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Le RN arrive à l'Assemblée française après sa déconvenue électorale

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Marine Le Pen a fustigé le "bourbier" consécutif aux législatives anticipées. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Le camp présidentiel tente mercredi de dégager une alternative à la gauche pour gouverner la France en se tournant vers une droite hésitante. Les troupes du RN ont pour leur part pris place à l'Assemblée après leur déconvenue électorale en promettant une revanche.

Arrivé en tête des législatives avec 190 à 195 élus, le Nouveau Front populaire doit-il former un gouvernement, ce qu'il appelle de ses voeux ? Une large partie de la macronie s'y refuse et sort la calculatrice au Palais Bourbon.

"On est un peu plus de 160 aujourd'hui (...) et j'entends des députés LR, divers droite, UDI (centre-droit, ndlr), même divers gauche, qui seraient prêts à nous rejoindre, ce qui veut dire qu'on pourrait numériquement dépasser le bloc de gauche", a affirmé Aurore Bergé sur France 2.

Comme la ministre de l'Egalité femmes-hommes, réélue députée dimanche, les responsables macronistes multiplient les efforts pour élargir le bloc central.

Le chef sortant des députés Renaissance Sylvain Maillard a d'ailleurs convoqué une "réunion de groupe" mercredi pour aborder le sujet et "regarder quels sont les députés susceptibles de pouvoir se retrouver avec nous".

Matignon pour la droite ?

Comme depuis 2022, le camp présidentiel regarde essentiellement vers la droite pour trouver des alliés. "Il peut y avoir un Premier ministre de droite, ça ne me gênerait en rien", a ainsi déclaré le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur CNews et Europe 1.

Une option approuvée par de nombreux députés qui veulent éviter "à tout prix" un gouvernement comportant des membres La France insoumise (LFI), qu'ils promettent de censurer s'il arrivait au pouvoir.

Mardi soir, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe avait déjà appelé à la signature d'un "accord technique" avec Les Républicains, en vue "d'avancer et de gérer les affaires du pays pendant au moins un an".

Après avoir été inflexibles sur l'hypothèse d'une coalition, certains responsables de la droite semblent peu à peu s'ouvrir à l'idée, à l'image du président LR des Hauts-de-France Xavier Bertrand et de l'ancien chef des députés LR Olivier Marleix.

Ces derniers ont plaidé pour la nomination d'un Premier ministre issu de leur camp qui prendrait la tête d'un "gouvernement de rassemblement" afin de "mettre un coup d'arrêt à LFI".

Mais Laurent Wauquiez, un autre ténor qui fait son retour sur le paysage national et paraît bien parti pour être élu président du nouveau groupe LR, défend lui une ligne "sans compromission", ce qui pourrait compliquer la donne.

Surtout, avec au maximum une soixantaine de députés LR ou divers droite, ces futurs alliés potentiels sont loin d'assurer une majorité absolue aux macronistes.

"Partie remise" pour le RN

Face à ces tractations, la gauche a dénoncé les "manigances" du camp présidentiel, par la voix du coordinateur de LFI Manuel Bompard. Ce dernier accuse Emmanuel Macron de "multiplier les manoeuvres" pour "en quelque sorte détourner le résultat" des élections législatives.

Mais le NFP bataille aussi en interne entre ses deux principales composantes, une France insoumise (LFI) à peu près stable entre 70 et 80 élus, et un Parti socialiste (PS) revigoré et qui espère faire au moins jeu égal pour proposer un Premier ministre issu de ses rangs, comme son premier secrétaire Olivier Faure.

Jean-Luc Mélenchon évoque lui avec insistance le nom de la jeune députée du Val-de-Marne, Clémence Guetté, 33 ans et coordinatrice de son programme présidentiel en 2022. En attendant, les socialistes devraient reconduire à la tête de leur groupe le député des Landes Boris Vallaud.

Face à ce désordre, Marine Le Pen a fustigé le "bourbier" consécutif aux législatives anticipées: "Personne n'est capable de savoir de quels rangs sera issu le Premier ministre et quelle politique sera menée pour le pays", a-t-elle raillé à son entrée au Palais Bourbon.

Dans une ambiance tendue au milieu des caméras, les nouveaux députés RN - qui seront environ 143 avec leurs alliés - ont ainsi pris leurs marques à l'Assemblée dans la matinée. Non pas comme première force, ce que le parti à la flamme espérait, mais seulement comme troisième bloc, victime au deuxième tour des législatives d'un front républicain particulièrement robuste.

"Un certain nombre de manoeuvres, notamment de désistements massifs, nous ont privés de la majorité absolue. Ce n'est que partie remise", s'est justifiée Marine Le Pen.

Toujours silencieux face à la situation politique, Emmanuel Macron s'envole lui pour Washington, où il doit participer pendant deux jours à un sommet de l'Otan. La situation se sera-t-elle décantée à son retour ?

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Rutte: la menace russe se rapproche de nous "à grande vitesse"

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"Le danger se rapproche de nous à grande vitesse", a déclaré Mark Rutte dans un discours à Bruxelles, évoquant la menace russe sur le continent européen. (© KEYSTONE/AP/Virginia Mayo)

La menace russe se rapproche de nous "à grande vitesse", a mis en garde jeudi le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte. Pour lui, l'Europe doit dépenser "beaucoup plus" pour sa défense.

"Le danger se rapproche de nous à grande vitesse", a-t-il déclaré dans un discours à Bruxelles, évoquant la menace russe sur le continent européen, face à laquelle les pays de l'Otan doivent dépenser "beaucoup plus" pour augmenter leurs capacités de défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

La BCE abaisse ses taux et anticipe une politique moins restrictive

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L'institut de Francfort amplifie le tournant pris pour abaisser les coûts d'emprunt des ménages et entreprises (archives). (© KEYSTONE/EPA DPA/BORIS ROESSLER)

La Banque centrale européenne a abaissé ses taux directeurs de 0,25 point jeudi, en réponse à une inflation proche de son objectif et une prévision de croissance revue en baisse. Elle a aussi signalé sa sortie du cadre restrictif de sa politique monétaire.

Cette nouvelle baisse de 0,25 point de pourcentage fait passer à 3,0% le taux de dépôt, qui sert de référence pour les conditions de crédit dans l'économie. Le processus de désinflation "est en bonne voie", mais s'accompagne d'"une reprise économique plus lente" qu'anticipé en septembre, estiment dans un communiqué les 25 membres du Conseil des gouverneurs de la BCE présidé par Christine Lagarde.

Avec cette troisième baisse d'affilée du loyer de l'argent, et la quatrième depuis juin, la BCE amplifie le tournant pris pour abaisser les coûts d'emprunt des ménages et entreprises. Ce cycle succède à une période de resserrement monétaire drastique pour faire face à l'inflation élevée, liée à la guerre en Ukraine et la reprise post-Covid.

C'est le scénario attendu par la majorité des observateurs qui a prévalu, les gardiens de l'euro renonçant à une baisse plus audacieuse des taux, de 0,5 point de pourcentage, face à la dégradation de la croissance et la baisse rapide de l'inflation. Les nouvelles projections économiques publiées jeudi par la BCE ont appuyé les décisions du jour: l'institut a abaissé ses prévisions de croissance pour 2024 à 2026 et d'inflation pour 2024 et 2025.

Si le calendrier de baisses de taux supplémentaires reste incertain, la BCE a néanmoins abandonné un passage clé de son communiqué sur ses décisions qui indiquait jusqu'alors que les taux devaient rester "restrictifs aussi longtemps que nécessaire" pour ramener l'inflation à l'objectif. A la place, il est indiqué qu'"avec le temps, l'atténuation progressive des effets de la politique monétaire restrictive devrait soutenir un redressement de la demande intérieure".

La reprise anticipée devrait s'appuyer "essentiellement sur la hausse des salaires réels", de bonne augure pour la consommation des ménages, et sur "l'augmentation des investissements des entreprises", selon la BCE.

Crises politiques

Avant la BCE, la Banque nationale suisse (BNS) a de son côté créé la surprise en réduisant son taux directeur d'un demi-point de pourcentage pour le ramener à 0,50%, faisant valoir que "l'incertitude concernant les perspectives économiques s'est accrue durant ces derniers mois", selon un communiqué. La discussion entre gardiens de l'euros s'est déroulée avec en toile de fond les turbulences politiques qui traversent deux principales économies de la zone euro, l'Allemagne et la France, également susceptibles de freiner la croissance.

En attendant - probablement jeudi en soirée - la nomination d'un successeur au poste de Premier ministre après la chute du gouvernement Barnier, la France, économiquement fragilisée, est pour le moment sans budget pour 2025, avec un déficit public dérapant cette année à 6,1% du produit intérieur brut (PIB). Si la crise politique devait perdurer en France et ses conditions d'emprunt se dégrader trop, la BCE pourrait agir symboliquement via son Instrument de protection de la transmission, par des rachats de dette sur le marché, pour prévenir toute contagion à d'autres pays.

Mme Lagarde, ancienne locataire de Bercy, devrait être questionnée à ce sujet lors d'une conférence de presse débutant à 15h45. L'Allemagne est aussi en pleine période d'incertitude. Outre la crise industrielle qu'elle traverse, elle se dirige vers des élections anticipées en février, après l'effondrement de la coalition du chancelier social-démocrate Olaf Scholz en octobre.

Un retard dans la formation du futur gouvernement à Berlin compliquerait encore la reprise de la première économie européenne, fragilisée par un ralentissement industriel qui dure depuis deux ans et qui affecte déjà ses partenaires. Le retour imminent de Donald Trump à la Maison-Blanche inquiète par ailleurs, avec la mise en place d'une politique protectionniste qui pourrait freiner les exportations et donc la croissance de la zone euro.

Aux États-Unis, l'inflation s'est accélérée en novembre, à 2,7% en glissement annuel, alimentant les craintes de voir la courbe rester sur cette trajectoire. De quoi compliquer la tâche de la Banque centrale américaine (Fed) qui se réunit la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

A 18 ans, Dommaraju Gukesh devient le plus jeune champion du monde

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Gukesh Dommaraju a décroché le titre mondial des échecs, à 18 ans seulement (© KEYSTONE/EPA/HOW HWEE YOUNG)

L'Indien de 18 ans Dommaraju Gukesh est devenu le plus jeune joueur à remporter le titre mondial des échecs.

Gukesh a remporté jeudi la dernière partie longue du duel qui l'opposait au tenant du titre, le Chinois Ding Liren.

Alors que les deux joueurs étaient à égalité avant une 14e partie qui semblait s'acheminer vers un nul, Dommaraju Gukesh a profité d'une gaffe de son adversaire au 55e coup pour prendre un avantage décisif et forcer l'abandon. Il est le deuxième Indien à obtenir le titre mondial, après Viswanathan Anand.

Ce championnat du monde disputé à Singapour a été indécis jusqu'au bout, mais les fautes de Ding, 32 ans, ont fini par lui faire perdre le titre qu'il avait remporté pour la première fois en avril 2023. Depuis ce sacre il avait beaucoup moins joué et a semblé perdre en qualité de jeu.

Gukesh n'a pas raté l'occasion de continuer sa fulgurante ascension dans le monde des échecs. Sa désignation comme challenger grâce à sa victoire lors du Tournoi des candidats en avril 2024 avait déjà surpris, mais il a continué à monter en puissance, avec une grande performance lors des Olympiades remportées par l'Inde en septembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

La BCE se prépare à une nouvelle baisse des taux

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Christine Lagarde, présidente de la BCE. (archive) (© KEYSTONE/AP/Michael Probst)

La Banque centrale européenne devrait abaisser à nouveau ses taux directeurs jeudi, mais l'ampleur de la réduction fait débat alors que l'économie ralentit et que les turbulences politiques en France et en Allemagne suscitent des inquiétudes.

Avec une inflation qui se rapproche de ce que souhaite la BCE, 2%, et une croissance qui ne décolle pas, "toutes les raisons" plaident pour une nouvelle baisse des taux en décembre, a déclaré le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau.

Il a été rejoint par d'autres responsables monétaires en zone euro. La décision sera annoncée à la mi-journée à l'issue d'une réunion de l'instance dirigeante l'institution monétaire à Francfort.

Malgré une légère hausse à 2,3% sur un an en novembre, l'inflation dans la zone euro reste bien inférieure à la prévision de 2,6% pour le quatrième trimestre établie par la BCE.

Le scénario le plus probable est celui d'une baisse des taux de 0,25 point de pourcentage, comme les précédentes, ramenant le taux de dépôt, qui fait référence, à 3%.

Mais une baisse de 0,5 point pourrait être envisagée si les nouvelles projections économiques de l'institution monétaire, qui sont publiées jeudi, montrent "une forte dégradation de la croissance et une baisse rapide de l'inflation", estime Eric Dor, directeur des études économiques à l'IESEG.

Si elle se concrétise, la quatrième baisse des taux par la BCE depuis juin amplifiera le tournant pris après une période de resserrement monétaire face à l'inflation élevée, liée à la guerre en Ukraine et la reprise post-Covid.

Crises politiques

Les turbulences politiques qui traversent deux principales économies de la zone euro, l'Allemagne et la France, sont également susceptibles de freiner la croissance.

En attendant un successeur au poste de Premier ministre après la chute du gouvernement Barnier, la France, économiquement fragilisée, est pour le moment sans budget pour 2025, avec un déficit public dérapant cette année à 6,2% du PIB.

Le ministre allemand des Finances, Jörg Kukies, s'est toutefois montré rassurant, soulignant la réaction "très calme" des marchés.

Si les conditions d'emprunt de la France se dégradaient trop, la BCE pourrait agir symboliquement via son Instrument de protection de la transmission, par des rachats de dette sur le marché, pour prévenir toute contagion à d'autres pays.

L'Allemagne est aussi en plein période d'incertitude. Outre la crise industrielle qu'elle traverse, elle se dirige vers des élections anticipées en février, après l'effondrement de la coalition du chancelier social-démocrate Olaf Scholz en octobre.

Un retard dans la formation du futur gouvernement à Berlin compliquerait encore la reprise de la première économie européenne, fragilisée par un ralentissement industriel qui dure depuis deux ans et qui affecte déjà ses partenaires.

Le retour imminent de Donald Trump à la Maison-Blanche inquiète par ailleurs, avec la mise en place d'une politique protectionniste qui pourrait freiner les exportations et donc la croissance de la zone euro.

Nouvelle communication

Aux États-Unis, l'inflation s'est accélérée en novembre, à 2,7% en rythme annuel, alimentant les craintes de voir la courbe rester sur cette trajectoire. De quoi compliquer la tâche de la Banque centrale américaine (Fed) qui se réunit la semaine prochaine.

La présidente de la BCE Christine Lagarde devrait quant à elle expliquer jeudi "que les récentes données renforcent la confiance dans le fait que l'inflation se dirigera vers l'objectif de 2% de manière durable", s'attend Holger Schmieding, économiste chez Berenberg.

L'incertitude élevée a conduit depuis des mois la BCE à fixer son cap en se basant sur les données et réunion par réunion.

Cependant, avec la normalisation de l'inflation, sa communication pourrait redevenir plus "prospective", selon le gouverneur de la Banque de France.

Ce qui signifie qu'au lieu de dire que les taux resteront "restrictifs aussi longtemps que nécessaire" pour ramener l'inflation à l'objectif, une formulation plus souple dans le communiqué de décisions du jour "ouvrirait la voie à de nouvelles baisses l'année prochaine", selon HSBC.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La Roumanie et la Bulgarie vont rejoindre l'espace Schengen

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La Roumanie et la Bulgarie sont déjà membres depuis le printemps d'"Air Schengen" (archives). (© KEYSTONE/AP/ANDREEA ALEXANDRU)

Les pays de l'Union européenne (UE) ont donné jeudi leur accord à l'adhésion complète de la Roumanie et de la Bulgarie à l'espace de libre circulation Schengen à partir du 1er janvier. Les contrôles aux frontières avec les autres Etats Schengen seront ainsi supprimés.

La levée des contrôles aux frontières terrestres avec ces deux pays est "un moment historique", a estimé le ministre de l'Intérieur hongrois Sandor Pinter, dont le pays assure la présidence tournante du Conseil de l'UE.

"Il s'agit d'une décision historique", concrétisant "un objectif clé" de Bucarest et Sofia "depuis leur entrée dans l'Union européenne" en 2007, ont abondé les deux ministères des affaires étrangères dans un communiqué commun.

Présence de Beat Jans

La Roumanie et la Bulgarie sont déjà membres d'"Air Schengen" depuis fin mars, ce qui signifie qu'il n'y a pas de contrôles aux frontières aériennes ou maritimes. Les contrôles aux frontières terrestres entre la Roumanie et la Bulgarie, la Roumanie et la Hongrie ainsi que la Bulgarie et la Grèce sont désormais supprimés.

L'accord permet aux quelque 420 millions de personnes des 25 Etats membres de l'UE faisant partie de Schengen, ainsi qu'à la Suisse, à la Norvège, à l'Islande et au Liechtenstein, de voyager librement entre les Etats membres sans subir de contrôles aux frontières.

En tant que membre de Schengen, la Suisse peut participer au Conseil de l'UE, mais ne peut pas voter. La Confédération est représentée par le conseiller fédéral Beat Jans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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