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International

Musk dit ne pas avoir l'intention d'acheter TikTok

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Donald Trump a donné à TikTok jusqu'au début du mois d'avril pour vendre ses activités américaines (archives). (© KEYSTONE/AP/Jeff Chiu)

L'homme le plus riche au monde et propriétaire du réseau social X, Elon Musk, a déclaré à la fin janvier qu'il n'avait pas fait d'offre pour racheter l'application populaire TikTok. Le réseau social chinois est en sursis aux Etats-Unis.

"Je n'ai pas fait d'offre pour TikTok et je ne sais même pas ce que je ferais si j'avais TikTok", a déclaré M. Musk le 28 janvier, lors d'une intervention à distance à un événement en Allemagne, dont la vidéo a été publiée samedi par les organisateurs.

Le président américain Donald Trump lui-même avait placé le patron de Tesla et SpaceX sur la liste des entrepreneurs pressentis pour racheter l'application. Il avait déclaré le 21 janvier qu'il serait favorable à l'opération si son allié Elon Musk "voulait l'acheter".

Jusqu'au début avril

Le réseau social TikTok est sous le coup d'une loi américaine qui lui impose de couper les ponts avec son propriétaire chinois ByteDance, sous peine d'être interdit aux Etats-Unis.

Les élus américains avaient justifié ce texte par la nécessité d'empêcher les autorités chinoises d'accéder aux données d'utilisateurs américains ou de manipuler l'opinion aux Etats-Unis. Donald Trump a donné à TikTok jusqu'au début du mois d'avril pour vendre ses activités américaines.

Lors de son intervention à la fin janvier, Elon Musk a indiqué qu'il n'utilisait pas lui-même l'application et qu'il avait pour habitude de créer des entreprises à partir "de zéro" plutôt que de les racheter.

Son rachat de Twitter (désormais X) pour 44 milliards de dollars en 2022 fait exception, mais le but était de "préserver la liberté d'expression", a-t-il ajouté.

TikTok est une plateforme très populaire de partage de courtes vidéos divertissantes publiées par les utilisateurs et les créateurs de contenus, de la danse à la cuisine, en passant par la comédie, les animaux et les défis. L'application revendique 170 millions d'utilisateurs aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ONU vote pour une force internationale à Gaza

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Une force internationale sera déployée à Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté lundi pour le plan de paix de Donald Trump à Gaza, prévoyant en particulier le déploiement d'une force internationale, sous la pression des Etats-Unis qui mettaient en garde contre le risque d'une reprise de la guerre.

Treize membres du Conseil se sont prononcés en faveur du texte, que l'ambassadeur américain aux Nations unies Mike Waltz a qualifié d'"historique et constructif". La Russie et la Chine se sont abstenues.

Soutien suisse

La Suisse s'est réjouie de cette décision et a réaffirmé son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats. "La #Suisse salue l’engagement du Conseil de sécurité des Nations Unies en faveur de la mise en ½uvre du plan de paix pour #Gaza, à travers l’adoption de la résolution d’aujourd’hui, y compris l’établissement d'une #ForceInternationaledeStabilisation.

Le respect du droit international, l’accès humanitaire et la protection des civils doivent rester au c½ur de tous les efforts sur le terrain. La Suisse réaffirme son soutien indéfectible à une solution négociée à deux Etats, seul cadre durable pour la paix", peut-on lire sur le compte X du Département fédéral des affaires étrangères.

Une résolution qui "endosse" le plan Trump

La résolution américaine, plusieurs fois modifiée lors de négociations sensibles, "endosse" le plan du président américain ayant permis la mise en place, le 10 octobre, d'un cessez-le-feu fragile entre Israël et le Hamas dans le territoire palestinien ravagé par deux années de guerre provoquée par l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien du 7 octobre 2023.

Le texte, vu par l'AFP, "autorise" la mise en place d'une "force de stabilisation internationale" (ISF) chargée notamment de l'appui à la sécurisation des frontières en coopération avec Israël et l'Egypte, de la démilitarisation de Gaza, du désarmement "des groupes armés non étatiques", de la protection des civils et de la formation d'une police palestinienne.

La composition de cette force n'est pas évoquée.

La résolution, soutenue par l'Autorité palestinienne, donne également mandat jusqu'au 31 décembre 2027 à un "Comité de la paix", organe de "gouvernance de transition" à Gaza jusqu'à la réforme de l'Autorité palestinienne. Selon le plan en 20 points qui y est annexé, ce comité doit être présidé par Donald Trump.

Contrairement aux premières versions, la résolution évoque l'éventualité d'un Etat palestinien. Après la réforme de l'Autorité palestinienne et l'avancée de la reconstruction de Gaza, "les conditions pourraient finalement être en place pour un chemin crédible vers une autodétermination palestinienne et un statut d'Etat", dit le texte.

Un avenir clairement rejeté par Israël. "Notre opposition à un Etat palestinien sur quelque territoire que ce soit n'a pas changé", a insisté le Premier ministre Benjamin Netanyahu dimanche.

Son ministre de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir, figure de l'extrême droite, a lui appelé lundi à l'arrestation du président Mahmoud Abbas et à l'assassinat d'autres hauts responsables palestiniens si l'ONU venait à reconnaître un Etat palestinien.

Préalablement au vote, l'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, a insisté face à la presse sur une "exigence fondamentale", appuyée par son homologue américain Mike Waltz: le retour des corps des trois derniers otages encore à Gaza.

Trump content, le Hamas pas du tout

Donald Trump a salué lundi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de cette résolution. Elle entraînera selon lui "davantage de paix dans le monde".

"Cela restera comme l'une des approbations les plus importantes de l'histoire des Nations Unies", a réagi le président américain sur Truth Social, remerciant les pays siégeant au Conseil de sécurité, y compris la Russie et la Chine, qui se sont abstenues.

Pour sa part, le Hamas a déploré l'adoption d'une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.

"La résolution impose un mécanisme de tutelle internationale sur la bande de Gaza, ce que notre peuple, ses forces et ses composantes rejettent, et elle impose un mécanisme visant à atteindre les objectifs" d'Israël, écrit le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué, déplorant notamment la mise sur pied d'une force internationale dont "la mission (...) inclut le désarmement" des groupes palestiniens à Gaza.

Objections russes

Pour la France, qui a voté en faveur de cette résolution, elle "répond aux besoins les plus urgents des populations et permet de soutenir les efforts de paix en cours"."Nous nous sommes assurés que le texte (...) inclue des éléments importants pour nous, et notamment des références à la perspective d'un État palestinien", a ajouté une source diplomatique.

La Russie, qui a fait circuler un texte concurrent, avait justifié cette initiative notamment par le fait que la résolution américaine n'allait pas assez loin sur ce dernier point, affirmant un "engagement indéfectible" en faveur de la solution à deux Etats.

Le texte russe, également consulté par l'AFP, n'autorise ni la création d'un Comité de la paix ni le déploiement d'une force à ce stade, demandant au secrétaire général de l'ONU de proposer des "options" en la matière.

D'autres Etats membres ont exprimé des réticences, s'inquiétant d'un manque de clarté dans les mandats du Comité de la paix et de l'ISF.

Face à ce qu'ils ont qualifié de "tentatives de semer la discorde", les Etats-Unis ont redoublé d'efforts ces derniers jours pour pousser le Conseil à donner son feu vert.

"Tout refus de soutenir cette résolution est un vote en faveur de la poursuite du règne des terroristes du Hamas ou en faveur de la reprise de la guerre avec Israël, condamnant la région et sa population à un conflit perpétuel", a insisté l'ambassadeur américain à l'ONU Mike Waltz dans un texte publié dans le Washington Post vendredi.

Les Américains ont également mis en avant l'ampleur du soutien pour ce texte, publiant une déclaration commune avec le Qatar, l'Egypte, les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite, l'Indonésie, le Pakistan, la Jordanie et la Turquie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Dossier contre l'ex-directeur du FBI potentiellement "compromis"

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L'ancien directeur du FBI James Comey a été inculpé fin septembre (archives). (© KEYSTONE/AP/Charles Rex Arbogast)

La procédure pénale contre l'ancien directeur du FBI James Comey, désigné par Donald Trump à son ministère de la Justice comme une cible prioritaire, apparait lundi mal embarquée, après une nouvelle décision d'un juge très sévère pour l'accusation.

Donald Trump a maintes fois exprimé pendant sa campagne électorale sa volonté de se venger de tous ceux qu'il considère comme des ennemis personnels. James Comey, 64 ans, est devenu fin septembre la première de ces personnalités à être inculpée depuis le retour au pouvoir du milliardaire.

Un juge a relevé dans une décision rendue lundi "une série troublante de faux pas dans la conduite des investigations", susceptible selon lui de motiver une annulation de l'inculpation si la défense en faisait la demande.

"Formulations fondamentalement erronées"

En cause, la présentation par Lindsey Halligan, la procureure choisie par Donald Trump, des éléments du dossier au grand jury - commission de citoyens investie de pouvoirs d'enquête.

"Le tribunal a identifié deux déclarations de la procureure au grand jury qui de prime abord apparaissent comme des formulations fondamentalement erronées de la loi qui pourraient compromettre l'intégrité du processus", explique le juge William Fitzpatrick.

La procureure a ainsi notamment laissé entendre au grand jury que James Comey ne pourrait pas se prévaloir du 5e Amendement de la Constitution américaine, autorisant tout justiciable à ne pas témoigner à son propre procès, relève-t-il.

En conséquence, le juge donne satisfaction à la défense, ordonnant à l'accusation de fournir à celle-ci d'ici lundi soir tous les documents présentés au grand jury pour obtenir l'acte d'accusation contre M. Comey.

"Rancune personnelle"

Les avocats de l'ex-directeur du FBI ont introduit une série de recours en annulation des poursuites, faisant notamment valoir qu'elles étaient motivées par la seule "rancune personnelle" de Donald Trump et que la nomination de la procureure était "illégale".

La procureure générale de l'Etat de New York, Letitia James, elle aussi inculpée à la suite de pressions publiques de Donald Trump, a également exercé des recours sur ces mêmes motifs.

Lors d'une audience la semaine dernière, une autre juge s'est montrée très sceptique sur la légalité de la désignation de la procureure, promettant de rendre une décision à ce sujet d'ici Thanksgiving, le 27 novembre.

Après avoir poussé à la démission le procureur du district est de Virginie en charge de ces dossiers, Donald Trump l'avait aussitôt remplacé à ce poste stratégique par Lindsey Halligan, conseillère à la Maison Blanche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Allemands et Néerlandais qualifiés pour la Coupe du monde

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Gnabry et Woltemade ont chacun marqué pour l'Allemagne (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

L'Allemagne sera au rendez-vous de la Coupe du monde 2026. La Mannschaft a composé son billet lors de la dernière journée du groupe A des qualifications en écrasant la Slovaquie 6-0 à Leipzig.

Appliquée et inspirée, la sélection de Julian Nagelsmann a dominé la partie dès les premières minutes. Son emprise a rapidement payé avec des réussites de Woltemade (19e), Gnabry (29e) et Sané (36e/41e). Les Allemands n'ont pas ralenti après le repos, ce qui a permis à Baku (67e) et Ouadraogo (79e) de marquer tous deux leur premier but avec la Mannschaft.

Les Slovaques, qui s'étaient imposé 2-0 à Bratislava, n'ont cette fois pas eu voix au chapitre. Ils ont été copieusement dominés et n'ont jamais semblé en mesure de créer une nouvelle surprise. Ils pourront toutefois encore se qualifier via les barrages.

Les Pays-Bas ont aussi assuré sans problème leur billet pour la phase finale. A Amsterdam, ils ont battu la Lituanie 4-0 pour conserver jusqu'au bout la tête du groupe G. Les Oranje ont fait la décision grâce à des buts inscrits par Reijnders (16e), Gakpo (58e/pen), Simons (60e) et Malen (62e).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Trump dit compter approuver la vente de F-35 à l'Arabie saoudite

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Donald Trump s'est dit favorable à la vente d'avions de combat F-35 à l'Arabie saoudite. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Donald Trump a déclaré lundi qu'il comptait approuver la vente d'avions de combat F-35 à l'Arabie saoudite, à la veille de la visite du prince héritier Mohammed ben Salmane à la Maison Blanche.

"Nous allons faire ça, nous vendrons des F-35", a déclaré le président américain à la presse depuis la Maison Blanche, ajoutant: "ils ont été des alliés super".

Le prince héritier saoudien, dirigeant de facto du royaume, arrive à Washington avec la volonté d'acquérir des systèmes avancés de défense aérienne et antimissile, mais aussi ces avions F-35, que seul Israël possède actuellement au Moyen-Orient.

Donald Trump a récemment réitéré son souhait de voir l'Arabie saoudite - poids lourd du Moyen-Orient - reconnaître Israël en rejoignant les accords d'Abraham. Et selon le média Axios, Israël veut que toute vente américaine de F-35 à Ryad soit conditionnée à cette reconnaissance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tchèques et Slovaques dans la rue par milliers pour la démocratie

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De nombreux Tchèques sont descendus dans les rues de Prague. (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Les Tchèques et les Slovaques se sont rassemblés par milliers lundi à l'occasion des commémorations de la Révolution de Velours. Ils accusent les dirigeants Andrej Babis et Robert Fico de trahir l'héritage de la transition vers la démocratie.

Le 17 novembre 1989, les communistes tchécoslovaques avaient réprimé une marche pacifique, déclenchant une riposte qui a renversé le régime affidé à Moscou, après quatre décennies de dictature. Cette révolution a restauré la démocratie en Tchécoslovaquie, qui s'est ensuite scindée en République tchèque et en Slovaquie quatre ans plus tard. Puis les deux pays ont intégré l'Union européenne (UE).

Une partie de la population tchèque s'oppose au milliardaire Andrej Babis, arrivé en tête des élections en octobre et qui cherche à monter un gouvernement avec deux partis eurosceptiques.

Le rassemblement dans le centre de Prague avait pour mot d'ordre "La République tchèque n'est pas à vendre", et des banderoles hostiles à M. Babis étaient nombreuses.

"Je ne veux pas perdre la liberté acquise", a déclaré à l'AFP Jachym Prokop, un étudiant de 19 ans, drapeau de l'UE sur ses épaules. Andrej Babis "nous entraîne vers l'Est plutôt que vers l'Ouest", a-t-il ajouté.

"Pacte mafieux"

En 2019, ce même mouvement avait réuni 250'000 personnes contre M. Babis lors de son premier mandat, dans un pays qui compte 10,9 millions d'habitants. Mais il a remporté les élections une seconde fois et cet admirateur du président américain Donald Trump, âgé de 71 ans, s'est allié au parti d'extrême droite SPD. Il a offert à son responsable, Tomio Okamura, poursuivi pour incitation à la haine, la présidence du parlement.

Anciennement communiste, M. Babis est aussi accusé de fraude aux subventions européennes. Il nie tout acte répréhensible, dénonçant une campagne de diffamation.

Selon l'un des organisateurs, Mikulas Minar, son retour au pouvoir émerge donc sur un possible "pacte mafieux", deux inculpés étant à présent en position de s'offrir mutuellement l'immunité contre la justice.

"Cheval de Troie"

En Slovaquie, c'est contre le Premier ministre Robert Fico que se sont mobilisés des dizaines de milliers d'opposants dans plusieurs localités, dont la capitale, Bratislava. "La liberté n'est pas un cadeau mais un droit", ont écrit les manifestants sur des panneaux.

Le dirigeant revenu au pouvoir en 2023 "prend des mesures contraires à la démocratie qui nous ramène avant 1989", estime un organisateur, Marian Kulich.

M. Fico, 61 ans, anciennement communiste lui aussi, exerce son quatrième mandat également grâce au soutien d'un parti d'extrême droite, le SNS. Sur le modèle de la Hongrie voisine, il combat les ONG, remplace les élites culturelles et sape l'indépendance des médias. Il a aussi fait renouer la Slovaquie avec la Russie, malgré l'invasion russe de l'Ukraine, pays qu'il refuse de soutenir.

"En 89, j'étais sur la place luttant contre le communisme et aujourd'hui, j'ai peur que cela ne se répète", a déclaré à l'AFP Lubos Dobsovis, un entrepreneur de 60 ans. "Je veux que nous nous en tenions à notre espace naturel, l'Union européenne", et "je refuse que nous devenions un cheval de Troie pour la Russie".

Gabriela Marienkova, une fonctionnaire de 52 ans, a aussi une impression de déjà-vu. "On était déjà dans la rue à l'époque et maintenant, c'est une véritable catastrophe, ce qui se passe ici. Nous nous battons aussi pour nos enfants", a-t-elle dit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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