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Politique

Pour le président du PLR, il faut poursuivre la voie bilatérale

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Thierry Burkart est le nouveau président du PLR (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les relations entre la Suisse et l'Union européenne (UE) doivent continuer à être réglées par la voie bilatérale, estime le président du PLR, Thierry Burkart. Il appelle les deux parties au pragmatisme.

"Le PLR a déposé des motions pour le maintien et le développement des accords bilatéraux", déclare M. Burkart dans un entretien diffusé mardi par la Neue Zuercher Zeitung. Il s'attend à ce "que les représentants de l'UE s'assoient à nouveau à la table des négociations avec leurs homologues suisses".

Dans de nombreux accords bilatéraux, ce n'est pas la Suisse qui en profite le plus, mais l'UE, ajoute le conseiller aux Etats argovien. Bien que l'UE ait fait savoir à plusieurs reprises qu'elle ne voulait pas poursuivre la voie bilatérale sous sa forme actuelle, il se dit convaincu que la coopération sera profitable aux deux parties.

Cour d'arbitrage

Le président du PLR propose de résoudre les questions institutionnelles au niveau des différents accords bilatéraux. Dans les secteurs où cela a du sens et où les "questions de souveraineté" sont moins pertinentes, une reprise dynamique du droit pourrait avoir lieu, ajoute-t-il.

Certaines questions litigieuses, comme la directive sur la citoyenneté européenne, devraient par contre être exclues de la reprise dynamique, lâche-t-il. Dans ces cas, Bruxelles pourrait refuser aux citoyens suisses de l'UE les droits que la Suisse refuse aux citoyens de l'UE.

Concernant le règlement des litiges, M. Burkart remarque que la plupart des solutions, au niveau technique, ont été trouvées au sein du comité mixte ces dernières années. Pour les questions politiques, poursuit-il, il faut travailler à la mise en place d'une simple cour d'arbitrage.

M. Burkart juge "logique" la décision du Conseil fédéral d'interrompre les négociations sur l'accord-cadre à la fin mai. "L'UE n'était pas prête à faire des concessions à la Suisse", dit-il. "Ce qu'il faut maintenant, c'est du pragmatisme des deux côtés".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le président sud-coréen lâché par son parti, qui veut son départ

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En Corée du sud, le parti présidentiel a retourné sa veste vendredi, après avoir affirmé la veille qu'il ferait échec à la motion en destitution du président Yoon déposée par l'opposition au Parlement (archives). (© KEYSTONE/AP/Lee Jin-man)

Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, menacé de destitution pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale, a été lâché vendredi par son propre parti qui a jugé qu'il faisait courir "un grand danger" au pays et a préconisé sa "suspension rapide".

Han Dong-hoon, le chef du Parti du pouvoir au peuple (PPP) auquel appartient M. Yoon, a retourné sa veste vendredi, après avoir affirmé la veille que sa formation ferait échec à la motion en destitution déposée par l'opposition au Parlement.

Si M. Yoon reste à son poste, "il existe un risque important que des actions extrêmes similaires à la déclaration de la loi martiale soient répétées, ce qui pourrait mettre la République de Corée et ses citoyens en grand danger", a-t-il déclaré lors d'une allocution télévisée.

M. Han a également dit détenir des "preuves" que le président avait ordonné l'arrestation de dirigeants politiques dans la nuit de mardi à mercredi, lorsqu'il avait déclaré la loi martiale et envoyé l'armée boucler le Parlement, avant d'y renoncer sous la pression des députés et de la rue.

Selon le député d'opposition Jo Seung-lae, les images des caméras de surveillance du Parlement indiquent que les militaires cherchaient à arrêter le chef du Parti démocrate (la principale force d'opposition), Lee Jae-myung, le président de l'Assemblée nationale, Woo Won-shik, et même M. Han.

Craintes de 2e loi martiale

"Nous recevons de nombreuses informations concernant une seconde loi martiale. Jusqu'au vote de la loi de destitution samedi, tous les membres du Parti démocrate demeureront dans le bâtiment principal de l'Assemblée nationale", a déclaré M. Jo.

"Il n'y a pas de deuxième loi martiale", a assuré à l'AFP un responsable de l'état-major. Les Sud-Coréens "n'ont pas besoin de s'inquiéter", a renchéri un porte-parole du ministère de la Défense.

Si M. Yoon ne démissionne pas avant, le Parlement monocaméral sud-coréen se réunira samedi à 19H00 (10H00 GMT) pour se prononcer sur sa destitution. Une majorité des deux tiers des 300 députés est nécessaire pour le chasser du pouvoir.

Le PPP dispose de 108 sièges, contre 192 pour l'opposition. Ces dernières doivent donc obtenir la défection d'au moins huit députés du parti présidentiel pour faire passer leur motion, ce qui paraît probable après les dernières déclarations du chef du PPP.

"Même si quelques membres du parti au pouvoir soutiennent encore Yoon Suk Yeol, les déclarations de Han aujourd'hui semblent influencées par la gravité de la situation", a expliqué à l'AFP Shin Yul, professeur de sciences politiques à l'université de Myongji.

"Il semble que Han et les dirigeants du parti aient conclu qu'il existe une possibilité significative que le président Yoon déclare une seconde loi martiale", a ajouté ce chercheur.

Si la motion est approuvée, M. Yoon sera suspendu de ses fonctions en attendant la validation de sa destitution par la Cour constitutionnelle. Si les juges donnent leur feu vert, une nouvelle élection présidentielle aura lieu sous 60 jours.

L'intérim serait alors assuré par le Premier ministre Han Duck-soo.

M. Yoon, qui a disparu de la scène publique depuis mercredi, est par ailleurs visé par une enquête pour "rébellion".

Popularité au plancher

La cote de popularité de Yoon Suk Yeol a atteint un plus bas de 13%, selon un sondage Gallup publié vendredi.

A la surprise générale, le président avait décrété la loi martiale mardi soir et tenté de museler le Parlement, où son camp est minoritaire, en y envoyant l'armée.

M. Yoon, élu de justesse en 2022, avait accusé les élus de l'opposition de bloquer "tous les budgets essentiels aux fonctions premières de la nation". Il avait justifié son coup de force par la nécessité de protéger "la Corée du Sud libérale des menaces des forces communistes nord-coréennes et pour éliminer les éléments hostiles à l'Etat".

Malgré le bouclage de l'Assemblée, 190 députés avaient réussi à se faufiler à l'intérieur dans la nuit, parfois en escaladant les clôtures, et à voter à l'unanimité une motion réclamant la levée de loi martiale, pendant que leurs assistants empêchaient les soldats de pénétrer dans l'hémicycle en barricadant les portes avec des meubles.

Le chef des forces spéciales, Kwak Jong-geun, a affirmé vendredi avoir reçu un ordre de l'ex-ministre de la Défense "de traîner dehors les membres de l'Assemblée nationale".

Défiant la loi martiale, des milliers de manifestants s'étaient massés devant le Parlement pour demander le départ du président. Ce dernier a finalement cédé six heures après son annonce initiale et a renvoyé l'armée dans ses casernes.

Depuis, des milliers de Sud-Coréens manifestent chaque jour devant les lieux de pouvoir pour réclamer son départ.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie prête à utiliser "tous les moyens" pour se défendre

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Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dit espérer que l'Occident a "pris au sérieux" l'utilisation de son nouveau missile en Ukraine fin novembre. (© KEYSTONE/EPA/RUSSIAN FOREIGN MINISTRY PRESS SERVICE / HANDOUT)

La Russie est prête à utiliser "tous les moyens" à sa disposition pour se défendre, a déclaré lors d'une interview à Moscou jeudi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Il a évoqué le tir du nouveau missile lourd Orechnik sur l'Ukraine fin novembre.

"Le message est que vous (...) les Etats-Unis et les alliés des Etats-Unis qui fournissent ces armes à longue portée au régime de Kiev, devez comprendre que nous serions prêts à utiliser tous les moyens pour ne pas leur permettre de réussir ce qu'ils appellent la défaite stratégique de la Russie", a-t-il dit à l'éditorialiste et animateur de télévision américain Tucker Carlson.

Selon les autorités russes, ce tir de missile répondait aux bombardements menés par Kiev en Russie à l'aide de missiles américains et britanniques.

"Nous envoyons des signaux et nous espérons que le dernier, il y a deux semaines", le tir du nouveau missile lourd Orechnik sur l'Ukraine, "a été pris au sérieux", a dit M. Lavrov.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Manifestation pour la candidate pro-européenne en Roumanie

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Des manifestants se sont rassemblés jeudi soir place de l'Université, dans la capitale roumaine, brandissant des drapeaux de l'Union européenne et scandant "Liberté" et "Europe". (© KEYSTONE/EPA/ROBERT GHEMENT)

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées jeudi à Bucarest pour soutenir une candidate pro-européenne à quelques jours de l'élection présidentielle, craignant que leurs droits démocratiques ne soient menacés.

Environ 3000 personnes ont manifesté place de l'Université, dans la capitale, brandissant des drapeaux de l'Union européenne et scandant "Liberté" et "Europe".

Au premier tour, le 24 novembre, l'outsider d'extrême droite Calin Georgescu, ancien admirateur du président russe Vladimir Poutine, a obtenu le plus grand nombre de voix, ce qui a suscité des craintes quant à l'avenir du pays, membre de l'UE et de l'Otan, et déclenché des manifestations.

M. Georgescu affrontera Elena Lasconi, cheffe du parti centriste et pro-UE USR, lors d'un second tour dimanche.

"Je crains que la démocratie ne disparaisse dans ce pays", a déclaré Liliana Rotaru, qui travaille dans le secteur bancaire. "Je fais confiance à mon peuple et j'espère qu'il choisira sagement et votera pour l'Union européenne et l'Otan", a ajouté le quinquagénaire. "C'est-à-dire pour Mme Lasconi".

Réseaux manipulés

"Nous sommes pro-européens", a déclaré un autre manifestant, Radu Bourceanu, qui travaille dans les ressources humaines, estimant qu'il était difficile de prédire le résultat du vote de dimanche en raison d'une "manipulation" des médias sociaux.

Les autorités roumaines ont fait état d'une promotion "massive" sur les médias sociaux d'influenceurs manipulés et de cyberattaques lorsqu'elles ont déclassifié des documents détaillant les allégations contre M. Georgescu et la Russie.

"Je suis très inquiète et j'espère vraiment que la démocratie l'emportera et que l'influence russe ne prévaudra pas dans les élections roumaines", a déclaré Laura Boncu, 33 ans. "Je ne sais pas à quoi ressemblera notre avenir si le candidat pro-russe l'emporte", a-t-elle dit.

Critique à l'égard de l'UE et de l'Otan, M. Georgescu affirme ne pas vouloir quitter l'un ou l'autre, mais vouloir placer la Roumanie "sur la carte du monde".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Macron annoncera une premier ministre “dans les prochains jours”

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Le président français Emmanuel Macron poursuivra son mandat comme prévu, tandis que Michel Barnier (au 2e plan) n'est plus 1er ministre. (© KEYSTONE/AP/Ludovic Marin)

Le président Emmanuel Macron a promis jeudi soir aux Français de nommer "dans les prochains jours" un nouveau Premier ministre. Le pays se retrouve une nouvelle fois sans gouvernement, dans un contexte budgétaire alarmant et une atmosphère de crise politique.

Lors d'une allocution télévisée prononcée au lendemain d'une censure parlementaire historique qui a renversé le gouvernement de Michel Barnier, le chef de l'Etat a fustigé les oppositions qui ont voté la censure, en accusant la gauche radicale et l'extrême droite de s'être unies "dans un front antirépublicain" et de vouloir "créer le désordre".

"Ils ne pensent pas à vous, à vos fins de mois, vos projets, ils ne pensent qu'à une seule chose, à l'élection présidentielle, pourla préparer, pour la précipiter, et cela avec le cynisme et un certain sens du chaos", a-t-il asséné.

La prochaine présidentielle est prévue en 2027, mais certains, particulièrement la gauche radicale, réclament la démission de M. Macron.

Il est "la cause du problème" et "s'en ira par la force des évènements", a d'ailleurs lancé le chef de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon sur une chaîne télévisée juste après l'allocution du président.

Mais M. Macron a balayé cette hypotèse, assurant qu'il accomplirait son mandat présidentiel "jusqu'à son terme" en 2027.

Dissolution "incomprise"

Mercredi, Michel Barnier est devenu le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République après avoir été censuré par une majorité de députés trois mois seulement après sa prise de fonction.

La France a déjà été sans gouvernement pendant plusieurs semaines cet été, après une dissolution et des législatives anticipées ayant abouti à une Assemblée fragmentée en trois blocs (alliance de gauche, macronistes et droite, extrême droite) sans majorité absolue. Le gouvernement démissionnaire avait expédié les affaires courantes jusqu'à la nomination, dans la douleur, de Michel Barnier début septembre.

Emmanuel Macron a reconnu jeudi soir que sa décision de dissoudre n'avait pas été "comprise", assumant "sa responsabilité".

Selon le chef de l'Etat, le prochain gouvernement aura une "priorité": le budget. Et si un nouveau budget devra être présenté en "tout début d'année prochaine", le président a affirmé qu'une "loi spéciale sera déposée avant la mi-décembre au Parlement", un texte qui permettra "la continuité des services publics et de la vie du pays". Elle appliquera pour 2025 "les choix (budgétaires) de 2024".

La situation budgétaire de la deuxième économie de la zone euro requiert un exécutif rapidement. Attendu à 6,1% du PIB en 2024, le déficit public ratera son objectif de 5% en l'absence de budget.

La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, qui a été reçue jeudi par Emmanuel Macron, a souhaité que le successeur de Michel Barnier soit nommé "rapidement" pour "ne pas laisser s'installer le flottement".

"Flou", "impasse", "cercle vicieux": du nord au sud du pays, l'inquiétude et la lassitude étaient manifeste chez les Français interrogés par l'AFP.

Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour RTL, la situation laisse les Français partagés: 53% approuvent la décision de censure des députés, mais 82% sont inquiets de ses conséquences.

Les marchés restaient en revanche calmes: la Bourse de Paris était en légère hausse et le taux auquel la France emprunte sur les marchés était même orienté à la baisse. Mais l'agence Moody's prévient que la chute du gouvernement "réduit la probabilité d'une consolidation" des finances publiques.

Casse-tête

L'équation de la formation d'un nouveau gouvernement s'annonce tout aussi complexe qu'elle l'a été pour nommer Michel Barnier.

Tant la gauche que le centre ou la droite paraissent désunis pour s'entendre sur un nouveau gouvernement de coalition.

Pour les centristes et la droite, travailler avec les socialistes et les écologistes implique que ces derniers se détachent du parti de la gauche radicale La France insoumise (LFI), avec qui ils forment le Nouveau Front populaire (NFP), la première force à l'Assemblée.

LFI de son côté a d'ores et déjà prévenu jeudi que sa formation censurerait tout Premier ministre n'étant pas issu de l'alliance de gauche, mais réclame surtout la démission du chef de l'Etat et une "présidentielle anticipée".

Socialistes et écologistes, eux, se disent prêts à des compromis avec le bloc central, qui s'engagerait en retour à ne pas censurer un gouvernement de gauche.

L'extrême droite, qui joue les rôles d'arbitre et a précipité la censure du gouvernement Barnier, assure qu'elle laissera "travailler" le futur chef du gouvernement pour "co-construire un budget acceptable pour tous".

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International

Fonction publique: 200'000 manifestants en France, selon la CGT

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La CGT emmenait le cortège des manifestants à Paris. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Les manifestations des agents publics contre la "dégradation de leurs conditions de travail et de rémunération" ont réuni jeudi 200'000 personnes dans 160 cortèges et rassemblements à travers la France, dont 30'000 à Paris, a rapporté la CGT à l'AFP.

Au lendemain de la chute du gouvernement, les fonctionnaires protestent notamment contre le projet d'instauration de trois jours de carence pour leurs arrêts maladie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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