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Un test PCR désormais obligatoire pour entrer en Suisse

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KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI

A Genève Aéroport, les passagers arrivant de l'étranger doivent désormais présenter un test PCR négatif au Covid-19 avant de pouvoir pénétrer sur le territoire suisse. La consigne est bien respectée, a constaté lundi un journaliste de Keystone-ATS.

Il faut dire que les compagnies aériennes font le travail à l'embarquement des voyageurs pour éviter de se faire verbaliser. Difficile, donc, de monter dans un avion sans avoir le fameux sésame sur soi. Le passager qui n'a pas son test PCR sur lui écope d'une amende de 200 francs et d'un signalement au médecin cantonal.

Outre le test PCR négatif indispensable, les passagers doivent également remplir un formulaire d'entrée en Suisse, comme l'exige l'OFSP. Les voyageurs qui ont oublié ce document ont toujours la possibilité de le télécharger sur leur téléphone portable et de le compléter avec leurs données personnelles avant de passer la douane.

A la douane autoroutière de Bardonnex (GE), les règles sont différentes. Le test PCR n'est pas nécessaire pour les personnes qui franchissent la frontière en voiture depuis une zone frontalière de la Suisse. Un test serait par exemple exigible pour les occupants d'une automobile venant d'Espagne ou du Portugal.

Source: ATS

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International

Arme nucléaire: Macron sous le feu des critiques

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Emmanuel Macron plaide en faveur d'une défense européenne "crédible". (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

En proposant d'inclure les armes nucléaires dans le débat sur une Europe de la défense en construction, le président français Emmanuel Macron a déclenché une pluie de critiques parmi les oppositions. Elles lui reprochent de "brader" la souveraineté nationale.

Dans le sillage de son discours sur l'Europe de La Sorbonne, le chef de l'Etat rencontrait vendredi à Strasbourg une douzaine de jeunes, un entretien organisé par les journaux régionaux du groupe Ebra (Est-Bourgogne-Rhône-Alpes) qui l'ont publié samedi soir.

"La France est-elle donc prête à européaniser sa capacité de dissuasion nucléaire ?", lui demande un de ses interlocuteurs, Linus.

Emmanuel Macron reprend l'argumentaire développé jeudi dans son discours, celui en faveur d'une défense européenne "crédible". Il évoque ensuite le déploiement de boucliers antimissiles -"mais il faut être sûr qu'ils bloquent tous les missiles" -, les armes à longue portée, puis l'arme nucléaire.

"La doctrine française est qu'on peut l'utiliser quand nos intérêts vitaux sont menacés. J'ai déjà dit qu'il y a une dimension européenne dans ces intérêts vitaux", a-t-il poursuivi.

"Je suis pour ouvrir ce débat qui doit donc inclure la défense antimissile, les tirs d'armes de longue portée, l'arme nucléaire pour ceux qui l'ont ou qui disposent sur leur sol de l'arme nucléaire américaine. Mettons tout sur la table et regardons ce qui nous protège véritablement de manière crédible", a-t-il encore déclaré.

"Gravité exceptionnelle"

François-Xavier Bellamy, tête de liste Les Républicains (LR) aux élections européennes du 9 juin a dénoncé une déclaration d'une "gravité exceptionnelle parce que là nous touchons au nerf même de la souveraineté française"

"Un chef de l'État français ne devrait pas dire ça", s'est-il emporté au "Grand Rendez-Vous Europe1/CNews/Les Echos".

Depuis le Brexit et la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, la France est le seul de ses Etats membres à disposer de la dissuasion nucléaire. Le dialogue sur les questions de sécurité se poursuit cependant avec Londres, notamment au sein de la Communauté politique européenne (CPE), un forum nouvellement créé à l'initiative du président français.

"Nous ne croyons pas au parapluie"

Dans son intervention à la Sorbonne, M. Macron avait déjà abordé cette question de l'arme nucléaire française.

"La dissuasion nucléaire est en effet au coeur de la stratégie de défense française. Elle est donc par essence un élément incontournable de la défense du continent européen", avait-il dit, reprenant des aspects d'un discours-clé sur la dissuasion prononcé en février 2020.

Comme la droite, La France insoumise (LFI) a estimé dimanche, dans un communiqué de son groupe parlementaire, que M. Macron "vient de porter un nouveau coup à la crédibilité de la dissuasion nucléaire française".

"La doctrine nucléaire française, c'est que nous ne croyons pas au parapluie. On ne va pas déclencher un feu nucléaire pour un autre pays", a déclaré la cheffe du groupe Mathilde Panot sur RTL/Le Figaro/M6.

Le président du MoDem François Bayrou, allié d'Emmanuel Macron, a répondu que les intérêts vitaux de la France et de l'Europe pouvaient parfois se confondre.

"Imaginez une menace mortelle contre l'Allemagne. Vous croyez que nous serions à l'abri? Vous croyez que nos intérêts vitaux ne seraient pas engagés par une menace de cet ordre?", s'est-il interrogé sur LCI.

"Un danger national"

A l'extrême droite, l'eurodéputé RN Thierry Mariani a affirmé sur X que "Macron est en train de devenir un danger national". "Après l'arme nucléaire, suivra le siège permanent de la France au conseil de sécurité de l'ONU qui sera lui aussi bradé à l'Union Européenne", s'est-il insurgé.

Aux antipodes, la tête de liste des Ecologistes aux européennes Marie Toussaint, favorable à un "saut fédéral européen", a considéré sur France 3 que cela signifiait le "partage de cette force qu'est l'arme française, donc le nucléaire aussi".

La construction d'une Europe de la défense est depuis très longtemps un objectif de la France, mais elle s'est souvent heurtée aux réticences de ses partenaires qui jugeaient plus sûr le parapluie de l'Otan.

L'invasion de l'Ukraine par la Russie, en février 2022, et le possible retour à la Maison-Blanche de Donald Trump ont cependant relancé la pertinence du débat sur une autonomie européenne en matière de défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

La victoire finale pour Rodriguez, la dernière étape pour Godon

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Carlos Rodriguez est le vainqueur du Tour de Romandie 2024 (© KEYSTONE/EPA/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Carlos Rodriguez a remporté dimanche le Tour de Romandie 2024. L'Espagnol a conservé la 1re place du général au terme de la dernière étape, remportée par Dorian Godon dimanche à Vernier.

La formation Ineos a parfaitement su contrôler la course sur les routes genevoises, pour permettre à son leader de rallier l'arrivée avec le maillot jaune sur les épaules. L'étape s'est terminée par un sprint survolé par Dorian Godon (Decathlon AG2R La Mondiale). Le Français a ainsi signé son second succès sur ce TdR, après avoir épinglé la 1ère étape, mercredi à Fribourg.

Les conditions pluvieuses ont rendu la route très glissante, entraînant plusieurs chutes sur cette boucle de 150 km. Les coureurs du haut du classement général ont tenté d'attaquer à plusieurs reprises, en profitant des écarts très serrés pour tenter d'améliorer leur rang final, mais aucun n'est parvenu à bousculer la hiérarchie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les efforts s'intensifient pour une trêve à Gaza

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Gaza, l'espoir d'une trêve? (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Les efforts diplomatiques en vue d'une trêve dans les combats à Gaza associée à la libération d'otages se sont intensifiés dimanche. Dans le même temps, Israël poursuivait ses frappes sur le territoire palestinien assiégé et menacé de famine.

Un haut responsable du Hamas a annoncé qu'une délégation du mouvement donnera lundi au Caire sa réponse à une proposition de trêve israélienne associée à la libération des otages, près de sept mois après le début de la guerre, déclenchée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre.

Samedi, le Hamas avait annoncé "étudier" cette contre-proposition, précisant qu'il "soumettra sa réponse une fois son étude terminée".

Pendant ce temps, la guerre ne connait aucun répit dans le petit territoire assiégé où le Hamas a pris le pouvoir en 2007. L'armée israélienne a indiqué dimanche avoir frappé "des dizaines de cibles terroristes" dans le centre de Gaza.

Appel de l'Arabie saoudite

Elle affirme préparer par ailleurs une offensive terrestre à Rafah où s'entassent un million et demi de Palestiniens, principalement des déplacés. De nombreuses capitales et organisations humanitaires redoutent un bain de sang dans cette ville déjà régulièrement bombardée par l'armée.

Depuis l'Arabie Saoudite, où se tient à partir de dimanche une réunion spéciale du Forum économique mondial (WEF), le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a appelé les Etats-Unis a empêcher une invasion terrestre à Rafah. Si elle devait avoir lieu, cette opération serait le "plus grand désastre de l'histoire du peuple palestinien", a-t-il déclaré.

Le secrétaire d'État américain Antony Blinken est également attendu en Arabie Saoudite, où il discutera notamment "des efforts en cours visant à parvenir à un cessez-le-feu à Gaza qui permette la libération des otages", selon le département d'État.

A Beyrouth, le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, discutera dimanche de son côté avec des responsables libanais, des moyens d'éviter une extension du conflit.

Depuis le début de la guerre, les échanges de tirs à la frontière nord d'Israël sont quotidiens entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste libanais Hezbollah .

"Un accord maintenant"

Ces tractations diplomatiques se font, en attendant la réponse du Hamas à la la contre-proposition israélienne.

Les détails de cette proposition n'ont pas filtré mais selon le site Axios, qui cite des responsables israéliens, elle inclut la volonté de discuter de "l'établissement d'un calme durable" à Gaza.

Pendant ce temps, la pression interne sur le gouvernement de Benjamin Netanyahu ne cesse de s'accentuer. Samedi soir, des milliers de personnes se sont rassemblées à Tel Aviv pour exiger la libération des otages enlevés le 7 octobre.

"Un accord, maintenant!" ont scandé samedi soir les manifestants, tout en appelant le gouvernement Netanyahu à démissionner. Peu avant, le Hamas avait diffusé une vidéo montrant deux otages, Keith Siegel, 64 ans, et Omri Miran, 47 ans. C'est la deuxième vidéo diffusée en quelques jours par le Hamas.

Lors du rassemblement à Tel-Aviv, le père de M. Miran a exhorté le Hamas à "faire preuve d'humanité", lui demandant également de "prendre une décision maintenant".

Frappes et tirs d'artillerie

Sur le terrain, pas d'accalmie. Tout au long de la journée de samedi, la marine israélienne a visé des cibles du Hamas et fourni un appui au troupes déployées dans le centre du territoire, a indiqué l'armée dimanche.

Selon un correspondant de l'AFP, l'armée israélienne a effectué des frappes aériennes et des tirs d'artillerie dans plusieurs zones de la bande de Gaza, notamment à Khan Younès et Rafah, deux villes du sud du territoire, ainsi qu'à Gaza-Ville (nord).

Au total, 66 Palestiniens sont morts en 24 heures, selon le Hamas.

"Nous sommes fatigués après sept mois de déplacement et de lutte dans les camps. Nous avons donc insisté pour rentrer et rester dans une tente sur les décombres de notre maison", à Khan Younès, a dit à l'AFPTV Abdelqader Mohammed Qwaider.

Outre les destructions et le bilan humain lourd, la guerre a provoqué une catastrophe humanitaire dans le territoire palestinien où vivent 2,4 millions de personnes. Strictement contrôlée par Israël, l'aide humanitaire entre au compte-gouttes.

Samedi, un navire britannique a quitté Chypre pour héberger des centaines de membres de l'armée américaine qui construisent une jetée artificielle à Gaza afin de faciliter l'acheminement de l'aide humanitaire.

Dans la foulée, Chypre a annoncé qu'un navire chargé d'aide, revenu de Gaza début avril après qu'une frappe israélienne a tué sept travailleurs humanitaires, repartait en direction du territoire palestinien.

L'armée israélienne a indiqué samedi que 25'000 camions d'aide humanitaire étaient entrés dans Gaza depuis le 7 octobre. Le bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), avance, lui, le chiffre de 23'000 camions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Record de nuitées en 2023 pour les auberges de jeunesse suisses

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Les auberges de jeunesse suisse jouent un rôle important pour le tourisme suisse (archives). (© KEYSTONE/MICHELE LIMINA)

A l'occasion des festivités de leur 100e anniversaire, les Auberges de jeunesse suisses (AJS) annoncent dimanche avoir enregistré un nombre record de nuitées en 2023. Celles-ci affichent une hausse de 7,4% sur un an à 807'196, dans les 42 établissements affiliés.

La part des hôtes suisses a atteint 73,3%, en progression de 3,1 point par rapport à l'année "pré-Covid" 2019. "L’envie de voyager est définitivement revenue", se réjouit l'AJS dans un communiqué. Pour les hôtes internationaux, un léger recul de 1,7 point se manifeste par rapport à 2019.

Dans l'ensemble, les bons chiffres de 2023 se confirment au cours des premiers mois de 2024. De quoi laisser présager "une année anniversaire elle aussi couronnée de succès", prévoit la directrice de l'organisation à but non lucratif, Janine Bunte.

Parmi les quelque 500 invités présents dimanche pour les festivités à Rapperswil-Jona (SG), au bord du lac de Zurich, figurait le conseiller fédéral Guy Parmelin.

"Au début, il y a 100 ans, l’idée était de promouvoir les loisirs de manière judicieuse et de proposer une offre à cet effet", a-t-il déclaré. "Les auberges de jeunesse suisses y sont clairement parvenues, soulignant leur rôle important pour le tourisme suisse et sa carte de visite."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Concours Science et jeunesse: 23 romands primés

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Les jeunes finalistes du concours ont présenté leurs projets au public à l'Université Fribourg vendredi et samedi. Ici: Valentine Thürler explique son étude sur les étoiles binaires et le système d'Argol pour lequel elle a reçu un prix spécial. (© Fondation Science et jeunesse)

Lors de la finale du 58e Concours national de la Fondation Science et jeunesse à Fribourg samedi, 23 jeunes Romandes et Romands ont été primés. En tout, 106 projets portés par 116 jeunes des quatre coins de la Suisse ont été retenus par le jury.

La valeur totale des prix distribués en espèces s'élève à plus de 200'000 francs, a précisé la Fondation Science et jeunesse dans un communiqué dimanche. Le jury a également décerné 31 prix spéciaux, comme par exemple un stage de recherche au Jungfraujoch ou encore une place dans les délégations qui représenteront la Suisse au concours européen et international pour jeunes scientifiques.

Les participants étaient âgés entre 17 et 23 ans. La majorité des projets ont été réalisés dans le cadre de travaux de maturités gymnasiales ou professionnelles et sont le fruit d'une année de réflexion.

Présentés par les finalistes au public vendredi et samedi à l'Université de Fribourg, les projets se sont vu attribuer la mention "excellent", "très bien" ou "bien" en fonction de leur qualité. Ils ont été réalisés dans des domaines variés, mais essentiellement scientifiques: de la physique à la biologie, en passant par l'architecture, l'histoire-géographie ou encore les mathématiques et la littérature.

Un des jeunes lauréats romands s'est par exemple penché sur l'approvisionnement en eau des cabanes de montagne romandes, une autre a comparé les temps de réaction "entre des individus phobiques et non-phobiques face à un stimulus visuel d'araignée". Une troisième a examiné l'effet de l'apport de lisier sur une réserve naturelle de zone humide en Thurgovie.

La Fondation Science et jeunesse s'est donné pour but de repérer des jeunes passionnés et contribuer à entretenir leur motivation, leur curiosité et leur compétence. Elle leur propose un programme de coaching ciblé et les guide dans la construction de leur réseau professionnel.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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