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Scholz veut accélérer les expulsions après l'attentat de Solingen

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Se recueillant lundi à Solingen, le chancelier allemand Olaf Scholz (au centre) a promis d'accélérer les expulsions. (© KEYSTONE/dpa/Thomas Banneyer)

Le chancelier Olaf Scholz a promis lundi "de tout faire" pour accélérer les expulsions de réfugiés illégaux après l'attaque meurtrière de Solingen qui a déclenché un vif débat sur la politique migratoire et sécuritaire à quelques jours d'élections régionales clé.

L'auteur présumé de cet attentat au couteau, qui a fait trois morts et huit blessés lors de festivités locales vendredi soir, est un Syrien de 26 ans soupçonné de liens avec l'organisation Etat islamique (EI).

Après une cavale de 24 heures, il s'est rendu aux autorités et a déclaré "être responsable" du crime.

Venu se recueillir sur les lieux, le dirigeant allemand s'est engagé à durcir "très rapidement" la législation sur les armes et de "tout faire" pour "expulser ceux qui ne peuvent et ne doivent pas rester en Allemagne".

Il a dit aussi sa "colère" face à cet acte de "terrorisme contre nous tous", dénonçant les "islamistes qui menacent la coexistence pacifique entre nous tous".

Bouquets de fleurs, bougies, messages témoignent de l'émotion qui a saisi la ville de quelque 160'000 habitants située à l'ouest du pays, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

L'attentat intervient à une semaine d'élections régionales à haut risque dans deux Etats de l'est de l'Allemagne.

"Complètement dépassé"

L'histoire paraît se répéter: une autre attaque au couteau perpétrée cette fois par un Afghan de 25 ans à Mannheim (ouest) s'était produite fin mai, soit peu de temps avant les élections européennes du 9 juin.

L'assaut, qui avait visé un rassemblement anti-islam et pourrait avoir une motivation islamiste, avait coûté la vie à un policier et fait cinq blessés.

L'attentat fragilise un peu plus la coalition d'Olaf Scholz, pressée depuis plusieurs semaines d'expulser plus efficacement les déboutés du droit d'asile et de reprendre les expulsions de délinquants vers l'Afghanistan et la Syrie.

Or des données récemment publiées par la police fédérale ont montré que l'Allemagne avait procédé à l'expulsion de 21'206 personnes l'an passé, alors qu'elle en avait prévu près de 53'000. L'échec des procédures est lié souvent à une absence de documents officiels des personnes visées ou un manque de place dans les centres de rétention.

L'attaque renforce la perception véhiculée notamment par le parti d'extrême droite AfD selon laquelle "l'État est complètement dépassé", indique à l'AFP la politologue Ursula Münch, directrice de l'Académie pour la formation politique.

Le suspect, désigné par la justice comme Issa Al H., est arrivé dans le pays en décembre 2022 et faisait l'objet d'une mesure d'expulsion vers la Bulgarie, où son entrée avait été enregistrée et où il aurait dû déposer sa demande d'asile.

L'AfD, bien placé pour obtenir un score inédit lors des élections régionales du week-end prochain en Saxe et en Thuringe, a accusé les gouvernements successifs d'avoir provoqué "le chaos" en accueillant trop d'immigrés.

Friedrich Merz, le chef des conservateurs de la CDU, principal parti d'opposition, a lui exhorté le gouvernement à ne "plus accueillir de réfugiés" venant de "Syrie et d'Afghanistan". Il doit rencontrer mardi le chancelier pour parler de la politique migratoire.

"Venger les musulmans de Palestine"

L'EI a revendiqué l'attentat, assurant que l'assaillant avait agi "pour venger les musulmans de Palestine et de partout ailleurs", selon un communiqué du groupe jihadiste transmis via son organe de propagande Amaq.

Il a aussi diffusé une vidéo montrant un homme au visage camouflé dont elle affirme qu'il s'agit du suspect, où ce dernier profère des menaces de mort.

Le suspect, qui ne figurait pas sur la liste d'islamistes considérés comme dangereux, voulait "tuer le plus grand nombre possible de personnes", estime le parquet antiterroriste de Karlsruhe.

"Il a poignardé à plusieurs reprises et de manière ciblée, dans le dos, le cou et le torse, des visiteurs du festival", a-t-il dit.

Ces dernières années, l'Allemagne a été le théâtre de plusieurs attentats jihadistes, dont le plus meurtrier, une attaque au camion en décembre 2016 sur un marché de Noël à Berlin, avait fait 12 morts.

A Solingen, deux hommes âgés de 56 et 67 ans ainsi qu'une femme de 56 ans ont été poignardés à mort alors qu'ils assistaient à un concert parmi des milliers de spectateurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Naufrage dans la Manche en 2023: huit passeurs condamnés

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Sept candidats afghans à l'exil vers le Royaume-Uni avait péri dans le naufrage (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Huit hommes, des Afghans et Kurdes irakiens, ont été condamnés mardi à Paris à des peines de trois à quinze ans de prison ferme pour leurs rôles dans un réseau de passeurs à l'origine du naufrage d'un bateau de migrants dans la Manche, en 2023.

Au terme de deux semaines de procès, les peines les plus lourdes, 12 et 15 ans de réclusion notamment pour homicides involontaires, ont été prononcées à l'encontre des deux Kurdes irakiens de 45 ans considérés comme les moteurs de cette organisation, jugée pour le drame qui avait entraîné la mort de sept candidats afghans à l'exil vers le Royaume-Uni.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

COP30: première esquisse de compromis, les tractations continuent

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Les négociateurs de la COP30 ont encore du pain sur la planche avant de pouvoir atteindre un accord. (© KEYSTONE/AP/Andre Penner)

A quatre jours de la fin de la COP30, la présidence brésilienne de la conférence a surpris en publiant dès mardi une première ébauche de compromis mais les pays sont loin d'avoir encore abandonné leurs lignes rouges.

Le président Lula reviendra à Belem mercredi, un retour vu par les observateurs comme un moyen de peser sur la dernière ligne droite des négociations et éviter un échec de la conférence.

"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra, présent à Belem depuis lundi.

Il a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".

M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.

Mais "ce texte reflète la confiance de la présidence brésilienne", réagit pour l'AFP Li Shuo, expert de l'Asia Society qui suit les négociations à Belem. "C'est sans doute la première fois dans l'histoire récente des COP qu'un texte aussi propre est publié aussi tôt".

"Montrer que le multilatéralisme est vivant"

Ce texte est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone, qui désigne une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.

Les Brésiliens veulent qu'il démontre la poursuite de la coopération internationale sur le climat, dans un contexte géopolitique très difficile.

Une coalition d'Européens, de pays latino-américains et d'Etats insulaires se battent aussi à Belem pour envoyer un message très clair.

"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique. Ed Miliband, ministre britannique de l'Energie, a appelé à conserver la "foi dans le multilatéralisme".

Bataille à venir

Le projet de compromis comporte de nombreuses options contradictoires, si bien qu'il devra encore être considérablement affiné avant tout accord entre les 200 nations environ présentes à la conférence.

La présidence brésilienne a annoncé lundi que les négociateurs travailleraient jour et nuit pour qu'un accord sur les sujets les plus épineux puisse être adopté en séance plénière "d'ici le milieu de la semaine".

"Nous sommes passés d'un brouillon à un semblant de décision mais avec encore un nombre de questions trop élevé pour vraiment voir une potentielle adoption mercredi", estime Rebecca Thiessen, experte finance du Réseau action climat (CAN) international.

Le texte laisse présager une bataille pour arracher des concessions mutuelles entre les blocs de pays sur l'aide financière ou sur l'ambition de la réduction des gaz à effet de serre.

Et les énergies fossiles?

Le document de neuf pages commence par réaffirmer son attachement à l'accord de Paris de 2015 et son engagement au "multilatéralisme". Concernant l'ambition climatique, le texte propose dans une option que le rapport qui fait la synthèse des engagements climatiques des pays puisse être désormais publié chaque année, plutôt que tous les cinq ans.

Plusieurs options font aussi allusion à la transition hors des énergies fossiles, point qui oppose pays producteurs et ceux qui souhaitent une "feuille de route" pour en sortir. Ces options vont de l'organisation d'une table-ronde à... rien du tout.

Les options sur "les énergies fossiles sont tout à fait inacceptables et constituent un manquement flagrant alors que le monde est en train de brûler", fustige Romain Ioualalen, de l'ONG Oil Change International.

Le texte suggère de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'UE pourrait durcir la régulation contre Amazon et Microsoft

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La Commission européenne a ouvert deux enquêtes qui visent à établir si Amazon Web Services et Microsoft Azure, numéros un et deux du secteur, doivent être soumises aux obligations du règlement européen sur les marchés numériques (DMA) (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'UE pourrait soumettre les deux géants du secteur des services cloud, Amazon et Microsoft, à des règles renforcées. Bruxelles réfléchit à muscler son arsenal pour mieux contrôler ce secteur crucial pour toute l'économie, comme l'ont montré des pannes retentissantes.

La vice-présidente de la Commission européenne chargée du Numérique, Henna Virkkunen, a annoncé lors d'une conférence à Berlin l'ouverture de deux enquêtes qui visent à établir si Amazon Web Services et Microsoft Azure, numéros un et deux du secteur, doivent être soumises aux obligations du règlement européen sur les marchés numériques (DMA).

Le DMA est une loi emblématique entrée en vigueur l'an dernier et qui vise à mettre fin aux abus de position dominante des géants technologiques, via des règles et des contrôles renforcés.

Texte phare de l'arsenal juridique européen en matière de numérique, il prévoit des amendes pouvant aller jusqu'à 10% du chiffre d'affaires mondial de l'entreprise en cas d'infraction, et même 20% en cas de récidive.

Le cloud, réseau mondial de serveurs, de base de données et de logiciels connectés, est devenu l'épine dorsale de l'informatique mondiale sur laquelle repose une très large part de l'économie et de services du quotidien.

Au niveau mondial, ce marché est dominé par un trio de géants Américains : Amazon Web Services (AWS) détenait 30% des parts au deuxième trimestre 2025, suivi par Microsoft Azure (20%) et Google Cloud (13%), selon le cabinet Synergy Research Group.

Cette forte concentration, ainsi que plusieurs pannes majeures qui ont démontré ces derniers mois la vulnérabilité des clients en cas de dysfonctionnement de ces plateformes, nourrissent des appels à une plus forte régulation du secteur en Europe.

Pannes majeures

En octobre, AWS et Microsoft avaient subi coup sur coup des pannes mondiales qui avaient bloqué ou perturbé l'activité d'une longue liste d'entreprises et applications, illustrant la dépendance mondiale à l'égard des infrastructures et des programmes déployés par les géants américains.

La Commission s'est donnée douze mois pour conclure ses enquêtes.

Les deux groupes, eux, espèrent bien que leurs services cloud pourront échapper à ces contraintes supplémentaires, qu'ils jugent contreproductives pour leurs clients.

Selon un porte-parole d'AWS, l'enquête de la Commission devrait démontrer "que le secteur de l'informatique à distance est extrêmement dynamique, offrant aux entreprises un vaste choix, des innovations sans précédent et des coûts réduits", et que soumettre des opérateurs de cloud au DMA risquerait "de brider le progrès et de faire grimper les coûts pour les entreprises européennes".

Microsoft est "prêt à contribuer à l'enquête de la Commission européenne", a souligné de son côté le groupe de Redmond, tout en assurant lui aussi que le secteur est déjà "innovant, hautement compétitif et un accélérateur de croissance pour toute l'économie".

Amazon et Microsoft sont déjà soumis au DMA au titre d'autres activités, Amazon Marketplace (service qui permet à des vendeurs tiers de proposer leurs produits sur Amazon) et le réseau professionnel LinkedIn.

En outre, la Commission a ouvert mardi une troisième enquête pour voir si les règles du DMA suffiraient à réguler efficacement les acteurs du cloud, ou s'il est nécessaire de les adapter pour tenir compte des spécificités du secteur.

Par ailleurs, elle a justifié l'exclusion de Google Cloud du champ de ses investigations en invoquant sa part de marché réduite en Europe.

"Notre analyse préliminaire montre que Google joue un rôle moins important sur notre marché que les deux autres groupes sur lesquels nous enquêtons", a expliqué à la presse Thomas Regnier, porte-parole chargé des questions numériques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Avignon et deux autres grands festivals coproduisent une pièce

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Wagner Moura est l'un des visages les plus connus du cinéma brésilien grâce à ses collaborations internationales, notamment la série "Narcos" où il campait le trafiquant de drogue Pablo Escobar. Photo: Wagner Moura en septembre dernier au Zurich Film Festival. (© KEYSTONE/ANDREAS BECKER)

Les festivals de théâtre d'Avignon, d'Edimbourg et le Holland Festival vont pour la première fois, en 2026, proposer une pièce coproduite, mise en scène par l'artiste brésilienne Christiane Jatahy, avec l'acteur Wagner Moura parmi les interprètes.

C'est la première fois "depuis leur création, il y a 79 ans", que le Edinburgh International Festival, le Festival d'Avignon (les deux plus célèbres manifestations de théâtre au monde) et le Holland Festival "s'unissent", ont annoncé les trois institutions mardi.

Cela "marque le début d'un partenariat historique pour célébrer leur 80e anniversaire en 2027", ajoutent ces trois organisations, sans en préciser davantage.

Intitulée "Un procès - après l'ennemi du peuple", la coproduction revisite la pièce du dramaturge norvégien Henrik Ibsen "Un ennemi du peuple" (1882), "la transformant en drame judiciaire sur fond d'enjeux écologiques et politiques", précisent-ils. Elle aura pour cadre "une salle d'audience où le public du théâtre devient lui-même membre du jury".

La metteuse en scène Christiane Jatahy, également réalisatrice, a régulièrement été invitée par ces trois institutions. Par exemple en 2024 au Edinburgh International Festival, avec "After the Silence", qui explorait le racisme structurel et l'héritage de l'esclavage dans son pays.

Également en juillet 2019 à Avignon, où son spectacle "O Agora que demora" ("Le présent qui déborde"), qui dénonçait la "campagne de criminalisation" des artistes dans son pays, alors dirigé par Jair Bolsonaro, avait reçu une ovation debout.

Un nouveau langage

Son travail abolit les frontières entre les genres, inventant un nouveau langage entre performance, scène et vidéo. Elle avait par exemple déconstruit "Macbeth" de Shakespeare, en mixant la pièce à des films et en plongeant le spectateur équipé d'oreillettes dans un bain d'images.

Wagner Moura est l'un des visages les plus connus du cinéma brésilien grâce à ses collaborations internationales, notamment la série "Narcos" où il campait le trafiquant de drogue Pablo Escobar.

La pièce coproduite sera présentée lors des trois festivals à l'été 2026.

Créés en 1947, "au sortir de la Seconde Guerre mondiale", ces trois festivals, "fondés indépendamment les uns des autres", sont cependant "portés par une même vision: celle que l'art possède le pouvoir unique d'unir les cultures et d'offrir un langage commun dans un monde fragmenté", font-ils valoir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

"Parasocial", mot de l'année pour le dictionnaire de Cambridge

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Vous ressentez une grande affinité avec Taylor Swift sans jamais l'avoir rencontrée? Vous vivez une relation "parasociale", mot de l'année 2025 pour le dictionnaire en ligne de Cambridge. (© KEYSTONE/AP/Jordan Strauss)

Vous ressentez une grande affinité avec Taylor Swift sans jamais l'avoir rencontrée, ou prenez un robot conversationnel pour votre confident? Vous vivez une relation "parasociale", mot de l'année 2025 pour le dictionnaire en ligne de Cambridge.

L'adjectif "parasocial" est défini par le très populaire dictionnaire anglais comme "impliquant ou se rapportant à un lien que quelqu'un ressent entre lui-même et une personne célèbre qu'il ne connaît pas, un personnage de livre, film, série télévisée etc., ou une intelligence artificielle".

Ce type de relation à sens unique a été analysé en 1956 par des sociologues de l'université de Chicago, Donald Horton et Richard Wohl, qui décrivaient alors la proximité ressentie par les téléspectateurs pour les personnalités du petit écran, indiquent les presses universitaires de Cambridge, dans un communiqué.

L'air du temps

"Le terme parasocial reflète l'air du temps en 2025 (...). Ce qui était autrefois un terme académique spécialisé est entré dans le langage courant", commente Colin McIntosh, du Cambridge Dictionary, dont le site internet a "enregistré des pics de recherches" pour ce mot.

Simone Schnall, professeure en psychologie sociale expérimentale à l'université de Cambridge, relève que "de nombreuses personnes nouent des relations parasociales malsaines et intenses avec des influenceurs".

Les gens développent ainsi le sentiment de "connaître" ceux avec lesquels ils nouent des liens parasociaux, et leur font confiance jusqu'à mener "à des formes extrêmes de loyauté", alors que "c'est complètement unilatéral", explique-t-elle.

Au total, quelque 6000 mots ou nouvelles acceptions ont été ajoutés en 2025 au Cambridge Dictionary en ligne, gratuit, qui revendique quelque 350 millions d'utilisateurs et plus de 1,5 milliard de pages vues par an.

Parmi ces ajouts figurent celui de "slop" au sens de contenus de mauvaise qualité générés par l'IA, ou encore "tradwife" (épouse traditionnelle).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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