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Politique

L’exclusion de Magali Orsini d’Ensemble à Gauche est infondée selon la justice

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Le Tribunal de première instance de Genève a annulé l’exclusion de la députée Magali Orsini de l’alliance Ensemble à Gauche (EàG).

Les relations au sein de la formation Ensemble à Gauche (EàG) au Grand Conseil genevois ne semblent pas s’apaiser. Même si les tensions ont toujours existé, l’extrême gauche a connu un tournant en 2016 avec l’éviction - non validée par le Bureau du Grand Conseil - de deux de ses grandes figures, les députés Magali Orsini et Pierre Gauthier. La justice a tranché la semaine dernière et l’exclusion de Magali Orsini a été annulée.

Magali Orsini était l’invitée politique du journal de Radio Lac Soir :

Magali OrsiniDéputée Ensemble à Gauche

@GhufranBron

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International

Des Américains commencent à voter à la présidentielle

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La candidate démocrate à l'élection présidentielle Kamala Harris a rejoint Oprah Winfrey lors de l'événement Unite for America Live Streaming jeudi à Farmington Hills, Michigan (© KEYSTONE/AP/Paul Sancya)

A 45 jours de la présidentielle américaine, Kamala Harris se rend vendredi dans l'Etat de Géorgie pour y parler du droit à l'avortement, tandis que dans plusieurs autres Etats des électeurs commencent à voter de façon anticipée.

Son adversaire Donald Trump se rend lui à Miami pour une réunion de levée de fonds fermée à la presse. L'argent reste le nerf d'une campagne qui devrait voir les candidats dépenser un montant total d'un milliard de dollars.

Depuis que la Cour suprême des Etats-Unis, remaniée par le républicain, a mis fin à la protection fédérale de l'IVG en juin 2022, les démocrates considèrent ce sujet comme extrêmement porteur pour eux sur le plan électoral. Il est donc exploité souvent par Kamala Harris, nettement moins à l'aise sur d'autres questions comme la hausse des prix.

Jeudi soir, la vice-présidente a longuement insisté sur ce thème en étant reçue par la papesse de la télévision américaine, Oprah Winfrey, sur un plateau de talk-show entièrement acquis à la candidate.

Plusieurs vedettes lui ont à cette occasion apporté leur soutien, dont la chanteuse Jennifer Lopez, les actrices Meryl Streep et Julia Roberts ou encore les comédiens Bryan Cranston et Ben Stiller.

L'issue de la présidentielle reste plus indécise que jamais, Donald Trump et Kamala Harris étant au coude-à-coude dans plusieurs des sept Etats-clés où tout va probablement se jouer.

A voté !

Parmi ces sept terrains de bataille très disputés figure la Géorgie, remportée par Joe Biden en 2020 avec moins de 12'000 voix d'avance sur le milliardaire républicain. Celui-ci est aujourd'hui poursuivi par la justice de cet Etat pour les pressions qu'il est accusé d'avoir exercé pour inverser le résultat.

Dans la capitale et plus grande ville de l'Etat, Atlanta, Kamala Harris évoquera le cas d'Amber Thurman, une femme dont la mort a directement résulté des conséquences d'une loi anti-IVG draconienne adoptée en Géorgie, selon une enquête publiée cette semaine par le site d'information ProPublica.

Nouveau signe que la date du scrutin se rapproche, des bureaux de vote ont ouvert vendredi dans trois Etats qui offrent la possibilité de voter physiquement par anticipation.

Cet aménagement a pour objectif d'améliorer la participation électorale, en permettant de voter aux personnes empêchées de le faire par des circonstances personnelles et de réduire l'affluence le jour de l'élection.

Les trois Etats concernés sont la Virginie, le Minnesota et le Dakota du Sud. D'autres suivront ces prochains jours et semaines.

L'élection présidentielle américaine, qui est un scrutin indirect, se déroule avec de multiples modalités proposées aux électeurs, notamment le vote par correspondance, accusé par Donald Trump d'avoir favorisé en 2020 une fraude présumée, dont il n'a jamais pu apporter la preuve.

"C'est bien d'avoir le vote anticipé, afin de proposer aux gens plein d'occasions de voter. J'en suis une grande partisane, afin d'avoir le plus de monde possible qui vote", explique à l'AFP Madison Granger, candidate à un scrutin local à Arlington, une ville de Virginie limitrophe de Washington.

Egalement présente vendredi dans un bureau de vote d'Arlington, Michelle Kilkenny, 55 ans, confie être "excitée" par cette entrée en matière électorale.

"Je vote pour encourager les gens à voter. Voter tôt, particulièrement le premier jour, aide à la campagne et dope le niveau d'enthousiasme", assure-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tedros estime "important" un accord anti-pandémies avant 2025

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Des divergences sont encore nombreuses notamment sur le partage des indications de pathogènes entre Etats membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève (archives). (© Keystone/MARTIAL TREZZINI)

Le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus estime "important" que les pays aboutissent à un traité anti-pandémies avant 2025. Mais la question du partage des indications sur les virus, au centre des divergences, pourrait être réglée plus tard séparément.

"Je pense toujours qu'un accord peut être obtenu avant la fin de l'année", a affirmé vendredi à Genève le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "Ce serait important", a-t-il ajouté, au terme de dix jours d'une nouvelle série de négociations entre les 194 Etats membres.

"Il y a encore des divergences, mais il y a eu des avancées historiques", a estimé l'une des deux coprésidentes du bureau en charge des discussions. "Nous trouverons une solution", a-t-elle également ajouté, alors que la prochaine série formelle des négociations aura lieu début novembre.

Après leur échec à aboutir en mai dernier dans le délai de deux ans prévu, les Etats membres s'étaient donné un an de plus. Mais les divergences sont tenaces sur certaines questions comme la propriété intellectuelle, le partage des indications sur les pathogènes ou encore l'approche "une santé" sur la santé humaine, santé animale et environnement.

Symbole, le lancement d'un "système multilatéral d'accès et de partage des avantages pour les agents pathogènes à potentiel pandémique" (PABS) semble compromis à court terme. Celui-ci serait piloté par l'OMS et permettrait d'éviter une attitude comme celle de la Chine pendant le coronavirus. Mais les pays en développement ne sont pas favorables aux exigences supplémentaires que cette obligation provoquerait.

De même, ils ne souhaitent pas en assumer les conséquences financières. Dans le nouveau projet de texte relayé par le bureau, cette question serait elle remise à plus tard, dans une négociation séparée, selon des sources convergentes. M. Tedros a également estimé qu'elle pourrait prendre davantage de temps.

Autre changement, celui sur l'accès équitable à la réponse contre une pandémie, alors que les premières doses étaient arrivées beaucoup plus tardivement dans les pays en développement au moment du coronavirus. Le projet de texte prévoyait que l'OMS reçoive gratuitement 100% de la production de vaccins ou technologies contre une urgence sanitaire de portée internationale. Une autre part de 10% serait achetée à "prix raisonnables".

Ce chiffre de 20% est désormais passé à 5% dans le nouveau texte. De quoi inquiéter un certain nombre d'experts qui suivent les négociations. De même que certaines ONG.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Sans la contribution de la Confédération, la fin de swissinfo.ch

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La rédaction de swissinfo.ch est située dans le bâtiment de la radio SRF à Berne. La plateforme d'information en dix langues emploie une centaine de personnes. (archives) (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Sans la contribution de la Confédération, la SSR ne pourra pas maintenir son offre pour l'étranger, centrée sur la plateforme swissinfo.ch. Le média de service public qualifie vendredi cette mesure de "très grave". Une centaine d'emplois fixes sont menacés.

"La SSR considère que la suppression de cette offre serait grave et très problématique tant pour les 813'000 Suisses de l'étranger que pour la présence de la Suisse à l'étranger", écrit la SSR dans une prise de position adressée à Keystone-ATS.

"D’une part, la 5e Suisse serait privée d’un lien fort avec la Suisse et d’un éclairage quotidien adapté aux besoins de cette communauté importante. D’autre part, la Suisse limiterait fortement son rayonnement, sa capacité d’expliquer ses priorités et décisions ou de faire rayonner ses artistes et ses productions culturelles à l’étranger", affirme la SSR.

La contribution de la Confédération destinée à l'étranger se chiffre à 19 millions de francs. La SSR finance ce mandat avec un montant égal issu de la quote-part de la redevance.

Successeur de Radio Suisse Internationale

Outre swissinfo.ch, une plateforme d'informations en dix langues, l'offre à l'étranger comprend également le site en italien tvsvizzera.it ainsi que la collaboration avec les chaînes de télévision internationales TV5 Monde et 3sat.

Le syndicat suisse des médias (SSM) s'est dit choqué vendredi par la proposition du Conseil fédéral, évoquant un nouveau coup dur pour la place médiatique suisse. Une centaine d'employés fixes et plus de 100 collaborateurs indépendants perdraient ainsi leur emploi, relève le SSM.

Successeur de Radio Suisse Internationale, un service d'information sur ondes courtes lancé en 1935, swissinfo.ch a déjà subi de lourdes restructurations par le passé. En 2004, la SSR avait annoncé la suppression de 35 emplois sur 147. La même année, le média cessait ses programmes radio pour l'étranger.

Fin 2011, la SSR décidait de couper 40 postes sur 126. Le budget de 26 millions était alors amputé d'un tiers. Le mandat pour l'étranger a ensuite été régulièrement prolongé par le Conseil fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le Tessinois Andrea Arcidiacono nommé vice-chancelier

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Le Tessinois dirigera les conférences de presse du Conseil fédéral. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le Tessinois Andrea Arcidiacono a été nommé vice-chancelier de la Confédération et porte-parole du Conseil fédéral, a annoncé vendredi ce dernier. Il succède à André Simonazzi, mort subitement le 10 mai lors d'une randonnée en montagne.

Le Latin prendra ses fonctions le 1er octobre, indique le chancelier de la Confédération Viktor Rossi. Il cessera son activité dans l'agence de communication qu'il a fondée en 2019 et cédera ses parts sociales d'ici là,

M. Arcidiacono a auparavant travaillé pour les conseillers fédéraux Ruth Dreifuss (PS) et Pascal Couchepin (PLR). Il n'est affilié à aucun parti.

Le porte-parole de la représentation suisse auprès de l'ONU à New York, Pierre Gobet, et le chef de la communication du conseiller fédéral Guy Parmelin, Urs Wiedmer, étaient pressentis comme candidats. M. Wiedmer n'aurait pas atteint l'entretien d'embauche.

Décès inattendu

Son prédécesseur M. Simonazzi est mort à 55 ans lors d'une randonnée. Il a occupé le poste durant quinze ans. Sa plus étroite collaboratrice, Urusla Eggenberger, avait repris sa fonction ad intérim.

Elle dirige la section communication de la Chancellerie fédérale. Elle reprendra cette fonction dès l'entrée en fonction du nouveau vice-chancelier. Rachel Salzmann (Centre) est la deuxième vice-chancelière depuis juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Délai de départ d'un an pour les bénéficiaires du statut S

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Le statut S a été activé en 2022, suite au début de la guerre en Ukraine (image prétexte/archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les personnes actives titulaires d'un statut S doivent avoir plus de temps pour se retourner après l'expiration de leur sésame. Le Conseil fédéral a décidé vendredi d'accorder à ces personnes un délai de départ d'un an.

Un délai de 12 mois à compter de la levée du statut garantit aux employés et employeurs une plus grande sécurité, indique le gouvernement dans un communiqué. Un délai de six à neuf mois avait d'abord été envisagé dans un plan provisoire publié l'année dernière.

Le Conseil fédéral a également décidé d'améliorer l'intégration professionnelle de ces personnes, en rendant obligatoire leur inscription auprès des services publics de l'emploi. Celles qui ont un emploi auront à l'avenir le droit de changer de canton et pourront être tenues de participer à des mesures d'intégration.

Ces mesures suivent la volonté du groupe d'évaluation ayant évalué l'efficacité du statut S, activé pour la première fois le 11 mars 2022 pour les personnes fuyant l'Ukraine. Le groupe tire un bilan globalement positif, malgré des procédures de plus en plus complexes. Une meilleure planification des ressources est ainsi recommandée afin de prévenir les abus et une augmentation des dossiers en suspens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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