".

Copenhague a convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis. "Nous avons tracé très clairement une ligne rouge", a indiqué le ministre danois des affaires étrangères Lars Løkke Rasmussen.

"Tant que nous avons un royaume au Danemark qui se compose du Danemark, des îles Féroé et du Groenland, nous ne pouvons pas accepter que certains sapent notre souveraineté", a-t-il prévenu à la télévision publique DR.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, António Costa, ont eux rappelé sur le réseau social X que "l'intégrité territoriale et la souveraineté sont des principes fondamentaux du droit international".

M. Trump a annoncé dimanche la nomination du gouverneur de Louisiane, le républicain Jeff Landry, au poste d'envoyé spécial des Etats-Unis au Groenland. "Jeff comprend à quel point le Groenland est essentiel à notre sécurité nationale et il défendra avec force les intérêts de notre pays", avait-il souligné sur son réseau social Truth Social.

Après son élection, Donald Trump avait déjà expliqué avoir "besoin" du Groenland pour la sécurité des Etats-Unis.

Flop de Vance

Jeff Landry a remercié M. Trump sur X pour cette mission visant à "faire du Groenland une partie des Etats-Unis". Il avait déjà salué en début d'année l'intention du président américain d'annexer le Groenland. "Nous devons faire en sorte que le Groenland rejoigne les Etats-Unis. Ce serait formidable pour lui, formidable pour nous! Faisons-le!", avait-il écrit sur X le 10 janvier.

Le Groenland, une immense île arctique peuplée de 57'000 habitants, répète ne pas être à vendre et vouloir décider seul de son avenir.

En janvier, 85% des Groenlandais s'étaient dit opposés à une future appartenance aux Etats-Unis, selon un sondage publié dans le quotidien groenlandais Sermitsiaq. Seuls 6% y étaient favorables.

A la fin mars, le vice-président américain, JD Vance, avait provoqué un tollé en prévoyant de se rendre sur le territoire sans y avoir été invité. Face à l'ire déclenchée au Groenland, au Danemark et à travers l'Europe, il avait limité son déplacement à la base aérienne américaine de Pituffik, la plus septentrionale des Etats-Unis.

A la fin août, la télévision danoise avait révélé qu'au moins trois Américains liés à Donald Trump avaient réalisé des opérations d'influence dans ce territoire polaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Une nouvelle classe de navires de guerre portant le nom de Trump

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Donald Trump dit vouloir s'impliquer personnellement dans la conception des nouveaux navires de guerre de la "Trump Class USS Defiant". (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président américain Donald Trump a annoncé lundi le lancement d'une nouvelle classe de navires de guerre de grande taille qui portera son nom. Il s'agit d'un fait extrêmement inhabituel pour un président en exercice.

Ces navires seront "les meilleurs au monde", a assuré le président américain pendant une conférence de presse à Mar-a-Lago en Floride, précisant que deux navires de guerre de la "Trump Class USS Defiant" seraient construits pour commencer. Des images représentant le futur navire en mer et en pleine action étaient exposées sur des chevalets autour du pupitre.

Il a estimé que la construction des deux premiers prendrait "environ 2 ans et demi", assurant que cette nouvelle classe de bâtiments compterait ensuite "rapidement" 10 navires et, au terme du projet, 20 à 25 navires.

Trump impliqué dans la conception

"Chacun d'eux sera le plus grand navire de guerre de l'histoire de notre pays" et même "du monde", a assuré le milliardaire de 79 ans, jamais avare en hyperboles.

Il a précisé que les bâtiments seraient équipés de canons et de lasers et qu'ils pourraient porter des armes hypersoniques et nucléaires.

Donald Trump a dit vouloir s'impliquer personnellement dans la conception des nouveaux bateaux, "parce que je suis une personne très portée sur l'esthétique".

Il a par ailleurs indiqué que cette nouvelle classe de bâtiments était conçue comme un message "pour tout le monde. Ce n'est pas pour la Chine. Nous nous entendons très bien avec la Chine", qui a renforcé et modernisé sa propre marine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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