Rejoignez-nous

International

Trump annonce des droits de douane de 25% sur l'aluminium et acier

Publié

,

le

Lors de son premier mandat présidentiel (2017-21), Donald Trump avait déjà imposé des droits de douane sur l'acier et l'aluminium (archives). (© KEYSTONE/AP/AYAKA MCGILL)

Le président américain Donald Trump a franchi dimanche une nouvelle étape dans l'offensive commerciale qu'il a lancée dès le début de son mandat. Il a promis d'imposer 25% de droits de douane sur l'acier et l'aluminium importés aux Etats-Unis.

"J'annoncerai des droits de douane sur l'acier lundi [...] Tout l'acier arrivant aux Etats-Unis aura 25% de droits de douane", a déclaré le chef de l'Etat dans l'avion présidentiel qui le menait à la Nouvelle-Orléans pour assister au Super Bowl. Le même sort sera réservé à l'aluminium importé, a-t-il ajouté.

Lors de son premier mandat présidentiel (2017-21), Donald Trump avait déjà imposé des droits de douane sur l'acier et l'aluminium afin de protéger l'industrie américaine qu'il estimait être confrontée à une concurrence déloyale en provenance de pays asiatiques et européens.

Donald Trump a aussi affirmé dimanche qu'il annoncerait "mardi ou mercredi" des "droits de douane réciproques", afin d'aligner la taxation des produits entrant aux Etats-Unis sur la manière dont sont taxés les produits américains à l'étranger. "S'ils nous taxent à 130% et que nous ne les taxons pas, cela ne restera pas comme cela", a-t-il lancé.

"Ils nous taxent, on les taxe"

"Cela n'affectera pas tous les pays, parce que certains imposent les mêmes droits de douane que nous. Mais ceux qui profitent des Etats-Unis se verront rendre la pareille", a-t-il ajouté. "Ils nous taxent, on les taxe", avait déjà esquissé le président vendredi, lors d'une conférence de presse avec le premier ministre japonais Shigeru Ishiba.

Depuis son investiture le 20 janvier, les droits de douane sont au coeur de la politique économique et diplomatique de Donald Trump: ils sont présentés comme un moyen de résorber le déficit commercial des Etats-Unis et pour obtenir des concessions des pays visés.

Depuis mardi, les produits venant de Chine sont renchéris par des droits de douane additionnels de 10%, une mesure à laquelle Pékin va répliquer par des surtaxes ciblées sur certains produits américains à partir du 10 février.

Les nouvelles taxes chinoises portent sur 14 milliards de dollars de biens américains, tandis que les droits de douane annoncés par Donald Trump concernent 525 milliards de dollars de biens chinois.

Les exportations du Mexique et du Canada vers les Etats-Unis devaient aussi initialement se voir infliger des droits de douane (de 25%) en dépit d'un accord de libre-échange liant les trois pays d'Amérique du Nord.

"Etre prêts"

Mais Donald Trump, qui reproche à ses deux voisins de ne pas en faire assez pour juguler le trafic de drogue, leur a accordé à la dernière minute un sursis d'un mois après avoir reçu des engagements sur le renforcement de la sécurité aux frontières.

L'offensive sur les droits de douane a donné lieu à d'autres rebondissements, comme le report d'une taxation sur des colis d'une valeur de moins de 800 dollars venant de Chine.

L'Union européenne se sait dans la ligne de mire de Donald Trump, qui avait indiqué qu'il prendrait une décision "très bientôt" la concernant. Dans un entretien diffusé dimanche par la chaîne télévisée américaine CNN, le président français Emmanuel Macron a déclaré que les Européens devaient "être prêts [...] à réagir" à de nouvelles barrières douanières.

M. Macron a également mis en garde contre les conséquences d'une telle mesure pour les Américains: "Si vous imposez des droits de douane sur plusieurs secteurs, cela entraînera une augmentation des prix et créera de l'inflation aux Etats-Unis".

Donald Trump et ses équipes, qui ne cessent de promettre un "nouvel âge d'or" pour les Etats-Unis, ont jusqu'ici largement minoré ce risque, alors que la reconquête du pouvoir d'achat était au coeur de la campagne électorale du républicain.

Le déficit commercial de la première économie mondiale s'est creusé l'an dernier à près de 920 milliards de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

The Atlantic publie le plan d'attaque militaire divulgué par erreur

Publié

le

Donald Trump avait minimisé mardi cette fuite spectaculaire, la qualifiant de simple "pépin" émanant d'un journaliste "tordu". (© KEYSTONE/EPA/SHAWN THEW / POOL)

Le magazine The Atlantic a publié mercredi le plan d'attaque militaire de l'armée américaine contre les Houthis au Yémen, que son rédacteur en chef a reçu par erreur. L'administration Trump a affirmé que ces échanges n'étaient pas protégés par le secret-défense.

La publication inclut des copies d'écran de messages du ministre américain de la Défense avec les horaires précis des frappes contre le groupe rebelle du Yémen, avant que celles-ci n'aient eu lieu. Donald Trump avait minimisé mardi cette fuite spectaculaire, la qualifiant de simple "pépin" émanant d'un journaliste "tordu".

La Maison Blanche a accusé The Atlantic d'avoir monté une "supercherie".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

A son procès, Depardieu continue de nier toute agression sexuelle

Publié

le

L'acteur français continue de nier les faits qui lui sont reprochés. "Je n'ai pas commis d'agression sexuelle, une agression c'est plus grave que ça je crois", a-t-il dit devant le tribunal. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Au 3e jour du procès de Gérard Depardieu pour agressions sexuelles, l'acteur et Sarah, la seconde plaignante, ont livré mercredi des versions différentes devant le tribunal correctionnel de Paris. Lui niant l'avoir touchée, elle se remémorant "sa main sur (sa) fesse".

"Je l'ai peut-être frôlée avec le dos dans le couloir, mais je ne l'ai pas touchée !", affirme à la barre Gérard Depardieu, niant une nouvelle fois toute agression sur le tournage du film "Les Volets verts". La veille, il avait déjà nié s'en être pris à l'autre plaignante. "Je n'ai pas commis d'agression sexuelle, une agression c'est plus grave que ça je crois", ajoute l'acteur français.

Gérard Depardieu, 76 ans, raconte n'être jamais seul sur un tournage, toujours accompagné de son équipe. Ce n'est pas ce dont se souvient Sarah, troisième assistante sur le film, chargée, le 1er septembre 2021, d'accompagner l'acteur de la loge vers le plateau.

"J'ai dit non !"

"Ce soir-là, son équipe n'est pas là", décrit la jeune femme. "On est parti des loges, il faisait nuit et au bout de la rue, il a mis la main sur ma fesse, il l'a posée tranquillement", a mimé Sarah, debout à la barre, à quelques mètres de Gérard Depardieu.

Sarah, 34 ans, indique avoir été agressée ensuite à deux reprises, touchée sur les fesses et sur les seins. Les deux dernières fois, assure-t-elle, "j'ai dit non !", passée la sidération.

"Balance", "folle"

L'assistante explique avoir d'abord gardé ces épisodes pour elle par peur des conséquences sur son travail, avant d'en parler à sa responsable. C'est cette dernière qui aurait contacté la production du film pour demander des excuses à Gérard Depardieu.

Il s'est excusé "de façon assez énervée", se souvient Sarah, ajoutant qu'ensuite, il lui a fait vivre un enfer, la traitant "de balance", "de folle" et refusant de travailler avec elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

International

Khartoum:l'armée reprend l'aéroport, revers pour les paramilitaires

Publié

le

Après un an et demi de revers, la situation s'est inversée à la fin 2024 au profit de l'armée, à la faveur d'une contre-offensive dans le centre du Soudan qui a délogé les FSR de leurs bastions. Mais selon des analystes, ces gains, bien qu'importants, ne mettront probablement pas fin à la guerre. (© KEYSTONE/EPA/KHALED EL FIQI)

L'armée a repris mercredi le contrôle de l'aéroport de Khartoum après avoir chassé les paramilitaires d'une grande partie de la capitale du Soudan. Elle a ainsi infligé un nouveau revers à ses adversaires, a indiqué une source militaire.

Les troupes ont "sécurisé complètement" l'aéroport international, où les paramilitaires étaient positionnés, a déclaré à l'AFP la source militaire.

Elles ont également "encerclé la zone stratégique de Jebel Awliya", le dernier grand bastion des Forces de soutien rapide (FSR) dans la région de Khartoum, "depuis le nord, le sud et l'est", a-t-elle ajouté, sous couvert de l'anonymat.

L'armée a lancé en janvier une offensive pour reprendre la capitale après en voir été chassée par les FSR après le début de la guerre en avril 2023.

Dizaines de milliers de morts

Cette guerre, qui oppose les paramilitaires des FSR de Mohamed Hamdane Daglo à l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane, deux anciens alliés devenus rivaux, a fait des dizaines de milliers de morts, déraciné plus de 12 millions de personnes et provoqué une crise humanitaire majeure.

Vendredi dernier, l'armée a repris le palais présidentiel à Khartoum. Elle a ensuite lancé une "opération de nettoyage" visant à chasser les paramilitaires des principales institutions de la capitale, reprenant samedi la banque centrale, le siège des services de renseignement et le Musée national.

Deux sources médicales ont indiqué à l'AFP que les FSR avaient évacué l'hôpital Tamayoz, situé juste au sud de l'aéroport, qu'elles utilisaient depuis le début de la guerre pour soigner leurs combattants.

"Le quartier est complètement déserté par les FSR depuis mercredi soir", a déclaré à l'AFP Ossama Abdel Qader, un habitant du quartier voisin de Sahafa.

Dernière liaison pour les paramilitaires

L'armée a également sécurisé mercredi les deux côtés du pont Manshiya qui traverse le Nil Bleu à Khartoum, ne laissant aux FSR que le pont de Jebel Awliya pour battre en retraite de la zone.

Selon des témoins et des militants, interrogés ces derniers jours par l'AFP, les paramilitaires se sont retirés, vers le sud de Khartoum apparemment en direction de Jebel Awliya.

Pour les FSR, le pont Jebel Awliya, qui traverse le Nil Blanc, est la dernière liaison pour rejoindre l'ouest du pays depuis la capitale, notamment vers le Darfour, une région presque entièrement sous leur contrôle.

Pires atrocités au Darfour

La vaste région du Darfour a été le théâtre de certaines des pires atrocités de la guerre: des bombardements avec des barils explosifs sur des zones civiles, des attaques des paramilitaires sur des camps de déplacés touchés par la famine et des violences ethniques.

El-Facher, chef-lieu du Darfour-Nord, est la seule capitale provinciale du Darfour qui échappe aux FSR. Les paramilitaires assiègent El-Facher depuis dix mois et mènent régulièrement des attaques contre les camps de déplacés l'entourant.

Situation inversée au profit de l'armée

Après un an et demi de revers, la situation s'est inversée à la fin 2024 au profit de l'armée, à la faveur d'une contre-offensive dans le centre du Soudan qui a délogé les FSR de leurs bastions.

Des analystes ont averti que les gains de l'armée, bien qu'importants, ne mettront probablement pas fin à la guerre, où les deux belligérants sont accusés de crimes de guerre contre les civils, notamment les bombardements aveugles de marchés et de quartiers habités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Blanchiment record des coraux sur la côte ouest de l'Australie

Publié

le

Récif de Ningaloo. A partir d'un seuil critique, la hausse des températures de surface des océans provoque un blanchiment des coraux, qui peut aboutir à la mort de récifs entiers. (© KEYSTONE/EPA/NATALIE ROSSER)

Un blanchiment record de coraux a été observé au large de la côte occidentale de l'Australie. Cela après qu'une vague de chaleur marine a littéralement "cuit" ceux-ci pendant l'été austral, s'est alarmé mercredi une ONG locale.

Le récif de Ningaloo, inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco et réputé pour servir notamment de vivier aux requins, a connu cet été une dégradation "sans précédent" depuis 2011, selon de premières estimations, a indiqué l'océanologue Kate Quigley, de l'ONG Minderoo Foundation.

"La chaleur de l'océan a littéralement cuit les coraux cette année", a indiqué à l'AFP cette spécialiste. Si l'étendue totale des dommages subis par ce récif de quelque 300 km de long doit encore être établie, les premiers constats montrent qu'ils sont de grande ampleur.

Dégâts profonds sur plusieurs espèces

"Ils sont profonds, ce n'est pas seulement la partie supérieure du récif qui blanchit. Et plusieurs espèces différentes de coraux blanchissent", a souligné la scientifique.

La température des eaux sur la côte ouest de l'Australie a atteint jusqu'à 3°C de plus que la moyenne cet été, selon les services météorologiques d'Etat.

A partir d'un seuil critique, la hausse des températures de surface des océans provoque un blanchiment des coraux, qui peut aboutir à la mort de récifs entiers.

En pratique, elle se traduit par une disparition des polypes des coraux et ne laisse apparaître que le squelette calcaire de ces superorganismes.

Grande barrière aussi affectée

Le blanchiment a cette année également ponctuellement affecté la Grande barrière de corail, sur la côte est de l'Australie, selon des données gouvernementales.

Un blanchiment simultané de ces deux récifs distants de plusieurs milliers de kilomètres et appartenant à des registres climatiques distincts est un phénomène rare, a relevé Mme Quigley.

"Le réchauffement de l'océan est si important qu'il l'emporte par endroits sur les spécificités locales", estime l'océanologue, qui juge cette évolution "extrêmement préoccupante".

Cinq blanchiments de masse ces dernières années

Si elle apparaît relativement épargnée à ce stade cet été, la Grande barrière de corail a connu cinq épisodes de blanchiment de masse ces dernières années (2016, 2017, 2020, 2022 et 2024).

Particulièrement fragiles, les récifs coralliens abritent une riche faune et protègent les littoraux en servant de brise-lames.

L'année 2024 a été marquée par les températures les plus élevées jamais observées dans le monde, dans un contexte de changement climatique lié à l'activité humaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

La BCE "hostile" à une dérégulation excessive des banques

Publié

le

Les mastodontes bancaires du Vieux continent s'estiment volontiers désavantagés en matière de réglementation vis-à-vis de leurs homologues étasuniens. (archive) (© KEYSTONE/DPA/ARNE DEDERT)

La Banque centrale européenne se montre réservée face aux dérégulations bancaires américaines et aux demandes similaires des banques européennes, censées améliorer leur compétitivité.

"Il faut toujours aborder la réglementation bancaire avec prudence", a déclaré Patrick Montagner, membre du Conseil de surveillance prudentielle au sein de la BCE, dans un entretien à l'AFP.

Car "le secteur bancaire est par nature un domaine qui peut générer beaucoup d'instabilité", souligne le haut responsable au sein du gendarme des quelques 110 plus grandes banques européennes, dont Deutsche Bank, BNP Paribas et UniCredit.

Ses commentaires surviennent alors que les banques européennes expriment régulièrement des préoccupations concernant leur compétitivité vis-à-vis de leurs concurrentes américaines, notamment en raison de la réglementation bancaire plus stricte en Europe.

Elles demandent une simplification des règles prudentielles, voire l'abolition de certaines exigences.

"Si, pour les acteurs qui en font la demande, la simplification signifie la suppression de certaines règles au détriment de la résilience du système bancaire, cela ne correspond pas à notre approche", martèle l'ancien premier secrétaire général adjoint de l'ACPR, le surveillant français des banques et assurances.

La BCE "sera hostile à ce type de simplification, mais in fine le législateur décidera", dit-il.

Risque de crédit

La vigilance est de mise car "un cycle massif de dérégulation a déjà eu lieu de la fin des années 1990 au milieu des années 2000", entraînant "une série de crises localisées, avant le choc global de 2008", rappelle M. Montagner.

L'instabilité du secteur financier s'est de nouveau manifestée en 2023 avec la crise des banques régionales aux États-Unis, due à une régulation insuffisante, ce qui a nécessité "une intervention fédérale pour y mettre fin", rappelle le superviseur.

M. Montagner se dit par ailleurs convaincu que "la réglementation bancaire n'a jamais freiné la croissance économique des pays, contrairement aux crises bancaires".

L'Europe rabote ces temps-ci ses prévisions économiques et ce "en raison des perspectives de guerre commerciale et d'autres facteurs géopolitiques", dit-il.

Cela risque probablement "d'entraîner une dégradation du risque de crédit et une hausse des créances douteuses", selon le banquier central.

"La question est : dans quelle proportion ? C'est une interrogation à laquelle tout le monde cherche des réponses".

La croissance économique ne dépend pas uniquement des taux d'intérêt, que la BCE réduit pour soulager les entreprises et les ménages emprunteurs. Ce sujet est plus généralement lié "à la productivité, aux conditions de l'offre et de la demande", de même qu'aux "obstacles aux échanges commerciaux susceptibles d'affecter plusieurs secteurs et plus largement l'économie", selon M. Montagner.

Retard des règles de Bâle

La Commission européenne publiera en 2026 un rapport sur la situation du système bancaire dans le marché unique, y compris sa compétitivité, a-t-elle annoncé le 19 mars.

"La BCE, forte de son expertise, est prête à participer à ces travaux", affirme M. Montagner.

L'institution est sous pression, alors que la mise en oeuvre d'une dernière mouture des accords de Bâle, destinés à renforcer le secteur financier après la crise de 2008, rencontre des difficultés.

Les États-Unis ont retardé leur application à 2028 et envisagent même de réduire certaines régulations.

Un indice supplémentaire : la nomination de Michelle Bowman, défenseuse d'une réglementation bancaire plus souple, la semaine dernière par l'administration Trump à la vice-présidence de la Réserve fédérale.

A la suite de leur lobbying intense, les grandes banques de Wall Street ont réussi à échapper, pour l'instant, aux règles déterminant leurs niveaux de fonds propres en fonction de leurs positions de négoce sur les marchés.

La Commission européenne a reporté l'application de ces mêmes règles à 2026, avec la possibilité de repousser encore d'un an, alors que Royaume-Uni a lui déjà suspendu leur implémentation jusqu'en 2027.

La BCE sera la encore prête à "apporter son expertise" aux futurs débats du Parlement et du Conseil de l'Union européenne sur le sujet, conclut M. Montagner.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

EconomieIl y a 11 minutes

La justice européenne maintient sa sanction contre UBS

La Cour de justice de l'Union européenne a confirmé sa sanction contre UBS, dans une affaire d'entente concernant plusieurs banques...

SuisseIl y a 12 minutes

L'identité électronique suisse ouverte en phase-test gratuite

La population, le secteur privé et les autorités peuvent tester gratuitement dès mercredi l'identité électronique...

CultureIl y a 20 minutes

The Atlantic publie le plan d'attaque militaire divulgué par erreur

Le magazine The Atlantic a publié mercredi le plan d'attaque militaire de l'armée américaine contre...

CultureIl y a 46 minutes

Eurovision: Bastian Baker et cie chanteront les titres vainqueurs

Bastian Baker et d'autres chanteurs suisses vont reprendre les titres, qui ont gagné à l'Eurovision...

CultureIl y a 2 heures

A son procès, Depardieu continue de nier toute agression sexuelle

Au 3e jour du procès de Gérard Depardieu pour agressions sexuelles, l'acteur et Sarah, la...

SuisseIl y a 2 heures

Genève aéroport: une ligne directe pour Shangai ouvrira le 16 juin

L'aéroport de Genève a annoncé mercredi l'ouverture d'une ligne directe vers et en provenance de...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Le gymnase de Pully fermé à la suite d'une alerte à la bombe

Une alerte à la bombe visant le gymnase de Chamblandes à Pully (VD) a empêché...

InternationalIl y a 2 heures

Khartoum:l'armée reprend l'aéroport, revers pour les paramilitaires

L'armée a repris mercredi le contrôle de l'aéroport de Khartoum après avoir chassé les paramilitaires...

SuisseIl y a 3 heures

Berne veut pouvoir mieux lutter contre le frelon asiatique

La Confédération souhaite pouvoir mieux lutter contre le frelon asiatique. Une procédure de consultation raccourcie...

InternationalIl y a 3 heures

Blanchiment record des coraux sur la côte ouest de l'Australie

Un blanchiment record de coraux a été observé au large de la côte occidentale de...