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Genève

Deux Genevoises enchainent les kilomètres pour la bonne cause

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Des sportives généreuses! 

Deux Genevoises, Aida Cocchiola et Léa Martinet vont partir à l’assaut de la Femina Adventure en novembre prochain. Une course qui se déroule en Guadeloupe, réservée  aux femmes avec différentes épreuves, trail, natation, kayak, parcours d'orientation, etc… 

Leur équipe s’appelle “Y'a pas le feu au lac” et elles vont courir pour une fondation genevoise : OTIUM qui s'engage dans la lutte contre le cancer. Un organisme qui apporte des soins, un accompagnement et du conseil pour aider à mieux vivre pendant et après un cancer. Par exemple grâce à des séances d’hypnose, de sophrologie, etc…

Pour récolter les fonds, Aïda et Léa ont mis en place une collecte qui fonctionne au nombre de kilomètres parcourus, pendant leurs entraînements, mais aussi pendant les autres courses qu’elles font en préparation de la Guadeloupe, comme le marathon de Genève, le triathlon de Genève ou le trail Sierre-Zinal.

Mais d'où est venue cette idée de lier sport et solidarité? La réponse d'Aida Cocchiola:

Aida CocchiolaDeux Genevoises enchainent les kilomètres pour la bonne cause

Pour Aida, cette expérience est toute nouvelle dans une vie déjà bien remplie, elle est coiffeuse et Léa travaille en pharmacie:

Aida CocchiolaDeux Genevoises enchainent les kilomètres pour la bonne cause

Est-ce que cela change la donne de s'entraîner pour une bonne cause? Les réponses de Aida Cocchiola et Léa Martinet:

Aida Cocchiola et Léa MartinetDeux Genevoises enchainent les kilomètres pour la bonne cause

Si vous voulez les aider, rdv sur leur compte Facebook.

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Genève

Richard Chassot: "Un rendez-vous à haute valeur sportive"

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Richard Chassot tire un bilan positif du TdR 2024 (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Richard Chassot a dressé un "très bon" bilan du 77e Tour de Romandie, qui s'est terminé dimanche à Vernier.

Le directeur de l'épreuve a aussi présenté les grandes lignes de la prochaine édition, qui pourrait bien passer par la Suisse alémanique.

"L'organisation a très bien fonctionné malgré des conditions météo pas toujours favorables. Heureusement, le froid du début de semaine n'était pas accompagné de précipitations", a-t-il relevé en conférence de presse. "Nous avons présenté un joli programme et j'ai reçu de très bons échos des coureurs, des équipes, et des villes qui nous ont accueillis."

Côté sportif, le directeur du TdR a souligné que la course n'était définitivement plus considérée comme une semaine de "test" en vue des grands Tours. "C'est un rendez-vous à haute valeur sportive. Pour le gagner, il faut aller le chercher", a-t-il déclaré.

Cette lutte acharnée pour la victoire finale fait que les chances de voir des Suisses aux avant-postes se font de plus en plus rares, comme lors de la semaine écoulée. "Ce n'est plus possible de remporter une étape sur un coup de chance comme ça a pu être le cas par le passé. Il faut se préparer longuement à l'avance et être un grand talent pour espérer jouer le général."

Un passage par Bâle?

Interrogé sur le programme de l'édition 2025, Richard Chassot a révélé qu'il souhaitait ardemment faire passer le peloton par la ville de Bâle. "Je viens d'envoyer un SMS à ce sujet", a-t-il lâché. "L'idée serait de fêter les 100 ans qu'aurait eu Jean Tinguely l'année prochaine, car cet artiste a beaucoup travaillé autour de la roue. Nous souhaiterions allier culture, Suisse romande et Suisse alémanique."

Quant au reste du parcours, il devrait contenir un prologue autour de Saint-Imier (BE) et des étapes en boucle à la Grande Béroche (NE) et à Cossonay (VD). Le classement général devrait se jouer entre une étape-reine se terminant une nouvelle fois à Thyon 2000 (comme en 2021 et 2023), et un contre-la-montre final à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Nuit des musées propose de s'aventurer au coeur de la matière

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Genève avait organisé sa première nuit des musées en mai 2013. Le public avait pu admirer un mapping sur la façade du Musée d'art et d'histoire (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La dixième Nuit des musées de Genève se tiendra le samedi 25 mai, dès 17h00. La matière est la thématique de cette édition. Pas moins de 27 institutions culturelles et scientifiques ouvriront leurs portes au public. Ce dernier aura le choix entre 131 activités.

La manifestation est organisée par le département de la culture et de la transition numérique de la Ville de Genève. Un Pass Nuit des musées est vendu au prix de 10 francs. Outre d'avoir l'accès à toutes les institutions participantes, il permet de prendre des navettes mises en place dans le cadre de la manifestation.

Cette Nuit des musées sera notamment l'occasion de découvrir l'Abri de la Treille. Ce lieu souterrain a servi de poste de commandement du service de défense aérienne passive de Genève durant la Deuxième Guerre mondiale. L'abri est un témoin d'une période méconnue de l'histoire genevoise.

La manifestation proposera également une déambulation "en résonance avec la matière sonore et visuelle collectée au fil du Rhône". Le centre d'art contemporain Halle Nord, de son côté, présentera une exposition avec des oeuvres alliant "peintures phosphorescentes et réalité augmentée".

Pour la première fois, la manifestation organisera aussi une série de visites sensorielles qui seront spécifiquement conçues pour le public sourd et malentendant. Des guides s'exprimeront en langue des signes française. Une traduction en français sera en parallèle mise sur pied pour le public entendant.

Une drôle de dictée

En outre, l'humoriste Thomas Wiesel endossera le costume du professeur et donnera, dans la grande salle de lecture de la Bibliothèque de Genève, une dictée de sa conception qui permettra de tester ses connaissances de la langue française. Les places sont limitées et l'inscription à l'adresse bge-geneve.ch/nuitdesmusees2024 obligatoire.

nuitdesmusees-geneve.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

La population genevoise découvre la place d'exercice d'Epeisses

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L'inauguration de la caserne d'Epeisses marque la fin du redéploiement de l'armée à Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La population genevoise a pu découvrir samedi la place d'exercice d'Epeisses (GE). Le lieu est dédié au sauvetage lors de catastrophes. Il s'étend sur 17 hectares et est le centre d'instruction des troupes de sauvetage (CITS 76).

La place et ses installations modulables en fonction des exigences des exercices sont ouvertes aux militaires ainsi qu'aux représentants des forces de police, des sapeurs-pompiers et de la protection civile du canton de Genève, indique dans un communiqué le département des institutions et du numérique (DIN).

L'inauguration de la caserne d'Epeisses marque la fin du redéploiement de l'armée à Genève. L'opération a duré moins de 10 ans. Tout a commencé avec les premiers projets visant à la libération de la caserne des Vernets. Trois bâtiments d'envergure ont été construits pour répondre aux besoins des forces armées.

Désormais, rappelle le DIN, Aire-la-Ville accueille le centre logistique civil et militaire, Meyrin abrite un bâtiment de stationnement de la troupe et Epeisses regroupe la caserne et la place d'exercice. L'utilisation commune des infrastructures par des formations militaires et civiles est "unique en Suisse".

Décors réalistes

A Epeisses, le village est constitué de décors réalistes. Ils représentent des habitations détruites telles qu'elles ont été observées sur les nombreux sites d'intervention de la Chaîne suisse de sauvetage ainsi que des habitations transformées en décombres à cause de la guerre.

Le site est aussi doté d'un simulateur pour les grands feux. Baptisé Vulcain, cette machine offre diverses possibilités de scénarios pour la lutte contre des feux urbains ou industriels, note encore le DIN.

Samedi, le public a pu assister à différentes démonstrations lui permettant de mieux comprendre le rôle des différents acteurs du sauvetage après une catastrophe.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Treize places de parking supprimées pour rafraîchir les Eaux-Vives

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En Ville de Genève, treize places de stationnement et 1400 mètres carrés de goudron ont été supprimés à la place du Pré-l'Evêque, dans le quartier des Eaux-Vives. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

En Ville de Genève, treize places de stationnement et 1400 mètres carrés de goudron ont été supprimés à la place du Pré-l'Evêque, dans le quartier des Eaux-Vives. Inauguré samedi matin, le nouvel espace piéton et végétalisé doit devenir un îlot de fraîcheur dans un secteur très minéral.

Dans le cadre de ce réaménagement de la pointe sud de la place, huit nouveaux arbres - des féviers d'Amérique - s'ajoutent aux 20 arbres déjà présents. Plus de 200 arbustes ont aussi été plantés le long des trois côtés de l'espace. Le goudron a été remplacé par du calcaire du Jura, une matière perméable qui permet une meilleure infiltration des eaux de pluie et dont la couleur claire ne conserve pas la chaleur.

Pour la Ville de Genève, ce site constituera un îlot de fraîcheur, de biodiversité et de rencontre. De nouveaux bancs ont été installés, et les arbustes isoleront les badauds du trafic environnant une fois qu'ils auront poussé. Ce secteur fait partie des projets de retrait du bitume et de plantations prioritaires du Service des espaces verts.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Un 4ème proche de Christian Brunier engagé aux SIG

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Christian Brunier, directeur general des Services industriels de Genève (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)
A Genève, la pression monte aux Services industriels de Genève (SIG) après les révélations cette semaine de l'engagement de plusieurs proches du directeur général Christian Brunier. En attendant une conférence de presse prévue mardi, la régie publique ne répond plus aux sollicitations des médias.

La Tribune de Genève et Léman Bleu ont révélé l'embauche des deux beaux-fils du directeur général et de l'épouse de l'un d'eux. Chaque fois, les SIG ont assuré que le processus de recrutement avait été respecté, que les liens familiaux avaient été annoncés en amont. Ils précisaient aussi veiller à éviter des liens hiérarchiques et conflits d'intérêts entre les membres d'une même famille.

Mardi, dans la matinale de la RTS, Robert Monin, directeur des relations humaines des SIG, avait écarté tout soupçon de népotisme. "Il faut être clair. Ce n'est pas Christian Brunier qui nous a demandé de les recruter", avait souligné M. Monin en précisant que ces personnes ont postulé pour des postes ouverts et sont passées par le processus de recrutement qui permet de sélectionner les meilleurs candidats.

Vendredi, la RTS a encore révélé l'engagement d'un neveu de Christian Brunier. Contactés par Keystone-ATS, les SIG ne font aucun commentaire au sujet de cette dernière information, renvoyant à la conférence de presse prévue mardi matin. Le président du Conseil d'administration, Robert Cramer, fera un bilan de ses cent premiers jours à la tête de l’entreprise et répondra à toutes les questions liées à l’actualité.

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