Rejoignez-nous

Politique

Le PLR zurichois discute de son nouveau programme

Publié

,

le

La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter discute avec le conseiller national Beat Walti et la conseillère d'Etat zurichoise Carmen Walker Späh. (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Le PLR zurichois a discuté samedi de son nouveau programme, intitulé "Saisir les chances - pour la liberté et le progrès". Le projet prévoit notamment une limitation de l'immigration, y compris en provenance de l'Union européenne.

Le programme, envoyé il y a deux semaines à l'interne, a été discuté dans les sections locales du parti avant le congrès de samedi. Le comité directeur a reçu 67 propositions. Vingt-sept d'entre elles ont été discutées samedi.

La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a parlé d'un congrès "historique". Elle a évoqué notamment le déficit des finances fédérales et le réexamen en cours des tâches et des subventions. La ministre des finances a assuré que les libéraux-radicaux ne voulaient "pas un Etat faible, mais au contraire un Etat fort".

Seul un Etat fort, capable d'accomplir ses missions, est un Etat social et peut fixer des priorités nécessaires pour l'avenir, a affirmé la ministre des finances.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Genève

Simon Brandt opère son retour dans l'arène politique

Publié

le

Simon Brandt se présentera aux élections municipales sous les couleurs de LJS, le parti fondé par son ancien mentor Pierre Maudet (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

A Genève, l'ancien député PLR au Grand Conseil genevois et conseiller municipal de la Ville de Genève Simon Brandt a annoncé son retour en politique dans une interview qu'il a accordée lundi au Blick. Il se présentera aux élections municipales du printemps prochain sous les couleurs de Libertés et Justice sociale (LJS), le parti du conseiller d'Etat Pierre Maudet.

Simon Brandt avait mis sa carrière politique entre parenthèses, en 2020, après avoir fait l'objet d'une enquête de la justice genevoise qui le soupçonnait de violations de secret de fonction commises dans le cadre de son mandat de conseiller municipal et de son travail au service d'analyse stratégique de la police.

Simon Brandt a depuis été blanchi. L'ancien membre du PLR avait été traumatisé par son arrestation et son interrogatoire au poste de police. Il avait considéré avoir été traité comme un criminel. Il avait été menotté, déshabillé et fouillé au corps. Il s'était, suite à cette mésaventure, éclipsé de la scène politique.

Approché par plusieurs partis

Dans les colonnes du Blick, Simon Brandt explique son retour aux affaires. "J'ai pris le temps pour me reconstruire, après les épreuves traversées ces cinq dernières années", note-t-il. "J'ai été approché par plusieurs partis, mais mon attachement à la défense des libertés et au sens de la justice ne pouvait que me porter chez LJS".

Simon Brandt a donc rejoint le parti fondé par Pierre Maudet, une personne dont il a été très proche et qui se débattait, à l'époque, dans les ennuis judiciaires causés par un voyage à Abou Dhabi, en 2015. L'ex-conseiller municipal s'estime, encore aujourd'hui, une "victime collatérale" de cette affaire qui avait fait grand bruit.

Simon Brandt admet avoir dû, avant d'adhérer à LJS, "solder certains points personnels" avec Pierre Maudet. Aujourd'hui, la page est tournée et il estime que la nouvelle formation politique fondée par son ancien mentor est "le nouveau parti radical", l'aile sociale et populaire "qui n'est plus du tout représentée par le PLR actuel".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Le maire d'une grande ville mexicaine décapité

Publié

le

L'assassinat du maire de Chilpancingo intervient cinq jours après l'investiture de la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/ALONSO CUPUL)

Le maire de Chilpancingo, la capitale de l'Etat du Guerrero dans le sud du Mexique, a été assassiné, a indiqué dimanche la gouverneure Evelyn Salgado. Il a été décapité et sa tête abandonnée sur le toit d'une voiture, selon une image postée sur les réseaux sociaux.

L'élu de 43 ans avait pris ses fonctions il y a six jours. "Je condamne de manière énergique l'homicide du président du conseil municipal de Chilpancingo, Alejandro Arcos Catalan, que le parquet général de l'Etat a confirmé", a indiqué la gouverneure Salgado sur le réseau social X.

"Sa perte endeuille toute la société du Guerrero et nous remplit d'indignation", a ajouté la gouverneure du mouvement pour la régénération nationale (MORENA, gauche) au pouvoir.

Plan de la nouvelle présidente

"Ils ont assassiné notre maire de Chilpancingo, Alejandro Arcos, et il y a trois jours à peine, le secrétaire de cette même mairie, Francisco Tapia. Cela faisait moins d'une semaine qu'ils étaient en poste", a déploré pour sa part le président du PRI (opposition), Alejandro Moreno.

Alejandro Arcos Catalán avait remporté la mairie de Chilpancingo (283'354 habitants en 2020 d'après les chiffres officiels) à l'élection du 2 juin dernier sous l'étiquette de l'alliance de l'opposition PRI-PRD-PAN.

Son assassinat intervient cinq jours après l'investiture de la présidente Claudia Sheinbaum, qui doit présenter mardi son plan national de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le camp Bolsonaro prend l'avantage aux municipales brésiliennes

Publié

le

Les élections municipales brésiliennes sont considérées comme un test avant la présidentielle de 2026. (© KEYSTONE/EPA/ISAAC FONTANA)

Le camp de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro a placé plusieurs candidats en position favorable à l'issue du premier tour des élections municipales brésiliennes dimanche. Le scrutin est important dans l'optique de la présidentielle de 2026.

Le parti libéral (PL), formation de M. Bolsonaro, a vu deux de ses représentants élus dès le premier tour maires de deux des 26 capitales d'Etats au Brésil, Rio Branco (nord) et Maceio (nord-est).

Et le PL, qui est déjà le parti qui compte le plus de députés et de sénateurs au Brésil, aura un représentant au second tour dans neuf des quinze capitales, contre quatre pour le parti de travailleurs (PT) de l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.

À São Paulo, plus grande mégalopole d'Amérique latine, le maire sortant Ricardo Nunes, allié de Jair Bolsonaro, est arrivé en tête du premier tour, avec environ 29,48% des suffrages. Il affrontera le 27 octobre Guilherme Boulos, adoubé par Lula (29,07%).

Test avant la présidentielle de 2026

À Rio de Janeiro, le centriste Eduardo Paes, soutenu par Lula, a été réélu pour un quatrième mandat en l'emportant dès le premier tour, avec plus de 60% des voix.

Au niveau national, "le camp Bolsonaro est largement devant" la gauche, a dit à l'AFP André Rosa, professeur de sciences politiques de l'université UDF de Brasilia.

"Ces élections municipales sélections municipales sont importantes dans l'optique de la présidentielle de 2026, car il est utile de disposer de soutiens parmi les élus locaux, qui sont en contact direct avec les électeurs", estime Mayra Goulart, politologue de l'université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ).

Mais cette présidentielle de 2026 est encore lointaine et pleine d'incertitudes. Lula laisse planer le doute sur une éventuelle tentative de réélection et Jair Bolsonaro est inéligible jusqu'en 2030 pour des attaques sans preuve contre le système électoral, même s'il espère encore faire annuler cette condamnation.

Il y a deux ans, Lula l'avait emporté sur son rival d'extrême droite d'une courte tête, à l'issue du scrutin le plus polarisé de l'histoire récente du Brésil.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Attaque du 7 octobre: cérémonies en Israël et tirs palestiniens

Publié

le

Le président israélien Isaac Herzog (au centre) a rencontré des familles de victimes lundi à Réïm, sur les lieux du massacre du festival de musique Nova. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Israël a lancé lundi les cérémonies marquant le premier anniversaire de l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023, journée la plus meurtrière de l'histoire du pays, qui a déclenché la guerre en cours à Gaza.

A Réïm, sur les lieux du massacre du festival de musique Nova, où plus de 370 personnes ont été tuées, une foule recueillie a donné le coup d'envoi de ces cérémonies par une minute de silence à 06H29 précises (05H29 en Suisse), moment du début de l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sud d'Israël.

Juste avant, les sons hypnotiques de la dernière musique entendue sur ce site, un an auparavant, ont résonné pendant quelques minutes devant une foule de familles endeuillées, beaucoup en larmes, certains arborant sur leurs vêtements les visages de leurs proches tués.

Alors que la musique était coupée brutalement, comme ce fut le cas le jour de l'attaque, un cri de détresse a brisé le silence.

Le président israélien Isaac Herzog, présent sur les lieux, a rencontré des familles de victimes. Le kadish, la prière des morts, a été lu par plusieurs pères ayant perdu leur fils au festival Nova.

La cérémonie s'est achevée après que le chanteur Israël Bar-On eut interprété la Hatikva ("L'Espoir" en hébreu), l'hymne national israélien.

"Ascension par l'unité"

Pendant que des proches des personnes tuées allumaient des bougies, l'écho des tirs d'artillerie et d'un hélicoptère en vol se faisait entendre depuis la bande de Gaza, très proche.

La cérémonie de Réïm est la première d'une série d'événements mémoriels devant avoir lieu tout au long de la journée alors que le pays est toujours en guerre à Gaza, et désormais aussi au Liban, où l'armée israélienne a lancé il y a une semaine une offensive terrestre contre le mouvement islamiste Hezbollah.

"Comme pour tout le monde en Israël, [nous vivons des moments] difficiles", a déclaré à l'AFP Israël Livman, oncle d'Eliakim Livman, l'une des victimes du festival Nova.

"Nous espérons que du fond de ce gouffre où nous sommes tombés, il n'y aura plus dorénavant qu'une ascension, et que de là, nous nous élèverons par l'unité [...] par la joie [...] et avec l'aide de Dieu", a-t-il ajouté.

Tirs de roquettes

Les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont revendiqué des tirs de roquettes à partir de la bande de Gaza sur le sud d'Israël, peu de temps après le début de la cérémonie de Réïm.

"Nous avons visé [un kibboutz et une base militaire ainsi qu'un rassemblement de soldats israéliens près de la frontière avec l'Egypte] avec un certain nombre de roquettes", ont indiqué les Brigades al-Qassam dans un communiqué, après que l'armée israélienne eut annoncé avoir intercepté trois projectiles en provenance de la bande de Gaza et qu'un quatrième était "tombé sur une zone inhabitée"

Le 7 octobre 2023, des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza avaient pénétré dans le sud d'Israël, utilisant des explosifs et des bulldozers pour franchir la barrière entourant le territoire palestinien, tuant à l'aveugle dans des kibboutz, des bases militaires et sur le site du festival Nova.

Dans les heures suivantes, l'armée israélienne avait lancé une puissante offensive contre le territoire palestinien avec pour objectif d'y détruire le Hamas, au pouvoir depuis 2007.

L'attaque du Hamas qui a pris Israël totalement par surprise un jour de fête religieuse juive a fait 1205 morts, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur les chiffres officiels israéliens, incluant les otages morts en captivité.

Les représailles militaires sur la bande de Gaza ont fait au moins 41'825 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Tunisie: le président sortant Saied donné vainqueur

Publié

le

Le président tunisien Kais Saied est donné vainqueur de l'élection de dimanche. Depuis 2021, les ONG tunisiennes et étrangères et l'opposition, dont les figures de proue ont été arrêtées, dénoncent sa "dérive autoritaire". (© KEYSTONE/EPA/MOHAMED MESSARA)

Le président sortant en Tunisie Kais Saied, accusé de "dérive autoritaire" par l'opposition et la société civile, a remporté avec plus de 89% des voix la présidentielle de dimanche, selon des sondages sortie des urnes, malgré un taux de participation très faible.

Selon des données de l'institut Sigma Conseil diffusées sur la télévision nationale, M. Saied a obtenu 89,2% des suffrages dès le premier tour, écrasant le deuxième candidat, Ayachi Zammel, un industriel libéral inconnu du grand public qui n'a obtenu que 6,9% des voix. Le troisième, un député de la gauche panarabe Zouhair Maghzaoui, 59 ans, s'est adjugé seulement 3,9% des suffrages, selon Sigma.

L'autorité électorale Isie a annoncé une participation de 27,7% contre 45% il y a cinq ans au premier tour. Le président de l'Isie, Farouk Bouasker, a jugé ce taux "respectable", alors qu'il s'agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011 dans ce pays, qui fut le berceau des soulèvements démocratiques des Printemps arabes.

Seuls MM. Zammel et Maghzaoui, des seconds couteaux selon les experts, avaient été autorisés à affronter M. Saied, 66 ans, sur initialement 17 postulants, écartés pour des irrégularités présumées. L'opposition dont les figures de proue sont en prison et les ONG tunisiennes et étrangères ont critiqué un scrutin faussé" en faveur de M. Saied .

Ayachi Zammel n'a pas pu faire campagne car il est emprisonné depuis début septembre et sous le coup de trois condamnations à plus de 14 ans de prison pour des soupçons de faux parrainages.

M. Maghzaoui était considéré comme "un faire-valoir" car porteur d'un projet de gauche souverainiste similaire à celui de M. Saied qu'il soutenait jusqu'à récemment.

"La légitimité de l'élection est forcément entachée quand les candidats qui pouvaient faire de l'ombre à M. Saied ont été systématiquement écartés", a commenté pour l'AFP l'analyste politique tunisien Hatem Nafti, soulignant aussi qu'il "s'agit de la pire participation depuis 2011".

Le processus de sélection des candidatures avait été très contesté pour le nombre élevé de parrainages exigé, l'emprisonnement de candidats potentiels connus, et l'éviction par l'Isie des rivaux les plus solides du président dont Mondher Zenaidi, un ancien ministre sous le régime Ben Ali.

Pour l'expert français du Maghreb, Pierre Vermeren, même si avec une abstention aussi forte, "la légitimité démocratique" de cette élection est "faible", "la Tunisie a un président et la majorité des Tunisiens laissent faire". Il a noté des analogies avec l'Algérie voisine, "où personne ne remet en cause le président" Abdelmadjid Tebboune.

Après l'annonce des sondages sortie des urnes, environ 400 partisans du président sont sortis fêter sa victoire, brandissant des drapeaux et sa photo devant le théâtre municipal au centre de Tunis en scandant "le peuple veut Kais de nouveau".

Un groupe a entonné avec entrain l'hymne national. Oumayma Dhouib, 25 ans, s'est dite "très contente de la victoire de "Kaisoun", un surnom affectueux. La jeune femme a assuré être "convaincue par ses idées et sa politique", tandis que sa mère Khadija 52 ans "fait confiance" à Kais Saied.

Un durcissement

M. Saied, élu en 2019 avec près de 73% des voix (et 58% de participation), était encore populaire quand ce spécialiste de droit constitutionnel à l'image d'incorruptible s'est emparé des pleins pouvoirs à l'été 2021, promettant l'ordre face à l'instabilité politique.

Trois ans plus tard, beaucoup de Tunisiens lui reprochent d'avoir consacré trop d'énergie à régler ses comptes avec ses opposants, en particulier le parti islamo-conservateur Ennahdha, dominant pendant la décennie de démocratie ayant suivi le renversement du dictateur Ben Ali en 2011.

Depuis 2021, les ONG tunisiennes et étrangères et l'opposition, dont les figures de proue ont été arrêtées, dénoncent une "dérive autoritaire" de M. Saied, via un démantèlement des contrepouvoirs et un étouffement de la société civile avec des arrestations de syndicalistes, militants, avocats et chroniqueurs politiques.

Selon Human Rights Watch, "plus de 170 personnes sont actuellement détenues pour des motifs politiques ou pour avoir exercé leurs droits fondamentaux".

Hatem Nafti s'est inquiété d'un durcissement du pouvoir à l'égard des voix critiques car KAis Saied pourra "faire valoir son sacre pour justifier la répression". "Aussi bien dans sa profession de foi que dans son unique intervention pendant la campagne (une allocution vidéo jeudi soir, ndlr), M. Saied a promis d'en finir avec les 'traîtres' et les 'ennemis de la Tunisie'", a souligné M. Nafti.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

Title

GenèveIl y a 2 heures

Simon Brandt opère son retour dans l'arène politique

A Genève, l'ancien député PLR au Grand Conseil genevois et conseiller municipal de la Ville de Genève Simon Brandt a...

SuisseIl y a 1 heure

Cueillette de champignons: contrôles impératifs faute d'antidote

La rupture de stock actuelle de l’antidote utilisé en cas d’intoxication aux amanites phalloïdes est problématique. Tox Info Suisse urge...

InternationalIl y a 45 minutes

Allemagne : baisse marquée des commandes industrielles en août

Les commandes industrielles en Allemagne ont chuté nettement plus que prévu en août, a rapporté l'Office Destatis lundi, marquant le...

SuisseIl y a 38 minutes

Migros Tessin sera livré depuis Lucerne

La coopérative Migros Lucerne se chargera, jusqu'en 2030, de la logistique pour son homologue du Tessin, en assurant le transport...

SuisseIl y a 26 minutes

Le ciel suisse trop nuageux pour observer les aurores boréales

Des aurores boréales ont été visibles dans la nuit de dimanche à lundi près de la frontière du nord-est de...

GenèveIl y a 15 minutes

A Vernier, la police utilise un poste mobile

Vernier met en place un poste de police mobile. Une première dans le canton.  C’est une première cantonale, un poste...

SuisseIl y a 24 minutes

Richemont: accord avec MYT Netherlands pour le rachat de YNAP

Le géant du luxe Richemont a annoncé lundi un accord avec MYT Netherlands pour que Mytheresa rachète Yoox Net-à-Porter (YNAP)...

InternationalIl y a 1 heure

Le maire d'une grande ville mexicaine décapité

Le maire de Chilpancingo, la capitale de l'Etat du Guerrero dans le sud du Mexique, a été assassiné, a indiqué...

GenèveIl y a 1 heure

Un stéthoscope connecté bientôt pour le grand public

L’appareil permet de détecter les maladies pulmonaires. Développé aux HUG, il devrait être commercialisé courant 2025. Pneumonie, bronchite ou Covid....

InternationalIl y a 2 heures

Le camp Bolsonaro prend l'avantage aux municipales brésiliennes

Le camp de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro a placé plusieurs candidats en position favorable à l'issue du premier tour...