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Actualité

Fahrni/Siegenthaler toujours dans le coup

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Maja Siegenthaler et Linda Fahrni surprennent (© KEYSTONE/AP/Bernat Armangue)

Linda Fahrni et Maja Siegenthaler continuent de surprendre en 470. Elles occupent la 5e place sur leur dériveur après trois journées dans la baie d'Enoshima.

"Si quelqu'un nous avait proposé avant les Jeux un 'top 10' à mi-parcours de la compétition, nous aurions signé tout de suite", s'est réjouie Linda Fahrni. "Il nous reste quatre régates, après la journée de congé. Nous allons encore tout donner", a assuré sa coéquipière bernoise.

Les quatre embarcations qui devancent les Suissesses sont toutes occupées par des navigatrices déjà championnes du monde, que ce soit les Polonaises, les Anglaises, les Françaises ou les Japonaises. Néophytes à ce niveau, les Suissesses se trouvent en bonne compagnie.

Maud Jayet très déçue

En Laser Radial, Maud Jayet boucle ces Jeux au 19e rang. La Vaudoise s'en voulait. Son bateau manquait de vitesse et sa tactique n'a pas toujours été la bonne, même si elle a remporté une des manches.

Il y avait longtemps qu'elle n'avait pas aussi mal navigué. "Aujourd'hui, j'ai fait pratiquement toutes erreurs possibles. Je n'étais pas fraîche mentalement et je suis naturellement très déçue."

Dans la classe 49er, Sébastien Schneiter et Lucien Cujean naviguent au 13e rang au classement après neuf des treize régates. Les Romands ont eux aussi souffert, dans une journée avec peu de vent. Mais les deux hommes gardent leurs chances de se qualifier pour la "Medal Race" des dix meilleurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Liberté de la presse: la Suisse progresse, mais ne protège pas assez ses journalistes

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RSF se félicite d'une légère amélioration de la sécurité des journalistes en Suisse, après des années Covid marquées par "des agressions verbales et parfois physiques sans précédent" contre les médias (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La Suisse se classe neuvième sur 180 pays au classement mondial de la liberté de la presse. Elle progresse de trois rangs par rapport à 2023. La situation est "plutôt bonne", mais l'environnement législatif ne protège pas suffisamment les journalistes, selon RSF.

La pandémie de Covid-19 avait fait chuter la Suisse dans ce classement publié chaque année par Reporters sans frontières (RSF). Selon l'ONG, la progression de cette année ne marque toutefois "pas de progrès réel". Elle marque surtout le recul de trois pays qui devançaient la Suisse l'an dernier (Lituanie, Timor oriental et Liechtenstein).

Le nombre total de points obtenus par la Confédération est même en très léger recul (de 84,4 à 84,01). Berne est en particulier pénalisée par son cadre législatif, "très nettement en dessous" des autres indicateurs (27e rang). RSF pointe notamment du doigt la loi sur les banques qui punit la publication d'informations protégées par le secret bancaire.

A l'échelle mondiale, l'ONG relève que le journalisme subit toujours davantage de pressions politiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Clivage Suisse latine - Suisse alémanique sur les initiatives santé

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Les initiatives pour limiter les primes maladie et les coûts de la santé divisent les Suisses. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Une majorité populaire se dessine en faveur des deux initiatives santé du PS et du Centre soumises à votation le 9 juin, mais une division apparaît entre les régions. La Suisse romande est nettement favorable, alors que les Alémaniques sont partagés, voire opposés.

Pour qu'une initiative populaire soit adoptée, la double majorité du peuple et des cantons est requise. En l'état, impossible de préjuger de l'issue du vote au niveau des cantons, prévient vendredi la première enquête "SSR Trend", réalisée par l'institut Gfs.

En Suisse romande et au Tessin, respectivement 71% et 73% de la population se dit prête à voter pour l'initiative du PS voulant limiter les primes maladie à 10% du revenu. Outre-Sarine, ce taux chute à 50%. En moyenne suisse, 56% des sondés sont "résolument pour" ou plutôt "pour" et 40% contre.

Même clivage pour le texte du Centre en faveur d'un frein aux coûts de la santé: le oui est minoritaire en Suisse alémanique mais nettement majoritaire dans les régions latines. Au plan Suisse, 52% penchent pour le oui et 41% vers le non.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Taïwan a détecté 26 avions chinois autour de l'île

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Taïwan a détecté 26 avions et cinq navires chinois autour de l'île au cours des dernières 24 heures. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le ministère taïwanais de la Défense a annoncé vendredi avoir détecté 26 avions et cinq navires chinois autour de l'île au cours des dernières 24 heures.

Ces sorties ont eu lieu quelques semaines avant l'investiture, le 20 mai, du nouveau président de Taïwan, Lai Ching-te, que la Chine considère comme étant un dangereux séparatiste.

Dix-sept appareils ont "franchi la ligne médiane (du détroit de Taïwan) et pénétré dans (...) la zone d'identification de la défense aérienne de Taïwan", précise un communiqué du ministère.

La ligne médiane coupe en deux le détroit de Taïwan, une étroite voie maritime de 180 kilomètres séparant l'île autonome de la Chine continentale.

Pékin, qui ne reconnaît pas cette ligne, revendique Taïwan comme faisant partie de son territoire et n'a jamais renoncé à recourir à la force pour en reprendre le contrôle.

Sous la présidence de Tsai Ing-wen, élue en 2016, les relations entre Pékin et Taipei se sont tendues, car elle et son gouvernement rejettent les revendications de la Chine sur l'île.

Le nouveau président élu, Lai Ching-te, issu comme Tsai Ing-wen du Parti démocrate progressiste (DPP), a remporté les élections présidentielles de janvier en dépit des mises en garde de Pékin selon lesquelles il entraînerait "la guerre et le déclin" de l'île.

Ces vols interviennent au lendemain de la convocation par Manille d'un haut représentant chinois pour protester suite à un accrochage qui a endommagé deux navires philippins lors d'une patrouille en mer de Chine méridionale.

Selon le ministère philippin des Affaires étrangères, les garde-côtes chinois ont tiré au canon à eau le 30 avril sur deux de ses navires, et bloqué l'accès à un récif disputé en mer de Chine méridionale. Pékin a de son côté confirmé avoir "repoussé" les bateaux philippins.

La Chine revendique la souveraineté sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale - un important carrefour de routes maritimes commerciales -, au grand dam de plusieurs pays riverains.

Ce différend intervient au moment où les Etats-Unis et les Philippines organisent des exercices militaires conjoints, notamment à proximité des zones disputées en mer de Chine méridionale et dans le détroit de Taïwan.

Ils prévoient notamment une simulation de reprise d'une île par la force dans la province de Palawan, proche des îles Spratleys que se disputent Pékin et Manille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Berne: Pierre Alain Schnegg veut abolir le statut de protection S

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Le directeur de l'asile bernois Pierre Alain Schnegg demande la suppression ou la limitation du statut de protection S. Celui-ci ne profiterait plus en premier lieu aux Ukrainiens, mais serait utilisé abusivement par les Roms. (Photo d'archives) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le conseiller d'Etat bernois Pierre Alain Schnegg demande la suppression ou la limitation du statut de protection S. Celui-ci ne profiterait plus en premier lieu aux Ukrainiens, mais serait utilisé abusivement par les Roms.

"La majorité des demandes de statut S sont désormais déposées par des Roms. C'est ce que j'entends aussi de la part de collègues d'autres cantons", a déclaré le conseiller d'Etat UDC bernois dans une interview publiée vendredi par Tamedia. Il ne peut toutefois pas donner de chiffres concrets. Tous les demandeurs présentent des papiers ukrainiens. "Mais nous doutons de cette identité dans de nombreux cas". Beaucoup ne parlent ni ukrainien ni russe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La gratuité pour les jeunes est enterrée à Genève

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Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord jeudi soir sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil n'a pas réussi à se mettre d'accord sur le souhait du gouvernement d'offrir l'abonnement des Transports publics genevois (TPG) aux jeunes. Par 50 non et 47 oui, le projet de loi a été refusé jeudi soir.

Lors de l'annonce de l'excédent record affiché par les comptes 2023 de l'Etat, le gouvernement avait proposé un abonnement des TPG gratuit pour les jeunes. Dans la foulée, le Parlement allait voter cette mesure sur le siège. Or l'adoption d'un amendement du Centre visant à accorder également la gratuité aux seniors dès 65 ans a bloqué le vote.

Mettant en garde contre le risque juridique lié à cette extension de la gratuité, le conseiller d'Etat Pierre Maudet, en charge du Département de la santé et des mobilités a refusé de demander le troisième débat. Ce troisième débat, qui a eu lieu jeudi soir, a abouti au rejet du projet de loi suite à une manoeuvre du PLR.

Aide de 50%

Plusieurs amendements étaient sur la table. Une majorité semblait se dessiner pour accepter celui du Conseil d'Etat visant à offrir les abonnements Unireso aux jeunes de 6 à 24 ans révolus, sous condition de formation ou de revenus. L'amendement du Centre visant à accorder une aide financière de 50% aux bénéficiaires de prestations AVS/AI était aussi en bonne voie et conforme d'un point de vue juridique.

Mais le premier amendement à avoir été voté a été celui du PS pour que le Parlement conserve le pouvoir de fixer les tarifs des TPG. Il a été accepté par 65 oui et 30 non. En le faisant passer, le PLR, qui voulait limiter la gratuité aux jeunes et a demandé, en vain, plusieurs renvois en commission, a obtenu le rejet final du projet de loi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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