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Politique

Soupçons de signatures falsifiées: voeu d'une enquête du Parlement

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La présidente de la commission des institutions politiques du National Greta Gysin (Vert-e-s/TI) a dit qu'il était trop tôt pour demander des changements de loi. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les organes de contrôle du Parlement doivent enquêter sur les soupçons de signatures falsifiées pour des initiatives populaires. La commission des institutions politiques du National a décidé jeudi de transmettre une lettre en ce sens à sa commission de gestion.

Il est important d'éclaircir où se trouvent les problèmes, de déterminer si des entreprises commerciales ont agi de manière abusive, de voir s'il y a un besoin de changement et où le Parlement peut agir, a énuméré la présidente de la commission Greta Gysin (Vert-e-s/TI) devant les médias à Berne.

La décision fait suite à des révélations de soupçons de signatures falsifiées pour des initiatives populaires, révélés lundi par les journaux du groupe Tamedia. La commission a discuté avec le chancelier de la Confédération Viktor Rossi. Ce dernier lui a expliqué ce que la Chancellerie a fait ces dernières années et quelles sont les mesures prises à court terme.

Des propositions ont été soumises en commission. Mais celle-ci a estimé qu'il est encore trop tôt pour demander des changements de loi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Victoire de la présidente proeuropéenne Maia Sandu en Moldavie

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La présidente sortante pro-européenne de Moldavie Maia Sandu a revendiqué dimanche soir la victoire, à l'issue d'une élection présidentielle marquée par des soupçons d'ingérences russes. (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

Deux semaines après la victoire sur le fil du "oui" au référendum sur l'UE, la Moldavie a confirmé dimanche sa trajectoire européenne en reconduisant sa présidente Maia Sandu. L'élection présidentielle a cependant été tendue sur fond de soupçons d'ingérences russes.

"Aujourd'hui, chers Moldaves, vous avez donné une leçon de démocratie digne de figurer dans les livres d'histoire", a-t-elle lancé à son quartier général de campagne, dans une ambiance survoltée.

La candidate de 52 ans a recueilli 54,9% des voix, contre 45% pour Alexandr Stoianoglo, ex-procureur de 57 ans soutenu par les socialistes prorusses, selon les résultats quasi définitifs publiés par la commission électorale.

S'il a mené dans un premier temps, la tendance s'est inversée au fur et à mesure du comptage des voix. Celui que ses adversaires traitent "d'homme de Moscou" ne s'est pas exprimé dans la nuit, mais avait appelé un peu plus tôt "au calme".

Félicitations européennes

Comme lors des récentes législatives en Géorgie, autre ex-république soviétique, la Russie a été accusée d'ingérence dans le processus électoral, des allégations catégoriquement rejetées par le Kremlin.

Mais le dénouement a cette fois été favorable au camp pro-UE. Bruxelles a réagi très vite, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se disant "heureuse de continuer à travailler" avec Maia Sandu pour un "avenir européen".

Le président français Emmanuel Macron s'est lui réjoui que la "démocratie" ait "triomphé de toutes les interférences et de toutes les manoeuvres".

Première femme à occuper, en 2020, les plus hautes fonctions dans cet Etat situé entre l'OTAN et la sphère d'influence russe, Mme Sandu a tourné le dos au président russe Vladimir Poutine après l'invasion russe de l'Ukraine voisine et opéré un net virage vers l'ouest. Elle était arrivée largement en tête du premier tour le 20 octobre, mais son rival a pu compter sur le soutien de plusieurs petits candidats pour resserrer l'écart.

Il s'est même imposé sur le seul territoire de la Moldavie, mais la mobilisation de l'importante diaspora "a fait basculer l'élection", a commenté pour l'AFP le politologue français Florent Parmentier, spécialiste de la région.

Diaspora décisive

"Maia Sandu doit sa survie à la diaspora, un résultat qui révèle une dépendance vis-à-vis de l'extérieur" pour cette cheffe d'Etat qui a sillonné les capitales européennes ces derniers mois, ajoute-t-il.

Dans son discours de victoire, elle a salué un pays qui s'est "uni" face à "une attaque sans précédent" de "forces hostiles et criminelles". Avant de conclure par des mots en russe en signe d'ouverture envers ceux qui ne l'ont pas choisie.

Tout au long de la journée, les autorités ont fait état "de tentatives de déstabilisation". La police a dit enquêter sur la mise en place présumée par la Russie de "transports organisés" vers le Bélarus, l'Azerbaïdjan et la Turquie pour permettre aux électeurs résidant sur son sol d'aller voter dans les consulats ou ambassades moldaves de ces pays. Des cyberattaques et de fausses alertes à la bombe ont également été signalées.

"Que l'Europe soit notre maison"

En votant avec sa femme et ses deux filles, Alexandr Stoianoglo avait nié "avoir des liens avec le Kremlin" et toute implication "dans des fraudes électorales". Il a défendu "une Moldavie qui ne demande pas l'aumône, mais développe des relations harmonieuses avec à la fois l'est et l'ouest".

Dans ce pays pauvre extrêmement polarisé, les électeurs interrogés par l'AFP offrent un tableau contrasté. "Nous sommes un petit pays avec un grand coeur et nous voulons que l'Europe soit notre maison", résume Natalia Grajdeanu, organisatrice de mariages de 45 ans, venue d'Irlande pour voter.

Mais d'autres, comme Grigore Gritcan, retraité originaire de la région séparatiste de Transdniestrie, sont réticents. Il plaide pour "plus de liberté et une vraie paix", alors qu'actuellement "les gens n'ont rien à manger et pas de travail".

La Moldavie a subi de plein fouet les conséquences de la guerre en Ukraine, de l'afflux de réfugiés à l'explosion des coûts de l'énergie. "C'est la première cible de la guerre hybride menée par la Russie", estime Andrei Curararu, du groupe de réflexion WatchDog.

"Malgré tout, la Moldavie a démontré à deux reprises que sa volonté d'intégrer l'UE était plus forte que la pression de Moscou", a-t-il ajouté, soulignant que "pour garder ce cap, le pays aura besoin d'aide". Avec en ligne de mire, des législatives cruciales à l'été 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Demi-mea culpa d'Albert Rösti pour ses propos sur Trump

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Le conseiller fédéral Albert Rösti est revenu dimanche sur la RTS sur son soutien à Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/Alessandro Crinari)

Mis en cause pour son soutien exprimé à Donald Trump, le conseiller fédéral Albert Rösti s'est expliqué dimanche soir. Il admet qu'un conseiller fédéral n'a pas à s'exprimer sur des élections à l'étranger.

"J'ai répondu à une question d'un étudiant plutôt comme Albert Rösti, mais je suis bien conscient qu'un conseiller fédéral ne doit pas commenter des élections à l'étranger", a déclaré le Bernois au journal télévisé de la RTS. Il réagissait à la polémique créée par ses propos.

II y a une semaine, devant un parterre d'étudiants bâlois, il s'était dit "personnellement plutôt pour Donald Trump". C'est selon lui "le seul président qui n'a pas conduit l'Amérique à la guerre pendant quatre ans", avait-il déclaré. Il avait toutefois ajouté qu'il avait de "la peine" avec "sa personnalité", selon des propos rapportés par les journaux de Tamedia.

Cette prise de position concernant une élection dans un autre pays a été critiquée dans la sphère politique suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Décès du député vaudois Nicola di Giulio

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Nicola di Giulio avait été élu en 2022 au Grand Conseil vaudois (illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Nicolas Di Giulio, député UDC au Grand Conseil vaudois, est décédé. L'enquêteur de police avait été élu en 2022 au parlement cantonal. Il était également conseiller communal à Lausanne et membre du Comité central de l'UDC Vaud.

"Ce matin, la direction de l'UDC Vaud a appris avec tristesse le décès de Monsieur Nicola Di Giulio", a-t-elle écrit sans plus de précisions samedi soir dans un communiqué. Elle a exprimé ses plus sincères condoléances à la famille de l'élu. Le député était âgé de 56 ans.

Les autorités vaudoises ont également fait part de leur profonde tristesse et adressé leurs condoléances à la famille. Une minute de silence sera observée lors de la prochaine séance du Grand Conseil en son hommage, a indiqué dimanche l'Etat de Vaud dans un communiqué.

"Nous perdons un député et collègue dont le parcours de vie, politique et professionnel, au service des autres, nous a imprégnés et enrichis", a indiqué Jean-François Thuillard, président du Grand Conseil et collègue de parti, cité dans le communiqué. Nicola Di Giulio avait quatre enfants.

La Ville de Lausanne a aussi rendu hommage à son conseiller communal. "C'était une personnalité attachante et un esprit libre capable de parler à tout le monde sans oeillères partisanes", selon le syndic Grégoire Junod, cité dans le communiqué de la municipalité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Lancy se prononce sur l'interdiction de la publicité commerciale

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Lancy (GE) votera dimanche 24 novembre sur l'interdiction de l'affichage publicitaire commercial sur le domaine public. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Lancy (GE) votera le 24 novembre sur l'interdiction de l'affichage publicitaire commercial sur le domaine public. Cette mesure acceptée en janvier par la majorité de gauche du Conseil municipal a été attaquée par un référendum du Centre et des Vert'Libéraux, qui dénoncent une "infantilisation de la population".

Le règlement attaqué bannit la publicité à des fins commerciales sur le domaine public ainsi que sur le domaine privé visible depuis la rue. Il autorise en revanche l'affichage à visée culturelle, éducative, associative et sportive.

Pour la majorité rose-verte, la publicité commerciale encombre l'espace public. Elle ne veut plus de cette "pollution visuelle" qui pousse à la surconsommation. L'affichage commercial fragilise aussi le tissu économique local, car les PME n'ont souvent pas les moyens d'y recourir, entraînant ainsi une concurrence déloyale avec les grands groupes, affirment encore les partisans de l'interdiction.

Les référendaires dénoncent "une censure qui dicte ce que la population doit voir ou ne pas voir". Ils estiment que bannir la publicité commerciale des rues est une manière d'imposer une pensée unique. Les opposants craignent aussi des conséquences financières pour les clubs sportifs qui ne pourraient plus afficher les publicités de leurs sponsors autour de leurs terrains.

Moins de recettes

Les référendaires avancent aussi un argument financier: l'interdiction provoquera une baisse des recettes pour la commune de 251'000 francs par an, soit le montant de la redevance versée par la société d'affichage. Cette somme représente 0,14% des revenus totaux de la commune, nuancent les autorités communales qui soutiennent la suppression de la publicité commerciale.

"Cette interdiction est donc une mesure peu coûteuse par rapport au budget communal et par rapport à l'amélioration de la qualité de vie des habitants qu'elle peut engendrer", relève la gauche. Il faut toutefois ajouter à cette perte, une hausse des charges, pas encore chiffrée, due à l'entretien de l'affichage non commercial qui restera autorisé.

La Ville de Lancy dispose actuellement de 175 supports d'affichage fixes sur le domaine public ainsi que 44 panneaux sur le domaine privé visibles depuis la rue. Si l'interdiction est acceptée, elle entrera en vigueur le 1er janvier 2025.

Interdiction à Vernier

Dans le canton, seule la ville de Vernier prohibe, depuis l'été 2023, l'affichage commercial sur son domaine public. Les opposants, qui avaient saisi le Tribunal fédéral, dénonçaient une atteinte excessive des droits des acteurs économiques. Ils ont été déboutés. Les citoyens de la Ville de Genève avaient, eux, refusé en mars 2023 l'initiative communale "Genève zéro pub".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Moldavie aux urnes, entre rêve européen et influence russe

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La présidente moldave sortante Maia Sandu au bureau de vote dimanche, à Chisinau. La participation s'élevait à la mi-journée à 29%, en hausse par rapport au premier tour. (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

Deux semaines après la victoire sur le fil du "oui" au référendum sur l'UE, les Moldaves ont commencé à voter dimanche pour choisir leur président et confirmer ou non leur destin européen, dans un scrutin menacé par le risque d'ingérences russes.

La cheffe d'Etat sortante Maia Sandu, fervente pro-occidentale de 52 ans qui a tourné le dos à Moscou après l'invasion de l'Ukraine voisine, affronte Alexandr Stoianoglo, ancien procureur soutenu par les socialistes prorusses.

Sans se risquer cette fois à des pronostics chiffrés, les analystes prédisent tous une bataille serrée avec, comme lors des législatives en Géorgie, autre ex-république soviétique, des craintes d'interférence russe malgré les démentis fermes du Kremlin.

Mme Sandu est arrivée largement en tête le 20 octobre avec 42,5% des voix mais son rival de 57 ans, qui en a recueilli près de 26%, peut compter sur le soutien de plusieurs petits candidats.

La participation s'élevait à la mi-journée à 29%, en hausse par rapport au premier tour. Les bureaux de vote ferment à 21H00, les premiers résultats partiels étant attendus une heure plus tard dans le pays de 2,6 millions d'habitants.

"Contre les escrocs"

Dans l'entre-deux tours, le camp présidentiel a intensifié sa campagne sur les réseaux sociaux et dans les villages pour tenter de contrer les achats de vote massifs qui ont, selon les autorités, entaché les résultats du référendum, beaucoup plus disputé que prévu (50,35% pour le "oui").

La police a également signalé l'organisation de vols et de bus pour transporter des électeurs moldaves entre la Russie et le Bélarus, l'Azerbaïdjan et la Turquie.

Après avoir glissé son bulletin dans l'urne, Maia Sandu a appelé à se mobiliser "contre les escrocs", plaçant sa "confiance" dans ses concitoyens "qui ont toujours fait avancer le pays et l'ont protégé du mal".

En face, Alexandr Stoianoglo, discours lisse où les mots russes se mêlent souvent à la langue officielle roumaine, a promis d'être "le président de tous", niant "avoir des relations avec le Kremlin" et toute implication "dans des fraudes électorales".

Venu voter avec sa femme et ses deux filles, il a défendu "une Moldavie qui ne demande pas l'aumône mais développe des relations harmonieuses avec à la fois l'Est et l'Ouest".

"Au prix fort"

Ce pays pauvre, sous perfusion européenne, est extrêmement polarisé, entre d'un côté une diaspora et une capitale majoritairement favorables à une intégration dans l'UE, et de l'autre, les zones rurales et deux régions, la province séparatiste de Transdniestrie et la Gagaouzie autonome, tournées vers la Russie.

A Chisinau, une retraitée de 56 ans s'exprimant sous couvert d'anonymat, Acsenia, regrette que "des relents soviétiques continuent à imprégner jusqu'à l'os" cet ex-Etat de l'URSS.

Natalia Grajdeanu, organisatrice de mariages de 45 ans, a fait le voyage d'Irlande où elle vit. "Nous sommes un petit pays avec un grand coeur et nous voulons que l'Europe soit notre maison", a-t-elle dit à l'AFP.

Mais d'autres, comme Zinovia Zaharovna, 75 ans, refusent de se fondre dans l'UE, insistant sur la nécessité de rester "indépendants", et évoquent leur souci de maintenir la "paix".

"Beaucoup craignent d'être entraînés dans la guerre", explique à l'AFP Andrei Curararu, du groupe de réflexion WatchDog. Ils vont donc préférer "un candidat en bons termes avec Moscou, y voyant la garantie de ne pas être attaqués".

Scrutin suivi de près

Le scrutin est suivi de près de Bruxelles à Washington, où on s'inquiète de la tentative de la Russie de perturber le processus électoral.

En amont du vote, la police a signalé d'importantes opérations de désinformation via l'envoi de faux courriels et de menaces de mort, "une attaque virulente" visant selon le Premier ministre Dorin Recean à "semer la panique et la peur".

La Moldavie "paie au prix fort" sa décision de couper les ponts avec Moscou, souligne l'expert de WatchDog. "La pression est sans précédent et l'argent déboursé pour mener ces activités de déstabilisation colossal", dit-il, évoquant un investissement total de plus de 100 millions de dollars.

Avec un objectif: faire revenir le pays "dans l'orbite de la Russie".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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