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Politique

Ursula Eggenberger assure l'intérim à la Chancellerie fédérale

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Ursula Eggenberger dirige la section Communication de la Chancellerie fédérale depuis 2011 (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Suite à la mort subite vendredi du porte-parole du Conseil fédéral, André Simonazzi, le Conseil fédéral a nommé mercredi Ursula Eggenberger vice-chancelière ad intérim. Elle était le bras droit de M. Simonazzi.

Le vice-chancelier et porte-parole du Conseil fédéral était investi d’une fonction clef. Il assurait la coordination de la communication gouvernementale, la planification et la direction des conférences de presse du Conseil fédéral et le fonctionnement de la Chancellerie fédérale.

Le poste sera rapidement mis au concours. La personne nommée pourra entrer en fonction au courant du second semestre 2024. Mme Eggenberger assura la transition et reprendra sa fonction actuelle de cheffe de la communication de la Chancellerie fédérale au terme de son intérim.

Une cérémonie d’adieu sera célébrée en hommage à M. Simonazzi en présence du Conseil fédéral le vendredi 24 mai à Berne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

ONU et FIS unis face à la menace climatique sur les sports d'hiver

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Les pentes enneigées vont devenir à terme plus inhabituelles pour les skieurs et la communauté internationale comme la Fédération internationale de ski (FIS) souhaitent davantage montrer les effets du changement climatique aux populations (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le changement climatique menace les sports d'hiver à l'avenir. Face à cette situation, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et la Fédération internationale de ski (FIS) ont signé à Genève un accord sur cinq ans pour relayer le problème auprès des populations.

Des initiatives seront lancées entre scientifiques et sportifs. Un peu moins de 5% des compétitions de la FIS ont récemment été abandonnées en raison des conditions météorologiques.

Mais "les vacances d'hiver gâchées et les rencontres sportives annulées" ne constituent qu'un petit effet du changement climatique, fait remarquer jeudi la secrétaire générale de l'OMM. Le recul des glaciers et la diminution de la couverture de neige et de glace ont déjà des répercussions importantes pour les écosystèmes, les populations et l'économie dans les régions affectées, insiste-t-elle.

Et celles-ci vont se détériorer encore dans le monde entier dans les centaines d'années prochaines. L'OMM et les institutions nationales relaieront des indications météorologiques pour aboutir à des changements concrets.

La FIS reconnaît que ses activités sont menacées à terme. Il faut "donner suite aux indications données par les études scientifiques et les analyses objectives", estime-t-elle. Une première réunion doit aider les stations de ski à mieux anticiper les effets du changement climatique sur la neige.

Selon une étude de l'année dernière dans des dizaines de pays, un réchauffement de 2°C menacerait d'une pénurie de neige plus de la moitié des stations de ski. Avec 4°C, presque toutes seraient exposées à cette situation, disait-elle également.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Présidentielle de 2020: Trump a agi à titre privé, dit l'accusation

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Outré, Donald Trump a à nouveau accusé le gouvernement démocrate sortant d'"ingérence électorale" (archives). (© KEYSTONE/AP/Andy Manis)

L'ex-président américain Donald Trump, accusé d'avoir voulu inverser les résultats de la présidentielle de 2020, a agi en tant que candidat, affirme le procureur spécial. Le républicain ne peut donc bénéficier d'une immunité présidentielle, ajoute-t-il.

Dans un volumineux argumentaire de 165 pages, publié mercredi et largement caviardé pour préserver l'anonymat des témoins, le procureur spécial Jack Smith entend démontrer le caractère privé des actes pour lesquels l'ex-président républicain est poursuivi.

Selon lui, ces actes ne sont pas couverts par la large immunité pénale reconnue au président des Etats-Unis par la cour suprême dans une décision inédite le 1er juillet.

Ce document inclut des éléments du dossier, non publiés jusqu'à présent, comme un témoignage d'un haut responsable de la Maison-Blanche à l'époque, faisant état d'une conversation surprise entre Donald Trump, sa femme, sa fille et son gendre à bord de l'hélicoptère présidentiel. "Peu importe que vous ayez gagné ou perdu l'élection, il faut se battre comme un chien", leur aurait dit Donald Trump, selon ce témoignage que l'accusation compte présenter lors d'un futur procès.

Assaut du Capitole

A la suite de sa défaite à l'élection présidentielle de 2020 remportée par le candidat démocrate Joe Biden, "avec l'aide de complices privés, l'accusé s'est lancé dans une série de plans de plus en plus désespérés pour inverser les résultats légitimes dans sept Etats qu'il avait perdus" de peu, écrit Jack Smith.

Ces tentatives ont culminé avec l'assaut du Capitole par des centaines de partisans de Donald Trump chauffés à blanc, rappelle-t-il. "Le coeur de la machination était de nature privée. Il a largement utilisé des acteurs privés et les structures de sa campagne pour tenter d'inverser les résultats de l'élection et a agi à titre privé en tant que candidat", conclut le procureur spécial.

Outré, Donald Trump a réagi à cette publication dans une série de messages sur son réseau Truth Social, dénonçant un document "truffé de faussetés" et accusant le gouvernement démocrate sortant d'"ingérence électorale".

Par une majorité de six voix contre trois - les juges conservateurs contre les progressistes - la cour suprême a considéré que le président ne jouissait "d'aucune immunité pour ses actes non officiels", mais avait "droit au moins à une présomption d'immunité pour ses actes officiels".

Visé par plusieurs procédures pénales, Donald Trump fait feu de tout bois pour passer en jugement le plus tard possible, en tout cas après le vote du 5 novembre. S'il était de nouveau élu, il pourrait, une fois investi en janvier 2025, ordonner l'arrêt des poursuites fédérales à son encontre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Plus de quinze frappes israéliennes au Liban durant la nuit

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L'armée israélienne multiplie ces derniers jours les frappes contre les positions du Hezbollah dans le sud du Liban et jusqu'à Beyrouth. (© KEYSTONE/AP/Baz Ratner)

Une frappe israélienne sur un centre de secours du Hezbollah au coeur de Beyrouth a fait sept morts jeudi avant l'aube, au lendemain de combats au sol dans le sud du Liban entre le mouvement libanais et les soldats israéliens dont huit ont péri.

L'escalade militaire entre Israël d'une part, l'Iran et le Hezbollah de l'autre, fait craindre une situation incontrôlable au Moyen-Orient, un an après l'attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 par le Hamas palestinien sur le sol israélien, qui a déclenché la guerre à Gaza.

Outre ses offensives dévastatrices et meurtrières contre le Hamas et le Hezbollah, des alliés de l'Iran, son ennemi juré, Israël menace de riposter aux tirs de près de 200 missiles iraniens mardi contre son territoire.

Sur le front nord, au Liban, Israël a intensifié depuis la mi-septembre ses frappes contre le Hezbollah qui avait lancé les hostilités contre lui en soutien au Hamas le 8 octobre. Il a lancé une opération terrestre lundi dans le sud du Liban.

Une frappe israélienne a touché le coeur de Beyrouth avant l'aube, atteignant le "centre de protection civile" du Hezbollah à Bachoura, un quartier densément peuplé à majorité chiite, situé juste à côté du centre commercial de Beyrouth et non loin du siège du gouvernement, selon le mouvement. Sept personnes ont été tuées selon les services de secours du mouvement.

Le deuxième étage d'un immeuble a été dévasté et des débris, des papiers et un clavier d'ordinateur jonchent la rue, a constaté un journaliste de l'AFP.

"Nous sommes des civils. Vous voyez des combattants dans les environs? Pourquoi veulent-ils détruire le toit au-dessus de nos têtes?", s'est exclamé Hassan Ammar, 82 ans, qui habitait dans l'immeuble touché après avoir fui sa maison dans le sud du Liban.

Les immeubles ont tremblé

Selon Jamal Assaf, un habitant du quartier, l'immeuble abritait de nombreux civils. "Nous étions à la maison quand soudain nous avons entendu une énorme explosion. Ils ont touché le centre de secours, qui soignait les blessés et aidait les gens."

Les violents raids nocturnes qui ont aussi visé la banlieue sud de Beyrouth, dévastée et désertée par ses habitants, ont fait trembler les murs des immeubles, selon plusieurs habitants.

Des colonnes de fumée s'élevaient dans le ciel au-dessus de la capitale jeudi matin.

Dans un communiqué, l'armée israélienne n'a pas mentionné la frappe à Beyrouth mais a fait état de raids contre quelque "200 cibles" du Hezbollah au Liban en affirmant avoir tué 15 combattants du Hezbollah dans le sud du pays.

Elle a auparavant appelé les habitants de secteurs du sud de la capitale et de ceux de villages dans le sud du Liban à les évacuer.

Israël dit vouloir faire cesser les tirs du Hezbollah vers le nord de son territoire pour permettre le retour de dizaines de milliers d'habitants poussés à la fuite en raison de ces tirs.

Nouvelle division au sud

Malgré la campagne de frappes dans laquelle Israël a affirmé avoir tué "la plupart" des chefs du Hezbollah, dont son dirigeant Hassan Nasrallah, le mouvement continue de tirer des roquettes en direction d'Israël.

Jeudi, il a affirmé que ses combattants avaient repoussé une tentative d'avancée israélienne à la frontière dans le sud du Liban.

Huit soldats israéliens ont été tués depuis le début lundi des opérations terrestres, qualifiées de "limitées", dans le sud du Liban, a indiqué l'armée qui a diffusé des images montrant des militaires se déplaçant à pied dans des villages et des zones montagneuses.

Elle a annoncé avoir déployé une deuxième division pour appuyer les troupes sur place.

Mercredi encore, Israël a tué dans une frappe à Damas Hassan al-Qassir, le gendre de Hassan Nasrallah tué le 27 septembre dans la banlieue sud de Beyrouth. Selon une source proche du Hezbollah, il était le frère de Jaafar al-Qassir, responsable du transfert d'armes de l'Iran vers le Liban, tué lui aussi par Israël.

"Pas bien se terminer"

Selon des chiffres officiels, plus de 1928 personnes ont été tuées au Liban depuis octobre 2023, dont plus de 1000 depuis les explosions des appareils de transmission du Hezbollah les 17 et 18 septembre, attribuées à Israël, et le début des bombardements aériens massifs le 23 septembre contre le sud et l'est du pays ainsi que la banlieue sud de Beyrouth.

Le gouvernement estime à environ 1,2 million le nombre de personnes déplacées par les bombardements.

Dans ce cadre, l'Union européenne a annoncé jeudi verser une nouvelle aide humanitaire de 30 millions d'euros au Liban, portant son soutien à plus de 100 millions d'euros en 2024. Il s'agit de financer une aide alimentaire d'urgence, des médicaments et des abris de fortune, a précisé la Commission.

Le Hamas et le Hezbollah sont membres d'une alliance que l'Iran qualifie d'"axe de la résistance", face à Israël.

Mardi, l'Iran a lancé sa deuxième attaque directe contre Israël, en riposte à l'assassinat de Nasrallah et d'Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas tué le 31 juillet dans une attaque à Téhéran imputée à Israël.

"L'Iran a commis une grave erreur et en paiera le prix", a averti le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a promis "une réponse plus forte" en cas de représailles.

Allié d'Israël, le président américain Joe Biden a reconnu le droit d'Israël à se défendre mais s'est dit opposé à des frappes israéliennes contre des installations nucléaires iraniennes.

"Cela ne va pas bien se terminer", la "retenue n'est pas le point fort" de M. Netanyahu, a commenté l'analyste politique Jordan Barkin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Une exposition à Genève pour entendre les sons de l'humanitaire

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Le public pourra à la fois entendre des sons et voir des oeuvres en lien avec ceux-ci lors de l'exposition au Musée de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (MICR) à Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'humanitaire peut aussi passer par des sons. L'exposition "Tuning in" au Musée de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (MICR) explore ce champ dès jeudi prochain à Genève.

Jusqu'en août 2025, les archives sonores et les collections vont dialoguer avec des productions artistiques inédites ou des oeuvres importantes. Le son, notamment la voix, contribue largement à la compréhension des défis humanitaires, affirme le MICR.

Le musée, mais aussi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et la Fédération internationale des sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), conservent de nombreux vinyles, bandes magnétiques ou cassettes. Ceux-ci seront montrés pour la première fois, aux côtés d'instruments de musique, de partitions et d'affiches de concerts remontant parfois à plus d'un siècle.

Les voix, la musique en détention et les chansons humanitaires seront notamment à l'honneur. En donnant un large rôle à l'art contemporain, l'exposition interroge l'acte d'écouter les situations humanitaires et de conserver des traces sonores.

Trois artistes l'ont alimentée avec une touche inédite. Une oeuvre sonore participative, un dispositif inspiré de recherches dans les archives du CICR et une matérialisation du son seront montrés. Pour garantir une expérience adaptée à tous les publics, le site d'exposition a été réaménagé, encore selon les organisateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Critiques sur la taxe au sac dans le canton de Vaud

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A fin 2023, plus de 85% de la population vaudoise, répartie dans 237 communes, utilise le sac à ordures "Trier, c'est valoriser" proposé par le système régional de la taxe au sac (TAS). Introduit en 2013, ce système encaisse annuellement un montant total de plus de 30 millions de francs (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La Cour des comptes vaudoise épingle le système régional de la taxe au sac et l'élimination des ordures. Dans un audit publié mercredi, elle estime nécessaire de repenser la gouvernance et d'harmoniser la gestion pour limiter les risques d'erreurs. La Cour note aussi que le principe du "pollueur-payeur" n'est pas respecté. Elle formule un total de 24 recommandations.

"C'est un audit hors normes de par le nombre d'entités auditées et de séances, de par la longueur de l'enquête", n'a pas caché la vice-présidente de la Cour des comptes Valérie Schwaar devant les médias. "C'est un domaine extrêmement compliqué et il est difficile pour les communes de comprendre toutes les subtilités du système", a-t-elle résumé.

Pour faire court, "c'est un système complètement dépourvu de pilote", a affirmé la magistrate. Elle a rappelé que dans le canton de Vaud, l'élimination des ordures était déléguée aux communes. Ces dernières sont réparties en neuf périmètres (sous forme de sociétés anonymes ou de collaborations intercommunales) de gestion des déchets chargés de la coordination entre elles. Ils correspondent donc grosso modo aux dix districts du canton.

Plus de 30 millions par an

A fin 2023, plus de 85% de la population vaudoise, répartie dans 237 communes (sur 300 au total), utilise le sac à ordures "Trier, c'est valoriser" proposé par le système régional de la taxe au sac (TAS). Introduit en 2013, celui-ci encaisse annuellement un montant total de plus de 30 millions de francs, destinés à financer l'élimination des ordures, a expliqué Mme Schwaar.

Son but est la vente de sacs taxés uniformes à un prix unique et la rétrocession de la taxe aux communes adhérentes en fonction du poids des ordures collectées. Sa mise en oeuvre est assurée par un Collège des présidents et sa Cellule financière, organes formés de représentants de six périmètres participant au système et par l'usine d'incinération Tridel, à Lausanne, mandatée en qualité de prestataire de services.

Au niveau cantonal, le Département de la jeunesse, de l'environnement et de la sécurité (DJES) exerce la haute police en la matière, alors que la Direction générale de l'environnement (DGE) est chargée de l'exécution de l'ensemble du droit de l'environnement, dont fait partie la gestion des déchets.

Conflits d'intérêts?

La Cour des comptes a mis le doigt sur plusieurs problèmes et dysfonctionnements. Bien que le Collège des présidents soit garant du bon fonctionnement de l'ensemble du système et soit compétent pour prendre les décisions stratégiques, il ne se considère pas comme organe dirigeant. Il n'a, en effet, aucune existence au sens juridique. C'est le mandataire Tridel qui encaisse le produit de la taxe en provenance du fabricant des sacs, relève l'audit.

"Il y a donc un manque centralisé de vision stratégique, de pilotage et de surveillance du système. Il y a en plus un risque de conflits d'intérêts, car Tridel siège au Collège des présidents et plusieurs présidents sont au Conseil d'administration de Tridel", relève Mme Schwaar. Elle souligne aussi que la convention instituant la taxe au sac n'est plus à jour et que le prix du sac n'a jamais été réévalué.

Bien que les six périmètres visent une gestion harmonisée du système, la Cour constate que chaque commune ne bénéficie pas d'un montant identique rétrocédé par tonne d'ordures. Elle relève aussi que "les risques d'erreurs dans la répartition de la taxe aux communes ne sont pas suffisamment gérés".

Autre souci: certaines communes "n'ont pas envie" de gérer les déchets des entreprises sur leur sol. Or la loi prévoit que les entreprises de moins de 250 EPT sont sujettes au monopole public d'éliminations des ordures. Ailleurs, des entreprises de plus de 250 EPT sont taxées par le système, alors qu'elle ne devrait pas l'être.

Canton aussi épinglé

Le canton, via le DJES, est aussi épinglé. "Alors qu'il appartient au DJES, chargé de la haute police, de jouer un rôle de régulateur et de contrôler les pratiques, il ne s'assure pas de la bonne application du cadre légal et règlementaire par les communes au travers de contrôles périodiques. Il n'a aucune visibilité sur le système TAS", écrit la Cour.

Elle observe aussi que les administrations publiques ne sont pas systématiquement facturées pour leurs déchets urbains. Dès lors, le principe du "pollueur-payeur" n'est pas appliqué à ces entités. "Les coûts d'élimination de ces déchets sont par conséquent répercutés sur les personnes et entreprises assujetties aux taxes".

La gestion des déchets urbains doit être financée exclusivement par des taxes et devrait donc constituer un domaine autofinancé. La Cour constate toutefois que cinq des six communes auditées recourent au revenu de l'impôt pour financer la gestion de ces déchets urbains.

La Cour adresse sept recommandations au Collège des présidents, qui en refuse deux. Huit recommandations sont formulées à destination des six communes auditées. Seule une commune en refuse une. Sept recommandations sont adressées à la DGE, qui les accepte toutes, et deux au DJES, qui en refuse une.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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