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Infomaniak partage les bonnes pratiques contre les cyberattaques

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A l'heure où toutes nos données, y compris les plus sensibles sont en ligne, la notion de sécurité en ligne est de plus en plus prégnante. Un plug-in non mis à jour ou une erreur de code ne sont que quelques-uns des exemples qui laissent la porte de votre site, et de votre base de données, ouverte aux pirates. Il est donc impératif de maintenir votre site sécurisé non seulement pour protéger vos utilisateurs, mais aussi pour préserver la confiance et la fidélité de vos clients. Ensemble, découvrons quelques notions ainsi que des moyens simples et accessibles dans un monde numérique où les menaces sont omniprésentes mais souvent invisibles, grâce à l’expertise de Thomas Jacobsen, porte-parole d’Infomaniak.

Maintenir votre site à jour

Dans le monde numérique actuel, la sécurité des sites web est une préoccupation majeure pour les développeurs, les entreprises et les utilisateurs. Pour créer son site en ligne, de nombreux outils WYSIWYG (What You See Is What You Get, où l'on voit instantanément le résultat) ont vu le jour. Simples et ludiques, ils ne demandent aucune connaissance particulière. Cependant, il ne faut pas oublier que votre site doit suivre les avancées technologiques, tant en matière de design que de fonctionnalités sous le capot. Infomaniak utilise une solution appelée « Patchman Security Scanner », que Thomas Jacobsen décrit comme un "gardien numérique", un outil de sécurité automatisé qui détecte et corrige les vulnérabilités connues sans intervention manuelle.

Ce logiciel fonctionne en scannant les CMS populaires tels que WordPress, Joomla et Drupal, identifiant les failles de sécurité telles que les logiciels malveillants, les scripts de porte dérobée et les vulnérabilités de plugins ou de thèmes obsolètes. Lorsqu'une menace est détectée, Infomaniak applique automatiquement des correctifs sans perturber le fonctionnement du site, ce qui permet aux propriétaires de sites de se concentrer sur leur activité principale tout en maintenant un haut niveau de sécurité.

Thomas insiste sur l'importance de cette automatisation: "Patchman Security Scanner est essentiel pour maintenir la sécurité sans nécessiter une surveillance constante par l'utilisateur. Cela offre une tranquillité d'esprit inestimable, sachant que les menaces les plus courantes sont gérées efficacement." Cependant, il avertit que cette solution n'est pas une solution miracle. Les utilisateurs doivent rester informés et appliquer les meilleures pratiques de sécurité, telles que la mise à jour régulière des systèmes et l'utilisation de mots de passe forts. S'assurer que les technologies utilisées sont à jour, voir toujours en service n'est pas négligeable non plus.

Il est important de reconnaître que la sécurité est un processus en plusieurs étapes. La technologie complète les efforts de sécurisation des utilisateurs, qui commencent par un bon mot de passe et des outils à jour, mais ne remplace pas la nécessité d'une stratégie de sécurité globale.

Par ailleurs, la migration vers le cloud a transformé la façon dont les particuliers et les entreprises gèrent leurs données et services. Cependant, cette transition apporte de nouveaux défis de sécurité. Pour Thomas Jacobsen: "Le cloud est puissant, mais il introduit des risques spécifiques tels que les accès non autorisés et les fuites de données."

À n’en pas douter, ce journaliste de TV5 Monde n’avait pas reçu de formation adéquate car, en 2015, il avait laissé traîner des mots de passe sur une feuille durant une interview! (Capture d'écran)

Activer la confidentialité et la sécurité des données

Pour garantir la protection de ses données personnelles, il est impératif d'adopter des mots de passe forts et uniques pour chaque service en ligne. L'utilisation d'un gestionnaire de mots de passe, tel que l'outil ouvert BitWarden recommandé par Thomas, facilite cette tâche en sécurisant et en centralisant l'accès à vos comptes.

Les mots de passe faibles sont le talon d'Achille de la sécurité en ligne. L'adoption de l'authentification à deux facteurs (2FA) ajoute une couche supplémentaire de protection en demandant aux utilisateurs de fournir deux types de preuves d'identité avant d'accéder à leur compte. Cela rend les attaques par force brute ou les vols d'identifiants nettement plus difficiles.

Il est également sage de privilégier des prestataires qui placent la vie privée et la sécurité au cœur de leurs préoccupations. Contrairement aux géants du Web, souvent plus vulnérables en raison de leur complexité et de leurs interdépendances qui peuvent accroître les risques de failles de sécurité, des solutions telles que kSuite Infomaniak offrent une alternative sécurisée, moins exposée aux attaques de hackers de par leur moindre visibilité et leur utilisation spécialisée par les entreprises. En somme, une stratégie de sécurité en ligne efficace repose sur la combinaison de mots de passe robustes, de l'authentification à deux facteurs, et du choix judicieux de prestataires dédiés à la protection de vos données.

Savoir où sont vos données et qui peut y accéder

Saviez-vous que si vos informations sont sur un serveur localisé ou traitées par un logiciel américain, le gouvernement des États-Unis peut y avoir accès? C’est entre autres pour cela que la souveraineté numérique et le choix des technologies qui favorisent l'indépendance et la sécurité sont des préoccupations croissantes. "Opter pour des solutions stockées et développées en Suisse et des fournisseurs qui respectent la vie privée est une condition essentielle pour garantir le contrôle et la souveraineté de ses données", rappelle Jacobsen.

En outre, la responsabilité légale et la conformité avec des réglementations telles que le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) ou la Loi sur la Protection des Données (LPD) en Suisse sont des aspects auxquels les entreprises ne peuvent échapper.

Les coûts associés à la réparation des dommages, à la récupération des données, à la gestion de la réputation et à la perte de clientèle se chiffrent parfois en millions, sans compter que le non-respect des normes de protection des données peut entraîner des amendes. Il convient d'appréhender la sécurité de vos données et de votre site aussi bien sous forme préventive qu'en tant qu'investissement stratégique pour la santé financière à long terme d'une entreprise.

Pour cela, il existe des solutions de création de site, de gestion de documents et d’échange de fichiers clés en main, dont nous parlerons à la fin du mois.

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International

Les vêtements en polyester recyclé polluent plus (étude)

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Selon les chiffres de l'industrie rapportés par l'étude, 98% du polyester recyclé provient de bouteilles en plastique et non de déchets textiles (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAST IRHAM)

Fabriqués à partir de bouteilles en plastique, les vêtements en polyester recyclé vendus par la mode sous couvert de démarche écologique sont plus polluants que ceux en polyester vierge, révèle une étude mercredi.

Lors du lavage, le polyester recyclé libère 55% de particules microplastiques de plus que le polyester vierge, selon des recherches menées à l'université Çukurova en Turquie et publiées par l'ONG Changing Markets.

Les particules sont par ailleurs 20% plus petites, donc plus à même de se répandre dans l'environnement, révèle l'ONG, qui rappelle que les microplastiques envahissent la terre, l'air, l'eau et les organismes vivants. Des tests ont été effectués sur 51 vêtements représentatifs de lots de productions des marques Adidas, H&M, Nike, Shein et Zara.

Nike s'est révélée être la plus polluante (tissus vierges et recyclés), devant Adidas: le polyester recyclé de la marque américaine à la virgule a perdu plus de 30'000 fibres par gramme de vêtement en moyenne, soit près de quatre fois plus que H&M et sept fois plus que Zara.

Fraude au polyester courante

Quant au géant asiatique de la mode Shein, ses vêtements étiquetés "polyester recyclé" libèrent étonnamment environ autant de microplastiques que ceux en polyester vierge. Par ailleurs, des articles achetés pour l'étude présentés "polyester recyclé" étaient disponibles à la vente quelques mois plus tard estampillés comme étant simplement en polyester vierge, affirme l'étude.

Cette "fraude au polyester" serait monnaie courante dans l'industrie textile, selon l'étude, qui précise avoir trouvé des traces de pratiques similaires chez H&M et Nike.

"La mode vend du polyester recyclé comme étant une solution verte. Or, nos résultats montrent qu'il aggrave le problème de la pollution", estime Urska Trunk, directrice de campagne de Changing Markets. "Les vraies solutions consistent à réduire et éliminer progressivement la production de fibres synthétiques et arrêter de détourner des bouteilles en plastique pour en faire des vêtements jetables".

Selon les chiffres de l'industrie rapportés par l'étude, 98% du polyester recyclé provient de bouteilles en plastique et non de déchets textiles. Les fibres synthétiques issues des combustibles fossiles représentent environ 69% de la production textile totale, avec 59% de polyester dont 12% recyclé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ

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Le dossier électronique du patient est abandonné au profit d'un dossier de santé (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le dossier électronique du patient est abandonné. Le Conseil fédéral a décidé mercredi de le remplacer par un dossier électronique de santé. Celui-ci sera automatiquement mis à disposition de la population.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ

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Le dossier électronique du patient est abandonné au profit d'un dossier de santé (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le dossier électronique du patient est abandonné. Le Conseil fédéral a décidé mercredi de le remplacer par un dossier électronique de santé. Celui-ci sera automatiquement mis à disposition de la population.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le canton sensibilise à la revalorisation locale des e-déchets

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Le canton de Genève a lancé mardi une campagne de sensibilisation aux déchets numériques et à leur relavorisation locale (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

L'Etat de Genève lance une campagne de sensibilisation sur la durabilité numérique. "Que cachent vos objets numériques?" invite le public à découvrir les métaux précieux contenus dans ces objets, pour comprendre la "véritable valeur" d'un smartphone et comment le revaloriser.

Le canton, la Ville de Genève et l'association No obsolescence programmée (NoOPS) ont annoncé mardi par communiqué s'associer pour offrir des solutions concrètes dans le cadre de cette campagne. Des enveloppes préaffranchies pour l'envoi de téléphones et tablettes obsolètes sont à disposition et des points de collecte organisés au Musée d'ethnographie de Genève, ainsi que dans plusieurs bibliothèques.

Ces téléphones usagés seront envoyés à l'association Realise. Après avoir effacé les données selon des "procédures strictes" établies par l'association, elle triera et recyclera ces téléphones, dont certains pourront être reconditionnés par noOPS.

"Mines urbaines"

Un smartphone contient plus de 60 composants électroniques, souligne le Département des institutions et du numérique. Il avertit aussi que les "mines urbaines", ces déchets d'appareils usagés urbains, seraient estimés à 82 millions de tonnes de déchets d'ici 2030.

Pour sensibiliser à la revalorisation locale des e-déchets, la campagne "Nos précieux Numériques" proposera des animations éducatives dans les bibliothèques, les écoles, ou sur les réseaux pendant le mois de novembre. Du 7 au 16 novembre, des vitrines éducatives seront aussi présentées sur le stand de l'Etat de Genève aux Automnales.

Les gestes écologiques de réparer, recycler et reconditionner réduisent les émissions de CO2 et favorisent l'économie circulaire locale, a souligné le canton. La valorisation des déchets numériques urbains pourrait diminuer jusqu'à 40% l'exploitation minière traditionnelle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Votations: Un petit oui pour l'identité numérique à 50,4%

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Achives (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

La Suisse a dit oui d'un cheveu dimanche à une identité numérique, pilotée par Berne. Malgré le soulagement des partisans du projet, une large alliance, sauf l'UDC, de nombreuses craintes se sont exprimées et il faudra en tenir compte. Le projet a été largement plébiscité à Genève comme le montre notre carte.

Tous les sondages annonçaient le oui gagnant avec une marge assez confortable. Mais le scénario attendu n'a pas eu lieu. Le camp du non a tout d'abord fait la course en tête. Une majorité des cantons a d'ailleurs refusé le projet d'identité électronique.

 

Les résultats des communes urbaines et périurbaines du canton de Berne en faveur du oui ont renversé la vapeur en milieu d'après-midi, même si le canton a au global refusé l'objet par 51% des voix. Puis les résultats du canton de Zurich, qui a dit oui à 54%, ont définitivement confirmé la victoire des partisans de l'e-ID, par 50,4% des voix.

Au final, seuls huit cantons l'ont accepté, mais cela a suffi. Le poids des grandes villes comme Genève, Lausanne, Berne, Zurich et Bâle a fait la différence.

Suisse romande partagée

La Suisse romande était partagée. Le Jura a dit non à 56%, le Valais à 55%, Neuchâtel à 52%. En Suisse alémanique, la palme du non revient à Uri et Schwyz, avec plus de 59% de non. Glaris (58%), Obwald (57%), ou Thurgovie (56%) ont également nettement refusé.

A l'inverse, les cantons les plus enthousiastes sur l'e-ID sont Vaud et Bâle-Ville (57%). Genève a accepté à 55%. Fribourg (50,1%) et le Tessin (51%) ont aussi dit oui, mais de justesse. Zoug et Lucerne (52% chacun) ont aussi contribué au succès de l'identité électronique.

Au final, 1'384'549 citoyennes et citoyens ont glissé un oui dans l'urne, contre 1'363'283 un non. La participation s'est élevée à 49,6% pour cet objet.

Une e-ID suisse et étatique

A l'avenir, il sera possible de se servir de l'identité numérique sur Internet, pour demander un extrait du casier judiciaire, un permis de conduire ou une attestation de résidence. Mais aussi pour prouver son âge lors d'un achat d'alcool en ligne par exemple. Dans ce cas, l'entreprise concernée n'aura pas accès à l'e-ID elle-même, le magasin ne verra que si l'âge minimum a été atteint.

Le résultat serré du vote sur l'e-ID montre que le scepticisme sur ce thème est assez grand dans la population, a reconnu dimanche Beat Jans devant la presse. Le Conseil fédéral prendra au sérieux les inquiétudes et en tiendra compte, a-t-il assuré.

Le ministre de la justice s'est dit toutefois "soulagé". Il y a encore beaucoup à faire, et il faut "gagner la confiance" de celles et ceux qui ont voté non, mais ne sont pas fondamentalement contre une e-ID étatique.

Pas de chèque en blanc

"Ce projet étatique, facultatif et accessible à tous est une rare tentative de réduire notre dépendance aux géants du numérique. Refuser ce texte aurait été une occasion manquée de reprendre le contrôle face aux GAFAM", a dit la conseillère nationale Jessica Jaccoud (PS/VD).

Le soulagement est aussi palpable du côté de digitalswitzerland et d'EconomieSuisse: "l'e-ID est la clé pour des infrastructures numériques modernes à même de soulager non seulement l'Etat, mais également l'économie et la population", a dit la faîtière. L’experte en droit numérique Dessislava Leclère a résumé le dilemme sur le plateau de la RTS: "Le maître-mot, c’est la confiance."

Pour les référendaires, la mobilisation contre une numérisation jugée imposée reste une victoire d'estime. Alexis Roussel (Parti Pirate) a évoqué une inquiétude croissante face à la "contrainte numérique", portée par une volonté de défendre le "droit à une vie hors ligne". Le mouvement Mass-Voll! remercie, lui, "les 1'359'867 Suisses et Suissesses qui ont dit non à l'e-id liberticide."

Un premier rejet

En 2021, le peuple avait rejeté par près de 65% des voix l'introduction d'une e-ID. La Confédération prévoyait de sous-traiter l'exploitation des données et de la technologie à des entreprises privées, point qui a joué un rôle important dans le "non".

Le Conseil fédéral est rapidement revenu à la charge. La nouvelle e-ID sera étatique, ainsi que facultative. Toutes les démarches qui pourront se faire virtuellement pourront continuer à se faire physiquement, a promis le gouvernement.

Un référendum a été lancé par des plusieurs groupes, notamment des opposants aux mesures contre le Covid-19, ainsi que par le parti Pirate. Sur le plan politique, tous les partis représentés au Parlement fédéral, sauf l'UDC, soutenaient l'e-ID.

Opposants divisés

Contrairement à 2021, la bataille référendaire ne s'est toutefois pas faite sous le signe de l'unité. Cafouillages communicationnels, bisbilles personnelles et invectives ont rythmé la campagne du "non".

Mass-Voll impute d'ailleurs l'échec de dimanche aux autres acteurs du même bord. "Si l'UDF, les Jeunes UDC, les Amis de la Constitution, les petits groupes confus issus de la période du coronavirus et les pirates divisés n'avaient pas mené leurs propres campagnes peu efficaces et divisé le camp du non, nous aurions aujourd'hui un non massif", affirme-t-il.

Les opposants ont déposé la semaine dernière deux recours en justice contre la votation. Ils estiment que le don de 30'000 francs de Swisscom au comité en faveur de l'e-ID pour la campagne de votations est "illégal".

Avec Keystone-ATS

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