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Sport

Genève ne cherche pas d'excuses dans la défaite

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Jan Cadieux pense déjà au prochain match contre Ambri (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Genève a certainement laissé filer sa dernière chance de figurer dans le top 6 de National League en s'inclinant 4-0 à Lausanne. Mais Jan Cadieux ne cherche pas d'excuses.

On peut évoquer la fatigue et l'accumulation des matches (3 lors des 4 derniers jours) ou encore parler de la blessure de Teemu Hartikainen à la 16e minute qui a un peu déréglé l'équipe. Mais lorsque le coach genevois Jan Cadieux se présente devant la presse, pas question de se plaindre ou d'accuser qui que ce soit.

"Il nous a manqué un peu de jus, mais ce n'est pas une excuse. Et à la fin cette humilité quand tu sais que ce n'est pas ta soirée et que tu ne te découvres pas. On a une chance de revenir dans le match lorsque Filppula a ce face-à-face en tout début de troisième période. Et derrière on laisse trop d'espaces."

Arnaud Jacquemet va dans le même sens que son entraîneur: "Je pense que notre premier tiers était bon voire très bon sur la route. Dès le début du deuxième tiers, j'ai trouvé que l'on manquait d'énergie. C'est à ce moment-là qu'on aurait dû jouer plus simple, mais on a perdu trop de pucks et les deux premiers goals arrivent sur des pertes de puck en zone neutre. C'est un peu le résumé de notre saison."

Le défenseur valaisan du GSHC ne veut pas mettre le doigt sur le calendrier très chargé: "On n'a pas assez créé ce soir pour mériter mieux. On connaissait notre programme avant, on ne découvre rien. C'est la même chose qu'en play-off."

Duel décisif jeudi contre Ambri

La suite du programme pour les Aigles, c'est la réception d'Ambri jeudi soir. Une façon d'oublier rapidement cette défaite pour se concentrer sur un match terriblement important puisque les Léventins sont 9es à trois points des Genevois. "La clef c'est de gagner le prochain match, explique Jan Cadieux. Demain, cela sera plutôt une journée de traitements. On donne le choix aux joueurs de venir ou pas à la patinoire."

Quant à Teemu Hartikainen, on ne sait pas s'il sera en mesure de tenir sa place après la blessure dont il a été victime à la 16e minute lorsque le patin de Christian Djoos l'a coupé sur le côté du visage. "Il est clair que quand tu vois la coupure et la quantité de sang perdue, cela fait toujours froid dans le dos, commente le coach grenat. La coupure est plus grave que prévue, mais on a pu lui parler avant qu'il parte à l'hôpital. Il a eu peur parce qu'il sentait et voyait beaucoup de sang, mais il ne savait pas d'où ça venait."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le BMX fait sa rentrée à Genève

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Le BMX fait sa rentrée à Genève

Le sport avec du BMX, l’une des disciplines phares des Jeux Olympiques de Paris. Y a t-il un engouement post-JO? 

La rentrée, c’est l'occasion de se mettre à de nouveaux sports.

Pourquoi ne pas essayer le BMX? La discipline a été très médiatisée cet été grâce aux Jeux Olympiques de Paris 2024.

Alors y a t-il un afflux de nouveaux pratiquants?

Reportage au centre sportif du Bout du Monde au Bicross Club Genève:

ReportageLe BMX fait sa rentrée à Genève

Le Bicross Club Genève compte plus de 200 licenciés, enfants et adultes, loisirs et compétiteurs.

Si vous voulez voir à quoi cela ressemble, il y a une course, la 3e manche du challenge genevois ce mercredi 11 septembre.

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Sport

"Il faut l'accepter et repartir de l'avant"

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Une soirée bien difficile pour Murat Yakin et l'équipe de Suisse. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

"L'arbitrage n'était pas de notre côté cette semaine. Il faut l'accepter et repartir de l'avant !" Murat Yakin la joue sobre. Le coach national ne veut pas faire un roman de l'arbitrage.

"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."

Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."

"Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas été en mesure d’enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d’un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Trop naïve, la Suisse s'incline 4-1 face à l'Espagne

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Gregor Kobel a concédé deux buts dans le premier quart d'heure dimanche (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Valeureuse mais bien trop naïve en défense, la Suisse n'a pas signé l'exploit face à l'Espagne. Elle a été battue 4-1 à Genève par la Roja malgré une supériorité numérique de plus de 70 minutes.

Trois jours après avoir perdu 2-0 au Danemark, cette défaite place la Suisse en fâcheuse posture dans cette Ligue des nations. Elle devra impérativement faire un résultat le mois prochain en Serbie pour repousser la menace d'une relégation directe en Ligue B. Battre deux fois les Serbes et une fois le Danemark serait, par ailleurs, souhaitable pour assurer son rang de tête de série lors du tirage au sort le 13 décembre à Zurich du tour préliminaire de la Coupe du monde 2026.

Sans Granit Xhaka dont l'absence a été cruellement ressentie lors d'une seconde période bien trop monocorde, la Suisse a laissé passer sa chance dans une première mi-temps riche en rebondissements. Elle a, malheureusement, été incapable de poursuivre avec le même élan au retour des vestiaires pour concéder au final sa défaite la plus lourde depuis le 6-1 du funeste huitième de finale de la Coupe du monde 2022 face au Portugal.

Une première mi-temps déroutante

Trois buts, une réussite annulée par la VAR pour une faute de main de Remo Freuler à l'aube d'une action splendide de Breel Embolo conclue par l'appelé de la dernière heure Becir Omeragic et, enfin, une main de Lamine Yamal qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty: la première mi-temps fut déroutante, mais elle fut un régal pour tous les amateurs de football malgré la pluie et la qualité de la pelouse.

Menée 2-0 après seulement 13 minutes de jeu sur des réussites qui ont souligné les limites actuelles des deux joueurs de Bologne Remo Freuler et Michel Aebischer, la Suisse a eu l'immense mérite de ne pas lâcher prise face sans doute à la meilleure équipe au monde du moment.

Le grand tournant de cette rencontre fut l'expulsion de Robin Le Normand, coupable d'une faute de dernier recours à la 21e minute sur Embolo qui avait pris la profondeur sur une ouverture du capitaine Manuel Akanji. Sur le coup franc sifflé après la faute du défenseur de l'Atletico Madrid, Zeki Amdouni trouvait la transversale de David Raya comme pour sonner la révolte. Titularisé à la place de Fabian Rieder, le Genevois était plus heureux à la 41e minute pour réduire la marque. Sur un corner de Ruben Vargas, il surgissait au second poteau après une déviation involontaire de Dani Carvajal.

L'arbitrage à nouveau en question

L'ouverture du score de Joselu à la 4e minute avait planté le décor de cette mi-temps pas vraiment comme les autres. La tête de l'ancien attaquant du Real Madrid avait-elle été vraiment détournée derrière la ligne par Gregor Kobel comme l'a indiqué le juge de ligne ? En l'absence de la "goal line technology" et d'une image qui aurait pu lever le doute, l'arbitre ne pouvait que suivre son assistant. Déjà lésée par l'arbitrage à Copenhague, la Suisse peut se croire maudite dans cette Ligue des nations.

La seconde période fut une véritable attaque/défense avec une Roja désormais incapable de sortir de ses 30 mètres. Avec les remplacements de Lamine Yamal et de Nico Williams, les Champions d'Europe basculaient vraiment en mode combat avec comme unique ambition de conserver ce 2-1. Murat Yakin attendait l'heure de jeu pour redonner un second souffle à son équipe avec les introductions de Fabian Rieder et de Vincent Sierro. "Epargné" par le coaching du sélectionneur, Gregory Wüthrich héritait de la première chance dans cette mi-temps cadenassée avec une tête qu'il ne pouvait cadrer.

La tentative du joueur du Sturm Graz fut malheureusement la seule action à porter au crédit des Suisses après le repos. Cette seconde période tournait à la confusion avec les réussites de Ferran Torres (77e) et de Fabian Ruiz (80e) inscrites sur deux ruptures face à une défense suisse aux abonnés absents. A onze contre dix, on n'a pas vraiment le droit de se faire piéger de la sorte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Paris clôt son été olympique

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Paris a clos son été olympique dimanche soir (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Paris a clos dimanche soir un été olympique "historique". Une ultime fête aux sonorités électro au Stade de France a mis fin aux Jeux paralympiques, la flamme s'étant éteinte peu avant 22h.

"Cet été, la France avait rendez-vous avec l'histoire, et elle a répondu présent", a déclaré dans son discours de cérémonie de clôture Tony Estanguet, président du comité d'organisation des Jeux de Paris 2024. "Et si ces émotions étaient éphémères, le souvenir de cet été historique, lui, restera gravé en nous."

Les Jeux olympiques, marqués entre autres par une cérémonie inédite dans la ville, puis les Paralympiques, les premiers jamais organisés sur le sol français, ont été globalement une réussite durant cet été "où les gens se parlaient, cet été où la France était heureuse", a poursuivi Estanguet.

Les lieux historiques parisiens, du Grand Palais au stade éphémère au pied de la tour Eiffel en passant pas l'Esplanade des Invalides ou la Place de la Concorde, ont souvent autant marqué que les moments de sport pour lesquels environ 12,1 millions de billets ont été vendus, JO et Paralympiques confondus.

Le précédent record était de 11 millions de tickets vendus, ont fait valoir les organisateurs. Mais à Paris, 2,5 millions l'ont été pour les Paralympiques, soit un peu moins qu'à Londres en 2012.

Le drapeau paralympique a été transmis à Los Angeles, qui accueillera les prochains Jeux olympiques et paralympiques, en 2028, en présence des maires des deux villes, la Française Anne Hidalgo et la Californienne Karen Bass.

Spectaculaire

Douze ans après les Paralympiques de Londres, fondateurs au regard de leur succès populaire et médiatique, désormais "Paris 2024 a établi une référence pour tous les futurs Jeux paralympiques", a déclaré dimanche soir Andrew Parsons, président du Comité international paralympique, saluant dans son discours "les Jeux paralympiques les plus spectaculaires de tous les temps".

Côté couverture médiatique, 165 chaînes de télévision ont suivi l'événement, et 168 délégations ont pris part à la compétition, là encore du jamais vu. Reste désormais à savoir si ces Jeux de Paris laisseront place à un héritage solide en matière de prise en compte des droits des personnes en situation de handicap. Pour Michael Jeremiasz, chef de mission de la France sur les Paralympiques, "on ne peut plus reculer" sur ce point.

"Nous avons tous la responsabilité collective de profiter de l'élan des Jeux paralympiques pour rendre ce monde plus inclusif", a prolongé Andrew Parsons. "Nous devons permettre aux personnes en situation de handicap d'exceller en dehors des terrains de jeu", a dit le patron du Comité international paralympique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Sport

Trois changements dans l'équipe de Suisse

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Zeki Amdouni déborde David Raum lors de l'Allemagne - Suisse de l'Euro à Francfort.. Ce soir contre l'Esoagne, le Genevois sera titulaire. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Murat Yakin a apporté trois changements pour affronter l’Espagne ce soir par rapport à l’équipe battue 2-0 au Danemark. La titularisation de Zeki Admouni est le choix fort arrêté par le sélectionneur.

Le nouveau joueur de Benfica sera aligné en attaque aux côtés de Breel Embolo et de Ruben Vargas. Les deux autres entrants sont Gregoiry Wüthrich et Denis Zakaria. Le Bernois et le Genevois remplacent Nico Elvedi et Granit Xhaka, qui ont tous les deux vu rouge jeudi à Copenhague.

Introduit à quatre reprises à l’Euro, Zeki Amdouni prend la place de Fabian Rieder. Dans sa ville le Genevois bénéficie ce soir d’une occasion en or pour reprendre la main en sélection.

Enfin, Embolo honorera sa 70e sélection ce soir, Vargas sa 50e.

La Suisse évoluera dans la composition suivante ce soir contre l’Espagne : Kobel ; Wüthrich, Akanji, Rodriguez ; Widmer, Freuler, Zakaria, Aebischer : Amdouni, Embolo, Vargas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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