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Santé

Nestlé Waters: risque d'arrêt de production de Perrier

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La multinationale veveysane entretient le flou autour de l'avenir de sa célèbre marque d'eau gazeuse, invoquant un manque d'information de la part des autorités sanitaires hexagonales. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Nestlé Waters doit envisager la fin de la production d'eau minérale naturelle Perrier, dans le sud de la France, en raison de risques sanitaires, selon un rapport confidentiel dévoilé lundi par le journal français Le Monde et Radio France.

"La plus célèbre des marques d'eau gazeuse est sous la menace de perdre son label d'eau minérale naturelle qui fait sa réputation depuis plus d'un siècle", écrit le quotidien hexagonal Le Monde, selon lequel "un rapport confidentiel de l'agence régionale de santé (ARS) d'Occitanie ne laisse guère de place à une autre issue". "Le coup pourrait être fatal pour Perrier", appuie le média.

Après une inspection menée fin mai sur l'unique site de conditionnement de Perrier dans le Gard, l'agence étatique estime que Nestlé Waters, propriétaire de la marque, doit sérieusement envisager "un arrêt de la production d'eau minérale sur le site de Vergèze" en raison de la qualité sanitaire régulièrement dégradée de ses captages et, en particulier, d'un risque d'ordre virologique.

L'ARS "invite" ainsi la filiale du géant veveysan à "s'interroger stratégiquement sur un autre usage alimentaire possible de l'exploitation des captages d'eau minérale actuels", à condition d'apporter des "garanties de sécurité sanitaire complémentaires". Sollicité par Le Monde et Radio France, Nestlé Waters indique ne "pas pouvoir faire de commentaires", n'ayant "pas connaissance du rapport final".

Dans l'attente du feu vert du préfet

L'avenir de la marque et de son site de production à Vergèze, qui emploie un millier de salariés, est désormais suspendu à l'arbitrage de la préfecture du Gard, qui doit se prononcer sur la demande de renouvellement d'autorisation d'exploitation de la "source Perrier" déposée en octobre 2023 par Nestlé. Contactée, la préfecture indique que la décision pourrait être rendue lors du "premier semestre 2025" après réception de "l'avis des hydrogéologues agréés en matière d'hygiène publique", complémentaire au rapport de l'ARS.

En avril, le préfet du Gard a déjà suspendu l'exploitation d'un des sept captages après un épisode de contamination par des bactéries d'origine fécale. Nestlé annonçait ensuite avoir détruit quelque 3 millions de bouteilles "par précaution". "Présentée alors par Nestlé et la préfecture comme un événement ponctuel lié à des pluies intenses, cette situation est en réalité la conséquence d'une dégradation générale de la qualité des nappes d'eau souterraines exploitées par Nestlé à Vergèze", écrit Le Monde.

En janvier dernier, les deux médias ont révélé que Nestlé Waters a eu recours pendant plusieurs années à des traitements interdits - microfiltration, filtres UV et charbons actifs - pour faire face à ces contaminations, bactériennes ou chimiques, sur certains de ses puits, à Vergèze mais aussi sur son site des Vosges, où sont puisées les eaux d'Hépar, de Contrex et de Vittel. L'État avait connaissance de certaines de ces pratiques depuis au moins 2020. Nestlé a reconnu avoir recours à des traitements interdits, également pour Henniez en Suisse. Afin de faire la lumière sur ce dossier, le Sénat a lancé une commission d'enquête sur "les pratiques des industriels de l'eau en bouteille et les responsabilités des pouvoirs publics dans les défaillances du contrôle de leurs activités".

Selon le rapport d'inspection de l'ARS, le risque de fraude perdure: "rien n'empêche le traitement de l'eau minérale naturelle par des procédés non autorisés utilisés pour d'autres types d'eaux." Sa mission d'inspection évoque un "risque virologique" (adénovirus, norovirus, hépatite A) pour les consommateurs. "Les microfiltres n'ont pas d'effet de rétention sur les virus", notent les inspecteurs, qui précisent que "l'exploitant n'a jamais mis en évidence la présence de ces virus dans l'eau".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Nestlé ne revalorisera pas les salaires des sièges suisses en 2026

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Nestlé a déjà annoncé la suppression de 16'000 postes dans le monde, dont 12'000 places de cadres (archives) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Nestlé s'abstiendra l'année prochaine de revoir à la hausse les salaires de ses employés des sièges en Suisse. Le géant romand de l'alimentaire a récemment annoncé vouloir supprimer 12'000 emplois de cadres dans le monde.

"Compte tenu de la pression sur les coûts, dont vous êtes tous.tes conscient.es, nous ne procéderons pas à une révision salariale pour les sièges en Suisse l'année prochaine", selon une communication interne signée de la cheffe des ressources humaines Anna Lenz, dont l'agence AWP a pris connaissance.

Les sièges recouvrent notamment celui de Vevey, la direction de Nestlé Suisse ou encore celle du fabricant de capsules de café Nespresso.

Le syndicat Unia, contacté par AWP, a confirmé avoir eu connaissance de cette absence de révision salariale.

Confronté à une stagnation de ses volumes de ventes, le fabricant du chocolat Cailler et des confiseries Smarties a présenté en octobre dernier un plan d'économies à l'échelle mondiale au cours des deux prochaines années. Il comprend la suppression de 16'000 postes, dont 12'000 places de cadres. Le groupe veut économiser 3,0 milliards de francs d'ici fin 2027.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Géants de la malbouffe attaqués par San Fransisco

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Santé: les aliments ultra-transformés sont dans le viseur de San Francisco qui souhaite faire passer leurs fabricants à la caisse. (© KEYSTONE/AP/MARK LENNIHAN)

Mars, Coca-Cola, Nestlé... San Francisco a lancé mardi une procédure judiciaire inédite contre une dizaine de géants des aliments ultratransformés, en les accusant d'avoir créé une "crise de santé publique" qui grève les finances de la ville américaine.

La métropole démocrate s'attaque ainsi aux fabricants de chips, sodas, plats préparés ou encore céréales pour enfants, qui fabriquent leurs aliments en laboratoire en y intégrant de nombreux additifs - colorants, émulsifiants, édulcorants, etc.

"Ces entreprises ont créé une crise de santé publique avec la conception et la commercialisation des aliments ultratransformés", a expliqué David Chiu, le procureur de la ville. "Elles en ont tiré d'énormes profits, et maintenant elles doivent assumer la responsabilité des dommages qu'elles ont causés."

Selon la plainte, les aliments ultratransformés "représentent plus de 70% des produits des supermarchés" aux Etats-Unis, et "plus de la moitié" du régime alimentaire des Américains.

Leur omniprésence dans les rayons a provoqué une "augmentation dramatique de l'incidence de l'obésité, du diabète, des maladies cardiaques, des cancers et d'autres maladies chroniques", souligne la ville.

Environ 40% des Américains souffrent d'obésité, un des taux les plus élevés du monde, et près de 16% d'entre eux sont diabétiques, selon les statistiques officielles.

San Francisco réclame des dommages et intérêts, d'un montant non spécifié, pour les coûts de santé supportés par la collectivité.

Elle accuse notamment les fabricants d'avoir violé la législation californienne sur la concurrence, en adoptant un "marketing déloyal et trompeur", similaire aux techniques employées par l'industrie du tabac.

Les dix entreprises poursuivies "ont tout fait pour priver les consommateurs d'un choix éclairé", dénonce la plainte. Elles "savaient que les aliments addictifs qu'elles concevaient rendaient leurs clients malades, et elles ont caché la vérité au public."

Apparus vers la fin du XIXe siècle, les aliments ultratansformés ont commencé à être produits en masse pour nourrir les soldats américains pendant les deux guerres mondiales, avant d'inonder les supermarchés du monde entier dans la deuxième moitié du XXe siècle.

Mais leur nocivité est de plus en plus dénoncée et s'impose comme un rare sujet de consensus politique aux Etats-Unis.

Le ministre de la Santé de Donald Trump, Robert Kennedy Jr., contesté pour ses positions antivaccins, est un critique très actif de la malbouffe et a érigé en priorité la lutte contre l'obésité et le diabète.

Sous sa pression, les grands fabricants de glaces se sont engagés à se passer de colorants de synthèse à partir de 2028.

Dans le détail, la plainte de San Francisco vise Kraft Heinz Company, Mondelez International, Post Holdings, The Coca-Cola Company, PepsiCo, General Mills, Nestlé USA, Kellogg, Mars Incorporated, et ConAgra Brands.

La Consumer Brands Association, qui représente plusieurs de ces entreprises, a publié un communiqué affirmant que les géants de l'alimentaire travaillent actuellement pour concevoir des produits avec plus de protéines et de fibres, et avec moins de sucre et de colorants synthétiques.

"Il n'existe actuellement aucune définition scientifique consensuelle des aliments ultra-transformés, et tenter de classer les aliments comme malsains simplement parce qu'ils sont transformés, ou diaboliser les aliments en ignorant leur contenu nutritionnel complet, induit les consommateurs en erreur et exacerbe les disparités en matière de santé", a estimé Sarah Gallo, une responsable de cette organisation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Kunstmuseum de Bâle indemnise les héritiers de biens en fuite

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La lithographie "Mères" (1919) de Käthe Kollwitz est l'une des huit ½uvres du Kunstmuseum de Bâle issues de la collection de Julius Freund. (© Kunstmuseum Basel Kupferstichkabinett, Ankauf/Foto: Jonas Hänggi)

Le Kunstmuseum de Bâle annonce une solution à l'amiable dans le cas de biens en fuite du collectionneur juif Julius Freund (1869-1941). Les héritiers recevront une indemnisation d'un montant non divulgué et les huit ½uvres concernées resteront à Bâle.

Le Kunstmuseum a pris lui-même l’initiative de contacter la représentante légale des héritiers de Julius Freund et a signalé la possession des huit ½uvres, explique mardi l'institution. Après un échange des différentes positions, les deux parties ont trouvé un accord: le montant de la somme versée reste toutefois confidentiel.

Le Kunstmuseum se déclare heureux de pouvoir conserver ces oeuvres datant du 19e et du début du 20e siècles. Il s'agit d'une lithographie de Käthe Kollwitz, ainsi que de dessins de Carl Blechen, Max Liebermann, Hans von Marées et Adolph von Menzel.

Les biens en fuite se réfèrent aux ventes d'oeuvres d'art réalisées par des émigrés juifs entre 1933 et 1945 en dehors de la sphère d'influence des nazis. La commission compétente et le musée estiment que les cas de ventes en fuite doivent être traités différemment des cas de spoliation nazie et que seules des raisons très spécifiques justifient une restitution.

De telles raisons n’existaient pas dans le cas de la collection Freund, poursuit le Kunstmuseum, sans exclure pour autant un droit à une indemnisation financière. Au vu des circonstances en 1942, la famille a subi une perte de patrimoine en raison de la vente aux enchères de ses biens.

Précarité

Julius Freund, un industriel du textile juif-allemand de Berlin, avait rassemblé plus de 700 ½uvres du romantisme et du réalisme allemands ainsi que du début du 20e siècle. Pendant le régime nazi, il émigre avec son épouse en Angleterre, où il décède en 1941.

Dès 1933, le couple a transféré à leur fille Gisèle la propriété d'½uvres conservées en Suisse par une maison de ventes aux enchères, afin de les protéger d'une saisie directe par le régime. En 1942, Gisèle Freund fait vendre à Lucerne des ½uvres, une décision motivée par la précarité financière de sa mère, selon le communiqué.

Le Kunstmuseum de Bâle a acquis lors de cette vente cinq dessins et une lithographie pour son cabinet des estampes. Deux autres ½uvres de cette provenance ont été ajoutées à la collection par des donations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Le site d'un château médiéval découvert près d'Uesslingen-Buch (TG)

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Une visualisation montre à quoi aurait pu ressembler le château médiéval récemment découvert en Thurgovie. (© Amt für Archäologie Kanton Thurgau)

Le site d'un château médiéval a été découvert près d'Uesslingen-Buch, dans le canton de Thurgovie, par un passionné d'archéologie. Des recherches ultérieures ont confirmé qu'il s'agit d'un fort édifié aux 10e et 11e siècles.

La découverte est d'un grand intérêt historique, annoncent lundi les autorités thurgoviennes. Le complexe se trouve à un peu moins d'un kilomètre à l'ouest de la chartreuse d'Ittingen. Le château des seigneurs d'Ittingen fut détruit en 1079 mais il n'existe à ce jour que des hypothèses sur l'emplacement de sa reconstruction.

C'est un passionné d'archéologie du canton de Berne qui a identifié le site: il a fait défiler sur son ordinateur la carte en relief haute résolution du canton de Thurgovie, à l'affût de formations de terrain particulières. Il a ainsi reconnu près d'Uesslingen-Buch deux petits plateaux entourés de fossés abrupts et identifié plusieurs routes anciennes en contrebas.

Objets mis au jour

Ces observations ont immédiatement été rapportées à l'office thurgovien d'archéologie, qui a autorisé un privé à effectuer une prospection à l'aide d'un détecteur de métaux à l'endroit signalé. Ce dernier a mis au jour des objets tels que des tessons de céramique et plusieurs objets en fer, dont des pointes de projectiles médiévaux.

D'après des sites comparables, le château fort nouvellement découvert se composait d'une tour en bois à plusieurs étages protégée par une palissade et de profonds fossés. Il était directement relié au réseau routier régional, peut-être même situé sur une liaison supra-régionale entre Winterthour et Constance.

Le canton ne mènera aucune fouille sur les deux plateaux, toute structure et découverte devant rester dans le sol et être ainsi préservée pour de futures recherches. Quant au matériel trouvé grâce au détecteur, il se trouve en cours de restauration.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

[ITW] Genève, capitale mondiale de la lutte contre le VIH en 2027

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Archives (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Alors que les financements mondiaux s’effondrent, la cité de Calvin accueillera la 14e Conférence de l’IAS sur la science du VIH. Un signal fort, à l’heure où les avancées médicales se heurtent à des reculs politiques. Entretien à l'occasion de la journée de lutte contre le sida avec la professeure Alexandra Calmy, responsable de l’unité VIH aux HUG.

Ce 1er décembre 2025, l’International AIDS Society et les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), en présence de Pierre Maudet et Christina Kitsos, ont annoncé que Genève accueillera la 14e Conférence internationale sur la science du VIH, en juillet 2027. Un choix symbolique fort, à l’heure où les financements mondiaux pour le VIH connaissent une chute brutale, menaçant des décennies de progrès en matière de prévention et de traitement. « 2025 a été un tremblement de terre dans la santé mondiale », alerte la professeure Alexandra Calmy, responsable de l’unité VIH aux HUG.

Le financement de la recherche s’effondre, des mots comme “diversité” ou “femmes” deviennent tabous dans certaines demandes de subventions internationales. C’est très grave.

Un contexte mondial préoccupant

Selon l’ONUSIDA, l’arrêt des soutiens américains pourrait entraîner 6 millions de nouvelles infections et 4 millions de décès supplémentaires d’ici 2029. Un constat alarmant, alors que certains programmes de soutien, en place depuis plus de vingt ans, risquent d’être interrompus.

La Suisse, pour l’heure, reste relativement épargnée grâce à une stratégie nationale efficace. « Grâce à la PrEP remboursée, nous observons une baisse des nouvelles acquisitions du VIH, notamment chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes », souligne la Pre Calmy.

Mais elle s’inquiète d’un relâchement dans la prévention.

L’usage du préservatif n’a plus la même signification qu’il y a 30 ans. Le VIH est aujourd’hui une maladie chronique, non plus mortelle. C’est une bonne nouvelle, mais cela peut engendrer un faux sentiment de sécurité.

Genève, à nouveau au centre du jeu

La conférence de 2027 réunira environ 5'000 experts internationaux à Genève. Pour la Pre Calmy, ce rendez-vous ne doit pas être qu’un événement ponctuel, mais le point de départ d’un véritable héritage : « L’idée, c’est de créer un momentum. Genève a un rôle à jouer pour reconstruire une gouvernance de santé globale, qui est aujourd’hui à repenser. »

La ville ambitionne ainsi de devenir un pôle d’innovation en matière de prévention du VIH. Un projet de centre mondial de la prévention est à l’étude, avec l’IAS en chef de file, soutenu par les HUG, l’Université de Genève, le canton et la ville de Genève. Objectif: fédérer les compétences et stimuler des solutions concrètes, face à un monde de plus en plus fragmenté.

Le VIH a toujours été exemplaire en matière de modèle de soins: communautaire, multidisciplinaire, solidaire. C’est ce modèle que nous ne voulons pas perdre.

Entre avancées scientifiques et menaces politiques

Malgré les incertitudes, les avancées médicales continuent. Une molécule prometteuse, le Lenaavir, prévient à près de 99 % les nouvelles infections dans les populations les plus exposées. Les traitements, eux aussi, évoluent : certains à longue durée d’action pourraient bientôt être administrés tous les six mois.

Genève n’est pas étrangère à ces progrès. En 2024, un patient y a été guéri du VIH grâce à une greffe de moelle. Ce cas unique a ouvert la voie à de nouveaux essais cliniques à l’échelle européenne. « Même un seul cas peut faire bouger la recherche », rappelle la Pre Calmy.

Une mobilisation locale, un enjeu global

Alors que certaines puissances, comme les États-Unis, renoncent à commémorer la Journée mondiale contre le sida, Genève réaffirme son engagement. La Pre Calmy en appelle à la vigilance.

Trop de vies dépendent encore de ces financements. Il n’est plus possible de reculer.

Avec IA

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