André Schneider, directeur de Genève Aéroport
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Il y a 4 ansle
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Singapore Airlines passe commande de carburant durable à Neste
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Il y a 54 minutesle
6 mai 2024Singapore Airlines va être le premier client de la compagnie pétrolière finlandaise Neste, qui a construit la plus grande usine de production de carburant d'aviation durable (SAF) du monde sur l'aéroport de Singapour, ont annoncé lundi les deux entreprises.
Le premier transporteur asiatique a signé un accord avec Neste pour acheter et mélanger 1000 tonnes de SAF avec du kérosène, qu'il utilisera avec sa branche low-cost Scoot, selon un communiqué.
Numéro un du secteur, Neste a agrandi l'an dernier une raffinerie sur l'aéroport de Singapour-Changi, pour en faire, selon ses dires, la plus importante unité de production de SAF au monde, avec une capacité d'un million de tonnes par an.
Le carburant d'aviation durable est fabriqué à partir de déchets et résidus de matières premières renouvelables, permettant de réduire de 80% des émissions de CO2 par rapport au kérosène classique sur l'ensemble de leur cycle d'utilisation.
Cité dans le communiqué Alexander Kueper, vice-président pour l'aviation durable chez Neste, dit espérer que cet accord encouragera "une plus grande utilisation adoption des SAF dans toute la région Asie-Pacifique".
Singapour a déclaré en février vouloir demander progressivement à partir de 2026 aux compagnies desservant la cité-Etat d'utiliser des carburants bas carbone. Les compagnies devront utiliser du carburant mélangé avec 1% de SAF en 2026, une teneur qui devra augmenter graduellement jusqu'à 3 à 5% d'ici 2030.
Le SAF est utilisable directement dans les avions actuels, certifiés pour accepter des mélanges à 50% dans le kérosène fossile, et 100% d'ici à 2030. Mais ce carburant bas carbone reste 3 à 5 fois plus cher, et les autorités singapouriennes doivent instaurer une surtaxe sur les billets pour amortir le différentiel de coût.
L'aviation est responsable de 2 à 3% des émissions totales de CO2 mais reste un des secteurs les plus difficiles à décarboner. L'utilisation de carburants durables est vue comme une solution incontournable, mais sans doute insuffisante pour couvrir les besoins de tous les avions.
L'objectif de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), est d'atteindre la neutralité carbone en 2050.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
la journée finit bien
Nemo, l'artiste suisse qui défie les codes à l'Eurovision (VIDEO)
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Il y a 48 minutesle
6 mai 2024Les fans de musique de toute l'Europe s'apprêtent à se donner rendez-vous pour l'Eurovision. Chez les parieurs, un nom porteur d'un message universel se détache. Il s'agit de Nemo, l'artiste suisse non-binaire qui, avec son titre "The Code", s'apprête à représenter la Suisse. J'ai eu le privilège de m'entretenir avec Nemo, ainsi qu'avec Jean-Marc Richard, figure emblématique du concours, afin de discuter de cette chanson, de son impact et des enjeux de ce concours pas comme les autres.
« Non, on ne se lasse pas, parce que c'est chaque année différent », commence Jean-Marc Richard, vétéran de 33 Eurovisions. « Et surtout, ce qui est intéressant, c'est que chaque année, la chanson suisse amène quelque chose de nouveau. »
Nemo, originaire de Bienne et résidant en Allemagne, nous offre avec "The Code" une œuvre éclectique et dynamique, mêlant divers styles musicaux. « C'était une de ces situations où je sens qu'il y a deux types de musique à faire, et on ne peut pas vraiment décider dans quel état on va tomber », explique Nemo. « Il y a ce moment quand vous écrivez et que vous pensez à chaque phrase, et puis il y a ce stade où tout se passe en vous, et vous ne pensez même pas à ce que vous créez à ce moment-là, vous le faites, et vous vous demandez après comment c'est venu. »
L'artiste décrit le processus créatif spontané derrière "The Code", né lors d'un camp de la Société Suisse des Auteurs. « C'était ma première fois au camp de la SUISA, et j'ai pensé que j'étais invité là-bas comme auteur... et puis j'ai compris « Ah, ok, donc nous écrivons pour moi? C'est parti ! » Et c'était tellement une bonne expérience que le lendemain, je me suis dit immédiatement « Ok, je vais chanter pour moi tellement c'est amusant! » Et c'est là que the code est arrivé... »
L'Eurovision, au-delà d'être un événement musical, est souvent perçu à travers le prisme de la géopolitique. Jean-Marc Richard souligne l'importance des dynamiques politiques, mais aussi la capacité du concours à transcender ces considérations. « Je pense que c'est une des particularités de l'Eurovision, mais ce qui est intéressant cette année, c'est qu'il y a une telle diversité dans les chansons que finalement, au-delà de cette problématique de géopolitique, je crois qu'on arrivera à se mettre ensemble pour faire un vrai concours avec quelque chose qui nous rapproche les uns des autres. »
Nemo, aborde le concours avec une perspective personnelle, axée sur l'authenticité, sans laisser la politique s'immiscer. « L'unique chose que je peux faire, c'est écrire quelque chose qui est vrai pour moi-même et auquel je me sens profondément connecté. »
L'artiste non-binaire parle également de son voyage personnel vers la découverte de soi. « C'était un long processus pour moi... Et c'est un voyage en cours et un beau voyage pour moi parce que cet espace vient avec beaucoup de liberté et beaucoup de joie, beaucoup de sentiment de vraiment confortable dans mon corps pour la première fois. »
Quant à la performance à venir à l'Eurovision, Nemo reste discret sur les détails, mais promet une scénographie à la hauteur de la diversité de sa chanson. « Nous travaillons sur un design différent en ce moment, avec deux designers magnifiques de la Suède qui travaillent sur le costume de scène. Et ça va être... Je l'aime déjà, mais je ne peux pas vraiment dire beaucoup sur ça encore. »
Avec "The Code", Nemo incarne non seulement la diversité musicale, mais aussi un message de tolérance et d'acceptation de soi qui résonne puissamment dans le cœur de l'Eurovision. Un message qui, à n'en pas douter, trouvera un écho auprès des spectateurs du monde entier.
Avec IA
La direction de l'Université de Lausanne (UNIL) a répondu aux étudiants pro-palestiniens qui occupent l'un de ses bâtiments depuis jeudi. Elle refuse leur principale revendication et leur demande de quitter les lieux.
L'UNIL "ne peut autoriser plus longtemps l'installation jour et nuit du collectif", écrit-elle. Elle se dit prête à mettre à disposition "un espace" permettant de continuer cette action, à condition que le collectif reste composé uniquement de membres de l'UNIL.
En réponse à la principale revendication des étudiants, le boycott des institutions universitaires israéliennes, l'UNIL répond par la négative. Elle explique que ses collaborations en cours ne contreviennent pas à sa mission, à savoir notamment "la transmission de savoirs fondés sur des méthodes critiques et rigoureuses, la confrontation des idées, la réflexion éthique et le respect de la déontologie scientifique".
Le collectif étudiant doit désormais prendre position. Une conférence de presse est prévue lundi à 21h00.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
la journée finit bien
"Tu t'en sors?" ou comment s'amuser en toute sécurité la nuit
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Il y a 17 minutesle
6 mai 2024Comment faire la fête le soir et rentrer chez soi en toute sécurité. C'est le thème de la campagne nationale de prévention lancée lundi à l'attention des jeunes amateurs de sorties nocturnes. Cette sensibilisation se décline en trois conseils: "think, stay, help".
Les fêtes de la nuit sont souvent un "must" pour les jeunes. Mais souvent, elles sont le théâtre d'insultes, de harcèlement, de menaces et de violences physiques pouvant aller jusqu’à de graves infractions comme des viols ou des coups de couteau, souligne dans un communiqué la Prévention suisse de la criminalité (PSC).
La campagne "Tu t’en sors?" vise à ce qu'aucun soir de fête ne vire au cauchemar. Menée en collaboration avec les corps de police cantonaux et municipaux, elle s'adresse à tous ceux qui aiment sortir, soit aux auteurs potentiels, victimes, tiers et témoins.
La campagne donne trois conseils, formulés en anglais: "You better think" (Réfléchis bien), "Stay together" (Restez ensemble) et "Help if you can" (apporte ton aide si tu peux). Concrètement, il s'agit de garder dans la mesure du possible le contrôle sur soi-même, éviter d'être complètement ivre, garder un oeil sur les boissons des uns et des autres, organiser les retours ou aider une personne harcelée ou en détresse. Face à un risque d'escalade, il ne faut pas hésiter à appeler la police au 117.
Sur sa page d'accueil, la PSC rappelle que l'unique responsable d'un acte de violence est celui qui le commet. La victime n'est pas coupable. La campagne nationale sera visible sur des affiches et des dessous de verre. Les actions auront lieu dans des lieux bien fréquentés, jusqu’au 28 juin.
Avec Keystone-ATS
Genève
Genève assumera son devoir de mémoire sans déboulonner des statues
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Il y a 48 minutesle
6 mai 2024La Ville de Genève a présenté lundi son plan d'action par rapport aux monuments qui rendent hommage à des personnalités ayant encouragé le racisme, le colonialisme ou encore l'esclavagisme. La priorité va à la contextualisation.
"Aucun retrait de statues ou de monuments n'est prévu et aucun lieu controversé ne sera renommé", a indiqué Alfonso Gomez, maire de la Ville de Genève. La Municipalité privilégie le dialogue et la recontextualisation sur le lieu même de l'hommage, a précisé le magistrat.
Cinq figures historiques ont été retenues pour cette première phase du plan d'action qui devra être réalisée d'ici 2025. Parmi ces personnalités, le controversé Carl Vogt. Ce scientifique et politicien, qui a un boulevard à son nom et un buste à son effigie, a combattu pour les libertés individuelles tout en soutenant des thèses racistes.
Son buste pourrait être déplacé. Mais la décision sera prise en concertation avec l'Université de Genève. Un nouvel emplacement n'a pas encore été défini.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Sebtu
23 mars 2020 à 16 h 44 min
Bonjour
Depuis plus de 2 ans j'ai voulu avoir un entretien avec Mr Schneider mais en vain aucune réponse .
Jamshid Pouranpir
24 mars 2020 à 11 h 38 min
Bonjour. C'est dommage que vos auditeurs.trices restent aux seules affirmations fausses du directeur de l'AIG. Les constats sur le terrains démontrent la fausseté de ces déclarations. De nombreuses personnes m'écrivent pour démentir ces propos.
Weasley
25 mars 2020 à 12 h 54 min
Bonjours RadioLac,
je vous invite à venir voir les conditions sanitaire sur le site de l'aéroport. Cet interview ne dit pas la vérité et je pense que votre travail est à refaire plutôt que simplement donner la parole à ce responsable tout en leur donnant du crédit aveuglément. Des membres de ma famille et moi même sommes employés sur le site gva aéroport et nous constatons que nous ne travaillons dans un endroit similaire décrit pas Monsieur Schneider. Le comité de gestions de l'aéroport de Genève à démontré plus d'une fois leur incompétence à diriger un aéroport. Ce qui fait scandale quand vous leur attribuez du crédit.
-Pas de protections aux différents guichets
-pas de solutions désinfectantes ni de gants en suffisances.
-Pas d'aide pour les employés qui doivent s'occuper de leur enfants suite à la fermeture des établissements scolaires et même, menace de licenciement pour avoir osé demandé de l'aide pour cette problématique.
Fermez cet aéroport et laisser les bobo d'instagram qui achètent un drone pour partager leur vacances a 10 milles kilomètres de chez eux prendre le train pour Zurich flughafen.
cordialement, un romand qui ne se battra pas pour maintenir une économie.
Lorini Matteo
25 mars 2020 à 14 h 54 min
A quoi bon d'essayer de garder la distance sans les terminaux et les avions, di après on nous mets comme des sardines dans des bus pour nous amener au terminaux ?? C'est pas logique et super dangereux !!! C'est totalement irresponsable !!