L'Equipe de Suisse est à un tournant dans son groupe qualificatif pour l'Euro dont la phase finale se jouera l'été prochain en Allemagne.
Le tour préliminaire de l’Euro se poursuit avec deux matches qualificatifs pour l’Equipe de Suisse. D’abord, samedi (20h45) au Kosovo, un adversaire dont les Helvètes devront se méfier, puis mardi à Sion (horaire identique) face à Andorre.
Les Helvètes sous l'œil de Michel Pont
La sélection helvétique est assez classique. Une singularité cependant. Parmi les défenseurs, un seul arrière latéral de métier: Ricardo Rodriguez qui joue à gauche. Comment expliquer que le coach national Murat Yakin y ait renoncé ? Michel Pont, ancien coach-assistant de l’Equipe de Suisse, nous livre sa pensée sur ce sujet.
Michel Pont
Ex-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Michel PontEx-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Michel PontEx-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Malgré l’absence de latéral droit nominal au sein de l’effectif suisse, des solutions de repli existent: le Valaisan Edimilson Fernandes pourrait évoluer à ce poste. Il se dit prêt à relever le défi.
Edimilson Fernandes
Demi de l'Equipe de Suisse
Edimilson FernandesDemi de l'Equipe de Suisse
Edimilson FernandesDemi de l'Equipe de Suisse
Embolo absent
Les joueurs de Murat Yakin restent largement favoris de leur groupe. Cependant, Breel Embolo leur fer de lance en attaque est absent pour blessure.
Reste à savoir si cette absence pose problème.
Michel Pont
Ex-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Michel PontEx-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Michel PontEx-coach-assistant de l’Equipe de Suisse
Une préparation optimale
Quoi qu'il en soit, près de trois mois après leur dernier match dans les qualifications pour l’Euro, les Helvètes se sont entraînés durant toute la semaine en Valais. Pour préparer les deux rendez-vous samedi (20h45) face au Kosovo, puis face à Andorre mardi, les joueurs de Murat Yakin ont pris leurs quartiers à Saillon. Ils ont eu la possibilité de s'entraîner sur des terrains en parfait état. Une nécessité, comme l’explique le directeur des équipes nationales, Pierluigi Tami. Julien Trachsel de Radio Chablais l'a rencontré.
Pierluigi Tami
Directeur des équipes nationales
Pierluigi TamiDirecteur des équipes nationales
Pierluigi TamiDirecteur des équipes nationales
Le choix de s'entraîner dans le Vieux-Pays a été anticipé longtemps à l'avance.
Pierluigi Tami
Directeur des équipes nationales
Pierluigi TamiDirecteur des équipes nationales
Pierluigi TamiDirecteur des équipes nationales
Les joueurs helvétiques ont eu un dernier entraînement vendredi matin à Riddes (VS) avant s’envoler destination Pristina où l'Equipe de Suisse n'a qu'une idée en tête: renouer avec la victoire. Et pour cause! Après avoir égaré deux points bêtement lors de leur dernière sortie contre la Roumanie mi-juin (2-2), les Helvètes entendent profiter de leur déplacement au Kosovo pour se relancer.
Dans un match qui s’annonce très particulier pour certains joueurs, comme Granit Xhaka et Xherdan Shaqiri, la maîtrise des émotions sera l’une des clés de la partie. L’ambiance s’annonce électrique. Mais pas question pour les Helvètes d'oublier leur objectif seuls les trois points comptent.
Dan Ndoye
Attaquant de l'Equipe de Suisse
Dan NdoyeAttaquant de l'Equipe de Suisse
Dan NdoyeAttaquant de l'Equipe de Suisse
Pour décrocher les trois points de la victoire, l’équipe de Suisse comptera sur son nouveau buteur, Zeki Amdouni. Cet été, le Genevois a quitté le FC Bâle pour rejoindre Burnley, en 1ère division anglaise. Son quotidien a donc totalement changé. Zeki Amdouni est revenu sur sa nouvelle vie au Royaume-Uni, dans le meilleur championnat du monde…
Zeki Amdouni
Attaquant de l'Equipe de Suisse
Zeki AmdouniAttaquant de l'Equipe de Suisse
Zeki AmdouniAttaquant de l'Equipe de Suisse
Zeki Amdouni aura l’occasion ce soir (sa) d’inscrire un sixième but en cinq matches sous le maillot national.
En tête du groupe I du tour qualificatif de l’Euro avant ces deux matches, l'Equipe de Suisse est en tête du classement avec deux points d'avance sur la Roumanie et trois sur Israël. Les deux premiers de chaque groupe se qualifient pour le phase finale qui se jouera en Allemagne l'été prochain.
L'Equipe de Suisse s'est inclinée par la marge la plus étroite mardi soir à Bucarest face à la Roumanie (0-1). Les Helvètes perdent leur invincibilité et se retrouvent dans le quatrième chapeau avant la tirage au sort de la phase finale de l'Euro 2 décembre à Hambourg.
Le rebond espéré n’a pas eu lieu. Battue par la marge la plus étroite (0-1) dans la National Arena de Bucarest, l'Equipe de Suisse a conclu son année sur une dernière fausse note mardi soir face à la Roumanie.
La question, désormais, est de savoir si cette... unique défaite de l’année sonnera le glas pour Murat Yakin. Celui-ci avait besoin d’un coup d’éclat en Roumanie pour signifier qu’il demeure l’homme de la situation. Seulement, il n’est pas parvenu, une fois de plus, à rallier Granit Xhaka et Manuel Akanji à sa cause. Comme lors des deux matches précédents contre Israël et le Kosovo, les deux leaders de l’équipe n’ont pas donné l’impression qu’ils étaient prêts à repousser leurs limites pour sauver la tête de leur entraîneur. Elle est désormais sur le billot.
Défense à trois
Un nouveau système avec une défense à trois et les titularisations d’Yvon Mvogo, de Michel Aebischer et de Dan Ndoye : Murat Yakin avait décidé d’innover trois jours après la contre-performance contre le Kosovo (1-1). Ce 3-4-3 a sans doute aidé la sélection helvétique à témoigner d’un réel ascendant. Mais son manque de tranchant dans les trente derniers mètres ne lui a pas permis de concrétiser sa supériorité. Un centre de Ndoye après un subtil décalage de Xherdan Shaqiri à la 27e aurait toutefois pu donner l’avantage aux Helvètes. Mais Ulisses Garcia a raté le ballon d'un cheveu.
Les Roumains, en revanche, ont parfaitement combiné sur l’ouverture du score (50e). Denis Alibec pouvait devancer Ricardo Rodriguez pour conclure une action d’école bien amenée par le stratège Nicolae Stanciu. La réussite du joueur d’Al-Muaither au Qatar a mis les joueurs de Murat Yakin devant leurs responsabilités.
Des occasions en or
Dix minutes plus tard, Noah Okafor et par Ruben Vargas ont raté deux occasions en or en l’espace de quelques secondes peu avant l’heure de jeu. Les deux attaquants ont buté sur le gardien Horatju Moldovan. Tout comme Ugrinic dans le temps additionnel. Les visiteurs ont tout essayé se procurant plusieurs occasions d'égaliser dans la dernière demi-heure. En vain: ils concèdent leur première défaite de ce tour qualificatif.
Portés par plus de 50'000 spectateurs, les joueurs d’Edward Iordanescu s’accrochaient comme des morts de faim à ce 1-0 qui leur assure de remporter ce groupe I et une place dans le deuxième chapeau du prochain tirage au sort de l’Euro'24. Deuxième avec son bilan de quatre victoires, cinq nuls et une défaite – un bilan presque indigne pour le quart de finaliste de la précédente édition – l'Equipe de Suisse figure dans le quatrième chapeau. Avec le risque de se retrouver dans un groupe particulièrement relevé l'été prochain, mais aussi l'avantage d'éviter l'Italie ou la Serbie qui ne sont pas faciles à jouer non plus. Les Helvètes pourraient aussi être à nouveau opposés aux Roumains dans la phase de groupe.
Tirage au sort: les chapeaux
Les quatre chapeaux pour le tirage au sort de la phase de groupe de l'Euro le 2 décembre à Hambourg.
Chapeau 1: Allemagne (organisateur), Belgique, Angleterre, France, Portugal, Espagne.
Incapable de tenir le score, l'Equipe de Suisse a concédé le match nul face à Israël (1-1) mercredi soir à Felcsút (HUN); les Helvètes doivent battre le Kosovo samedi pour assurer leur qualification pour l'Euro.
Piégée par une réussite de l'attaquant de Grenade Shon Weissman à la 88e minute, les joueurs de Murat Yakin ont concédé un quatrième résultat nul dans ce tour préliminaire de l'Euro'24 après le 2-2 contre la Roumanie, le 2-2 contre le Kosovo et le 3-3 contre le Bélarus. Dans la campagne hongroise, elle a témoigné une fois de plus d'une extrême fébrilité sur le plan défensif qui interdit, pour l'instant, de rêver l'an prochain à un été enchanteur en Allemagne.
Edimilson le symbole
Edimilson Fernandes symbolise à merveille cette sélection suisse aux deux visages. Il fut tout d'abord séduisant en première période avec une ouverture du score méritée par Ruben Vargas à la 36e sur un centre parfait du Valaisan. Mais comme à Pristina en septembre dernier, Edimilson Fernandes a traversé une fin de match bien éprouvante. C'est lui qui a dévié le ballon sur Weissman pour l'égalisation de la 88e avant d'être expulsé dans le temps additionnel pour une faute aussi grossière qu'inutile. Avec ce carton rouge brandi à l'encontre du joueur de Mayence, Murat Yakin devra lui trouver un remplaçant au poste de latéral droit pour affronter le Kosovo samedi à Bâle et la Roumanie mardi à Bucarest...
Helvètes en bonne position
A nouveau première du groupe, l'Equipe de Suisse demeure dans une position enviable. Elle peut, ainsi, se permettre de s’incliner lors de ses deux derniers matches si Israël ne bat pas la Roumanie samedi à Felcsut. Mais pour la paix des ménages et, surtout, pour assurer son avenir, Murat Yakin n’a pas d’autre alternative que de mener son équipe à la victoire samedi contre le Kosovo. Dans un Parc St. Jacques qui ne lui sera pas acquis, la tâche proposée à cette équipe de Suisse si instable n’aura rien d’une formalité.
Une première mi-temps pleine d'allant
Sans Xherdan Shaqiri ménagé avant le match de samedi contre le Kosovo à Bâle, les Helvètes avaient livré une prestation plus qu'acceptable lors de la première période. Avec un but – une tête de Ruben Vargas sur un centre d’Edimilson Fernandes à la 36e – et deux montants – Noah Okafor à la 20e et Vargas à la 41e -, ils ont témoigné de l’allant offensif espéré. Malgré un manque d'efficacité qu’il conviendra bien un jour de gommer, Vargas et Okafor avaient apporté ce que le coach national attendait d'eux. Ils ont su jouer en profondeur pour semer le trouble dans la défense adverse à tout instant. Ils ont, aussi, trouvé leurs marques avec un Zeki Amdouni toujours aussi redoutable dans les petits espaces.
Lacunes défensives
Seulement, l'assise défensive laisse toujours à désirer. Les Israéliens se sont trop joués d'une arrière-garde qui avait connu une première alerte juste après la demi-heure avec un lob armé depuis... la ligne médiane par Dor Turgeman. Ce même Turgeman devait juste après la pause abuser Cédric Zesiger pour un centre pour la tête de d’Anan Khalaili qui trouvait la transversale de Yann Sommer. A la 53e, Zesiger, titularisé pour la première fois dans un match officiel, était bien heureux que la VAR ne dicte pas un penalty pour une main dans la surface.
Entrées de Ndoye et Zeqiri
A la 69e minute, Murat Yakin a introduit Dan Ndoye et Andi Zekiri dans la bataille avec l'espoir d'insuffler un nouvel élan à son équipe qui avait pu reprendre ses esprits après un quart d'heure bien compliqué. Mais la réussite n'a pas accompagner Denis Zakaria, qui aurait pu inscrire le 2-0 à à un quart d'heure de la fin sans une parade salvatrice du gardien Omri Glazer. Le tournant de cette fin de match qui a vu l'équipe de Suisse reculer d'une manière inexplicable jusqu'à la frappe victorieuse de Weissman.
Murat Yakin va miser gros la semaine prochaine avec une sélection de 24 joueurs dans laquelle ne figure aucun latéral droit de métier. Comme s’il prend un malin plaisir à jouer avec le feu.
Pour affronter Israël mercredi à Felcsút en Hongrie, puis le Kosovo le 18 novembre à Bâle et la Roumanie à Bucarest le 21 novembre, Murat Yakin a laissé sur la touche Jordan Lotomba. Blessé le 21 octobre contre Marseille, le Vaudois est de retour ce vendredi pour le déplacement de Nice à Montpellier.
Silvan Widmer toujours absent, Jordan Lotomba jugé inapte, Murat Yakin n’aurait essuyé aucun reproche s’il avait lancé Lewin Blum, en passe de regagner sa place de titulaire au Young Boys, ou, pourquoi pas, le défenseur de Boca Juniors Lucas Blondel. Comme lors du 2-2 face au Kosovo, il reviendra à Edimilson Fernandes de prendre le couloir droit si l'Equipe de Suisse évolue avec une défense à quatre. A Pristina, le Valaisan avait livré une première mi-temps remarquable avant de vivre une fin de rencontre vraiment pénible.
Benito revient, Sow et Itten de piquet
Comme Lotomba, deux autres titulaires de l’improbable contre le Bélarus (3-3) le 15 octobre à Saint-Gall ont été écartés : Djibril Sow et Cédric Itten. Brillant avec les Young Boys en défense centrale, Loris Benito fait, en revanche, son grand retour en sélection. L’Argovien n’avait été plus retenu depuis l’Euro 2021. Sa présence s’explique par les doutes suscités par les conditions de Ricardo Rodriguez et de Manuel Akanji, doutes amplifiés par le fait de jouer trois matches en six jours. "Rodriguez ne pourra pas enchaîner", affirme ainsi Murat Yakin. La question se pose aussi pour Xherdan Shaqiri dont le dernier match remonte au 21 octobre.
Marqué bien sûr par le récent décès de sa mère qui fut sans doute la personne la plus importante de sa vie, Murat Yakin s’est montré combatif pour sa première apparition devant la presse depuis cette funeste soirée du 15 octobre à Saint-Gall marquée par l’incroyable final du match contre la Biélorussie. "Je suis optimiste. Je crois en mon équipe sinon elle n’aurait jamais égalisé contre le Bélarus, dit-il. Je bénéficie surtout du soutien de mes supérieurs. Et c’est tout ce qui m’importe." Mais pour sa tranquillité d’esprit, il conviendra sans doute de conclure au plus vite. L'Equipe de Suisse peut y parvenir mercredi si en battant Israël, à condition que si Israël, trois jours plus tôt, ne gagne pas au Kosovo.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
"Il n’y a pas de débat autour de Yakin. Il est et reste le sélectionneur de l’équipe de Suisse." Sur le site de l’ASF, le président Dominique Blanc a lancé un message fort: l’ASF ne lâchera pas Yakin.
"Murat Yakin dispose de toute notre confiance pour conduire notre équipe vers la qualification pour l’Euro 2024 en Allemagne, précise Dominique Blanc. Et comme nous l'avons déjà discuté et communiqué en juin, nous allons nous asseoir ensemble après la qualification et planifier l'avenir."
Dominique Blanc souligne toutefois que les nuls concédés face à la Roumanie (2-2), le Kosovo (2-2) et le Bélarus (3-3) "ne correspondent pas aux objectifs (...) fixés". "Cependant après sept matches sans défaite, l’Equipe de Suisse occupe la deuxième place du groupe avec un point de retard sur la Roumanie qui compte toutefois un match de plus, poursuit-il. Nous avons ainsi toujours les cartes en main pour terminer à la première place et nous qualifier."
Deux jours après le demi échec contre le Biélorusse à Saint-Gall et avant les trois rencontres de novembre contre Israël, le Kosovo et la Roumanie, Dominique Blanc et l’ASF jouent l’apaisement. Murat Yakin demeure pour l’ASF l’homme de la situation.
Par ailleurs, Dominque Blanc précise que l’UEFA communiquera ces prochains jours, au debut de la semaine prochaine au plus tard, son choix sur la ville appelée à être le théâtre de la rencontre Israël – Suisse du 15 novembre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats/ASF
"Nous étions sans doute trop sûrs de nous..." Murat Yakin fustige un manque d'humilité pour expliquer l'inexplicable, ce 3-3 contre le Bélarus qui fait tache.
"Nous avons cherché le 2-0. Nous ne l'avons pas marqué en raison d'un manque d'efficience. Ensuite, nous n'avons pas défendu comme nous aurions dû défendre, rage le sélectionneur. Revenir à 3-3 fut, bien sûr, positif. L'équipe a montré sa force de caractère en fin de match. On a, ainsi, encore une chance pour inscrire le 4-3..."
Murat Yakin souligne que la Suisse possède encore tout dans les mains pour se qualifier. Qu'il ne se sent pas menacé à court terme. "Tous les jours, je vois des joueurs heureux de se retrouver en sélection, dit-il. Encore une fois, revenir à 3-3 est un signe fort. Cette équipe est vivante. Par ailleurs, je n'ai jamais affirmé que gagner dix matches sur dix dans ce tour préliminaire était l'objectif assigné." Son capitaine Granit Xhaka en revanche oui...
Enfin, Murat Yakin a rappelé que Yann Sommer restait son no 1 malgré les 7 buts concédés lors des trois matches contre la Roumanie, le Kosovo et le Bélarus. "Il est l'un des leaders de l'Inter Milan. Le momentum est pour lui, souligne Murat Yakin. Mais il sait que la concurrence est féroce. Et qu'il doit livrer la marchandise."
Les mots forts de Shaqiri
"Pour briller à l’Euro, il faudra élever le curseur. Nous devons sortir de note zone de confort !" Les mots forts de Xherdan Shaqiri au micro de la SSR mettent toutefois Murat Yakin au pied du mur. Celui qui fut le meilleur joueur suisse dimanche à St-Gall a raison de demander du changement.
"On ne doit jamais encaisser trois buts de la sorte, ajoute le Bâlois. Il y a un travail en amont qui reste à faire." Murat Yakin est averti. Même son plus grand soutien dans le vestiaire lui commande de réagir au plus vite.
"Il est difficile d’expliquer pourquoi à trois reprises nous avons été incapables de classer l’affaire malgré l’avantage au score, lâche pour sa part Granit Xhaka. Nous sommes dominants dans le jeu, mais pas sur 90 minutes..."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats