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Politique

La Verte Lisa Mazzone ne sera pas candidate au Conseil fédéral

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Lisa Mazzone dit avoir envie de poursuivre son travail de conseillère aux Etats (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La conseillère aux Etats Lisa Mazzone (Vert-e-s/GE) ne sera pas candidate pour son parti au Conseil fédéral. "Ce n'est pas le bon moment" pour elle, indique-t-elle dans une interview publiée lundi sur le site du Temps.

La sénatrice a envie de poursuivre son travail à la Chambre des cantons, explique-t-elle. Si elle est réélue le 12 novembre, elle devrait occuper la présidence du Conseil des Etats à la fin de l’année prochaine. Ce sera pour elle "une bonne opportunité pour rapprocher Genève de Berne et Berne de Genève", dit-elle.

Le Genevoise, qui se dit attachée à la représentativité des régions linguistiques, estime par ailleurs que le tour d’un représentant de Suise romande n’est pas venu.

Lisa Mazzone exige en revanche "plus de diversité" au sein du Conseil fédéral. "Une seule génération y est actuellement représentée, avec des membres qui ont tous plus ou moins 5 ans d’écart après le départ d’Alain Berset. De jeunes mères ou de jeunes pères devraient pouvoir y siéger", dit-elle. Et les grandes villes ne sont pas représentées. C’est une réalité qui a besoin d’une voix.

Les Vert-e-s ont décidé samedi de briguer un siège au Conseil fédéral. Ils vont présenter une candidature dirigée contre l'un des deux sièges PLR. Pour Lisa Mazzone, la formule magique est aujourd'hui "définitivement enterrée". Il faut profiter du renouvellement global du gouvernement pour la remettre à jour, "car elle ne reflète pas la diversité des forces politiques".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Dépenses moins élevées pour l'AVS, annonce la Confédération

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Alerte Info (© )

L'ancien modèle utilisé par la Confédération pour l'AVS surestimait les dépenses. L'Office fédéral des assurances sociales a publié lundi ses nouvelles estimations. L'écart entre l'ancien et le nouveau modèle est de 2,5 milliards de francs pour 2033.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le Collectif de la grève féministe vaudois remporte une victoire

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Le Collectif de la grève féministe vaudois dénonce depuis des années un durcissement du droit de manifester (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Collectif de la grève féministe vaudois, qui dénonce depuis plusieurs années un durcissement du droit de manifester, a été entendu par la Ville de Lausanne. La municipalité est revenue en partie sur les conditions que le Service de l'économie avait posées pour autoriser un défilé dans les rues de la capitale vaudoise, en 2022, a-t-on appris, lundi, dans un communiqué envoyé par le mouvement féministe.

Le Service de l'économie avait notamment averti le Collectif de la grève féministe de possible sanction en cas de présence, au sein du cortège, d'écrits, de banderoles, de drapeaux, d'emblèmes pouvant heurter la sensibilité d'autrui, exacerber un sentiment d'insécurité ou exalter des idées de haine, de racisme, de violence.

La municipalité a aussi estimé qu'on ne pouvait mettre à la charge des organisatrices les dégâts éventuels aux biens communaux commis durant la manifestation. Selon la Ville de Lausanne, on ne devait pas non plus faire porter l'entière responsabilité de la gestion et de la bonne tenue de la manifestation au collectif féministe.

L'exécutif de la Ville de Lausanne a jugé non conformes à la Constitution ces restrictions émises par le Service de l'économie de la municipalité dans son autorisation. Ces exigences limitaient, à ses yeux, les libertés de manifestation, de réunion et d'expression des organisatrices du cortège.

Dans un communiqué, le Collectif de la grève féministe vaudois salue cette "excellente décision" de la Ville de Lausanne. Elle permet de "réaffirmer que la rue est un espace de débats démocratiques et que l'Etat doit s'assurer qu'elle puisse remplir sa vocation contestataire".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La Collection de l'Art Brut inaugure La Cabane pour les tout-petits

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La Collection de l'Art Brut à Lausanne ouvre un espace d'accueil pour les enfants de 18 mois à 4 ans, qui se veut pédagogique et multi-sensoriel (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La Collection de l'Art Brut à Lausanne inaugure cette semaine La Cabane pour les tout-petits. Cet espace d'accueil pour les enfants de 18 mois à 4 ans se veut pédagogique et multi-sensoriel, conçu sur mesure pour ce public-cible. Ils pourront découvrir l'Art Brut à leur rythme, sous des formes variées et ludiques (puzzles, assemblages, dessins, jeux de piste).

Le vernissage de La Cabane aura lieu mercredi à 18h00, en présence de représentatnts de la Ville de Lausanne. Ce nouvel espace d'accueil au musée même s'inscrit dans le cadre du projet-pilote de la Ville "Penser la diversité autrement" (2022-2024), explique l'institution dans un communiqué. Il sera ouvert du mardi au dimanche de 11h00 à 18h00, précise-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le Français Thierry Breton quitte la Commission européenne

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Les relations étaient notoirement tendues entre Thierry Breton et Ursula von der Leyen (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a annoncé lundi démissionner de la Commission européenne avec effet immédiat. Il affirme que la présidente Ursula von der Leyen, avec qui il était en froid, avait réclamé son retrait à Emmanuel Macron.

Officiellement candidat du président français, il a expliqué que la cheffe de l'exécutif européen, en train de former son équipe pour un nouveau mandat de cinq ans, avait "demandé à la France de retirer (s)on nom".

"Il y a quelques jours, dans la toute dernière ligne droite des négociations sur la composition du futur Collège, vous avez demandé à la France de retirer mon nom - pour des raisons personnelles qu'en aucun cas vous n'avez discutées directement avec moi - et proposé, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France au sein du futur Collège" des commissaires, écrit Thierry Breton.

"C'est un autre candidat qui va vous être proposé" par la France, a-t-il ajouté dans une lettre à Mme von der Leyen publiée sur le réseau social X.

Gouvernance "douteuse"

"Au cours des cinq dernières années, je me suis efforcé sans relâche de défendre et de faire progresser le bien commun européen, au-delà des intérêts nationaux et partisans. Ce fut un honneur", souligne l'ancien ministre français.

"Toutefois, à la lumière des derniers développements - qui témoignent une fois de plus d'une gouvernance douteuse - je dois conclure que je ne peux plus exercer mes fonctions au sein du Collège", conclut-il.

Les relations entre la dirigeante allemande et M. Breton étaient notoirement tendues depuis que ce dernier avait pris la tête au printemps d'une fronde au sein de l'exécutif bruxellois pour contester le style de direction de la présidente, jugé peu collectif.

Ethique mise en cause

Le commissaire français avait publiquement mis en cause l'éthique de Mme von der Leyen après la nomination fin janvier d'un émissaire chargé des petites et moyennes entreprises, un poste hautement rémunéré au sein de la Commission.

Le poste avait été attribué à l'eurodéputé allemand du Parti populaire européen (droite) Markus Pieper, quelques semaines avant un congrès à Bucarest début mars au cours duquel le PPE avait apporté son soutien à un second mandat de Mme von der Leyen.

La polémique avait abouti à un vote de défiance du Parlement européen contre Mme von der Leyen, en pleine campagne pour les élections européennes de juin, et finalement au retrait de M. Pieper.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Serafe continuera à percevoir la redevance radio-TV

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Serafe continuera de percevoir la redevance radio-TV jusqu'en 2034 au moins (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

L'entreprise Serafe continuera à percevoir la redevance de radio-télévision auprès des ménages après 2025. La Confédération lui a octroyé le mandat pour la période 2026-2034.

Le Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) a prolongé le mandat de Serafe AG concernant la perception de la redevance de radio-télévision. La société, dont le siège est à Pfäffikon (SZ), a convaincu grâce à son concept de mise en ½uvre.

Son offre présentait le meilleur rapport qualité-prix, écrit mardi l'Office fédéral de la communication (OFCOM). Serafe, qui avait repris le mandat de Billag au 1er janvier 2019, a soumis une offre prévoyant une rémunération de 158 millions de francs, soit 17,5 millions par année, pour toute la durée du contrat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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