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Le recrutement dans le secteur de la construction : les défis de l'intérim en 2024

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Défis emploi construction
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Le secteur de la construction fait face à des enjeux majeurs en termes de gestion des ressources humaines, notamment en ce qui concerne l'emploi temporaire. Les professionnels des ressources humaines se retrouvent à jouer un rôle crucial pour attirer et gérer efficacement ces travailleurs essentiels, tout en améliorant l'image de l'employeur dans un marché très compétitif.

Gestion de l'intérim comme levier d'attractivité

Dans l'industrie de la construction, où les travailleurs intérimaires peuvent représenter jusqu'à 40% de la main-d'œuvre sur un chantier, une gestion stratégique s'avère indispensable. Cette gestion va bien au-delà du simple recrutement : elle englobe l'intégration, le suivi et la satisfaction des besoins en compétences spécialisées à court terme. Ces pratiques visent non seulement à assurer la fluidité des opérations sur le chantier, mais également à construire une marque employeur attrayante.

Une gestion efficace de l'intérim implique de comprendre les exigences spécifiques de chaque projet et de les concilier avec les compétences et les disponibilités des travailleurs intérimaires. Cela nécessite une coordination étroite entre les agences de placement et les entreprises de construction pour s'assurer que les bonnes personnes sont au bon endroit et au bon moment.

En s'associant à des agences spécialisées telles que Pemsa, les entreprises de construction peuvent accéder à un vivier de talents qualifiés et adaptés aux exigences du secteur. Ces agences offrent des solutions d'emploi flexibles et sur mesure, ce qui permet aux entreprises de répondre efficacement aux défis changeants du marché du travail dans le domaine de la construction. En fin de compte, une gestion efficace de l'intérim contribue à renforcer la réputation de l'entreprise en tant qu'employeur de choix, attirant ainsi les meilleurs talents et favorisant la croissance et le succès à long terme.

L'urgence de trouver les bons profils

Face à une pénurie criante de main-d’œuvre qualifiée dans le domaine du BTP, identifier et embaucher rapidement les bons candidats devient une priorité. La complexité s’accroît avec les contraintes techniques, administratives et réglementaires spécifiques aux métiers du bâtiment, nécessitant ainsi une expertise aiguisée chez les gestionnaires RH et un système agile. Chaque projet de construction réclame une adaptation rapide aux normes en vigueur, impliquant des vérifications régulières des qualifications et des conditions de sécurité respectées par les intérimaires. Le moindre écart dans la gestion peut entraîner des retards, des coûts supplémentaires ou des risques juridiques accentués.

Il est à noter que les accidents de travail sont quatre fois plus fréquents chez les travailleurs temporaires que chez les permanents, ce qui souligne l'importance d'une formation adéquate et d’une supervision attentive. Cela implique également un besoin accru en technologies innovantes pour garantir la conformité et minimiser les erreurs.

Solutions technologiques : clés de l'efficacité en matière d'intérim

L'avènement des outils numériques dédiés offre des perspectives prometteuses pour optimiser la gestion de l'intérim. Des plateformes spécialisées permettent désormais l'amélioration continue du processus d'embauche, depuis le contrat initial jusqu’à la facturation automatisée, prenant en charge même les aspects les plus complexes du cadre légal français.

Une gestion réussie de la force laborieuse temporaire reflète positivement la réputation de l'entreprise. En offrant des conditions de travail dignes et sécurisées, et en témoignant d'un engagement envers la qualité et la responsabilité, les entreprises renforcent inévitablement leur attractivité vis-à-vis des futurs candidats.

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Se reconvertir à 40 ans: passer de salarié à entrepreneur

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(Licence Unsplash @krakenimages)
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Depuis que la réforme AVS 21 relève progressivement l’âge de la retraite des femmes et incite tous les actifs à travailler plus longtemps, l’idée de devenir son propre patron séduit de plus en plus de quadragénaires. En 2024, la Suisse a enregistré près de 53’000 créations d’entreprises, un record historique qui confirme la vitalité entrepreneuriale du pays.

Sur le terrain, beaucoup de ces nouvelles sociétés ont été fondées par des salariés expérimentés désireux de transformer leur expertise en activité indépendante plutôt que de changer d’employeur.

Au premier tiers de leur réflexion, beaucoup se tournent vers Entreprendre.ch: la plateforme romande, qui alimente une chaîne YouTube (lien: https://www.youtube.com/@romain-entreprendre?sub_confirmation=1) riche de tutoriels pratiques, accompagne chaque année plusieurs centaines de reconversions et publie des guides gratuits sur la création de Sàrl ou de SA.

Du préavis au business-plan: neuf mois de préparation

Tout projet sérieux commence par un bilan de compétences et un budget prévisionnel. Parce que le contrat de travail impose un devoir de loyauté jusqu’au dernier jour, il est prudent d’informer son employeur avant de tester son idée sur le marché.

La plupart des cadres réservent trois à six mois pour constituer leur réseau, sonder leurs futurs clients et bâtir un business-plan réaliste. Les banques, désormais familières des parcours de reconversion, demandent généralement des chiffres précis sur la marge brute et la trésorerie des douze premiers mois. Le préavis légal — souvent trois mois pour les employés — offre la fenêtre idéale pour finaliser le montage juridique.

Choisir sa structure: Sàrl ou SA?

A 40 ans, beaucoup d’entrepreneurs visent la Sàrl: son capital minimum de 20’000 francs est abordable et la responsabilité se limite à cette somme. Pour un projet très capitalistique ou destiné à lever des fonds, la SA reste pertinente: 100’000 francs de capital, dont 50’000 libérés à la constitution et une image plus «corporate» auprès des investisseurs. Dans les deux cas, un notaire rédige l’acte de fondation et dépose le dossier au registre du commerce.

Financer le saut: deuxième pilier, épargne et cautionnement

Le recours au deuxième pilier attire les candidats à la reconversion: la loi autorise le retrait du capital LPP pour créer une entreprise, mais seulement après avoir quitté tout emploi salarié rémunéré plus de 21’330 francs par an et uniquement pour la création d’une raison individuelle (RI).

Avant de puiser dans cette épargne retraite, Romain Prieur, fondateur d’entreprendre.ch rappelle qu’il faut mesurer la perte de couverture en cas d’invalidité et prévoir une assurance complémentaire.

L’année 1: consolider plutôt que brûler les étapes

Les statistiques du SECO montrent que la moitié des défaillances surviennent dans les vingt-quatre premiers mois.

Pour réduire ce risque, les experts recommandent une discipline de trésorerie stricte: facturer sans délai, provisionner la TVA, négocier des acomptes avec les clients et sécuriser une ligne de crédit avant d’en avoir besoin. Un tableau de bord mensuel — chiffre d’affaires, marge, liquidités — devient l’outil de pilotage indispensable.

La reconversion à 40 ans n’est donc ni une fuite ni un caprice, mais un projet structuré qui s’étale sur douze à dix-huit mois.

Avec un calendrier clair, des réserves suffisantes et les bons conseils — ceux qu’Entreprendre.ch distille par vidéos et webinaires — la transition du bureau au statut de patron ressemble moins à un saut dans le vide qu’à une ascension soigneusement balisée.

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Entreprendre sans fiduciaire: liberté totale ou risque calculé?

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une femme assise à un bureau à l’aide d’un ordinateur portable
(@silverkblack - Licence Unsplash)
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La déferlante des logiciels de comptabilité «self-service» pousse de plus en plus de créateurs d’entreprise à bouder les fiduciaires.

Après tout, rien, dans la loi suisse, n’oblige une société à déléguer sa tenue des comptes; on peut tout gérer seul, comme on peut traverser l’Europe avec une simple carte routière. «La comptabilité d’une PME peut tout à fait se tenir sans fiduciaire, observe Romain Prieur, expert-comptable diplômé et fondateur de la Fiduciaire Karpeo. Mais, comme un GPS, un expert qualifié vous fait gagner du temps et évite les détours coûteux.»

Un métier non protégé qui attire les faux professionnels

Le terme «fiduciaire» n’est pas protégé en Suisse: n’importe qui peut l’imprimer sur une carte de visite sans justifier d’aucun diplôme ni d’aucune expérience.

En revanche, certains titres le sont strictement, à commencer par «expert fiduciaire diplômé» ou «expert-comptable diplômé», réservés aux professionnels qui ont réussi un examen fédéral sanctionnant plusieurs années de pratique et de formation.

Cette dualité crée une zone grise: derrière des enseignes respectables se cachent parfois des généralistes autodidactes, incapables d’endosser la responsabilité d’un bouclement erroné ou d’un contrôle fiscal.

Tenir soi-même ses livres: un choix exigeant

En théorie, une micro-entreprise peut enregistrer ses factures, établir son décompte TVA et produire son bilan annuel avec un simple tableur. La pratique est plus délicate. Les règles comptables changent chaque année, la TVA impose des ajustements trimestriels, et le fisc sanctionne le moindre retard.

Les erreurs les plus fréquentes – amortissements et provisions mal calculés, oublie des parts privées, mauvaise ventilation des achats – finissent par coûter plus cher que des honoraires de conseil. S’ajoute la pression du temps: boucler des écritures la nuit ou le week-end grignote l’énergie que l’entrepreneur devrait consacrer à ses ventes.

Reçu officiel sur surface blanche

(@ml1989 - Licence Unsplash)

Ce qu’un expert diplômé apporte vraiment

Le professionnel qualifié commence par fiabiliser la base: plan comptable adapté, conseils sur l’assujettissement à la TVA, respect des normes comptables du Code des obligations.

Il assure ensuite un dialogue permanent avec l’Administration fédérale des contributions et la caisse AVS. Surtout, il devient un copilote stratégique: analyse de marge, budget de trésorerie, optimisation fiscale, préparation d’un dossier bancaire ou d’une levée de fonds.

Conclusion: liberté encadrée plutôt que dépendance

Non, la loi n’oblige pas à recourir à une fiduciaire; oui, la gestion autonome peut fonctionner dans une très petite structure. Mais l’absence de protection du mot «fiduciaire» impose une vigilance accrue: vérifier le diplôme fédéral, le brevet ou l’adhésion à EXPERTsuisse ou à FIDUCIAIRE|SUISSE devrait être un réflexe avant de signer un mandat.

Dans la plupart des cas, confier sa comptabilité à un expert reconnu revient moins cher que de réparer, a posteriori, une erreur de déclaration. Sur la route entrepreneuriale, le GPS n’est pas obligatoire; il reste pourtant le compagnon le plus sûr pour arriver à destination, sereinement et dans les temps.

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Surfer en Suisse: Top 5 des spots de surf

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Quand on pense à la Suisse, ce sont souvent les Alpes enneigées, les lacs d'altitude et les chalets de montagne qui viennent en tête. Pourtant, le pays helvétique cache une scène de surf en pleine effervescence. Grâce à une combinaison unique entre vagues de rivières, bassins artificiels et paysages spectaculaires, la Suisse est en train de se forger une réputation surprenante auprès des passionnés de glisse. Que vous soyez débutant ou confirmé, voici notre sélection des cinq meilleurs spots pour surfer en Suisse.

Alaïa Bay, le joyau alpin du surf

Inauguré en 2021, Alaïa Bay est une véritable révolution pour le surf en Suisse. Située à Sion, au cœur des Alpes valaisannes, cette vague artificielle est la première du genre en Europe continentale. Le site utilise une technologie de pointe pour générer jusqu'à 1000 vagues par heure, offrant ainsi des conditions parfaites pour tous les niveaux, du surfeur débutant au rider confirmé.

Alaïa Bay propose différents modules d'apprentissage, avec des programmes encadrés et la possibilité de progresser à son rythme dans un environnement sécurisé. L'eau est chauffée, l'ambiance est conviviale, et le cadre naturel, avec vue sur les montagnes, est tout simplement exceptionnel. C'est un lieu idéal pour se perfectionner ou découvrir la glisse sans dépendre des aléas météorologiques.

La vague de la Reuss: surf urbain en rivière

A Lucerne, la rivière Reuss offre un autre visage du surf helvétique. En été, lorsqu'elle est alimentée par la fonte des neiges, cette rivière devient un spot apprécié des river surfers. La vague se forme en plein cœur de la ville, au niveau du barrage de Mühleplatz. Ici, on surfe en pleine zone urbaine, avec les passants qui regardent depuis les ponts et les terrasses alentour.

Cependant, les conditions idéales pour surfer la Reuss deviennent de plus en plus rares. Le débit naturel de la rivière n'est généralement plus suffisant pour former une vague exploitable, sauf après de fortes précipitations. Après un gros orage, les surfeurs disposent d'une fenêtre d'environ deux jours pour profiter du spot, avant que le niveau de l'eau ne redescende. Cette pratique reste réservée aux plus aguerris : les courants peuvent devenir imprévisibles et certains tourbillons sont capables d'entraîner brièvement les surfeurs sous la surface. La vigilance est donc de rigueur.

Murg: Foil Surf sur le lac de Walenstadt

Moins connue, la région de Murg, sur les rives du lac de Walenstadt (Walensee), offre parfois des conditions favorables pour le surf tracté ou le foil surf, notamment lorsque le Föhn souffle fort ou qu'une houle thermique se forme. Le foil, qui permet de « voler » au-dessus de l'eau grâce à une aile immergée, est particulièrement bien adapté aux plans d'eau plats comme celui-ci.

C'est un spot à surveiller pour les amateurs d'expériences alternatives, notamment ceux qui utilisent des foilboards ou des planches plus techniques. L'environnement est spectaculaire, avec les montagnes plongeant dans les eaux turquoise du lac, offrant une toile de fond presque irréelle à vos sessions glisse.

L'Aar à Thoune : la perle bernoise

Thoune, dans le canton de Berne, est une autre ville où le surf a trouvé sa place grâce à la rivière Aar. A proximité du centre-ville, une vague se forme à l'endroit où le courant s'accélère, créant une rampe naturelle pour les surfeurs. Très populaire l'été, ce spot bénéficie d'un accès facile et d'une ambiance très détendue.

Les riders s'y retrouvent pour des sessions conviviales en fin de journée ou le week-end, et il n'est pas rare d'y croiser des spectateurs curieux. Ici encore, un bon niveau est requis, car la vague peut être puissante selon le débit de la rivière. Une tenue adaptée, notamment une combinaison, est également nécessaire en raison de la fraîcheur de l'eau.

Bremgarten en Argovie: la vague mythique Suisse

Considérée comme la "mère" du surf en rivière en Suisse, la vague de Bremgarten, sur la rivière Reuss, est un incontournable pour les passionnés de glisse. Elle apparaît généralement au printemps, quand le débit du fleuve devient suffisamment fort. L'endroit est très fréquenté, et sa renommée attire aussi bien des Suisses que des surfeurs venus d'Allemagne ou d'Autriche.

Le cadre naturel et la dynamique de la vague en font un lieu très photogénique, mais aussi exigeant. Il est recommandé de s'y rendre bien équipé et informé des conditions hydrologiques du jour. Pour les passionnés à la recherche d'une session intense et authentique, Bremgarten est une étape obligée.

Quel équipement pour surfer en Suisse?

Surfer en Suisse demande un équipement adapté, notamment en raison des températures plus fraîches de l'eau, même en été. Une bonne combinaison néoprène est souvent indispensable. Pour les spots de rivière, choisir son surfboard est essentiel: il faut généralement opter pour une planche plus courte et plus maniable qu'en mer.

Pour obtenir du matériel de qualité et des conseils adaptés à tous les niveaux de pratique, il est judicieux de se tourner vers un surf shop spécialisé. Ces boutiques gérées par des passionnés offrent un accompagnement personnalisé pour choisir son équipement selon le type de vague et son niveau.

De plus, choisir son surfboard ne se résume pas à la taille ou à la forme: il faut aussi prendre en compte le type de spot fréquenté, la flottabilité, les dérives, ou encore le matériau de fabrication. Un surfboard adapté permet de progresser plus rapidement et de profiter pleinement des sessions, que ce soit en rivière ou dans un bassin artificiel comme Alaïa Bay.

Une nouvelle destination surf en Europe

La Suisse n'est peut-être pas une destination de surf traditionnelle, mais elle a su transformer ses particularités géographiques en véritables atouts pour les amateurs de sports de glisse. Avec des installations de pointe, des communautés locales dynamiques et des paysages à couper le souffle, le pays s'impose comme une destination surprenante pour les passionnés. Le printemps et l'été restent les saisons les plus propices pour explorer ces spots, bien que certains soient praticables dès que les conditions le permettent.

Entre innovations technologiques et respect des éléments naturels, surfer en Suisse, c'est vivre une expérience à la fois sportive et contemplative. Une alternative séduisante pour celles et ceux qui veulent surfer autrement, loin des foules des côtes océaniques.

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Mobilité et vie quotidienne en Suisse romande: comment bien choisir son véhicule en 2025?

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Business decisions concept with traffic signs
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Alors que les enjeux liés à la mobilité durable ne cessent de prendre de l’ampleur, les automobilistes de Suisse romande se retrouvent en 2025 face à une question centrale: comment choisir un véhicule adapté à son mode de vie, à son environnement et aux nouvelles exigences écologiques?

Une mobilité locale en pleine mutation

Que l’on vive à Lausanne, Genève, Neuchâtel ou en Valais, la voiture reste un moyen de transport incontournable dans de nombreuses situations: trajets domicile-travail, déplacements en campagne, virées en montagne ou voyages familiaux.

Mais les habitudes changent. La densification urbaine, les incitations à l’électromobilité et la fiscalité cantonale différenciée influencent directement les décisions d’achat. Par exemple, certains cantons appliquent des taxes sur les véhicules thermiques plus élevées que sur les hybrides rechargeables ou les 100% électriques.

Thermique, hybride, électrique: quelle technologie pour quel usage?

L’offre automobile s’est diversifiée, mais toutes les motorisations ne conviennent pas à tous les profils.

• Les véhicules électriques séduisent en ville, avec des bornes de recharge en croissance, bien que le relief suisse et les trajets longs puissent encore freiner certains conducteurs.
• Les hybrides rechargeables représentent une solution intermédiaire attractive: moins de dépendance au tout-électrique, tout en respectant les critères environnementaux.
• Les modèles thermiques modernes demeurent pertinents dans les régions plus rurales ou pour ceux qui parcourent de longues distances sans avoir toujours accès à la recharge.

Bien définir ses besoins

Avant de se décider, il est utile de se poser les bonnes questions:
• Vais-je principalement rouler en ville ou sur autoroute?
• Mon canton offre-t-il des avantages fiscaux pour l’hybride ou l’électrique?
• Ai-je besoin d’espace pour une famille, d’un coffre généreux, d’un véhicule haut sur route?
• Quelle est ma capacité de recharge à domicile ou sur mon lieu de travail?

Pour de nombreux Romands, un véhicule polyvalent, confortable et modulaire est souvent recherché. C’est notamment le cas des SUV compacts hybrides, qui répondent à un large éventail de besoins: trajet urbain, escapade en montagne, et conduite économe.

Exemples de modèles adaptés: polyvalence et sobriété

Dans cette catégorie, certains modèles se distinguent par leur équilibre entre style, technologie et consommation raisonnée. C’est notamment le cas du Peugeot 3008, disponible en version hybride rechargeable. Il offre un confort de conduite appréciable sur tous types de routes romandes, un bon volume intérieur, ainsi que des aides à la conduite moderne. Ce type de véhicule séduit ceux qui cherchent à réconcilier plaisir de conduite et sens des responsabilités écologiques.

Acheter en Suisse romande: quelques conseils pratiques

• Comparer les coûts totaux (taxe annuelle, consommation, assurance, entretien)
• Profiter des offres des concessionnaires régionaux (souvent des essais gratuits ou conditions préférentielles)
• Se renseigner sur la valeur de revente d’un modèle sur le marché suisse
• Anticiper les normes qui évolueront d’ici 2030 (zones à faibles émissions, péages, etc.)

Conclusion: un choix de raison... et de terrain

En 2025, acheter un véhicule en Suisse romande, c’est plus que jamais un choix de mode de vie. Il ne s’agit plus simplement de performance ou de budget, mais de cohérence avec sa manière de se déplacer, de consommer et de vivre dans une région aussi variée que la nôtre.
Poser les bonnes questions, comprendre ses propres habitudes et se tourner vers des véhicules évolutifs, comme certains SUV hybrides compacts, permet de rouler en toute sérénité... et en accord avec son temps.

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Créer son entreprise en Suisse: les 5 erreurs à éviter

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Portrait of confident businessman sitting at table. Smiling mature entrepreneur is at coworking space. He is using laptop.
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Créer une entreprise en Suisse est une aventure passionnante, mais semée d’écueils pour qui ne maîtrise pas parfaitement les démarches. Trop souvent, des erreurs apparemment anodines finissent par ralentir le processus, générer des frais imprévus, ou pire, compromettre le projet dès ses débuts. Heureusement, des solutions existent pour simplifier cette étape décisive. Parmi elles, NewCo, plateforme suisse de création d’entreprise, s’impose comme un allié de choix pour les futurs fondateurs.

Dans ce publireportage, nous vous présentons les 5 erreurs les plus fréquentes lors de la création d’une société en Suisse, et comment les éviter grâce à l’accompagnement de NewCo.

1. Mal choisir la forme juridique de son entreprise

C’est l’une des décisions les plus importantes : la forme juridique que vous choisissez va déterminer votre fiscalité et votre responsabilité personnelle et bien plus encore. Pourtant, nombre de fondateurs optent trop rapidement pour une structure inadaptée, sans tenir compte de leur activité, de leur capital ou du nombre d’associés.

Avec NewCo, vous bénéficiez d’un outil interactif qui vous guide à travers 12 questions clés pour identifier la forme juridique idéale selon vos besoins. Que vous envisagiez une Sàrl, une SA ou une raison individuelle, vous faites un choix éclairé, accompagné par des juristes spécialisés.

2. Négliger la rédaction des documents constitutifs

Statuts, but social, répartition du capital, organes : ces éléments doivent être parfaitement rédigés pour que votre dossier soit accepté par le Registre du commerce. Une formulation imprécise ou non conforme peut entraîner des retards importants, voire un refus d’inscription.

Chez NewCo, ce sont des juristes expérimentés qui rédigent et valident vos documents constitutifs. Le tout est préparé sous 24h, garantissant un dossier solide, clair et conforme à la législation en vigueur.

3. Sous-estimer la complexité des démarches administratives

Ouvrir un compte de consignation, légaliser votre signature, tenir l’assemblée constitutive par-devant un notaire, déposer les documents au Registre du commerce… Ces étapes sont indispensables, mais chronophages et parfois complexes à gérer seul.

Avec NewCo, tout se passe à distance. Vous réalisez votre demande en ligne, puis signez vos documents avant de les transmettre à NewCo. Le notaire établit ensuite l’acte constitutif et dépose le dossier complet pour vous. Résultat : vous gagnez un temps précieux, sans déplacement.

4. Mal anticiper les frais de création

Créer une société implique des coûts : notaire, Registre du commerce, dépôt du capital, honoraires juridiques… Ne pas anticiper ces frais peut bloquer votre projet à un moment critique.

NewCo vous propose des forfaits dès CHF 490.–, frais de notaire inclus. Vous bénéficiez d’une transparence totale sur les coûts, et d’un accompagnement complet jusqu’à l’inscription de votre entreprise.

5. Se décourager ou se précipiter

Créer une entreprise, c’est aussi gérer l’équilibre entre motivation et endurance. Certains fondateurs se lancent sans préparation, d’autres abandonnent au premier obstacle administratif. Le risque ? Passer à côté d’un projet viable par manque d’encadrement.

Avec NewCo, vous avancez étape par étape, avec un accompagnement humain et professionnel, jusqu’à l’inscription de votre société au Registre du commerce. Et le tout dans un temps record.

Créez votre entreprise avec NewCo : simple, rapide, complet

NewCo simplifie la création d’entreprise en Suisse grâce à un processus digital unique :

  1. Ouvrez un compte et choisissez votre forfait (dès CHF 490.–, frais de notaire compris)
  2. Complétez les informations clés (nom, but, siège, forme juridique, etc.)
  3. Les juristes de NewCo préparent vos documents constitutifs sous 24h
  4. Signez à distance grâce à l’application de légalisation développée par NewCo et envoyez les documents signés par la poste à NewCo
  5. Le notaire établit l’acte et dépose le dossier au Registre du commerce
  6. Votre société est inscrite en moins de 2 semaines à compter du dépôt du dossier au Registre du commerce

Prêt à vous lancer ?

Faites appel à NewCo et créez votre société en Suisse, sans stress, sans déplacement, et sans erreur.

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