En cas de victoire contre Slovan Bratislava au 2e tour qualificatif de la Ligue des champions, les Young Boys affronteraient les Lincoln Red Imps de Gibraltar ou les Roumains de Cluj au tour suivant.
C'est le verdict sorti du tirage au sort des Coupes européennes lundi à Nyon. Il ne fait guère de doute que le Champion de Roumanie passera aisément l'épaule contre l'équipe de Gibraltar.
Si c'est bien le cas, YB retrouverait ainsi un adversaire face auquel il avait livré une rude bataille en décembre dernier en match de poules (6e journée) de l'Europa League, pour accéder aux 16es de finale.
A la 90e, les Young Boys étaient menés chez eux 1-0 par Cluj, un résultat qui les aurait éliminés. Mais ils ont pu égaliser grâce à un pénalty extrêmement discutable dans les arrêts de jeu, avant de l'emporter 2-1 et d'accéder aux 16es de finale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Mortiz Bauer, Gaël Clichy, Boris Cespedes, Théo Valls et Steven Deana, 3e gardien, quittent le club grenat à la fin du mois de juin. C'est également le cas de Kevin Mbabu, prêté au SFC pour le second tour.
Ces six joueurs quitteront donc le club et ne participeront pas à la reprise des entraînements le 19 juin. C'est décision de la direction sportive ne constitue en aucun cas une surprise.
Alain Geiger avait déjà fait savoir que Servette ne comptait plus sur Moritz Bauer depuis plusieurs mois déjà. L'arrière droit austro-suisse n'a donc plus été convoqué lors des matches de fin de saison.
Gaël Clichy: des gestes de classe
Gaël Clichy avait, pour sa part, fait part de sa volonté de mettre un terme à sa carrière de joueur. Une sage décision quand on sait qu'il était sujet à des blessures récurrentes. Car s'il a figuré dans le onze de base à domicile tout au long de la saison, il n'avait que rarement joué les matches à l'extérieur au second tour. Malgré cela, l'ancien international a tenu son rang jusqu'au bout, surtout quand il a commencé dans l'axe devant la défense en l'absence du titulaire du poste David Douline, victime d'une commotion; il a ainsi pu faire étalage de toute sa classe, notamment lors du lob sur le 3-0 face au FC Sion ou sur l'incroyable assist, une lumineuse ouverture de plus de trente-cinq mètres pour Miča Stevanovic qui a marqué d'une splendide reprise de volée le 3-2 face au FC Bâle lors du dernier match à domicile de la saison. Des images qui marqueront l'esprit des supporters servettiens et des mordus du ballon rond pour longtemps. Chapeau!
Boris Cespedes a lui aussi été souvent blessé et n'a pas pu montrer ses qualités ces derniers mois. Arrivant en fin de contrat, il était évident qu'il lui sera difficile de convaincre les dirigeants du club grenat de lui accorder une seconde chance.
Theo Valls ne jouait plus qu'épisodiquement depuis longtemps. Pur gaucher, il avait tendance à doublonner dans l'axe avec Timothé Cognat qui lui est un pur droitier, sans avoir le même volume de jeu. Il aurait plus de chance en jouant sur un côté. Mais la présence à gauche de Patrick Pflücke, dont la progression a été constante depuis la reprise fin janvier, a achevé de lui de barrer la route.
Peu de perspective pour Deana
Enfin, Steven Deana, en tant que troisième gardien, n'avait que peu de perspectives d'avenir, face à Jeremy Frick, capitaine de l'équipe, et Edin Omeragic, portier n°2. Surtout que Leo Besson qui garde la cage des M21 s'affirme de plus en plus comme un dernier rempart d'avenir.
Rodelin reste
En revanche, Ronny Rodelin (34 ans en novembre) portera encore le maillot grenat la saison prochaine, l’option automatique de son contrat ayant été levée.
Le SFC mise sur les jeunes
A noter encore que le club grenat a prolongé le contrat du défenseur central Noah Henchoz (21 ans), prêté cette saison à Etoile Carouge, de deux ans - avec option pour une année supplémentaire vendredi, après avoir offert un contrat de trois ans à Malik Sawadogo (20 ans) mardi.
Après avoir remporté la Coupe face à Saint-Gall (1-0), les Servettiennes espèrent récupérer la couronne de championnes de Suisse perdue aux penalties début juin dernier à Lausanne face aux joueuses des bords de la Limmat vendredi soir (20h) à Saint-Gall
Sans surprise, les deux meilleures équipes du championnat s'affrontent en finale des play-offs de Super League féminine vendredi soir (20h) en Suisse orientale. C'est la dernière étape d'une très longue saison débutée en août pour Servette Chênois. Plus que de prendre leur revanche après la désillusion d'avoir perdu le titre national aux tirs au but l'année dernière face au FC Zurich le lundi de Pentecôte, les Servettiennes entendent prouver qu'elles sont bel et bien la meilleure équipe féminine du ballon rond helvétique.
Servettiennes invaincues
Invaincues, elles n'ont subi aucune défaite, ni en championnat (seize victoires et deux matches nuls en dix-huit rencontres lors de la saison régulière, puis trois succès en quatre parties, pour le reste, que des résultats nuls à signaler), ni en Coupe de Suisse. Lors des confrontations directes face aux joueuses des bords de la Limmat, les joueuses d'Eric Séverac ont remporté deux victoires et fait une fois match nul (4-2, 1-1, 3-0) cette saison.
21 buts en championnat pour Natalia Padilla
Natalia Padilla est de retour après avoir été absente à la Fontenette face à Saint-Gall. L'attaquante hispano-polonaise fait figure de terreur des défenses adverses: dix-sept buts en dix-huit rencontres lors de la saison régulière, puis encore quatre en trois parties lors des play-offs soit une moyenne d'un but par match ! Excusez du peu.
Mais les arguments de la phalange du Bout du Lac ne s'arrête pas là ; aux yeux d'Eric Séverac, son équipe est la plus performante et la plus redoutable dans tous les compartiments du jeu. Par ailleurs, ses joueuses ont aussi progressé sur le plan mental. Malgré leur jeunesse, elles ont mûri. Et vite avec ça !
Coumba Sow: remporter le titre national avec une autre équipe
Par les plus expérimentées du contingent servettien, on trouve Zurichoise (tiens! tiens!) en la personne de Coumba Sow. On a eu la possibilité de la rencontrer à la veille de la finale, au terme d'un dernier entraînement au Stade de la Fontenette. Dernière étape d'une minutieuse préparation où les joueuses d'Eric Séverac ont même entraîné les penalties. Le souvenir de la saison dernière étant encore bien présent même si toutes les joueuses ne sont plus exactement les mêmes.
Déjà championne avec le FCZ
De père sénégalais et de mère néerlandaise, la cousine de Djibril a déjà plusieurs titres de championne de Suisse et de Coupe de Suisse à son actif avec le FCZ précisément. La perspective de soulever un nouveau trophée sous le maillot servettien en présence de toute sa famille qui habite toujours la région où elle a grandi la stimule particulièrement.
Coumba Sow: déterminée à la veille d'affronter le FC Zurich vendredi à Saint-Gall... L'internationale suisse qui possède l'expérience des grands rendez-vous, vise le doublé avec ses coéquipières.
Une adaptation réussie
Joueuse de milieu de terrain, elle joue plus haut en raison de ses qualités offensives, une adaptation qui est le fruit du travail de ses derniers mois à la Fontenette. Son nouveau rôle devrait permettre à ses coéquipières d'être beaucoup plus percutantes lors de cette finale contre les championnes de Suisse en titre. Avec en pointe de mire le doublé!
Coumba Sow
Attaquante de Servette Chênois
Coumba SowAttaquante de Servette Chênois
Coumba SowAttaquante de Servette Chênois
Ensuite, son esprit se focalisera sur la préparation de la Coupe du Monde en Australie et en Nouvelle-Zélande avec l'Equipe de Suisse: un défi de plus...
Interdit de séjour à Sion pour un exil dicté par la rénovation de son stade, Yverdon-Sport ne désarme pas. Selon "La Région", le club est en passe de trouver une solution pour évoluer en Super League.
Une séance de crise organisée par la Municipalité a, ainsi, apporté les réponses espérées. Selon François Armada, municipal en charge du service des bâtiments, le stade d'Yverdon sera en mesure d'accueillir des rencontres de Super League dès le 22 septembre. "Toutes les parties ont bien pris conscience des enjeux: mandataires, entreprises, ville, club et Swiss Football League", se félicite l'édile.
"La Région" précise que le Champion de Challenge League pourrait disputer ses premières rencontres agendées à domicile à Bienne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Un total de 2,37 millions de spectateurs s'est rendu dans les stades des dix clubs de Super League au cours de la saison 2022-2023. C'est plus que jamais auparavant.
C'est la sixième fois que la Ligue de l'élite dépasse la frontière magique de deux millions de visiteurs.
En moyenne, chaque match a attiré 13'172 spectateurs dans les tribunes. Le club le plus suivi fut une fois de plus Young Boys, qui a attiré 29'097 fans par match au Wankdorf soit 4300 de plus que l'an dernier. Depuis la saison 2018-2019, le club de la capitale n'a pas seulement supplanté le FC Bâle sur le plan sportif, mais est également devenu le no 1 de l'affluence au stade.
Bien qu'ils aient dû subir quelques freins à leur exploitation comme la fermeture administrative de certains secteurs de leur stade - comme la Muttenzkurve contre YB - les Bâlois restent clairement les no 2 au nombre de spectateurs. Avec une moyenne de 21'742 spectateurs, ils sont les seuls à franchir la barre des 20'000 avec Young Boys.
La barre des 10'000 spectateurs de moyenne a été dépassée par St-Gall (17'575), Zurich (15'387) et Lucerne (12'775). Servette (8431) et Sion (8375) restent loin derrière les cinq premiers clubs les plus suivis.
La lanterne rouge dans le classement des affluences revient au FC Lugano. Seulement 3353 spectateurs par match ont suivi les exploits des hommes de Croci-Torti, finalement troisièmes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La Challenge League a rendu samedi son verdict: il offre un triplé vaudois historique avec le titre pour Yverdon, la promotion directe pour le Lausanne-Sport et une place de barragiste pour le SLO.
Si tout le monde s'accordait en début de saison sur la présence du Lausanne-Sport dans ce trio de tête en raison de la puissance financière de son propriétaire - Ineos a permis à Ludovic Magnin d'oeuvrer avec un budget pratiquement deux fois plus élevé que celui des autres clubs -, Yverdon et Stade Lausanne-Ouchy ont vraiment déjoué tous les pronostics.
Dans le Nord-Vaudois, Marco Schällibaum a pu compter sur des cabossés de la Super League avides de revanche. A la Pontaise, Anthony Braizat a bâti la meilleure attaque de la Challenge League - 70 buts - autour du Français Teddy Okou, qui partage la couronne du roi des buteurs avec son compatriote Brighton Labeau (19 buts), le fer de lance du Lausanne-Sport.
Si Stade Lausanne-Ouchy a le bonheur de remporter le barrage de promotion/relégation, les trois équipes vaudoises aborderont la prochaine saison dont les trois coups seront donnés le 22 juillet avec des approches bien différentes. Yverdon et Stade Lausanne-Ouchy viseront bien sûr le maintien dans un championnat à douze qui condamnera le dernier à la relégation directe et qui enverra le onzième en barrage.
Le formidable défi de Ludovic Magnin
Pour le Lausanne-Sport, l'objectif sera de figurer dans le tour final qui réunira les six premiers du classement après la première phase disputée sur 33 journées. Ludovic Magnin se retrouve ainsi devant un formidable défi. Malgré son discours appuyé qui sous-entend que ses joueurs et lui étaient seuls contre le reste du monde, l'ancien défenseur international sait parfaitement que la note artistique attribuée à son équipe n'est pas la meilleure.
Après cette saison où son équipe aura tremblé jusqu'à l'ultime seconde du temps additionnel du dernier match pour assurer son retour au sein de l'élite, Ludovic Magnin n'aura, à nouveau, aucun droit à l'erreur. Pour coller aux objectifs d'Ineos dont les premiers pas dans le football tant à Nice qu'à Lausanne sont bien hésitants, il a un mois devant lui pour "inventer" une équipe capable de tenir un rôle en vue en Super League. Pas simple...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats