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Politique

Rolle: un foyer EVAM réservé aux femmes avec ou sans enfants

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Un foyer de l'EVAM destiné uniquement aux femmes migrantes ouvrira prochainement sur le site de Rivesrolle à Rolle. Il accueillera notamment des personnes qui ont été victimes de violence domestique (photo d'illustration) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

L'Etablissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM) va ouvrir dans le courant 2025 un foyer non mixte sur le site de Rivesrolle à Rolle (VD). Il pourra accueillir 95 migrantes, avec ou sans enfant, et disposera d’un espace spécialement consacré aux femmes ayant subi des violences domestiques et sexuelles.

La Cheffe du Département de l’économie, de l’innovation et du patrimoine (DEIEP) Isabelle Moret a donné son aval à la création de ce foyer, indique le Conseil d'Etat jeudi dans un communiqué. Son ouverture a récemment été mise à l’enquête, indique-t-il en réponse à une interpellation parlementaire.

Cette nouvelle mesure vient compléter le dispositif mis en place dès l'été 2022 par le gouvernement pour renforcer l’accompagnement des femmes migrantes, victimes de violence domestique. Parmi les mesures mises en place, l'uniformisation à 60 jours de la durée d’hébergement d’urgence au Centre Malley Prairie (CMP), les informations spécifiques sur le droit de séjour par le Service de la population (SPOP) et un accompagnement juridique et administratif renforcé auprès de diverses institutions sociales.

Le gouvernement tire un bilan positif de ces mesures. Le nombre de femmes victimes de violence domestique sans statut bénéficiant d’un hébergement au CMP est en nette augmentation depuis l’uniformisation de l’hébergement à 60 jours en septembre 2022. Le CSP Vaud, de son côté, a pu fournir un accompagnement renforcé dans 682 consultations pour 169 personnes entre avril 2023 et mars 2024.

Le Conseil d'Etat rappelle également la campagne de communication lancée en février dernier par le Bureau de l'égalité afin d’informer les femmes migrantes victimes de violence domestique des services d’aide à leur disposition. La campagne a été rediffusée dans tout le canton début septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le président sud-coréen va "se battre jusqu'à la dernière minute"

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Le Parlement sud-coréen "est devenu un monstre détruisant l'ordre constitutionnel de la démocratie libérale", estime le président sud-coréen Yoon Suk-yeol. (© KEYSTONE/AP/Lee Jin-man)

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol, menacé de destitution après sa tentative d'imposer la loi martiale il y a une semaine, "se battra jusqu'à la dernière minute", a-t-il annoncé jeudi. Il a accusé l'opposition de provoquer "une crise nationale".

Le Parlement contrôlé par l'opposition, qui a prévu de soumettre samedi au vote une nouvelle motion pour le démettre de ses fonctions, "est devenu un monstre détruisant l'ordre constitutionnel de la démocratie libérale", a fustigé M. Yoon dans un discours télévisé.

"Je me battrai avec le peuple jusqu'à la dernière minute", a martelé le dirigeant conservateur, dont la cote de popularité a plongé à 13% après son coup de force. Depuis son élection en 2022 avec la marge la plus étroite de l'histoire du pays face au chef du parti démocrate, M. Yoon n'a jamais disposé de la majorité à l'Assemblée nationale.

Invoquant notamment des difficultés à faire passer son budget, il a sidéré le pays en imposant la loi martiale par surprise dans la nuit du 3 au 4 décembre, avant d'être obligé de l'abroger six heures plus tard sous la pression du Parlement et de la rue.

Perquisition entravée

Il a échappé de peu samedi à une motion de destitution par l'Assemblée nationale, sauvé par son parti. Mais le parti démocrate a fixé à samedi 17h00 locales un deuxième vote en ce sens. Si huit députés du parti du pouvoir au peuple (PPP) de M. Yoon soutiennent cette nouvelle motion, elle pourra être adoptée. A la première tentative le 7 décembre, seuls deux avaient voté pour la motion. Depuis mardi, trois autres ont annoncé qu'ils s'y rallieraient.

"Je m'excuse à nouveau auprès des personnes qui ont dû être surprises et inquiètes en raison de la loi martiale [...] Je vous prie de croire en ma loyauté chaleureuse envers le peuple", a déclaré le président jeudi, assurant qu'il "n'esquiverait pas [sa] responsabilité juridique et politique concernant la proclamation de la loi martiale".

Visé par une enquête pour "rébellion", M. Yoon, 63 ans, a interdiction de quitter le territoire, tout comme ses anciens ministres de la défense et de l'intérieur. Deux hauts responsables de la police ont aussi été arrêtés. Mercredi, la police sud-coréenne a affirmé avoir été entravée dans une perquisition des bureaux présidentiels.

Le parti démocrate a prévenu qu'il porterait plainte pour insurrection contre ses services s'ils continuent à entraver l'application de la loi.

Milliers de manifestants

La pression populaire reste forte: des milliers de manifestants se sont rassemblés mercredi soir devant le Parlement, chantant des chansons de K-pop tout en brandissant des bâtons lumineux colorés et des pancartes réclamant la dissolution du PPP "qui soutient l'insurrection".

Mardi, un groupe de travail du PPP a proposé une feuille de route sur le retrait du président. Elle envisage la démission de M. Yoon en février ou en mars, avec une nouvelle élection présidentielle en avril ou en mai. Ce plan n'a pas encore été accepté par la totalité du PPP. Même si tel était le cas, il est improbable que l'opposition renonce à essayer de démettre le président Yoon de ses fonctions.

Selon le PPP, le président a laissé la gouvernance à sa formation et au premier ministre Han Duck-soo.

Lors de la loi martiale, des hélicoptères et des soldats avaient été déployés au parlement pour empêcher les députés de s'y réunir et de voter sa levée. Mais 190 d'entre eux étaient parvenus à entrer et à adopter à l'unanimité la fin de cet état d'exception.

L'ex-ministre de la défense alors en poste, Kim Yong-hyun a été accusé par des parlementaires de l'opposition d'avoir ordonné d'envoyer des drones sur Pyongyang, pour apparemment créer un casus belli avec le Nord qui aurait justifié la loi martiale.

Incarcéré depuis dimanche notamment pour "abus de pouvoir pour entraver l'exercice de droits", M. Kim a, selon les autorités, tenté de se suicider en détention mardi soir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Musk premier homme à posséder une fortune de plus de 400 milliards

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La fortune d'Elon Musk prend l'ascenseur grâce à l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d'Amérique (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le patron de Tesla et SpaceX, Elon Musk, déjà considéré comme le plus riche de la planète, a dépassé les 400 milliards de dollars de fortune, une première, rapporte Bloomberg. Le prix de l'action de Tesla a augmenté de plus de 65% depuis l'élection de Donald Trump.

SpaceX et ses investisseurs ont par ailleurs accepté d'acheter jusqu'à 1,25 milliard de dollars d'actions de la société faisant grimper la valeur de l'entreprise spatiale à environ 350 milliards de dollars. Cette transaction a augmenté la fortune personnelle d'Elon Musk d'environ 50 milliards de dollars, la portant à 440 milliards de dollars, toujours selon Bloomberg.

Désormais proche du président élu américain Donald Trump, Elon Musk est devenu le plus grand donateur politique de l'histoire américaine récente avec plus de 270 millions de dollars versés lors de la campagne présidentielle de 2024 pour soutenir le républicain, selon les chiffres de la commission électorale américaine (FEC).

Conflits d'intérêts

Cette somme est la plus importante provenant d'un seul donateur non candidat, selon les données d'OpenSecrets, association à but non lucratif qui "suit l'argent dans la politique et ses effets sur la politique".

La proximité d'Elon Musk avec Donald Trump a suscité des inquiétudes quant à d'éventuels conflits d'intérêts, faisant notamment craindre que le nouveau gouvernement n'élimine les crédits d'impôt sur les véhicules électriques concurrents de Tesla.

Le gagnant de la présidentielle américaine l'a récompensé en le nommant à la tête d'une commission pour "l'efficacité gouvernementale", un organe créé pour tailler dans les budgets fédéraux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Frappes israéliennes sur des sites militaires à Lattaquié

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Israël avait déjà bombardé le port de Lattaquié ces derniers jours (archives). (© KEYSTONE/EPA/BILAL AL HAMMOUD)

Des frappes aériennes israéliennes ont visé des sites militaires en Syrie appartenant à l'armée du président syrien déchu Bashar al-Assad, a affirmé mercredi une ONG. Des "sites militaires", dont "le port de Lattaquié", ainsi que des entrepôts à Tartous ont été ciblés.

"Les avions de combat israéliens continuent de détruire ce qui reste de l'arsenal militaire syrien pour le quatrième jour consécutif depuis la chute de l'ancien régime", a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG qui s'appuie sur un vaste réseau de sources à travers la Syrie.

Israël a mené des centaines de frappes aériennes sur la Syrie depuis la prise dimanche de Damas par les rebelles syrien et la chute du président Bachar al-Assad, selon l'OSDH.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un premier retrait israélien du Liban consécutif au cessez-le-feu

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L'armée israélienne a dit avoir achevé sa mission à Khiam dans le sud du Liban (archives). (© KEYSTONE/AP/Matias Delacroix)

Les forces israéliennes ont procédé à un "premier retrait" d'une localité du sud du Liban, conformément à l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, a annoncé l'armée américaine mercredi. Elles ont été remplacées par des militaires libanais.

Le chef du commandement central américain pour le Moyen-Orient (CENTCOM), le général Erik Kurilla, était "présent au quartier général de mise en oeuvre et de surveillance lors du premier retrait toujours en cours des forces de défense israéliennes et de leur remplacement par les forces armées libanaises à Khiam, au Liban, dans le cadre de l'accord" de cessez-le-feu, a déclaré le CENTCOM dans un communiqué.

"Il s'agit d'un premier pas important dans la mise en oeuvre d'une cessation durable des hostilités qui jette les bases de progrès continus", a déclaré le général Kurilla, cité par le communiqué.

"Un pas fondamental"

L'armée israélienne a dit pour sa part sur le réseau social X avoir "achevé [sa] mission à Khiam dans le sud du Liban". "Conformément aux termes du cessez-le-feu et en coordination avec les Etats-Unis, les soldats des forces armées libanaises sont en train d'être déployés dans la zone" en même temps que les casques bleus de la force de maintien de la paix de l'ONU (FINUL), a-t-elle affirmé.

Le premier ministre libanais Najib Mikati a "salué" sur X les efforts de l'armée libanaise pour parvenir à "la stabilité dans le sud du pays". Le déploiement de militaires dans "les régions de Khiam et Marjayoun aujourd'hui représente un pas fondamental", a-t-il ajouté.

Une trêve a mis fin le 27 novembre à une guerre ouverte de plus de deux mois entre le mouvement chiite libanais Hezbollah et Israël, qui a fait près de 4000 morts au Liban et dévasté des bastions de la formation pro-iranienne.

L'accord de cessez-le-feu prévoit le retrait dans un délai de 60 jours de l'armée israélienne du Liban et stipule que seuls l'armée libanaise et les casques bleus doivent être déployés dans le sud du pays, frontalier du nord d'Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Gaza: l'ONU appelle à un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel

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La résolution adoptée par 158 voix pour, 9 contre et 13 abstentions exige "un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent" ainsi que "la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages". Ici, une famille en deuil devant des proches tués dans le centre de la bande de Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

L'assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi à une très large majorité un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel à Gaza. L'appel symbolique a été rejeté par Israël et les Etats-Unis.

La résolution, adoptée sous les applaudissements par 158 voix pour, 9 contre et 13 abstentions, exige "un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent" ainsi que "la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages", une formulation similaire au texte bloqué il y a quelques semaines au Conseil de sécurité par un veto américain.

A la fin novembre, les Etats-Unis avaient utilisé une nouvelle fois leur droit de veto pour protéger leur allié israélien, qui mène depuis plus d'un an une offensive militaire dans le territoire palestinien en représailles à l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.

Les Américains, insistant comme Israël pour conditionner la trêve à la libération des otages, avaient cette fois empêché le conseil d'exiger un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel et permanent" à Gaza. Ils ont maintenu cette position mercredi.

"Une trahison"

La résolution, qu'il serait "honteux" d'adopter, "risque d'envoyer au Hamas le message dangereux qu'il n'y a pas besoin de négocier ou de libérer les otages", a déclaré avant le vote l'ambassadeur américain adjoint, Robert Wood, alors que le ministre israélien de la défense a évoqué mercredi "une chance" d'accord pour cette libération.

"Le vote d'aujourd'hui n'est pas un vote de compassion, c'est un vote de complicité", une "trahison" et un "abandon" des otages, a de son côté dénoncé l'ambassadeur israélien, Danny Danon.

Habituée à prendre le relais du conseil, largement paralysé sur des dossiers brûlants comme Gaza ou l'Ukraine, l'assemblée générale de l'ONU a sans surprise adopté cette résolution non contraignante, qui appelle également à un accès sûr et "sans entrave" à une aide humanitaire d'ampleur et dénonce toute tentative d'"affamer les Palestiniens".

Les représentants de dizaines d'Etats membres ont défilé à la tribune avant le vote pour affirmer leur soutien aux Palestiniens et à la fin de la guerre à Gaza. "Gaza n'existe plus. Elle est détruite", a lancé l'ambassadeur slovène, Samuel Zbogar.

"Le prix" de l'échec

"L'histoire est la plus dure des critiques contre l'inaction", a-t-il mis en garde, dénonçant l'échec "encore et encore" du Conseil de sécurité, dont son pays est un membre non permanent.

"Le prix du silence et de l'échec face à la tragédie palestinienne est lourd et sera encore plus lourd demain", a renchéri l'ambassadeur algérien adjoint, Nacim Gaouaoui.

L'attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1208 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de chiffres officiels et incluant les otages morts ou tués en captivité dans la bande de Gaza. Ce jour-là, 251 personnes ont été enlevées sur le sol israélien. Au total, 96 restent otages à Gaza, dont 34 ont été déclarées mortes par l'armée.

La campagne militaire de représailles lancée par Israël a fait au moins 44'805 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon les données du ministère de la santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l'ONU.

Résolution sur l'UNRWA

"Aujourd'hui, Gaza est le coeur sanglant de la Palestine et une blessure ouverte pour l'humanité", avait déclaré l'ambassadeur palestinien à l'ONU, Riyad Mansour, au premier jour des débats de l'assemblée la semaine dernière.

"Les images de nos enfants dans des tentes incendiées, le ventre vide et sans espoir ni horizon, après avoir subi plus d'un an de souffrances et de pertes, devraient hanter la conscience du monde et pousser à agir pour mettre fin à ce cauchemar", avait-il plaidé, réclamant également la fin de "l'impunité".

La résolution demande d'ailleurs au secrétaire général de l'ONU, António Guterres, de présenter des "propositions" pour soutenir le "respect" du "principe de responsabilité", par l'intermédiaire de mécanismes existants ou en en créant de nouveaux en s'inspirant d'expériences passées.

L'assemblée générale a par exemple créé un mécanisme international pour aider à collecter les preuves des crimes commis en Syrie à partir du début de la guerre civile en 2011.

Une deuxième résolution, adoptée par 159 voix contre 9 et 11 abstentions, appelle Israël à permettre la poursuite des opérations de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) dans les territoires palestiniens, menacées par une récente loi israélienne.

Israël accuse des employés de l'agence d'avoir participé aux attaques du 7 octobre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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