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Santé

Nestlé Waters défend ses eaux minérales, demande une clarification

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La directrice générale de Nestlé Waters affirme que toutes les eaux sont "pures à la source", mais qu'il "peut y avoir des déviations très sporadiques". (archives) (© KEYSTONE/AP/ROGELIO V. SOLIS)

"Toutes nos eaux aujourd'hui sont pures à la source", affirme à l'AFP Muriel Lienau, directrice générale de Nestlé Waters, dans la tourmente après des révélations de presse.

La patronne demande une clarification sur les processus de microfiltration utilisés sur les eaux minérales en France.

"La sécurité alimentaire de nos produits n'a jamais été en jeu et la sécurité sanitaire des consommateurs a toujours été assurée. La composition minérale de nos eaux n'a jamais été altérée. (...) Nous n'avons jamais fait pression sur aucun décideur public", énumère celle qui a pris en janvier la direction de la nouvelle division eaux du groupe suisse (Nestlé Waters & Premium Beverages).

Elle dénonce des informations "anxiogènes" pour les consommateurs et les 1.500 salariés de Nestlé Waters en France.

Un an après les premières révélations sur des traitements interdits (filtres au charbon, UV) utilisés jusqu'en 2023 par Nestlé sur ses eaux minérales, des médias ont accusé mardi l'Elysée et Matignon d'avoir cédé au lobbying du groupe, en le laissant commercialiser des eaux non conformes à la réglementation et à risque pour la santé.

Radio France et Le Monde font état d'une note du 20 janvier 2023 du directeur général de la santé (DGS) Jérôme Salomon, qui recommandait de "suspendre immédiatement l'autorisation d'exploitation et de conditionnement de l'eau pour les sites Nestlé des Vosges" (Hépar, Contrex, Vittel) et d'étendre cette interdiction "au site d'embouteillage de Perrier" dans le Gard.

Jérôme Salomon citait un rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) sur l'utilisation de microfiltres inférieurs à 0,8 micromètre, qui concluait que l'eau en sortie de puits n'était "pas microbiologiquement saine".

"Clarifier" la réglementation

La règlementation européenne ne précise pas le seuil à partir duquel la filtration est assimilée à une désinfection, proscrite pour les eaux minérales naturelles, mais un avis de l'Afssa (ex-Anses) de 2001, qui fait office de jurisprudence, le fixe à 0,8 micromètre.

"La microfiltration est largement utilisée dans toute l'industrie. C'est donc stratégique pour le secteur de pouvoir clarifier" cette réglementation européenne avec une "réflexion technique", affirme Muriel Lienau.

Une commission d'enquête parlementaire, que la directrice générale a refusé de commenter, est en cours sur les pratiques des industriels de l'eau en bouteille.

Selon Mme Lienau, les effets de la microfiltration "céramique à 0,8 micromètre autorisée par l'Afssa (ex-Anses)" sont les mêmes que ceux de la microfiltration "à cartouche à 0,2 micromètre" utilisée par le groupe: "ce ne sont pas des moyens de désinfection".

Selon Radio France et Le Monde, l'Agence régionale de santé Occitanie a conclu que la microfiltration du groupe avait un "effet désinfectant avéré".

La microfiltration à 0,2 micromètre fait partie du "plan de transformation" appliqué par Nestlé et accepté par le gouvernement quelques semaines après la note du directeur général de la santé.

"C'est comme ça qu'on garantit la sécurité alimentaire (...) on ne recommande pas à qui que ce soit dans l'industrie d'opérer sans cette microfiltration", ajoute Mme Lienau, demandant son autorisation par les autorités puisqu'elle permet de "gérer la création de biofilms" (bactéries agglomérées) "entre la source et l'usine d'embouteillage".

"Déviations sporadiques"

La directrice générale affirme que toutes les eaux sont "pures à la source" et qu'il "peut y avoir des déviations très sporadiques", notamment dans le Gard après des fortes pluies, mais que les contrôles permettent de "stopper un forage si besoin".

En avril, Perrier a dû cesser d'exploiter un forage et détruire "par précaution" deux millions de bouteilles, après la découverte de bactéries "d'origine fécale" à la suite de fortes pluies.

Dans un rapport daté d'août, cité par Radio France et Le Monde, l'ARS Occitanie a "invité" Nestlé Waters à "s'interroger stratégiquement sur un autre usage alimentaire possible de l'exploitation des captages d'eau minérale actuels".

Pour continuer à exploiter les forages à la qualité dégradée, Nestlé Waters a créé une nouvelle marque, Maison Perrier, des boissons à base d'eaux traitées et vendues sans la mention eau minérale.

Entre 1,2 et 1,7 milliard de bouteilles, Perrier et Maison Perrier, sont produites chaque année et écoulées dans environ 150 pays.

Muriel Lienau a elle confiance: "nous estimons que les sources dont nous avons la charge peuvent être protégées et gérées sur le long terme" grâce à des investissements, malgré une "vulnérabilité" qui va "ne faire qu'augmenter".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Santé

Gare à la surconsommation de produits à base de soja

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Les aliments à base de soja comme le tofu, les desserts ou les steaks végétaux ne devraient pas être servis dans la restauration collective, estime une autorité sanitaire française: ils contiennent trop d'isoflavones. (image prétexte) (© KEYSTONE/LEANDRE DUGGAN)

Une autorité sanitaire française met en garde contre la surconsommation d'aliments au soja. Ils contiennent trop d'isoflavones, une substance végétale proche des hormones féminines potentiellement nocive pour la santé. En Suisse, les autorités suivent la situation.

L'Agence française de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) recommande de ne pas servir d'aliments à base de soja - desserts, yaourts, lait, steaks végétaux et surtout biscuits apéritifs - en restauration collective, des crèches aux écoles et collèges, aux restaurants d'entreprises, EMS, hôpitaux et cliniques.

Selon cet avis publié lundi, les isoflavones sont des phytoestrogènes, des substances végétales proches des hormones féminines (oestrogènes) présentes dans les légumes secs, les légumes, et principalement le soja.

Ils "peuvent interférer avec le fonctionnement hormonal physiologique, et donc conduire à des effets indésirables pour le système reproducteur", explique à l'AFP Aymeric Dopter, chef de l'unité d'évaluation des risques liés à la nutrition à l'Anses.

"Il ne s'agit pas de jeter l'opprobre sur le soja en tant qu'aliment, mais plutôt sur les teneurs en isoflavones que les produits au soja contiennent actuellement", précise M. Dopter. "En attendant d'avoir des sojas moins riches en isoflavones, il faut lever le pied sur la consommation de ces produits", résume-t-il.

Conseil à l'industrie

L'Agence invite les acteurs de l'agroalimentaire à revoir les techniques de production et de transformation du soja. Si les teneurs en isoflavones dépendent de la variété, des conditions de culture et du degré de maturité de la plante, il est possible de les réduire en utilisant certaines techniques et procédés de fabrication.

Ainsi les teneurs en isoflavones peuvent varier du simple au double d'un dessert au soja à l'autre, et il y en a 100 fois plus dans les biscuits apéritifs à base de soja que dans la sauce soja. En effet, ces biscuits sont faits avec de la graine de soja toastée, qui va concentrer les isoflavones, alors qu'une fois bouillie la graine va les perdre en partie.

Dans la préparation des produits du soja, que ce soit par lavage, trempage, toute une série d'opérations et de techniques traditionnelles en Asie permettent de réduire les teneurs des isoflavones.

L'OSAV connaît le problème

L'Anses va maintenant partager ses valeurs toxicologiques de référence avec ses homologues européens. Contacté par Keystone-ATS, l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) se dit conscient de cette problématique.

Administrées par voie orale sous forme isolée (par exemple sous forme de génistéine, et non de soja), les isoflavones ont montré des effets hormonaux lors d’essais sur les animaux.

Chez l’être humain, la situation est plus difficile à évaluer, poursuit l'OSAV: les résultats des études sont parfois contradictoires, certaines montrant des effets positifs, d’autres des effets négatifs sur le risque de cancer du sein, et leur interprétation varie selon les sous-populations concernées.

Pour ce qui concerne les hormones, il existe en effet des périodes de sensibilité particulières, comme certains cycles hormonaux.

Manger équilibré

La publication de l’Anses "propose une mise à jour solide et transparente des données scientifiques, qui contribuera à faire progresser le débat sur les isoflavones à l’échelle internationale", estime l'OSAV. Celui-ci examinera ces données en détail et envisagera, si nécessaire, des mesures appropriées.

En attendant, l’OSAV rappelle qu'une alimentation équilibrée et diversifiée permet d’éviter la surconsommation d’un aliment, et, par conséquent, la consommation excessive de certaines substances spécifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Avec les chewing-gums, des microplastiques relâchés dans la bouche

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Une étude met en évidence comment de minuscules fractions de plastique, souvent invisibles, pénètrent dans le corps par les chewing-gums (image symbolique). (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

Les chewing-gums relâchent des centaines de microplastiques directement dans la bouche, selon une étude présentée par des chercheurs mardi, qui restent très prudents sur l'éventuel impact sur la santé des consommateurs.

Des microparticules de plastique (moins de cinq millimètres) ont déjà été détectées dans l'air, l'eau, des aliments, des emballages, des textiles synthétiques, des cosmétiques. Chaque jour, les humains en ingèrent, en inhalent ou sont en contact par la peau avec eux.

Des poumons aux reins, jusqu'au cerveau, on a retrouvé des microplastiques dans presque toutes les parties du corps humain. Si les scientifiques n'ont pas de certitudes sur leurs impacts sur la santé, plusieurs ont déjà tiré la sonnette d'alarme.

"Je ne veux pas affoler les gens", indique à l'AFP Sanjay Mohanty, le principal auteur de cette étude présentée lors d'une réunion de l'American Chemical Society, soumise à une publication avec revue par les pairs mais pas encore publiée.

Il n'y a pas de preuve d'un lien direct entre les microplastiques et des altérations de la santé humaine, observe ce chercheur de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA).

L'objectif de l'étude était plutôt de mettre en évidence une voie peu explorée par laquelle de minuscules fractions de plastique, souvent invisibles, pénètrent dans notre corps: les chewing-gums.

Lisa Lowe, une doctorante à l'UCLA, a mâché sept morceaux de dix marques différentes, puis sa salive a été soumise à une analyse chimique: un gramme de chewing-gum libérait en moyenne 100 microplastiques, mais certaines gommes en rejetaient plus de 600. Le poids moyen d'un chewing-gum est d'environ 1,5 gramme.

Quels ingrédients?

Les personnes mâchant environ 180 chewing-gums par an pourraient ainsi ingérer quelque 30.000 microplastiques, d'après ces scientifiques. Une quantité dérisoire par rapport aux nombreuses autres occasions d'ingérer des microplastiques, relève M. Mohanty. Par exemple, d'autres chercheurs ont estimé l'an dernier qu'un litre d'eau dans une bouteille en plastique contenait en moyenne 240.000 microplastiques.

Le type de chewing-gum le plus couramment vendu, dit synthétique, contient des polymères à base de pétrole pour obtenir l'effet moelleux, ont indiqué les chercheurs. Les emballages ne mentionnent cependant aucun plastique, retenant la simple expression "à base de gomme".

"Personne ne vous dira quels sont les ingrédients", déclare M. Mohanty.

Les chercheurs ont testé cinq marques de gommes synthétiques et cinq de gommes naturelles, qui utilisent des polymères d'origine végétale comme la sève des arbres. "Nous avons été surpris de constater que les microplastiques abondaient dans les deux cas", affirme Mme Lowe à l'AFP.

Pneus de voiture

Pour David Jones, chercheur de l'université britannique de Portsmouth (Grande-Bretagne), qui n'a pas participé à l'étude, les fabricants devraient être contraints de détailler les ingrédients plus précisément.

Il se dit surpris que les chercheurs aient trouvé certains plastiques pas connus pour être présents dans les chewing-gums, suggérant qu'ils puissent provenir d'une autre origine, comme l'eau bue par la doctorante. Mais il juge les résultats globaux "pas du tout surprenants".

Les gens ont tendance à "paniquer un peu" lorsqu'on leur dit que les composants des chewing-gums sont similaires à ceux trouvés "dans les pneus de voiture, les sacs et les bouteilles en plastique", observe aussi David Jones.

Pour Oliver Jones, professeur de chimie à l'université australienne RMIT, la quantité de microplastiques mesurée dans les chewing-gums est "très petite" et les particules avalées "passent probablement à travers vous sans impact".

"Je ne pense pas qu'il faille arrêter de mâcher du chewing-gum pour l'instant", dit-il.

La National Confectioners Association (NCA), représentant notamment les fabricants de chewing-gums aux Etats-Unis, a relevé dans un communiqué que les auteurs de l'étude reconnaissaient qu'"il n'y a pas de raison de s'alarmer".

"On peut profiter des chewing-gums sans danger, comme c'est le cas depuis plus de 100 ans", assure-t-elle, ajoutant que les ingrédients ont été approuvés par l'Agence américaine du médicament (FDA).

Les chewing-gums sont aussi une source de pollution plastique, rappelle aussi Mme Lowe, surtout lorsque les gens "le crachent sur le trottoir".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Un buste de l'homme d'Etat Jean Capodistrias inauguré à Genève

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Un buste de Jean Capodistrias (1776-1831) a été inauguré mardi à Genève, en présence des autorités de la Ville et du canton de Genève et de représentants de la République hellénique et de la communauté grecque. Il est placé dans le parc des Bastions, devant le Palais Anna et Jean-Gabriel Eynard. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Après Lausanne, la Ville de Genève a son buste de Jean Capodistrias (1776-1831). Offert par la communauté grecque, il a été inauguré mardi à l'occasion de la Fête nationale grecque. Il est placé dans le parc des Bastions, devant le Palais Anna et Jean-Gabriel Eynard.

"Jean Capodistrias incarne les valeurs universelles de paix et de démocratie chères à Genève", a déclaré la maire de la Ville de Genève Christina Kitsos, elle-même binationale greco-suisse. Envoyé par le tsar Alexandre 1er à Genève en 1813, il y vécut plusieurs années avant d'être le premier gouverneur de la Grèce indépendante en 1827, a-t-elle rappelé devant les autorités du canton et des représentants de la République hellénique et de la communauté grecque.

Jean Capodistrias défendra les intérêts de Genève au Congrès de Vienne en 1815, aux côtés de Charles Pictet de Rochemont. Il contribuera à la rédaction de la Constitution suisse et à la reconnaissance internationale de la neutralité du pays. "Son buste nous rappelle son héritage de défense de la liberté, de la justice, de la solidarité internationale et de l'indépendance des peuples", a souligné la maire.

Au nom du Conseil d'Etat, le magistrat Pierre Maudet a relevé que le "destin exceptionnel" de cet "homme d'Etat visionnaire" méritait d'être rappelé dans l'espace public. Le buste est aussi une marque de l'amitié greco-suisse, a-t-il ajouté. Il est placé à deux pas de celui de Jean-Gabriel Eynard, qui fut l'ami de Jean Capodistrias et très engagé dans la lutte pour l'indépendance grecque.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Avec les coupes financières, plus d'enfants pourraient mourir (ONU)

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La mortalité des enfants de moins de 5 ans a poursuivi sa baisse dans le monde, selon le dernier rapport de l'ONU, qui alerte sur les risques des coupes dans l'aide humanitaire (image symbolique). (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Les progrès engrangés de haute lutte depuis des décennies pour réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans dans le monde pourraient marquer un coup d'arrêt, ou pire s'inverser, à cause des coupes de l'aide internationale, alerte l'ONU lundi.

Le rapport annuel mené par l'Unicef avec notamment l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Banque mondiale ne cite pas nommément les Etats-Unis. Mais il est publié alors que l'administration de Donald Trump a annoncé la suppression de la majeure partie des programmes de l'agence américaine de développement USAID qui gérait un budget annuel de 42,8 milliards de dollars.

"La communauté internationale de la santé ne peut pas être plus inquiète", a déclaré à l'AFP Fouzia Shafique, responsable des questions de santé à l'Unicef.

En 2023, la mortalité des enfants de moins de 5 ans a continué à baisser, avec 4,8 millions de morts, dont 2,3 millions de nouveaux-nés de moins d'un mois, selon le rapport. Ce nouveau plus bas historique représente une réduction de 52% depuis 2000.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

La Suisse toujours dans le top ten pour les dépôts de brevets

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En 2024, l'EPFL est classée première université européenne pour les demandes de brevets à l'OEB (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Suisse a déposé près de 10'000 brevets en 2024 et enregistre sa quatrième année consécutive de croissance. Elle se classe troisième en Europe et septième au niveau mondial. Elle est le pays qui a déposé le plus de demandes par habitant.

C'est ce qui ressort du bilan annuel de l'Office européen des brevets (OEB), publié mardi. Au total, l'OEB a enregistré près de 200'000 demandes de brevets du monde entier, un niveau stable par rapport à l'année précédente. La Suisse en compte 9966, soit 3,2% de plus qu'en 2023.

L'informatique, qui inclut des domaines de l'intelligence artificielle (IA), a été pour la première fois le domaine le plus important, avec 16'815 demandes de brevets dans le monde en 2024. Les machines, appareils et énergie électriques ont enregistré la plus forte croissance (+8,9%).

En revanche, les communications numériques, qui englobent les inventions liées aux réseaux mobiles, ont connu une baisse de 6,3%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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