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Politique

Nouvelles mesures pour préserver la biodiversité en Suisse

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Quinze nouvelles mesures seront mises en place pour préserver la biodiversité (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Quinze nouvelles mesures seront déployées pour préserver la biodiversité en Suisse. Le Conseil fédéral a adopté mercredi la deuxième phase du plan d'action Stratégie Biodiversité et débloqué une enveloppe de 24 millions pour les années 2025-2030.

La deuxième phase s'attaque de manière ciblée aux lacunes existantes. Parmi les mesures décidées figurent l'identification et la valorisation des surfaces particulièrement importantes pour les insectes, l'adaptation d'espèces animales et végétales et de leur habitat aux changements climatiques, ainsi que le soutien des cantons et des communes à la promotion de la biodiversité en zone urbanisée.

Au cours des prochains mois, d’autres offices fédéraux dont les domaines politiques ont une incidence sur la biodiversité définiront également des mesures pour la mise en ½uvre du plan d'action. L’aménagement du territoire, les transports, la production d’énergie, l’agriculture et le commerce extérieur apportent des contributions importantes au plan d’action, indique le gouvernement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'accord de cessez-le-feu soumis au gouvernement israélien

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Des Palestiniens ont célébré l'accord de cessez-le-feu annoncé mercredi soir par le Qatar et les Etats-Unis. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le gouvernement israélien doit donner son feu vert jeudi à l'accord annoncé par le Qatar et les Etats-Unis sur un cessez-le-feu à Gaza. Ce après plus de 15 mois d'une guerre entre Israël et le Hamas qui a fait des dizaines de milliers de morts.

Après plus d'un an de blocage, les négociations indirectes à Doha se sont accélérées à l'approche du départ de la Maison Blanche de Joe Biden, remplacé lundi par Donald Trump. Elles ont débouché mercredi soir sur l'officialisation d'un accord en trois phases prévoyant une trêve à partir de dimanche, la libération de 33 otages israéliens en échange d'un millier de prisonniers palestiniens, et une augmentation de l'aide humanitaire.

La nouvelle a été saluée par de nombreuses capitales et organisations internationales. Et des milliers de Palestiniens ont exulté à travers la bande de Gaza assiégée et dévastée par la guerre déclenchée par une attaque d'une ampleur sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.

Le mouvement islamiste palestinien a vu dans l'accord le fruit de la "ténacité" du peuple palestinien et de sa "vaillante résistance". Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont aussi salué jeudi une "victoire" pour les Palestiniens et une "défaite" pour Israël.

"Bon choix"

Mais le gouvernement israélien lui-même n'a pas confirmé l'accord, et la Défense civile de la bande de Gaza a rapporté sept morts dans deux frappes israéliennes jeudi matin à Gaza-ville, et 20 morts la veille au soir, après l'annonce. Les "derniers détails" sont encore en cours de finalisation, selon un communiqué publié dans la nuit par le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Il a toutefois remercié Donald Trump et Joe Biden, dont les équipes ont étroitement collaboré pour parvenir à un accord sur "la libération des otages".

Une réunion du conseil des ministres israéliens est attendue dans la journée de jeudi pour examiner l'accord et sauf surprise le valider, le chef du gouvernement disposant d'une majorité, malgré des dissensions. Si le président israélien Isaac Herzog a salué un "bon choix", le ministre des Finances Bezalel Smotrich, d'extrême droite, a dénoncé un accord "dangereux" et précisé que les ministres de son parti voteraient contre.

Reconstruction

L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées le jour de l'attaque, 94 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes selon l'armée.

Au moins 46'707 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza qui a aussi provoqué un désastre humanitaire, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l'ONU.

Les principaux éléments de l'accord ont été rendus publics par le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, dont le pays est l'un des médiateurs entre Israël et le Hamas, et Joe Biden. Il prévoit une entrée en vigueur dimanche pour une première phase de six semaines comprenant un cessez-le-feu, la libération de 33 otages et un retrait israélien des zones densément peuplées.

Avenir politique en suspens

La deuxième phase doit aussi permettre la libération des derniers otages et un retrait complet israélien de Gaza, a encore détaillé M. Biden. La troisième et dernière phase doit être consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages tués durant leur captivité.

"Un mécanisme de suivi pour surveiller l'application de l'accord sera mis en place au Caire et sera géré par l'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis", a précisé le Premier ministre du Qatar. Joe Biden a assuré que l'accord se traduirait, dès sa première phase, par un cessez-le-feu "entier et total".

L'aide humanitaire doit augmenter pendant la première phase, qui doit permettre des négociations en vue d'arriver à la deuxième phase, à savoir "une fin définitive de la guerre", a-t-il ajouté. Déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, la bande de Gaza assiégée a été ravagée par la guerre et la grande majorité de ses 2,4 millions d'habitants ont été déplacés et vivent dans des conditions particulièrement dures.

"Je n'arrive pas à croire que ce cauchemar qui dure depuis plus d'un an commence à toucher à sa fin", a déclaré à l'AFP Randa Samih, une déplacée originaire de Gaza-ville dans le camp de Nousseirat. "Nous avons perdu tant de monde, nous avons tout perdu", a ajouté la Palestinienne de 45 ans, tandis que des rassemblements spontanés de joie avaient lieu en plusieurs endroits dont devant l'hôpital des Martyrs d'Al-Aqsa à Deir el-Balah, où tant de morts ont afflué depuis le début de la guerre.

En Israël, Ornit Barak, 59 ans, présente à un rassemblement à Tel-Aviv mercredi soir pour réclamer la fin de la guerre et le retour de tous les otages s'affirme elle "très heureuse, mais aussi inquiète" dans l'attente du retour de tous les otages, dont 94 sont toujours captifs, parmi lesquels 34 déclarés morts par l'armée. S'il fait taire les armes, le cessez-le-feu laisse en suspens l'avenir politique du territoire où le Hamas, à présent très affaibli, a pris le pouvoir en 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Eventuel retrait de Cassis: présidents du PLR et du Centre réservés

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Les présidents du PLR Thierry Burkart (à gauche) et du Centre Gerhard Pfister (à droite) restent sur la réserve concernant une éventuelle démission d'Ignazio Cassis (Archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les présidents du PLR Thierry Burkart et du Centre Gerhard Pfister demeurent sur la réserve s'agissant d'une éventuelle démission d'Ignazio Cassis du Conseil fédéral. Celle-ci a été évoquée dans la foulée de celle annoncée mercredi par Viola Amherd.

Interrogé jeudi dans l'émission "Heute Morgen" de la radio alémanique SRF sur une éventuelle démission du conseiller fédéral libéral-radical tessinois, le président du PLR Thierry Burkart a déclaré: "Il serait indécent qu'en tant que président de parti, j'exerce maintenant une pression sur un membre du Conseil fédéral". Selon lui, la démission d'un conseiller ou d'une conseillère fédérale est l'affaire de la personne concernée.

Interrogé dans la même émission jeudi matin, le président du Centre Gerhard Pfister a commenté: "Nous serions bien avisés de laisser aux conseillères et conseillers fédéraux eux-mêmes le soin de décider de leur démission". Il a ajouté ne voir aucun signe de lassitude chez le chef de la diplomatie suisse.

Mercredi, Mme Amherd a annoncé son départ du Conseil fédéral pour la fin mars. Son successeur sera désigné lors de la session de printemps en mars. Si Ignazio Cassis décidait de se retirer d'ici là, l'élection de son remplaçant ou sa remplaçante aurait lieu le même jour, mais avant celle du successeur ou de la successeure de Viola Amherd, en raison d'une durée de mandat plus longue pour le Tessinois. Les éditorialistes et autres commentateurs estiment qu'une telle situation pourrait permettre au PLR de garantir son second siège au Conseil fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Elections anticipées au Vanuatu, un mois après un séisme majeur

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Un tremblement de terre de magnitude 7,3 a secoué le Vanuatu le 17 décembre 2024, détruisant des routes et des bâtiments à Port Vila, la capitale. (© KEYSTONE/AP)

Les électeurs du Vanuatu votent jeudi pour des législatives anticipées, nouvel épisode de l'instabilité politique récurrente dans ce pays du Pacifique qui se remet à peine d'un séisme meurtrier.

Un tremblement de terre de magnitude 7,3 a secoué le Vanuatu le 17 décembre, détruisant des routes, faisant s'écrouler des bâtiments à Port Vila, la capitale, et tuant au moins 14 personnes.

"L'instabilité n'aidera pas le Vanuatu à l'heure actuelle, et notamment après ce tremblement de terre. La nation entière a été touchée par le séisme," a déclaré Mike Esrom Kaun, candidat à Port Vila, à l'AFP.

Depuis des décennies, Vanuatu est en proie à l'instabilité politique. Le pays a changé 20 fois de Premier ministre entre 1991 et 2017 et a encore connu trois chefs de gouvernement en un mois en 2023.

Cette fois, le Parlement, morcelé en plusieurs groupes nécessitant la formation de coalition, a été dissous en novembre alors que des députés comptaient lancer une motion de censure pour renverser le Premier ministre Charlot Salwai.

Certains craignent que cette instabilité permanente ne détourne l'attention des catastrophes naturelles, de l'économie chancelante et de la menace des conséquences du réchauffement climatique.

Le Vanuatu, qui compte quelque 320'000 habitants, est situé sur la ceinture de feu du Pacifique, où les séismes sont fréquents. Il est classé parmi les pays les plus vulnérables aux catastrophes naturelles telles que les séismes, les dégâts causés par les tempêtes, les inondations et les tsunamis, selon le Rapport annuel sur les risques mondiaux

"Les élections sont vraiment encore une distraction des priorités de développement", insiste Riley Duke, un expert du Pacifique au sein du groupe de réflexion Lowy institute en Australie.

"Le Vanuatu est un pays en développement qui fait face à d'énormes difficultés. Les indicateurs clés, comme les revenus, la santé et l'éducation, reculent ces dernières années" a-t-il déclaré à l'AFP.

Les bureaux de vote fermeront à 16H30 heure locale (6H30 en Suisse).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie a planifié des "actes de terreur", selon Varsovie

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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'exprime lors d'une conférence de presse conjointe avec le président polonais Andrzej Duda, après leur rencontre au palais du Belvédère à Varsovie mercredi. (© KEYSTONE/EPA/ALBERT ZAWADA)

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a affirmé mercredi que la Russie avait planifié des "actes de terreur" dans les transports aériens à travers le monde, l'accusant d'organiser des sabotages et des détournements d'avions en Pologne et au-delà.

M. Tusk a fait ces déclarations en présence du président de l'Ukraine voisine, Volodymyr Zelensky, en déplacement à Varsovie pour une série d'entretiens, quelques jours avant l'investiture de Donald Trump.

La Pologne, membre de l'UE et de l'Otan, est l'un des principaux alliés de Kiev face à l'armée russe depuis le début de l'invasion du territoire ukrainien, en février 2022.

"Sans entrer dans le détail, je peux confirmer le bien-fondé des craintes selon lesquelles la Russie a planifié des actes de terreur dans les airs, non seulement contre la Pologne, mais aussi contre des compagnies aériennes du monde entier", a dit M. Tusk au cours d'un point de presse commun avec son invité ukrainien.

Selon lui, "les actes de sabotage, les différentes versions de la guerre que la Russie a déclarée à l'ensemble du monde civilisé, et pas seulement à l'Ukraine, rendent nécessaires une action commune".

En novembre, la Lituanie a procédé à des arrestations dans le cadre d'une enquête criminelle sur la présence d'engins incendiaires à bord d'avions à destination de pays occidentaux.

Selon les médias polonais et lituaniens, ces engins, notamment des masseurs électriques imprégnés d'une substance inflammable, ont été envoyés de Lituanie au Royaume-Uni en juillet et pourraient être à l'origine de l'incendie d'un camion à l'extérieur de Varsovie.

Un conseiller à la sécurité à la présidence lituanienne avait assuré à l'époque que Moscou avait été à l'origine de ces incidents.

En octobre, la police antiterroriste britannique avait quant à elle annoncé qu'elle enquêtait sur la manière dont un colis avait pris feu dans un dépôt au début de l'année, après qu'un cas similaire en Allemagne avait été imputé à la Russie.

"Sortir de l'impasse"

M. Tusk, dont le pays assume la présidence tournante de l'Union européenne, a promis de tout faire pour "sortir de l'impasse" des "derniers mois" dans le processus d'intégration à l'UE de l'Ukraine.

"Nous travaillerons avec l'Ukraine et nos partenaires européens, sans conditions préalables, pour accélérer autant que possible le processus d'adhésion", a-t-il souligné.

"Plus tôt l'Ukraine sera dans l'UE, plus tôt l'Ukraine deviendra membre de l'Otan, plus nous agirons ensemble, plus tôt l'ensemble de l'Europe obtiendra la certitude géopolitique dont elle a besoin", a se son côté martelé M. Zelensky.

"La Russie ne passera pas là où il y a notre intégration, notre force commune", a-t-il ajouté, appelant par ailleurs ses alliés occidentaux à dépenser 250 milliards de dollars d'actifs russes gelés afin d'acheter des armes pour son pays.

Le président ukrainien a multiplié les rencontres avec les soutiens de Kiev avant le retour la semaine prochaine à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a promis de rapidement mettre fin aux combats, sitôt qu'il aura pris ses fonctions. Ce qui fait redouter à l'Ukraine qu'elle ne soit contrainte de faire des concessions territoriales majeures en échange de la paix.

Le chef de l'Etat ukrainien a rencontré à Varsovie son homologue polonais Andrzej Duda qui a réitéré son opinion selon laquelle "aucune discussion concernant l'Ukraine, la fin de la guerre, l'indépendance et la souveraineté de l'Ukraine ne peut avoir lieu sans la participation de l'Ukraine".

"Problème à régler"

MM. Tusk et Zelensky ont en outre parlé du règlement d'un différend vieux de plusieurs décennies concernant les massacres de Polonais pendant la Deuxième Guerre mondiale à Volyn, une ville aujourd'hui dans l'ouest de l'Ukraine.

Avec en ligne de mire l'élection présidentielle de mai, l'alliance pro-UE qui gouverne la Pologne subit la pression des nationalistes pour obtenir l'exhumation des victimes de ces tueries.

"Il y a un problème assez évident à régler, à savoir le besoin des familles polonaises d'enterrer dignement leurs proches qui ont été victimes du massacre de Volyn", a estimé M. Tusk.

"Le fait que nous nous comprenions sur cette question, que nous commençions à en parler normalement et que nous ayons pris certaines mesures, oui, cela mérite d'être qualifié de percée", s'est-il félicité.

Aucune des deux parties n'a précisé quelles actions concrètes avaient été entreprises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Bains du Rhône : le Conseil municipal soutien le projet

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Les Vert'libéraux voudraient créer de nouveaux bains qui permettraient à la population de nager dans le Rhône, quai du Général-Guisan (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Conseil municipal de la Ville de Genève appuie le lancement d'une étude visant à la création de nouveaux Bains sur le Rhône au quai du Général-Guisan, au coeur de la cité. Le parti des Vert'libéraux, à l'origine d'une initiative sur le sujet, s'est félicité, mercredi, de ce soutien.

La formation politique, dans un communiqué, a rappelé que son initiative pour l'étude de nouveaux Bains sur le Rhône avait été déposée en novembre 2023, munie de plus de 5000 signatures. Le texte avait été validé par le Conseil d'Etat et avait aussi reçu la bénédiction du Conseil administratif de la Ville de Genève.

Les Vert'libéraux ont promis maintenant "de suivre de près les prochaines étapes dans la réalisation d'une étude de faisabilité". Ils ont aussi affiché leur intention de "maintenir la pression sur les autorités afin qu'elles prennent au sérieux le besoin de rafraîchir le centre-ville de Genève" lors des épisodes caniculaires.

Les Vert'libéraux se sont aussi montrés satisfaits de l'acceptation, par le Conseil municipal, de leur seconde initiative en faveur, cette fois, d'un réseau d'espaces de détente végétalisés en ville. L'ambition de ce projet est de créer "un véritable maillage vert dans un environnement urbain densément peuplé".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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