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International

Le Français Thierry Breton quitte la Commission européenne

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Les relations étaient notoirement tendues entre Thierry Breton et Ursula von der Leyen (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a annoncé lundi démissionner de la Commission européenne avec effet immédiat. Il affirme que la présidente Ursula von der Leyen, avec qui il était en froid, avait réclamé son retrait à Emmanuel Macron.

Officiellement candidat du président français, il a expliqué que la cheffe de l'exécutif européen, en train de former son équipe pour un nouveau mandat de cinq ans, avait "demandé à la France de retirer (s)on nom".

"Il y a quelques jours, dans la toute dernière ligne droite des négociations sur la composition du futur Collège, vous avez demandé à la France de retirer mon nom - pour des raisons personnelles qu'en aucun cas vous n'avez discutées directement avec moi - et proposé, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France au sein du futur Collège" des commissaires, écrit Thierry Breton.

"C'est un autre candidat qui va vous être proposé" par la France, a-t-il ajouté dans une lettre à Mme von der Leyen publiée sur le réseau social X.

Gouvernance "douteuse"

"Au cours des cinq dernières années, je me suis efforcé sans relâche de défendre et de faire progresser le bien commun européen, au-delà des intérêts nationaux et partisans. Ce fut un honneur", souligne l'ancien ministre français.

"Toutefois, à la lumière des derniers développements - qui témoignent une fois de plus d'une gouvernance douteuse - je dois conclure que je ne peux plus exercer mes fonctions au sein du Collège", conclut-il.

Les relations entre la dirigeante allemande et M. Breton étaient notoirement tendues depuis que ce dernier avait pris la tête au printemps d'une fronde au sein de l'exécutif bruxellois pour contester le style de direction de la présidente, jugé peu collectif.

Ethique mise en cause

Le commissaire français avait publiquement mis en cause l'éthique de Mme von der Leyen après la nomination fin janvier d'un émissaire chargé des petites et moyennes entreprises, un poste hautement rémunéré au sein de la Commission.

Le poste avait été attribué à l'eurodéputé allemand du Parti populaire européen (droite) Markus Pieper, quelques semaines avant un congrès à Bucarest début mars au cours duquel le PPE avait apporté son soutien à un second mandat de Mme von der Leyen.

La polémique avait abouti à un vote de défiance du Parlement européen contre Mme von der Leyen, en pleine campagne pour les élections européennes de juin, et finalement au retrait de M. Pieper.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Cinq pays vont tester une application de vérification de l'âge

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Les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes. (image symbolique) (© KEYSTONE/AP)

Cinq pays européens, dont la France, vont tester une application permettant de vérifier l'âge des utilisateurs en ligne et d'empêcher les enfants d'accéder à des contenus dangereux, a annoncé lundi la Commission européenne.

"Ce dispositif permettra aux utilisateurs de prouver facilement qu'ils ont plus de 18 ans, ce qui protégera les enfants des contenus inappropriés", a expliqué Henna Virkkunen, commissaire européenne responsable des questions technologiques.

Très concrètement, il s'agit d'un prototype européen que chaque Etat membre pourra ajuster en fonction de ses propres règles: par exemple selon qu'une interdiction est en vigueur sur internet pour les enfants de 12, 13 ou 15 ans etc.

Les cinq premiers pays à franchir le pas sont la France, le Danemark, la Grèce, l'Italie et l'Espagne.

Cette proposition était particulièrement poussée par la France, la ministre chargée du Numérique, Clara Chappaz, défendant une vérification de l'âge "au niveau européen" pour accéder aux réseaux sociaux.

Début juin, le président français Emmanuel Macron s'est engagé à interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans en France si, "d'ici quelques mois", cela ne se faisait pas au niveau européen.

"Plus d'excuse"

L'Union européenne dispose d'un arsenal législatif parmi les plus stricts au monde pour encadrer les géants du numérique.

Mais les appels à aller plus loin se multiplient parmi les Vingt-Sept, alors que des études démontrent les effets négatifs des réseaux sociaux sur la santé mentale et physique des jeunes.

Lundi, la Commission européenne a également publié des recommandations à l'attention des réseaux sociaux pour les jeunes, pour permettre par exemple aux mineurs de bloquer plus facilement des utilisateurs.

Ces mesures incluent également la suppression de fonctionnalités potentiellement addictives comme les "coches", qui indiquent qu'un message a été lu et peuvent pousser à attendre frénétiquement une réponse.

"Il est primordial de veiller à ce que nos enfants et nos jeunes soient en sécurité en ligne", a déclaré la commissaire Henna Virkkunen. "Les plateformes n'ont aucune excuse pour poursuivre des pratiques qui mettent les enfants en danger", a-t-elle estimé.

Bruxelles mène actuellement des enquêtes sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe américain Meta, ainsi que sur TikTok, dans le cadre de son nouveau Règlement sur les services numériques (DSA). Ces plateformes sont soupçonnées de ne pas suffisamment protéger les enfants des contenus nuisibles.

Fin mai, la Commission a également ouvert une enquête sur quatre sites pornographiques (Pornhub, Stripchat, XNXX, et XVideos) soupçonnés de ne pas empêcher l'accès des enfants aux contenus pour adultes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Droits de douane: l'UE pourrait répliquer à Donald Trump

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Le commissaire européen Maros Sefcovic a annoncé la position des 27 devant la presse. (archive) (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

La Commission européenne a proposé lundi aux 27 pays de l'UE des représailles possibles à hauteur de 72 milliards d'euros (67 milliards de francs), dans le cas où les Etats-Unis imposeraient des droits de douane de 30% sur les importations européennes.

"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept.

"Les ministres ont adopté une position totalement unie sur la nécessité d'être prêts à réagir" si nécessaire, a indiqué de son côté le ministre danois des Affaires étrangères Lars Rokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE.

Le commissaire européen, négociateur en chef côté européen dans ces difficiles tractations commerciales avec Washington, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par le président Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains.

Et M. Sefcovic d'ajouter: "Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir", et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il encore indiqué.

"Tous les instruments restent sur la table", a-t-il souligné. L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par M. Trump sur l'acier et l'aluminium. Ces mesures sont actuellement suspendues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Droits de douane: l'UE veut négocier mais s'impatiente face à Trump

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"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen Maros Sefcovic. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

L'Union européenne espère toujours obtenir un accord avec les Etats-Unis après les nouvelles menaces de Donald Trump de lui imposer le 1er août des droits de douane de 30%, mais sa patience s'amenuise et sa riposte pourrait atteindre les 72 milliards d'euros.

"Nous négocions d'abord, mais nous nous préparons en même temps", a assuré le commissaire européen chargé du Commerce, Maros Sefcovic, devant la presse, à l'issue d'une réunion des ministres du Commerce de l'UE à Bruxelles. Il a souligné qu'il s'agissait d'une position commune des Vingt-Sept.

Le commissaire européen, qui négocie avec Washington au nom des 27, a confirmé son intention de poursuivre les discussions jusqu'à la date butoir du 1er août décidée par Donald Trump, y compris dès lundi avec ses homologues américains.

"Mais comme je l'ai déjà dit, il faut deux mains pour applaudir", et donc l'UE doit aussi préparer d'éventuelles représailles en cas d'échec des discussions, a-t-il relevé. La liste de 72 milliards d'euros de marchandises américaines que l'UE pourrait cibler n'épuise pas le champ de toutes les possibilités, a-t-il dit.

L'UE a déjà préparé une liste distincte d'importations américaines d'une valeur de 21 milliards d'euros qu'elle est prête à viser en raison des droits de douane déjà imposés par le président américain sur l'acier et l'aluminium. Ces mesures sont actuellement suspendues.

La décision de Donald Trump, annoncée dans une lettre rendue publique samedi, a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington, avant la date butoir du 1er août.

"Changer de méthode"

Et certains pays jugent que l'UE doit désormais passer à la vitesse supérieure et montrer sa force.

"Évidemment, la situation depuis samedi doit nous amener à changer de méthode", a ainsi affirmé à Bruxelles le ministre français chargé du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin. Et il ne faut avoir "aucun tabou", a-t-il martelé.

"Nous voulons un accord, mais il y a un vieux dicton qui dit 'si tu veux la paix, tu dois te préparer à la guerre'", a déclaré de son côté le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE.

La présidente de la Commission européenne - qui négocie au nom des Etats membres de l'UE -, Ursula von der Leyen, a choisi pour le moment de temporiser, sous pression notamment de pays, comme l'Allemagne, dont les ventes vers les Etats-Unis représentent la part la plus importante du total des exportations de l'UE.

Elle a annoncé dimanche que l'Union n'allait pas riposter pour l'instant aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium, dans l'espoir d'obtenir un accord qui s'avérerait moins douloureux.

"Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu'au 1er août", a-t-elle déclaré.

100 milliards d'euros

Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.

Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission à "défendre résolument les intérêts européens" et à "accélérer la préparation de contre-mesures crédibles".

Le chancelier allemand Friedrich Merz s'est dit dimanche d'accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Ursula von der Leyen et avec Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s'impliquer "intensivement" pour tenter d'arriver à une solution.

La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d'une "guerre commerciale" au sein du monde occidental.

"L'Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L'Italie fera sa part. Comme toujours", a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l'accuse de manquer de fermeté face à Washington.

Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Transferts: Sandrine Mauron part aux Etats-Unis

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Un nouveau défi pour Sandrine Mauron (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Sandrine Mauron (28 ans) va tenter sa chance aux Etats-Unis. Après trois saisons à Servette Chênois, l'internationale suisse s'est engagée avec Tampa Bay Sun FC en USL Super League.

Cette Ligue en est à sa deuxième saison et est en concurrence directe avec la National Women’s Soccer League (NWSL). Dans celle-ci évoluent notamment Ramona Bachmann (Houston Dash) et Ana-Maria Crnogorcevic (Seattle Reign).

Sandrine Mauron fait partie de l'équipe de Suisse actuellement en lice dans l'Euro dames. Elle a toutefois jusqu'ici dû se contenter d'un rôle de remplaçante.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Combats en Syrie: une centaine de morts, Israël intervient

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Des soldats du gouvernement syrien à moto passent devant un char en feu à la périphérie de la ville de Soueida, où des affrontements ont éclaté entre des milices druzes et des clans bédouins sunnites, dans le sud de la Syrie. (© KEYSTONE/AP/Omar Sanadiki)

Les forces gouvernementales syriennes progressaient lundi soir vers la ville à majorité druze de Soueïda, malgré l'opposition d'Israël qui a visé le secteur où des affrontements entre combattants druzes et bédouins ont fait une centaine de morts, selon une ONG.

Ces nouvelles violences intercommunautaires illustrent les défis auxquels fait face le pouvoir intérimaire d'Ahmad al-Chareh depuis qu'il a renversé le président Bachar al-Assad en décembre, dans un pays meurtri par près de 14 ans de guerre civile.

Israël, déjà intervenu ces derniers mois en Syrie sous prétexte de protéger les druzes, a annoncé avoir frappé dans cette région plusieurs chars des forces gouvernementales et ajouté qu'il ne permettrait pas de présence militaire dans le sud de la Syrie.

Ces frappes constituent "un avertissement clair au régime syrien. Nous ne permettrons pas que du mal soit fait aux druzes en Syrie", a déclaré le ministre de la Défense, Israël Katz.

Lundi après-midi, les forces gouvernementales qui avaient dépêché d'importants renforts dans la région ont pris le contrôle d'Al-Mazraah, un village druze aux abords de Soueïda, a constaté un correspondant de l'AFP.

Ces forces, appuyées par des chars, se sont déployées dans le village, où se trouvaient également des combattants tribaux bédouins, a-t-il ajouté.

"Les forces du ministère de la Défense se dirigent vers Soueïda", a déclaré à l'AFP un commandant de ces forces, Ezzeddine al-Chamayer.

Le ministère de l'Intérieur a affirmé que "les forces de l'armée et de la sécurité intérieure se sont rapprochées du centre" de Soueïda.

Les chefs religieux druzes ont appelé au calme et l'un des plus influents, cheikh Hikmat al-Hejri, a réclamé une "protection internationale immédiate" pour sa communauté, affirmant refuser l'entrée des forces gouvernementales dans les zones contrôlées par les druzes.

La province de Soueïda abrite la plus importante communauté druze du pays, une minorité ésotérique issue de l'islam qui compte quelque 700'000 membres en Syrie et est aussi implantée au Liban et en Israël.

Craintes de massacres

"Nous avons très peur, les obus nous tombent dessus. La circulation est paralysée dans les rues et les magasins sont fermés", a affirmé à l'AFP un père de famille de 51 ans, Abou Taym, à Soueïda.

Un petit nombre d'habitants ont participé aux funérailles de combattants tués, selon un photographe de l'AFP.

"Nous craignons que le scénario du littoral se répète", a déclaré à l'AFP Amal, une femme de 46 ans, en référence aux massacres de centaines de membres de la minorité alaouite en mars, imputés à des groupes alliés aux forces de sécurité.

"Nous ne sommes pas contre l'Etat, mais nous ne voulons pas remettre nos armes sans qu'il y ait un Etat qui traite tout le monde équitablement", a-t-elle expliqué.

Le ministre de la Défense Mourhaf Abou Qasra a appelé sur X les soldats à "protéger les citoyens" contre "les bandes qui échappent à la loi" et "ramener la stabilité à Soueïda".

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les affrontements ont fait depuis dimanche 99 morts, parmi lesquels 60 druzes, pour la plupart des combattants mais également deux femmes et deux enfants, 18 bédouins, 14 membres de forces de sécurité et sept hommes armés non identifiés.

Le ministère de la Défense a fait état de 18 morts dans les rangs des forces armées.

Autoroute fermée

Le ministre de l'Intérieur Anas Khattab avait estimé que l'"absence d'institutions étatiques, militaires et sécuritaires" était "une cause majeure des tensions persistantes à Soueïda".

L'autoroute reliant Damas à Soueïda était fermée lundi, selon le correspondant de l'AFP.

Les tensions couvaient depuis des heurts interconfessionnels en avril entre combattants druzes et forces de sécurité dans les zones druzes proches de Damas et à Soueïda, qui avaient fait plus de 100 morts.

Des membres de tribus bédouines sunnites de Soueïda avaient participé aux affrontements au côté des forces de sécurité, selon l'OSDH.

A la suite de ces affrontements, Israël avait invoqué la protection des druzes pour justifier plusieurs frappes en Syrie.

A l'époque, des chefs locaux et religieux avaient conclu des accords, en vertu desquels des combattants druzes assurent depuis mai la sécurité dans la province.

Après la chute de Bachar al-Assad, renversé par une coalition de rebelles islamistes sunnites, les violences contre la communauté alaouite -plus de 1700 morts- puis contre les druzes, ainsi qu'un attentat contre une église à Damas en juin, ont ébranlé la confiance dans la capacité du nouveau pouvoir à protéger les minorités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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