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Politique

Vaud va renforcer les subsides pour l’assurance maladie

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Le Conseil d’Etat vaudois confirme sa stratégie de renforcement progressif des subsides aux primes d'assurance maladie. Une mesure qui fait suite à l'annonce des fortes hausses des primes pour 2018.

Concrètement, le Gouvernement augmentera le plafond des revenus pouvant bénéficier des subsides. Cette série de mesures entrera en vigueur au 1er janvier 2018 et elle soulagera les bénéficiaires d'environ 25 millions de francs.

Pierre-Yves Maillard, conseiller d’Etat vaudois :

Pierre-Yves MaillardConseiller d'Etat, VD

Et dès le 1er septembre, c’est un autre subside qui verra le jour. Pierre-Yves Maillard, :

Pierre-Yves MaillardConseiller d'Etat, VD

À terme, en 2019, les primes ne dépasseront pas 10% du revenu selon l'Etat de Vaud.

Mais ces mesures seront-elles suffisantes pour les ménages concernés ? Pierre-Yves Maillard, conseiller d’Etat vaudois :

Pierre-Yves MaillardConseiller d'Etat, VD

Globalement, le canton allouera en 2018 des subsides auprès d'environ 222'000 personnes, soit 28.5% de la population. Selon Pierre-Yves Maillard, à terme, avec la stratégie 2019, plus de 30% de la population vaudoise touchera des subsides.

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International

Poutine a prêté serment pour un cinquième mandat

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Vladimir Poutine a promis mardi aux Russes qu'ils vaincraient "ensemble" en plein conflit armé contre l'Ukraine. (© KEYSTONE/EPA/SERGEI ILNITSKY / POOL)

Vladimir Poutine a prêté mardi serment lors de sa cérémonie d'investiture au Kremlin pour un cinquième mandat de six ans à la tête de la Russie. Il jouit d'un pouvoir incontesté face une opposition laminée.

"Je jure (...) de respecter et de protéger les droits et libertés de l'homme et du citoyen, de respecter et de protéger la Constitution, la souveraineté, l'indépendance, la sécurité et l'intégrité du gouvernement", a-t-il déclaré.

Vladimir Poutine a promis mardi aux Russes qu'ils vaincraient "ensemble" et sortiraient plus "forts" d'une "période difficile", en plein conflit armé contre l'Ukraine. "Nous sommes un peuple uni et grand, et ensemble nous surmonterons tous les obstacles (...) Ensemble nous gagnerons", a-t-il déclaré face à environ 2500 personnes, dont l'élite politique russe et des combattants participant à l'assaut sur le sol ukrainien.

"Nous déterminerons le destin de la Russie par nous-mêmes et seulement par nous-mêmes, pour le bien des générations actuelles et futures", a-t-il encore souligné dans un discours également diffusé sur l'ensemble des chaînes de télévision russes d'Etat.

Incertitudes

L'issue de l'offensive lancée par son armée le 24 février 2022 semble pourtant toujours incertaine, et de nombreux défis ont fait leur apparition, entre conséquences des sanctions occidentales, inflation élevée et le départ à l'étranger de centaines de milliers de Russes opposés au conflit.

Le président russe a jugé "possible" une discussion avec les Occidentaux "sur les questions de sécurité et de stabilité stratégique", mais "seulement sur un pied d'égalité, en respectant les intérêts de chacun".

Vladimir Poutine a par ailleurs jugé "sacré" le devoir de diriger la Russie, un pays de plus de 140 millions d'habitants. Son cinquième mandat devrait le faire rester au pouvoir au moins jusqu'en 2030, mais après une révision constitutionnelle adoptée en 2020, Vladimir Poutine peut s'il le souhaite rester au pouvoir six années supplémentaires, jusqu'en 2036, l'année de ses 84 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Ukraine: fonds pour la paix en suspens au National

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La commission de politique de sécurité du Conseil des Etats souhaite créer un fonds temporaire permettant notamment de financer à hauteur de 10,1 milliards de francs la mise à niveau de l'armement de l'armée jusqu'en 2030 (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le projet de fonds pour la sécurité de la Suisse et la paix en Europe, dans le contexte de la guerre en Ukraine, a du plomb dans l'aile au National. La commission compétente a retiré une motion en ce sens. Un texte similaire a déjà été déposé au Conseil des Etats.

La commission de politique de sécurité du Conseil des Etats souhaite créer un fonds temporaire permettant de financer l'ensemble des besoins financiers supplémentaires à partir de 2025 de 10,1 milliards de francs pour la mise à niveau de l'armement de l'armée jusqu'en 2030. Il doit aussi permettre une contribution suisse de 5 milliards de francs pour le soutien à la reconstruction et la remise en état des infrastructures en Ukraine.

Le fonds, régi par une loi spéciale, serait autorisé à s'endetter temporairement. La commission des finances du National prévoyait de déposer une motion similaire. Elle a été retirée, a annoncé mardi devant les médias sa présidente Sarah Wyss (PS/BS). La commission attend d'abord le débat au Conseil des Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Les institutions de prévoyance de retour dans le vert

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Les institutions de prévoyance professionnelle ont fait mieux en 2023 qu'en 2022. Le 2e pilier est résilient, selon la commission de haute surveillance (illustration). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les institutions de prévoyance professionnelle suisses ont connu une bonne année en 2023. Leur performance nette moyenne a atteint +5,2%, contre -9,2% en 2022. Il est toutefois prématuré de parler d'un retour à la stabilité, avertit la commission de haute surveillance.

Après une année 2022 marquée par la performance fortement négative des placements et la baisse des taux de couverture, la situation financière des institutions est redevenue globalement positive en 2023, annonce mardi dans un communiqué la commission de haute surveillance de la prévoyance professionnelle (CHS PP).

La performance positive des placements a permis une augmentation de la rémunération moyenne des avoirs de vieillesse des assurés actifs, qui est passée de 1,9% fin 2022 à 2,3% fin 2023.

Il est prématuré de parler d'un retour à la stabilité, note toutefois la CHS PP. Les tensions géopolitiques ont tendance à s'intensifier. La prudence est de mise pour toutes les décisions concernant les prestations ou les placements. Les institutions doivent continuer de consolider leurs réserves.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'ex-président Bolsonaro transféré à l'hôpital à Sao Paulo

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L'ancien président brésilien Jair Bolsonaro devra passer des tests et des imageries à Sao Paulo (archives). (© KEYSTONE/AP/ERALDO PERES)

Hospitalisé pour soigner une infection cutanée, l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été transféré lundi de Manaus (nord) vers Sao Paulo (sud-est). C'est ce qu'a indiqué son avocat.

M. Bolsonaro, 69 ans, "a été admis à l'hôpital Vila Nova Star de Sao Paulo avec un érysipèle à la jambe gauche et des douleurs abdominales", a indiqué Me Fabio Wajngarten sur les réseaux sociaux.

"Il passera des tests et des imageries. Il reçoit déjà des antibiotiques en intraveineuse", a ajouté M. Wajngarten, qui s'occupe de la communication de son client. M. Bolsonaro a été opéré dans cette clinique privée à plusieurs reprises à l'abdomen ces dernières années en raison de séquelles d'un l'attentat à l'arme blanche subi en 2018.

Plus tôt lundi, l'un des fils de l'ancien chef de l'Etat d'extrême droite, le député Eduardo Bolsonaro, avait annoncé initialement que son père allait être transféré vers Brasilia. "Mon père va bien, il réagit bien aux antibiotiques", a écrit le parlementaire sur X.

Ce message est illustré d'une photo de son père couché sur le dos à l'hôpital, les yeux fermés, le corps partiellement couvert de draps. La peau de sa jambe gauche présente une grosse plaque rouge, au niveau du tibia. L'entourage de l'ex-président (2019-2022) n'a pas précisé la raison du changement de destination. Selon le site d'informations Metropoles, il a souffert de "douleurs intestinales" en plus de l'infection cutanée.

"Pas de date de sortie prévue"

Dimanche, M. Bolsonaro avait annoncé sur X qu'il avait été hospitalisé à Manaus pour soigner un érysipèle, infection bactérienne caractérisée par une inflammation de la peau, "sans date de sortie de prévue". L'hôpital Santa Julia de Manaus avait précisé que l'ancien chef de l'Etat avait été admis samedi "en raison d'une déshydratation et d'une infection cutanée" et qu'il restait "hospitalisé pour une antibiothérapie par voie veineuse et une réhydratation".

Chez les patients atteints d'érysipèle, une plaque rouge douloureuse apparaît le plus souvent au niveau des jambes et parfois sur le visage, accompagnée de fièvre. Jair Bolsonaro avait souffert d'une infection similaire en novembre 2022, peu après sa défaite électorale face au président actuel Luiz Inacio Lula da Silva. Il était alors resté reclus pendant plusieurs jours dans sa résidence officielle à Brasilia.

L'ancien président était arrivé vendredi à Manaus, capitale de l'Etat brésilien d'Amazonas, pour soutenir le député Alberto Neto, candidat à la mairie de cette métropole, la plus importante de la région amazonienne.

A l'approche des municipales en octobre, M. Bolsonaro parcourt le pays pour soutenir les candidats de son parti. Cerné par les affaires judiciaires, il a participé il y a deux semaines à une vaste manifestation en son soutien sur la plage de Copacabana, à Rio de Janeiro.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La France annonce des actes antisémites en hausse de "300%"

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Le Premier ministre français Gabriel Attal a évoqué "366 faits antisémites" enregistrés dans le pays au premier trimestre 2024 (archives). (© KEYSTONE/EPA/VALERY HACHE / POOL)

Le gouvernement français a annoncé lundi "une hausse de 300%" des actes antisémites en France au premier trimestre 2024 par rapport à la même période de 2023. Il évoque une "déferlante".

"Personne ne peut nier cette déferlante antisémite", a déclaré le chef du gouvernement, Gabriel Attal, dans un discours lors du 38e dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) à Paris.

"Personne ne peut nier le fait qu'on estime que les Français juifs représentent 1% de la population française, mais que plus de 60 % des actes antireligieux sont des actes antisémites", a-t-il ajouté. Il a évoqué "366 faits antisémites" enregistrés en France au premier trimestre 2024.

Face à cette hausse, "pas un acte ne doit rester impuni, pas un antisémite ne doit avoir l'âme tranquille", a affirmé le Premier ministre en promettant de "faire preuve d'une fermeté exemplaire à chaque acte".

Déplorant qu'il ne soit pas possible, dans la loi française, de connaître précisément le nombre et les condamnations pour des actes commis en raison de la religion, il a annoncé avoir demandé au ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, "de trouver les moyens de mettre en oeuvre un recensement de ces cas et de ces condamnations partout en France".

"L'islamisme est un péril grave pour notre République et un des visages les plus dangereux, les plus destructeurs de l'antisémitisme", a-t-il aussi affirmé, promettant de "s'attaquer frontalement à l'islamisme et au séparatisme".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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