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Sport

Evans s'impose en Finlande et réduit l'écart sur Ogier

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Elfyn Evans a réduit l'écart sur Ogier au championnat du monde (© KEYSTONE/AP/Jussi Nukari)

Elfyn Evans (Toyota) a remporté dimanche le rallye de Finlande.

Le Britannique refait ainsi une partie de son retard au Championnat du monde (WRC) sur le Français Sébastien Ogier, qui ne compte plus que 24 points d'avance sur lui à deux manches de la fin de saison.

Evans a devancé les Hyundai de l'Estonien Ott Tänak, désormais hors-course pour le titre, et de l'Irlandais Craig Breen. Ogier (Toyota), 5e à l'issue de l'épreuve, avait mathématiquement une première occasion de s'offrir un huitième sacre mondial dès ce week-end, même si les chances étaient minces.

Le Français n'a pas réussi à arracher le moindre point dans la Power stage finale. Il compte désormais 190 points au championnat, contre 166 pour Evans. Les pilotes Toyota sont les deux derniers prétendants au titre. Soixante points maximum restent encore à distribuer lors des deux dernières manches, en Espagne du 14 au 17 octobre et à Monza en Italie du 19 au 21 novembre.

Neuville et Rovanperä hors course pour le titre

Au pied du podium dimanche, Esapekka Lappi (Toyota), de retour en WRC pour une pige, a de son côté fait forte impression ce weekend au volant de sa Yaris privée. Le Finlandais n'avait plus piloté dans la catégorie reine depuis l'année dernière, après son départ de chez Ford.

La manche nordique a été marquée par l'abandon définitif du Belge Thierry Neuville (Hyundai) samedi (problème de radiateur) et surtout du prodige local Kalle Rovanperä (Toyota), sorti de la route samedi et revenu dimanche. Ils ne sont plus non plus en course pour le titre mondial.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Les Romands peuvent-ils battre les deux Z?

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Jan Cadieux espère bien mener le GSHC jusqu'en finale (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les demi-finales des play-off commencent jeudi avec le duel entre Bienne et Zurich, alors que Genève affronte Zoug dès vendredi.

Pour battre les deux finalistes de l'an dernier, Genevois et Seelandais devront être cliniques.

Va-t-on assister à une répétition de la finale de l'année dernière entre le champion en titre Zoug et les Zurich Lions? Genève-Servette et Bienne vont tout mettre en oeuvre pour éviter que cela se produise.

Mais la mission des deux premiers de la saison régulière ne s'annonce pas facile. Les Aigles ont ainsi le redoutable honneur de jouer contre Zoug, double champion en titre. Les Genevois ont éliminé Lugano en six parties, tandis que la troupe de Dan Tangnes a également écarté Rapperswil en six rencontres.

Pour Jan Cadieux et ses hommes, Zoug représente un Everest. Et si l'on entend s'attaquer à la plus haute montagne du monde, il vaut mieux être bien préparé. En quatre parties de saison régulière, les deux organisations en sont à deux victoires chacune. Mais les play-off sont un autre animal qu'il convient de respecter.

Battre le monstre Genoni

A Genève, on a beaucoup parlé de l'importance des étrangers et du power-play. Or, si les Grenat ont pu écarter Lugano, c'est en raison d'un très bon travail de Robert Mayer devant le filet et de l'apport des joueurs suisses comme Tanner Richard, Simon Le Coultre, Roger Karrer ou encore Marc-Antoine Pouliot.

Finaliste en 2008, 2010 et 2021, le GSHC aimerait bien à nouveau goûter aux délices d'un ultime duel pour le titre, mais Zoug se pose en gros écueil. Moyens jusqu'au début du mois de février, les Taureaux de Suisse centrale ont opéré un virage à 180 degrés.

Quelconque une bonne partie de la saison, Leonardo Genoni redevient le monstre qu'il est lorsque ça compte. Fort de ses sept titres de champion, Leo fait de nouveau peur. Et cette formation zougoise peut compter sur des joueurs de play-off comme Fabrice Herzog, Dario Simion ou le revenant Justin Abdelkader. Machine bien huilée avec un power-play tournant à 30,77% et un box-play à 90,91%, bien coachée, cet EVZ représente un sacré défi. A Genève, le jeu de puissance est passé de 28,14 à 14,29% depuis le début des play-off.

Soutien à Törmänen

Entre Bienne et Zurich, on s'attend à une belle revanche de l'an dernier. Au stade des quarts de finale, les Zurichois avaient éliminé les Seelandais 4-3 alors que ces derniers avaient mené 3-2 dans la série.

Bienne donne l'impression d'avoir franchi un cap en dominant Berne en quarts, mais Zurich est un d'un tout autre calibre. Avec Marc Crawford à la bande, les Lions possèdent un coach qui sait comment cela se passe en play-off. Face à un très bon Davos, Zurich n'a pas fait traîner les choses pour l'emporter 4-1.

A Bienne, l'annonce d'une nouvelle tumeur cancéreuse détectée chez Antti Törmänen plonge tout le club dans la tristesse. Mais le coach finlandais continuera d'évoluer derrière le banc bernois. Le staff d'entraîneurs recevra en outre le soutien du directeur sportif Martin Steinegger.

Duel de gardiens

Si les Biennois en sont là maintenant, c'est aussi parce qu'ils ont la chance de pouvoir compter sur Harri Säteri dans les buts. Le dernier rempart finlandais impressionne depuis son arrivée en Suisse l'été passé. En six rencontres de play-off, Säteri affiche un pourcentage d'arrêts de 94,2%.

Malgré les absences de certains cadres comme Damien Brunner, qui pourrait revenir pendant la série, Bienne a toujours su faire face. Et là aussi, même si Toni Rajala a inscrit quatre buts, des joueurs comme Hofer ou Künzle peuvent se distinguer. Quant à la défense, des joueurs comme Beat Forster, Robin Grossmann et Noah Schneeberger possèdent une belle expérience des séries.

Mais attention parce que si Säteri en impose, que dire de Simon Hrubec? Le gardien tchèque des Lions en est à 95,9% d'arrêts. Auteur de parades déterminantes, Hrubec stabilise une défense qui fait déjà partie du haut du panier avec des routiniers comme Lehtonen, Kukan, Marti, Weber et Geering.

Et en attaque, on a le sentiment que Zurich en a sous le pied. Que les Andrighetto, Texier, Lammikko, Wallmark et autres Azevedo peuvent décider à tout moment du sort d'un match. Tout cela sans oublier les soldats Chris Baltisberger et Willy Riedi. Non, Zurich est décidément une belle machine de hockey...comme Zoug.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Marina Gilardoni met fin à sa carrière

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Marina Gilardoni n'est plus apparue en compétition depuis les Mondiaux 2020, où elle avait conquis l'argent (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Meilleure spécialiste suisse de skeleton de ces dernières années, Marina Gilardoni met fin à sa carrière sportive.

La St-Galloise de 35 ans a pris cette décision alors qu'elle luttait depuis plus de deux ans pour retrouver son meilleur niveau après des chutes à répétition.

Marina Gilardoni n'est plus apparue en compétition depuis les Mondiaux 2020 à Altenberg, où elle s'était parée d'argent. Elle a été victime de commotions cérébrales lors de la phase de préparation des saisons 2020/21 et 2021/22, chutant notamment très lourdement en octobre 2021 sur la piste des JO de Pékin 2022.

"Avec le recul, je dois avouer que j'avais eu beaucoup de chance ce jour-là", a d'ailleurs souligné dans un communiqué la St-Galloise, qui avait alors heurté un mur la tête la première à une vitesse d'environ 100 km/h. Elle considère même avoir vécu une deuxième naissance en ce 10 octobre 2021.

Marina Gilardoni avait fait ses débuts en Coupe du monde en décembre 2011, décrochant quatre podiums (une 2e et trois 3es places) à ce niveau. Outre son titre de vice-championne du monde, elle affiche à son palmarès une médaille de bronze (2016) et une médaille d'argent (2020) dans des championnats d'Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Une première finale de Coupe pour Servette Chênois

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Sandrine Mauron (n° 5) fausse compagnie à Seraina Friedli pour aller inscrire le 3-0 servettien sur une contre-attaque rondement menée (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI).

Victorieuses face au FC Zurich, les Servettiennes joueront fin avril la toute première finale de Coupe de Suisse de leur Histoire 

Leaders invaincues de la Super League féminine, les Servettiennes ont dominé leurs rivales du FC Zurich 3-0 devant 2127 spectateurs mercredi en demi-finale à Meyrin. Elles affronteront Saint-Gall le samedi 29 avril en finale au Letzigrund.

Battu en demi-finale en 2018 - alors qu'elle évoluait en LNB - et en 2022, stoppée par le Covid en 2020 alors qu'il devait déjà affronter Zurich pour une place en finale, la formation née de la fusion avec Chênois féminin il y a une demi-douzaine d'année n'a pas laissé passer sa chance. Des réussites de Cassandra Korhonen (14e) intelligemment démarquée par Natalia Padilla qui a elle-même doublé la mise (16e) lui ont permis de faire la différence dès le premier quart d'heure.

Sandrine Mauron met fin au suspense

Ensuite, les protégées du coach Eric Sévérac ont parfaitement géré cet avantage. L'écart décisif creusé au cours du premier quart d’heure leur ont permis de contrôler la partie jusqu'à son terme. Et tout ça, face aux deuxièmes du championnat. On peut donc se demander si Servette Chênois a joué son meilleur match de la saison.

Eric SéveracEntraîneur de Servette Chênois

Une affluence-record pour Genève

Une joueuse était particulièrement heureuse à l'issue de la partie: Sandrine Mauron. Entrée en jeu pour le dernier quart d'heure, elle a scellé le score à une dizaine de minutes du coup de sifflet final. Les Servettiennes ont longuement fêté la qualification avec les deux mille cent personnes qui ont assisté à cette demi-finale. Une assistance-record pour une rencontre féminine dans une compétition nationale à Genève.

Sandrine MauronJoueuse de milieu de terrain de Servette Chênois

 

Les Servettiennes ont longuement fêté leur qualification mercredi soir au Stade de Arbères (© KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi).

 

En quête d'un deuxième trophée après le titre national conquis voilà deux ans, les Servettiennes tenteront de devenir le troisième club romand à s'adjuger la Coupe de Suisse dames après le FC Sion, lauréat des deux premières éditions (1976, 1977), et Yverdon-Sports (2010, 2011).

Servettiennes favorites

Les joueuses d'Eric Séverac partiront favorites en finale face à une formation de Saint-Gall/Staad (cinquième de Super League), qu'elles sont allées battre 3-2 à Wil samedi dernier en championnat. Les Saint-Galloises ont décroché leur ticket de finaliste en s'imposant 4-3 mercredi face à Lucerne, forçant leur destin grâce à un penalty transformé par Eva Bachmann lors de la cinquième minute des arrêts de jeu.

 

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Equipe de Suisse

Dix jours de pur bonheur

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Murat Yakin: son équipe a parfaitement rempli son contrat à Genève. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Murat Yakin ne pouvait que se féliciter des deux victoires sur la Biélorussie (5-0) samedi et sur Israël (3-0) mardi soir à Genève : "Les dix jours passés ensemble ont été une véritable réussite !".

"Nous avons battu Israël 3-0 d'une manière souveraine. Nous avons témoigné d'une concentration extrême. Nous avons très bien joué sur le plan offensif. En défense, nous n'avons rien laissé passer, poursuit le Bâlois qui assure avoir trouvé le "bon" système avec son 4-3-3 résolument porté vers l'avant. "Zakaria a su s'imposer comme n° 6. Quant à Xhaka et à Freuler, ils peuvent désormais s'exprimer beaucoup mieux sur le plan offensif."

Z.Amdouni: un footballeur de rue

Murat Yakin est, bien sûr, revenu sur la première titularisation de Zeki Amdouni. "Trois matches avec nous, deux buts déjà: son intégration se passe très bien, sourit le coach national. On voit qu'il est en forme. Qu'il traverse une très belle période. On voit aussi qu'il joue à l'instinct. C'est un véritable footballeur de rue. Sa grande force est peut-être qu'il peut jouer sur tout le front de l'attaque."

"Ce fut une performance de choix, se félicite pour sa part Granit Xhaka. Nous voulions classer l'affaire au plus vite. Nous l'avons fait juste après la pause. Avec deux victoires en deux matches, aucun but encaissé, huit marqués et des occasions à foison: je ne crois pas que l'on puisse faire beaucoup mieux..."

"La patience a été la clé du succès, souligne enfin Ruben Vargas, auteur de l'ouverture du score. Sur un plan personnel, je suis heureux d'être à nouveau en pleine possession de mes moyens. J'espère pouvoir maintenant enchaîner avec Augsbourg."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Equipe de Suisse

3 buts magnifiques pour une nette victoire helvétique sur Israël

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L'Equipe de Suisse ouvre le score par Vargas - au centre en rouge - peu avant la mi-temps, le Lucernois a marqué son cinquième sous le maillot national mardi soir (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI).

Ce n'est pas la performance du siècle. Elle est toutefois la bienvenue après le funeste huitième de finale de la Coupe du monde. En trois jours seulement, l'Equipe de Suisse est sur les rails vers l'Euro24.

Victorieuse face à la Biélorussie (5-0) samedi à Novi Sad, l'Equipe de Suisse n'a pas manqué ses retrouvailles avec son public. A Genève, elle a nettement battu Israël (3-0) pour prendre la tête du groupe I du tour préliminaire de l'Euro à égalité de points avec la Roumanie, mais avec une différence de buts largement supérieure. Sans faire injure au Kosovo, tenu en échec par Andorre (1-1) à domicile, ces deux formations sont les plus placées pour garder la main jusqu'à la fin de cette campagne pour une qualification sans histoire et sans frayeur.

Après quatre rencontres sans la moindre victoire entre 2004 et 2009, ce premier succès face à Israël dans un match officiel souligne combien la Suisse a grandi depuis quatorze ans. Murat Yakin recueille les fruits du travail de ses deux prédécesseurs pour qu'un tel match ne soit plus depuis longtemps un match piège.

Même sans Xherdan Shaqiri et sans Breel Embolo, l'équipe peut faire parler ses individualités pour forcer la décision. Ainsi, un Remo Freuler aura su faire le bon geste pour amener les deux premiers buts. Celui qui a inscrit le goal de la victoire en décembre dernier contre la Serbie fut l'homme du match.

Une victoire longue à se dessiner

Signer un hat-trick parfait trois jours plus tôt ne vous assure pas une place de titulaire: Renato Steffen, le héros de Novi Sad, a connu cette infortune pour céder sa place à Zeki Amdouni dans un onze à nouveau articulé en 4-3-3. Face à un adversaire plus coriace que la Biélorussie mais tout aussi timoré avec aucune véritable occasion à son crédit Amdouni et ses coéquipiers ont pris leur temps avant de donner leur pleine mesure. Mais l'adjoint de Murat Yakin, cette demi-heure en demi-teinte s'explique.

Vincent CavinAssistant-coach de l'Equipe de Suisse

 

Penalty refusé par la VAR

Après un penalty provoqué à la 29e minute par Cédric Itten mais finalement refusé par la VAR, les joueurs de Murat Yakin ont progressivement pris l'ascendance sur leurs adversaires avant de prendre l'avantage à une action d'école pour l'ouverture du score de la 39e. Lancé en profondeur par Denis Zakaria, Amdouni adressait un centre que Remo Freuler prolongeait de la tête vers Ruben Vargas. Auteur de sa cinquième réussite sous le maillot national, le Lucernois a adressé une reprise aérienne en demi volée  à bout portant imparable pour le gardien Omri Glazer.

 

Deux ailiers pour un souffle nouveau

Déjà très à son avantage à Novi Sad, Vargas était, trois minutes après son but, à l'origine d'une rupture qui aurait pu permettre à Amdouni de doubler la mise. Mais le Genevois butait sur Glazer. Sur ces deux actions, les deux joueurs ont su justifier la confiance du coach national. Même si tout ne fut pas parfait, notamment chez Amdouni, la vie qu'ils amènent sur les ailes procure un souffle nouveau à l'équipe.

 

Silvan Widmer se précipite pour aller féliciter Zeki Amdoun qui vient de marquer le 2e but suisse (© KEYSTONE/Laurent Gilliéron).

 

Ils le démontraient dès la reprise avec le 2-0 qui était aussi beau que le 1-0. Itten déviait pour Vargas dont le centre était à nouveau pour Freuler. Le demi de Nottingham voyait sa frappe repoussée par Glazer, mais comme l'histoire de ce match devait être belle, Amdouni avait bien suivi pour inscrire son douzième but de l'année, sans doute le plus facile.

Zeki AmdouniAttaquant de l'Equipe de Suisse

 

Cinq minutes plus tard, le but de Silvan Widmer a permis aux "Rouges" de Murat Yakin d'enfoncer le clou d'une tête imparable sur un service impeccable adressé par Denis Zakaria. Le match a alors pris des allures de soirée de gala pour le plus grand plaisir des 14'819 spectateurs présents dont un certain Roger Federer.

 

Préparation ou inspiration

Ainsi donc, ces trois buts, tous très beaux sont arrivés consécutivement à autant d'actions rondement menées. Est-ce le résultat d’un travail à l’entraînement ou d’une inspiration ?

Vincent CavinAssistant-coach de l'Equipe de Suisse

 

Le technicien vaudois évoque l’impression laissée durant ce rassemblement par Amdouni, qui est le véritablement joueur qui monte dans cette sélection helvétique.

Vincent CavinAssistant-coach de l'Equipe de Suisse

 

Enfin, durant ces deux premiers matches, les choix du coach national se sont révélés payants que ça soit la titularisation que Renato Steffen, auteur des trois premiers buts à Novi Sad ou celle de Zaki Amdouni mardi soir à la Praille.

Vincent CavinAssistant-coach de l'Equipe de Suisse

 

Militants de la cause palestinienne

A noter, sur le plan-extra-sportif, la présence de quelques dizaines, peut-être centaines de militant-e-s de la cause palestinienne qui ont brandi des drapeaux dans un coin de la tribune nord. A part manifester bruyamment, en sifflant la formation visiteuse, ces personnes n'ont pas occasionné de débordement.

Des supporters ont déployé des drapeaux palestiniens dans l'enceinte du Stade de la Praille, côté tribune nord. A noter la présence d'un autre drapeau, bleu et blanc, ressemblant à celui d'Israël (KEYSTONE/Laurent Gilliéron)

 

 

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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