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Sport

L'Espagnol Alex Palou sacré champion pour la première fois

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Alex Palou, nouvelle star de l'IndyCar. (© KEYSTONE/AP/Alex Gallardo)

L'Espagnol Alex Palou (Chip Gagnassi), âgé de 24 ans, n'incarne plus seulement la génération montante de l'IndyCar, mais triomphante.

Il s'est adjugé le championnat 2021, dimanche, au terme du Grand Prix de Long Beach remporté par l'Américain Colton Herta.

Le pilote catalan, dont c'est la deuxième saison en IndyCar, est le premier de son pays à être sacré champion. Il succède au palmarès au Néo-Zélandais Scott Dixon.

Une 15e place au pire lui était nécessaire pour écrire une nouvelle page de la compétition, lors de la dernière épreuve disputée en Californie. Il a fini 4e.

Seuls le Mexicain Pato O'Ward et l'Américain Josef Newgarden pouvaient l'en empêcher, même si leurs chances étaient minces. Et le premier a abandonné à mi-course, après un accrochage, le second finissant deuxième.

"Quelle course, quelle année, quelle saison!" s'est exclamé Palou. "Je suis super fier d'être champion (...) C'est un rêve qui se réalise."

Palou symbolise le rajeunissement de la discipline cette saison. Il est le premier champion âgé de moins de 25 ans depuis Scott Dixon en 2003. Il est aussi le 7e pilote le plus jeune de l'histoire à remporter le championnat IndyCar.

"Vous avez sous les yeux un jeune homme qui va établir beaucoup de records dans cette discipline et il n'en est qu'à ses débuts", a applaudi le propriétaire de son écurie Chip Ganassi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Le LHC s'attaque à une mission quasi impossible

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Geoff Ward sera forcément l'un des hommes-clés du côté du LHC (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le Lausanne HC est-il capable d'offrir au hockey romand un deuxième titre national consécutif, 12 mois après le sacre historique de Genève-Servette?

Un premier élément de réponse tombera mardi en fin de soirée, au terme du premier acte de la finale des play-off qui oppose le LHC aux Zurich Lions.

Les Vaudois, tombeurs en cinq matches de Fribourg-Gottéron en demi-finale, font figure d'outsiders pour la première finale de leur histoire. Ils s'attaquent, il est vrai, à une montagne: dominateurs lors de la saison régulière, les Zurich Lions ont poursuivi sur leur lancée en gagnant leurs huit premiers matches en play-off.

Le "Z" s'est notamment appuyé sur ses stars suisses, Sven Andrighetto (11 points) et Denis Malgin (8), ainsi que sur Derek Grant (8 buts) pour "balayer" successivement Bienne et Zoug. Et son portier Simon Hrubec s'est montré intraitable jusqu'ici, avec une moyenne de 95,45% d'arrêts.

L'équipe entraînée par Marc Crawford vise un 10e titre national, qui serait le premier depuis 2018. Les Zurichois veulent tout faire pour effacer la désillusion de 2022, lorsqu'ils avaient été battus en sept matches par Zoug dans une finale dont ils avaient gagné les trois premiers actes.

Ce supplément de motivation pourrait toutefois apporter aussi une pression supplémentaire au "Z". Notamment à ses leaders Denis Malgin et Sven Andrighetto, déjà là en 2022. En face, le LHC du coach Geoff Ward n'aura selon l'expression consacrée rien à perdre, après avoir frisé le code dans un quart de finale où Davos avait mené 3-2.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Pour le PSG, la revanche ou rien

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Mbappé devra montrer son meilleur visage pour envoyer le PSG dans le dernier carré (© KEYSTONE/AP/Lewis Joly)

Battus (3-2) par Barcelone au match aller, le PSG et Kylian Mbappé sont au pied du mur.

Les Parisiens n'ont plus d'autre choix que de s'imposer en Catalogne mardi (21h00) pour espérer se qualifier en demi-finale de Ligue des champions. Dortmund a également un but à rattraper à l'heure d'accueillir l'Atlético Madrid.

Face à son grand rival européen depuis la "remontada" de 2017, une élimination de Paris serait une nouvelle déception européenne, contre un Barça à sa portée. Les statistiques ne sont pas optimistes: aucune équipe française ne s'est qualifiée pour le tour suivant en C1 après avoir perdu le match aller à domicile.

Avec une semaine de repos - pas de match ce week-end en L1 contrairement au Barça en Liga -, le PSG doit gagner par deux buts d'écart pour se qualifier directement ou d'un but pour jouer une prolongation. Toute autre issue signifierait une nouvelle déconvenue.

Les multiples confrontations, les transferts (Neymar, Messi, Dembélé) et les relations tendues (concernant le projet de Super Ligue) entre les deux clubs ont conduit à une rivalité singulière en Europe depuis le rachat du PSG par le fonds qatari QSI en 2011.

Le traumatisme de 2017

Réussir mardi à renverser et éliminer le Barça chez lui effacerait totalement les traumatismes de la fameuse "remontada" de mars 2017, quand Paris avait été renversé 6-1 au retour en huitième de finale après l'avoir emporté 4-0 à l'aller.

Depuis, le club de la capitale s'est déjà vengé en 2021 mais sans public (4-1, 1-1). Ce renversement serait davantage marquant pour Paris, emmené par l'ancien Barcelonais Luis Enrique qui dirigeait le Barça en 2017.

Même si le PSG avait commencé la saison en minimisant l'importance de la C1, les bons résultats de l'Espagnol et la perspective d'affronter l'Atlético Madrid ou Dortmund en demi-finale, des adversaires à sa portée, ont fait évoluer les objectifs du club. Une sortie en quart de finale plongerait supporters, joueurs et direction dans le désarroi propre aux éliminations successives en C1.

Besoin des leaders

Pour le match de la saison, loin de ses bases où Paris est peu à l'aise cette saison en C1 (deux défaites, un nul, une victoire), le PSG devra compter sur ses cadres, qui ont failli dans les grandes largeurs lors du match aller, Donnarumma et Mbappé en premier lieu.

Après sa performance médiocre au Parc des princes, Kylian Mbappé, qui traverse une période sportive délicate, sera très attendu au Stade olympique Lluís-Companys. En cas d'élimination, le no 7 qui a annoncé à sa direction son départ en fin de saison et qui est pressenti au Real Madrid, jouerait son dernier match de Ligue des champions sous les couleurs parisiennes.

Mais Mbappé a aussi la possibilité de finir sur une bonne note et voudra certainement marquer les esprits en Espagne, contre l'éternel rival des Merengue. Il pourra s'aider des deux autres Français du front de l'attaque: son ami Ousmane Dembélé, buteur contre son ancien club mercredi dernier et qui retrouvera sa connexion à droite avec Achraf Hakimi, suspendu à l'aller.

Dortmund, onze ans après?

Battu 2-1 à l'aller à Madrid, Dortmund se retrouve dans la même situation que le PSG, mais avec l'avantage non négligeable de disputer ce match retour devant son "mur jaune". Le BVB a préparé de manière idéale ce rendez-vous en matant Mönchengladbach le week-end dernier en Bundesliga.

Dortmund, qui doit composer sans son buteur du match aller Sebastian Haller, a l'occasion de mettre fin à une longue disette: le vainqueur de l'édition 1996/97 n'a plus atteint le dernier carré de la C1 depuis le printemps 2013, lorsqu'il avait été stoppé en finale par le Bayern Munich. L'Atlético, toujours aussi difficile à manoeuvrer, attend pour sa part une demi-finale depuis sept ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

A 100 jours des JO, Macron rassure sur la cérémonie d'ouverture

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A 100 jours des Jeux olympiques, Emmanuel Macron a annoncé qu'il y aurait des "plans B et C" en cas de menace terroriste sur la cérémonie d'ouverture (archives). (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

A 100 jours des Jeux olympiques, Emmanuel Macron a tenté de rassurer lundi sur la tenue de la cérémonie d'ouverture sur la Seine. Il a esquissé pour la première fois des "plans B et C" en cas de menace terroriste, notamment au Stade de France.

"Cette cérémonie d'ouverture" le long du fleuve de la capitale, le 26 juillet, "c'est une première au monde. On peut le faire et on va le faire", a dit le président de la République dans une interview sur BFMTV et RMC depuis le chantier du Grand Palais, à Paris, qui doit abriter plusieurs épreuves.

Mais "il y a des plans B et même des plans C", "et on les prépare en parallèle", a-t-il ajouté. Le chef de l'Etat avait déjà assuré que des scénarios alternatifs étaient envisagés. Pour la première fois, il a commencé à les détailler.

"On fera une analyse en temps réel" des risques, a-t-il ajouté. Les options alternatives seraient notamment une cérémonie "limitée au Trocadéro", voire "rapatriée dans le stade de France", "parce que c'est ce qui se fait classiquement".

Périmètre de sécurité "très large"

Jusqu'ici, l'exécutif excluait un repli au Stade de France, qui reçoit des épreuves avant même le 26 juillet. Dans cette hypothèse, il s'agirait d'une cérémonie uniquement protocolaire, sans la dimension artistique, pour prononcer officiellement l'ouverture des JO.

Emmanuel Macron a néanmoins tenu à rassurer sur le dispositif de sécurité permettant de tenir le scénario fluvial, toujours privilégié. "On a anticipé, on met en place un périmètre de sécurité qui va être très large, où on va cribler tous les gens qui entrent et qui sortent", a-t-il insisté.

La dimension de la fête a d'ailleurs été revue à la baisse: le nombre de spectateurs pouvant y assister gratuitement est passé de 500'000 à 222'000. Avec ceux qui ont payé leur place en bas des quais, ils devraient être quelque 320'000 au total.

Trêve olympique

En lançant le compte à rebours de cet événement planétaire, et alors que les nuages s'accumulent à l'international, le président a aussi tenté de relancer l'utilité diplomatique des Jeux.

Elle va ainsi "tout faire pour avoir une trêve olympique", a-t-il déclaré, promettant d'y travailler notamment avec le président chinois Xi Jinping. "Je lui ai demandé de m'aider", a-t-il ajouté.

Avec cette interview et cette nouvelle revue de chantier après l'inauguration du "village des athlètes" et de la piscine olympique, le chef de l'Etat espère relancer la ferveur. Un sondage Ipsos paru dans La Tribune Dimanche montre que seuls 53% des Français se disent "intéressés" par les Jeux, soit huit points de moins qu'il y a six mois. Pire: une majorité des sondés se disent "inquiets" sur la capacité de la France à assurer le bon déroulement des JO.

"Redécouvrir" le Grand Palais

"La France, c'est une équipe, c'est une nation unie et donc on est au rendez-vous de cette exemplarité", a répondu Emmanuel Macron, assurant avoir "confiance dans les syndicats" alors que certains menacent d'enchaîner les grèves pendant les Jeux. "Ils ont l'esprit de responsabilité, ils seront à nos côtés", a-t-il estimé.

Le président de la République a ensuite visité le chantier du Grand Palais, objet d'une rénovation depuis 2021, qui doit accueillir les épreuves olympiques et paralympiques d'escrime et de taekwondo. "Le monde entier va retrouver le Grand palais et va le redécouvrir", s'est-il félicité devant les ouvriers.

La restauration complète du site, construit pour l'Exposition universelle de 1900, doit être achevée au printemps 2025 s'agissant du Grand Palais, date de sa réouverture au grand public, et en 2027 pour le Palais de la découverte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Laure Manaudou, première relayeuse française

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Laure Manaudou sera la première porteuse française de la flamme olympique mardi en Grèce (© KEYSTONE/AP/Michael Sohn)

L'ancienne nageuse Laure Manaudou sera la première relayeuse française de la flamme olympique mardi, après son allumage dans le site antique d'Olympie en Grèce.

La championne olympique du 400 m libre en 2004 à Athènes prendra le relais du rameur d'aviron grec Stefanos Ntouskos, médaillé d'or à Tokyo en 2021. Celui-ci sera le tout premier porteur de la flamme, a précisé le comité olympique grec à presque 100 jours de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris (26 juillet - 11 août).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Super League: pas de droit à l'erreur pour Servette à Bâle

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Dereck Kutesa et Servette: il faut gagner à Bâle (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Servette n'aura pas le droit à l'erreur cet après-midi dès 14h15 à Bâle lors de la 32e journée de Super League. Après trois défaites de suite, les Grenat doivent se reprendre.

Contre un FC Bâle (10e/36 points) loin de sa gloire passée, Servette (2e/54 pts) se doit de l'emporter s'il veut encore pouvoir espérer lutter pour le titre de champion. Un succès mettrait aussi un peu de pression sur les Young Boys (1er/59 pts) qui recevront Lucerne (7e/43 pts) dès 16h30. Les Bernois devront se méfier, car les visiteurs sont à la lutte pour figurer du bon côté de la barre.

Lanterne rouge, le Stade Lausanne-Ouchy (12e/23 pts) accueillera pour sa part l'étonnant Winterthour (5e/46 pts), qui voudra cimenter sa place dans le Championship Group.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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