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Politique

L'aile droite du PS contre l'impôt sur les successions de la JS

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La Plateforme réformiste du PS a élu à sa présidence le conseiller aux Etats socialiste zurichois Daniel Jositsch, qui succède au maire de Bienne Erich Fehr, démissionnaire (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

La Plateforme réformiste, aile droite du parti socialiste suisse (PS), rejette l'initiative des jeunes socialistes (JS) sur l'impôt sur les successions, qu'elle juge populiste. Le mouvement a élu Daniel Jositsch à sa présidence après la démission d'Erich Fehr.

Lors d'une assemblée générale extraordinaire qui s'est tenue la veille à Zurich, la Plateforme réformiste a rejeté à l'unanimité l'initiative de la JS sur l'impôt sur les successions, indique-t-elle samedi dans un communiqué. Pour elle, le texte est particulièrement nuisible pour la place économique suisse, et axé sur un effet d'annonce.

L'assemblée a en outre élu à sa présidence le conseiller aux Etats socialiste zurichois Daniel Jositsch, qui succède au maire de Bienne Erich Fehr, démissionnaire. Simon Jacob devient vice-président après la démission d'Yvonne Feri.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

La Namibie élit sa première femme présidente, continuité politique

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Netumbo Nandi-Ndaitwah porte des positions conservatrices, étant notamment partisane d'une législation stricte en matière d'avortement. (archives) (© KEYSTONE/AP/Esther Mbathera)

La Namibie a élu sa première femme présidente, Netumbo Nandi-Ndaitwah, 72 ans, issue du parti au pouvoir, dès le premier tour avec 57,31% des suffrages, a annoncé mardi soir la commission électorale de ce pays désertique d'Afrique australe.

La Swapo, parti de l'actuelle vice-présidente surnommée "NNN", dirige le vaste pays riche en minerais, qui compte seulement trois millions d'habitants, dont les deux tiers ont moins de 30 ans, depuis son indépendance en 1990.

"Merci pour votre confiance", a sobrement déclaré la nouvelle présidente, en robe longue de soie orangée, fines lunettes et chapeau assorti, affirmant qu'elle tiendrait ses engagements pris auprès des électeurs.

Pendant une campagne où elle s'est évertuée à faire rimer vieillesse et sagesse, elle a notamment promis la création en cinq ans de plus de 250'000 emplois, avertissant que "le monde de l'entreprise ne peut prospérer que si la politique est stable". Elle s'est aussi engagée à attirer des investissements "grâce à la diplomatie politique".

Fille d'un pasteur anglican, passée par la Russie lors de son exil dans les années 1970, la militante a fait ses classes au Komsomol, l'organisation de jeunesse du parti communiste soviétique.

Figure de la lutte pour l'indépendance, Mme Nandi-Ndaitwah porte des positions conservatrices, étant notamment partisane d'une législation stricte en matière d'avortement.

Son premier opposant, Panduleni Itula, arrive loin derrière avec seulement 25,50% des voix dans cette élection qui a connu une forte participation, mais aussi de nombreux cafouillages obligeant à prolonger le scrutin de plusieurs jours.

Le leader du principal parti d'opposition, les Patriotes indépendants pour le changement (IPC), avait ainsi annoncé dès le week-end dernier qu'il ne reconnaîtrait pas les résultats.

"Multiples irrégularités"

Les élections présidentielle et législatives du 27 novembre ont dû être prolongées à deux reprises en raison de problèmes logistiques et techniques, avec notamment une pénurie de bulletins de vote.

Le premier jour du vote, d'interminables files d'attente ont obligé certains électeurs à abandonner, après avoir attendu jusqu'à 12 heures.

Le pays, fier de sa paisibilité et de la solidité de sa démocratie, s'est largement déplacé avec une participation à plus de 76% des inscrits, selon la commission électorale.

M. Itula, ex-dentiste et avocat de 67 ans, a dénoncé des élections chaotiques qui ont fait l'objet, selon lui, de "multiples irrégularités".

Il a indiqué qu'il entendait faire "annuler" selon "les procédures prévues" ce scrutin, "quel que soit le résultat". "Nous ne pouvons qualifier ces élections de libres, équitables et légitimes", a-t-il dénoncé samedi.

L'organisation des avocats en droits humains d'Afrique australe, qui avait dépêché une mission d'observation, a rapporté "des retards délibérés dans l'arrivée des bulletins de vote".

Des cas de surchauffe des tablettes électroniques servant à vérifier les identités et les pénuries de bulletin dans de nombreux bureaux, ayant considérablement ralenti le scrutin, ont été soulignés par les missions d'observation de l'Union africaine (UA) et de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).

L'Organisation du peuple du Sud-Ouest africain (Swapo), l'ex-mouvement d'inspiration marxiste du temps de la lutte contre l'occupation de l'Afrique du Sud de l'apartheid, a récemment vu sa popularité s'éroder sous le poids du chômage massif des jeunes, devenus une large part de l'électorat.

Pays inégalitaire

La Namibie, qui figure parmi les premiers fournisseurs mondiaux d'uranium, demeure, après l'Afrique du Sud, le deuxième pays le plus inégalitaire de la planète, selon la Banque mondiale.

"L'abondante activité minière ne se traduit pas vraiment par une amélioration des infrastructures, ni par des opportunités d'emploi", observe l'analyste indépendante Marisa Lourenço, ce qui "alimente la frustration des jeunes". Quelque 46% des 18-34 ans étaient sans emploi en 2018, selon les derniers chiffres officiels.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Corée du Sud: loi martiale levée et retrait des troupes

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Le président sud-coréen Yoon annonce qu'il va lever la loi martiale. (archives) (© KEYSTONE/AP)

Le président de la Corée du Sud Yoon Suk Yeol a déclaré mardi que la loi martiale décrétée quelques heures auparavant allait être levée et que les troupes déployées dans Séoul allaient se retirer, après un vote de l'assemblée dominée par l'opposition.

"Il y a eu une demande de l'Assemblée nationale pour lever l'état d'urgence, et nous avons procédé au retrait des militaires qui avaient été déployés pour les opérations de loi martiale", a déclaré le président à la télévision. "Nous allons accéder à la requête de l'Assemblée nationale et lever la loi martiale lors d'une réunion du gouvernement", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Les parlementaires s'échauffent sur la fiscalité avant le budget

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Les députés vaudois ont entamé mardi de longs débats sur la fiscalité et le budget 2025 qui vont durer deux à trois semaines (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Avant de se plonger dans le budget 2025, les députés vaudois se sont d'abord prononcés mardi sur deux sujets fiscaux. Ils ont accepté en premier débat, non sans réserves, la feuille de route du gouvernement qui prévoit de porter le montant cumulé de la réduction de l'impôt cantonal sur le revenu à 5% d'ici la fin de la législature, en procédant à des baisses échelonnées dans le temps.

Le Conseil d'Etat avait présenté en septembre dernier son "Plan pouvoir d'achat", un paquet visant à contrer l'initiative des milieux économiques qui réclament une baisse d'impôts de 12%. Ce projet de loi comprend des mesures pour réduire la fiscalité des personnes physiques, sur le revenu et les successions/donations notamment. Elles ont été longuement débattues mardi en plénum.

Le gouvernement propose de continuer de réduire progressivement l'impôt cantonal sur le revenu. Après la baisse de 3,5% entrée en vigueur cette année, des réductions annuelles de 0,5% sont prévues jusqu'au terme de la législature en 2027, soit 5% au total. La diminution supplémentaire de 0,5% pour 2025, soit 4% au total, représente un coût de 15 millions de francs, mais sans impact pour les communes.

Les baisses pour 2026 et 2027 seraient appliquées sous réserve de la situation financière de l'Etat, donc pas ancrées en tant que telles dans le projet de loi. Alors que le coût de l'initiative dite des "12%" est évalué à plus de 500 millions de francs par année pour les caisses de l'Etat, le plan gouvernemental, lui, coûterait 270 millions pour les trois prochaines années.

L'UDC bien seule

Dans l'hémicycle, seule l'UDC soutient l'initiative 12% et c'est assez logiquement que son chef de groupe Cédric Weissert a déposé un amendement réclamant une baisse immédiate de 9% de l'impôt cantonal sur le revenu, puis de 0,5% les deux années suivantes pour atteindre un total de 10%. "Le canton de Vaud est un cancre fiscal par rapport à Genève et Neuchâtel", a-t-il affirmé.

Le projet de loi et les 5% au total sur l'ensemble de la législature sont clairement insuffisants pour redonner du pouvoir d'achat à la population, a-t-il dit en substance.

L'amendement UDC, tout comme l'initiative 12%, a suscité de vives critiques de tous les autres partis politiques. "Irresponsable et irraisonnable", sont les deux mots qui ont le plus souvent été prononcés. "Ce n'est pas sérieux, c'est juste un effet de manche, un effet de communication", a même critiqué la présidente du PLR Vaud Florence Bettschart-Narbel.

Tensions à droite

La tension était d'ailleurs très palpable au sein de l'Alliance de droite, entre le PLR et l'UDC, cette dernière ayant été traitée de "droite de la droite" ce qui a passablement énervé un ou deux parlementaires UDC. "C'est censé être un débat gauche-droite et on assiste presque trop à un débat à droite", s'est, pour sa part, presque inquiété le PLR Pierre-André Romanens.

Au final, l'amendement a été très nettement refusé par 109 non, 24 oui et 13 abstentions. Les élus ont ensuite aussi écarté un amendement du PLR Alexandre Berthoud qui demandait à ancrer dans le projet de loi les baisses supplémentaires pour 2026 et 2027, soit deux fois 0,5%. Ils ont préféré garder la cautèle prévue par le Conseil d'Etat, indiquant l'introduction du taux de 5% final si tant est que l'évolution des finances publiques le permette.

A gauche, plusieurs parlementaires se sont toutefois montrés très inquiets de ces nouvelles baisses fiscales qui risquent d'entraîner une diminution des prestations publiques et de favoriser les revenus les plus aisés. Autant dire que ce premier débat sur la fiscalité ricochera, avec de nombreux amendements, lors du débat sur le budget 2025 du canton qui débutera mercredi.

"Réforme raisonnable"

La ministre des finances Valérie Dittli a, elle, plaidé pour un "objectif clair": rétablir le pouvoir d'achat en ciblant la classe moyenne et l'attractivité du canton avec des mesures progressives. "Il s'agit d'une réforme raisonnable pour une vision à long terme, qui impacte peu les communes", a-t-elle déclaré. Un deuxième débat sera nécessaire.

Les députés ont ensuite commencé à discuter sur divers allégements en matière de successions et donations, par exemple en relevant les seuils d'imposition pour les descendants directs. Le même "Plan pouvoir d'achat" prévoit aussi d'améliorer la fiscalité lors de la transmission familiale des entreprises.

La suite du débat est prévue mercredi. Le même jour, les élus devront aussi se prononcer formellement sur l'initiative des 12%, la refusant très certainement. Le peuple aura le dernier mot.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Canon à eau et gaz lacrymogène au 6e soir de manifestations pro-UE

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A Tbilissi, la police a une nouvelle fois fait usage d'un canon à eau et de gaz lacrymogène pour tenter de disperser les milliers de manifestations pro-UE. (© KEYSTONE/EPA/DAVID MDZINARISHVILI)

La police en Géorgie a une nouvelle fois fait usage mardi soir d'un canon à eau et de gaz lacrymogène pour tenter de disperser les milliers de manifestations pro-UE qui protestaient pour la sixième nuit consécutive, malgré les menaces du Premier ministre.

Ce rassemblement se déroulait aussi après que la Cour constitutionnelle, saisie par la présidente pro-occidentale, a décidé de maintenir inchangé le résultat des législatives d'octobre remportées par le parti au pouvoir du Rêve géorgien mais contestées par l'opposition.

Les manifestations à Tbilissi, émaillées de violences, ont éclaté jeudi après l'annonce par le pouvoir du report à 2028 des ambitions de ce pays du Caucase d'intégrer l'Union européenne.

Mardi soir, les protestataires étaient encore des milliers, mais légèrement moins nombreux que lors des jours précédents, lançant des feux d'artifice vers le parlement et la police et agitant des drapeaux de la Géorgie et de l'UE, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Les policiers anti-émeute ont répondu d'abord avec une lance à eau, notamment pour repousser des manifestants qui tentaient de d'escalader les murs du parlement, puis avec un canon à eau et du gaz lacrymogène lorsque la foule s'est déplacée vers une avenue à proximité.

Le ministère de l'Intérieur a accusé dans un communiqué des manifestants d'avoir lancé sur les forces de l'ordre "divers types d'objets contondants, des engins pyrotechniques et des objets inflammables".

La présidente Salomé Zourabichvili, qui soutient le mouvement de protestation, a elle dénoncé sur X une utilisation "disproportionnée" de la force par la police, des "arrestations massives et mauvais traitements".

"Meilleur avenir"

Quelques heures auparavant, le Premier ministre Irakli Kobakhidzé avait accusé l'opposition et des ONG d'être à l'origine des affrontements avec la police et averti qu'ils "n'échapperont pas à leurs responsabilités".

Son parti, qui assure ne pas renoncer à l'UE malgré l'annonce du report des négociations, a estimé que les Géorgiens mécontents l'avaient "mal compris" et que l'intégration européenne "progressait".

La veille, il avait rejeté toute négociation avec l'opposition, qui réclame de nouvelles législatives en dénonçant des fraudes lors du scrutin du 26 octobre, tout comme Bruxelles, ce que M. Kobakhidzé a qualifié de "chantage".

Le Rêve géorgien tente aussi de présenter le mouvement de protestation comme le résultat d'une ingérence extérieure.

"Personne ne nous paie, nous venons ici par notre volonté, de nous-mêmes", a affirmé auprès de l'AFP un manifestant, Nougo Chigvinadzé, logisticien de 41 ans, qui dit simplement vouloir "un meilleur avenir pour nos enfants".

"Tout ce que dit notre gouvernement est un mensonge. Cela fait douze ans qu'ils nous mentent et ils continuent à le faire", a-t-il ajouté.

Mi-novembre, des groupes d'opposition et la présidente, en rupture avec le gouvernement mais aux pouvoirs limités, avaient déposé un recours devant la Cour constitutionnelle pour faire annuler les résultats du scrutin législatif d'octobre.

La Cour, dans une décision publiée mardi, a refusé cette demande, en précisant que son verdict était final et sans appel.

Selon le ministère de l'Intérieur, 293 manifestants ont été interpellés depuis le début du mouvement et 143 policiers ont été blessés. Des manifestants et journalistes ont aussi été blessés ces derniers jours.

L'opposition accuse le gouvernement de vouloir se rapprocher de Moscou, et d'imiter ses méthodes répressives et autoritaires.

"Mouvement sans précédent"

"Dans toute la Géorgie, les gens se soulèvent contre le régime fantoche russe", a salué lundi soir la présidente Salomé Zourabichvili, y voyant "un mouvement sans précédent".

Cette ancienne diplomate française a assuré la semaine dernière qu'elle refuserait de rendre son mandat comme prévu fin décembre et resterait à son poste jusqu'à ce que de nouvelles législatives soient organisées.

Si elle ne dispose que de pouvoirs très limités, Mme Zourabichvili est populaire auprès des manifestants, dont le mouvement, largement spontané et organisé en ligne, n'a ni dirigeant politique dominant ni réelle structure.

Tous les soirs, les policiers veulent ainsi chasser les protestataires de la place du parlement, épicentre de la mobilisation et des tensions.

Le Rêve géorgien assure vouloir éviter au pays le destin de l'Ukraine, envahie par les troupes russes depuis bientôt trois ans. Ses responsables accusent l'Occident de vouloir entraîner la Géorgie dans une guerre avec Moscou.

Le pays niché sur les rives de la mer Noire reste traumatisé par une brève guerre avec la Russie à l'été 2008. Moscou avait ensuite reconnu l'indépendance de deux régions séparatistes frontalières de son territoire, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, où elle maintient toujours une présence militaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Les paysans veulent se faire entendre à Berne

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Les paysans ont manifesté avec des cloches et des drapeaux cantonaux. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Un millier de paysans ont manifesté mardi à Berne pour se faire entendre du monde politique et de l'administration, selon un journaliste de Keystone-ATS sur place. Ils ont exigé moins de charge administrative, plus de sécurité dans la planification et des prix justes.

Le rassemblement s'est déroulé devant le siège de l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG) à Liebefeld, dans la banlieue bernoise. Dans son appel à manifester, le groupe Dialog Bauern Schweiz avait appelé à ne pas y venir en tracteur, mais à participer avec des cloches.

Les manifestants brandissaient aussi des banderoles, des panneaux et des drapeaux de leurs cantons, pour montrer la portée nationale de leur mouvement.

Dans leur lettre de protestation, les organisateurs du rassemblement soulignent que l'année 2024 n'a pas été facile pour les familles paysannes de Suisse. Elle a été marquée par une situation difficile sur le marché, des conditions-cadres incertaines et de grandes difficultés de culture dues aux conditions météo.

Selon eux, seule la revendication d'une plus grande valorisation de leur travail et de leurs produits a été satisfaite par les décisions prises en votation ces dernières années. En revanche, ce n'est pas le cas pour la réduction de la charge administrative.

Les autorités fédérales n'ont pas non plus entendu la demande d'une plus grande stabilité et d'une meilleure sécurité de planification pour les familles paysannes ainsi que d'un prix "juste et approprié" pour leurs produits et leur travail.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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