Rejoignez-nous

International

La Roumanie recompte les bulletins, se prépare aux législatives

Publié

,

le

Le candidat d'extrême droite à la présidentielle Calin Georgescu, arrivé contre toute attente en tête du premier tour, défend la légitimité du vote des Roumains. (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

La Roumanie s'attelle vendredi au nouveau dépouillage des bulletins de l'élection présidentielle. Cela sur fond de craintes d'annulation du scrutin, les autorités pointant l'influence russe et le rôle de la plateforme TikTok.

Au milieu de la tourmente, les partis se préparent aux législatives de dimanche, avec une extrême droite décidée à confirmer sa percée. Sous l'oeil inquiet de l'Ouest qui craint une réorientation stratégique dans cet Etat voisin de l'Ukraine, loyal membre de l'UE et de l'Otan.

Dans l'ensemble du pays, de gros sacs ont été apportés dans les bureaux de vote pour un processus de recomptage qui pourrait durer trois jours, derrière des portes closes.

Recomptage critiqué

Cette décision de la Cour constitutionnelle, saisie d'une requête d'annulation par un candidat malheureux, suscite de nombreuses critiques.

Le parti de centre-droit USR, dont la cheffe de file Elena Lasconi est arrivée seconde de justesse, a déposé un recours, tandis que les libéraux ont critiqué un jugement "déroutant qui ne fait qu'alimenter les inquiétudes et tensions".

Des doutes sur la transparence du processus ont également émergé, alors que l'accès à des observateurs indépendants a été refusé.

"Traitement préférentiel" de TikTok

Sur les réseaux et dans la rue, la Roumanie est en ébullition. "Une grande partie de la société est choquée, une autre est euphorique", résume le politologue Remus Stefureac pour l'AFP.

D'un côté, le candidat d'extrême droite Calin Georgescu, arrivé contre toute attente en tête du premier tour, défend la légitimité du vote des Roumains. De l'autre, fusent des accusations des autorités.

D'après le Conseil suprême de la défense nationale, cet ancien haut fonctionnaire a bénéficié d'un "traitement préférentiel" de TikTok, ce que le réseau social a "catégoriquement" démenti.

Ont aussi été évoquées des "cyberattaques" visant à "influencer la régularité du processus électoral", notant "un intérêt croissant" de la part de la Russie "dans le contexte actuel de sécurité régionale".

Le Premier ministre Marcel Ciolacu, éliminé de la course, a lui brandi le spectre d'une "élection volée", tout en assurant qu'il ne se représenterait pas en cas de nouveau scrutin.

L'extrême droite attendue en force

C'est dans ce contexte explosif que les Roumains retournent aux urnes dimanche, jour de fête nationale, cette fois pour élire le Parlement.

Après trois décennies d'une vie politique structurée par deux grands partis, les analystes prédisent un hémicycle fragmenté et des négociations difficiles pour former un gouvernement.

L'extrême droite est créditée de plus de 30% d'intentions de vote, selon les sondages. Du jamais vu dans ce pays jusqu'ici à l'écart des poussées nationalistes observées dans le reste de la région mais agité par la colère et les frustrations de la population, devant l'inflation record et une classe politique jugée incompétente et arrogante.

Plusieurs formations de ce bord politique sont présentes: le parti AUR (Alliance pour l'unité des Roumains), dont le candidat George Simion a recueilli près de 14% à la présidentielle, est en lice, mais aussi SOS Romania, dirigé par la tempétueuse candidate favorable au Kremlin Diana Sosoaca.

Un nouveau parti, POT (Parti de la jeunesse), a fait son apparition après la surprise Georgescu, qu'il soutient, et pourrait franchir le seuil des 5% nécessaire pour entrer au Parlement.

Grand fan de Donald Trump

"Nous sommes ici, debout, vivants, plus nombreux que jamais et avec une formidable occasion devant nous", a lancé à ses partisans M. Simion, grand fan de Donald Trump, rêvant d'une victoire de l'extrême droite à la fois à la présidence et au Parlement.

Dans le camp proeuropéen adverse, le parti USR - qui espère tirer son épingle du jeu - évoque "une bataille existentielle". "Une confrontation" entre ceux qui veulent "préserver la jeune démocratie roumaine" née de la révolution de 1989 et ceux qui veulent "revenir dans la sphère d'influence russe".

Laminés, les sociaux-démocrates et les libéraux, au pouvoir dans une coalition actuellement, mettent en avant leur "expérience" pour tenter de limiter la casse.

"Toutes les cartes sont rebattues", conclut le politologue Remus Stefureac, imaginant la possibilité d'un gouvernement d'unité nationale face aux risques sécuritaires avec la guerre aux portes de la Roumanie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Le Bangladesh a fait ses adieux à son ex-Première ministre

Publié

le

Une véritable marée humaine a rendu hommage à son ex-Première ministre (archives). (© KEYSTONE/AP/Mahmud Hossain Opu)

Une foule immense a assisté mercredi à Dacca aux funérailles nationales de l'ancienne Première ministre Khaleda Zia. Cette personnalité a marqué la vie politique du Bangladesh pendant 40 ans.

Les drapeaux ont été mis en berne au lendemain du décès à 80 ans de la première femme à avoir exercé les fonctions de Première ministre dans cette nation d'Asie du Sud de 170 millions d'habitants.

Des milliers d'agents des forces de l'ordre ont été déployés le long des artères de la capitale empruntées par le convoi funéraire pavoisé aux couleurs du drapeau national.

Des prières ont été dites autour de son cercueil et, pour ces funérailles nationales, une marée humaine portant le deuil s'est rassemblée devant le Parlement. Dans la foule, beaucoup brandissaient le drapeau national ou celui du Parti nationaliste du Bangladesh (BNP) de l'ex-dirigeante.

Minhaz Uddin, 70 ans, un haut fonctionnaire retraité, explique n'avoir jamais voté pour elle mais avoir tenu à rendre hommage à celle qui fut trois fois Première ministre.

"Je suis venu avec mon petit-fils pour dire adieu à une grande figure de la vie politique, dont les contributions resteront à jamais dans les mémoires", a-t-il confié, derrière une barrière surmontée de fil de fer barbelé.

"Son héritage demeure"

Malgré sa santé défaillante, Mme Zia avait annoncé son intention de mener la campagne du BNP pour les premières législatives depuis le soulèvement populaire de l'été 2024 et de briguer un siège au Parlement.

Elle avait été propulsée à la tête du BNP après l'assassinat de son mari Ziaur Rahman pendant le coup d'Etat militaire de 1981.

"Elle n'est plus là, mais son héritage demeure - et le BNP aussi", a confié Jenny Parvez, 37 ans, qui a fait plusieurs heures de route pour assister au passage du cortège funéraire.

Tarique Rahman, fils de Mme Zia et président par intérim du BNP, est rentré au Bangladesh le 25 décembre pour conduire la campagne électorale, après 17 ans d'un exil volontaire au Royaume?Uni.

A 60 ans, il est pressenti pour prendre la tête du gouvernement en cas de victoire de son parti, donné favori pour le scrutin du 12 février 2026.

Le chef du gouvernement provisoire et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus a décrété trois jours de deuil national.

"Une grande protectrice"

Les funérailles se sont tenues mercredi après-midi devant le Parlement et l'ex-cheffe du gouvernement a ensuite été inhumée aux côtés de son mari.

Des dirigeants ainsi que des officiers de l'armée ont déposé des gerbes, et un clairon a retenti.

Le pays "a perdu une grande protectrice", a déclaré dans un communiqué M. Yunus, saluant "son leadership inflexible".

"Le pays pleure la perte d'une figure tutélaire qui a façonné ses aspirations démocratiques", a déclaré son fils dans un communiqué.

Elle "a enduré des arrestations à répétition, le refus de soins médicaux et une persécution incessante", a-t-il ajouté, mais "sa résilience (...) était inébranlable".

Gravement malade, Khaleda Zia avait été admise fin novembre dans le service de soins intensifs d'un établissement privé de Dacca pour une infection pulmonaire.

"Une source d'inspiration"

Sa santé était fragile depuis son incarcération pour corruption en 2018, sous le règne de sa grande rivale Sheikh Hasina qui a dirigé le pays d'une main de fer pendant 15 ans jusqu'à la chute de son régime en août 2024. Mme Zia avait été libérée quelques mois après.

Le Premier ministre indien Narendra Modi a dit espérer que "sa vision et son héritage continuer(aient) de guider notre relation".

Des déclarations inattendues dans le contexte des relations très tendues entre les deux pays voisins.

L'Inde était l'un des principaux soutiens de l'ex-Première ministre Sheikh Hasina qui vit, depuis sa chute, en exil sur son territoire .

Le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, s'est rendu à Dacca pour assister aux funérailles, a indiqué New Delhi. C'est la visite du plus haut responsable du gouvernement indien depuis le renversement de l'ex-Première ministre. Il a indiqué avoir rencontré M. Rahman et lui avoir présenté les "plus profondes condoléances" de l'Inde.

En novembre dernier, elle a été condamnée à mort par contumace pour avoir ordonné la répression meurtrière des manifestations de l'été 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Chine: la croissance va atteindre "environ 5%" en 2025 comme prévu

Publié

le

La deuxième économie mondiale fait face à une longue crise du secteur immobilier, lourdement endetté (archives). (© KEYSTONE/EPA/MARK R. CRISTINO)

Le président chinois Xi Jinping a affirmé mercredi que la croissance économique de la Chine atteindrait "environ 5%" en 2025, comme prévu, malgré une année marquée par une "pression", a rapporté l'agence de presse officielle Xinhua.

"Nous avons pris les défis de front et oeuvré avec diligence, atteignant ainsi les principaux objectifs de développement économique et social", a déclaré Xi Jinping dans un discours devant la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), selon l'agence Xinhua.

"Le taux de croissance devrait atteindre environ 5%", a-t-il poursuivi, ajoutant que "la stabilité sociale générale a été maintenue" et que la lutte contre la corruption était "menée sans relâche".

Ce chiffre est en ligne avec les objectifs gouvernementaux. En 2024, la croissance s'était également établie à 5%.

Les experts s'attendent à ce que Pékin annonce un objectif de croissance économique similaire pour 2026, lors de la grande réunion politique annuelle début mars.

La deuxième économie mondiale fait face à une longue crise du secteur immobilier, lourdement endetté, qui pèse sur les finances des collectivités locales et la consommation.

Les tensions commerciales avec Washington ont également compliqué la donne.

Des indicateurs publiés mercredi ont toutefois offert un signe positif aux décideurs politiques, puisque l'activité manufacturière en décembre a connu une légère remontée.

L'indice des directeurs d'achat (PMI) de l'activité manufacturière, qui reflète notamment le moral des milieux industriels, s'est établi à 50,1 en décembre, d'après le Bureau national des statistiques.

Pour la première fois depuis mars, ce chiffre est supérieur au seuil de 50 points qui traduit une expansion de l'activité.

Par ailleurs, l'indice PMI non manufacturier, qui mesure l'activité dans des secteurs comme les services et le bâtiment, s'est établi à 50,2 en décembre, comme un sursaut après sa contraction de novembre - la première en près de trois ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Trump oppose son veto pour la première fois à deux projets de loi

Publié

le

Lors de son premier mandat à la Maison Blanche, Donald Trump a opposé son veto à 10 textes (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump a mis son veto à deux projets de loi, pour la première fois lors de son second mandat. Le président américain a rejeté la construction d'un pipeline d'eau potable et l'extension d'une réserve amérindienne.

Le président républicain a opposé son veto lundi à ces textes bipartisans, soutenus par les élus démocrates et les républicains, a annoncé la Maison Blanche mercredi. Pour passer outre le veto présidentiel, le Sénat et la Chambre des représentants devront adopter ces textes à une majorité des deux tiers.

L'un de ces textes visait à achever un projet datant des années 60 pour acheminer de l'eau potable jusqu'aux grandes plaines de l'est du Colorado.

Donald Trump a justifié son veto par le coût, selon lui, trop important du projet, se félicitant d'épargner ainsi aux contribuables américains le financement de "politiques coûteuses et peu fiables", dans sa lettre d'explication au Congrès.

Le pipeline, dont la construction avait été proposée dans les années 60 sous la présidence de John Kennedy, avait obtenu le soutien des deux chambres du Congrès.

"Ce n'est pas terminé", a écrit sur les réseaux sociaux l'élue républicaine du Colorado à la Chambre des représentants Lauren Boebert, une ancienne alliée de M. Trump.

"Alcatraz des alligators"

La Maison Blanche a également annoncé le veto de Donald Trump à un projet de loi prévoyant l'extension de la réserve amérindienne de la tribu des Mikasukis dans une section du parc national des Everglades, en Floride, nommée Osceola Camp.

La tribu avait participé, plus tôt cette année, à une action en justice contre l'"Alcatraz des alligators", un centre de rétention de migrants monté à la va-vite dans cette région marécageuse des Everglades.

Une juge fédérale avait ordonné de démanteler de nombreux équipements du centre, signifiant sa fermeture à terme.

Donald Trump a affirmé que la tribu des Mikasukis n'était pas autorisée à occuper Osceola Camp et que son administration ne permettrait pas l'utilisation de l'argent des contribuables pour des "projets au bénéfice d'intérêts particuliers", en particulier pour des groupes "non alignés" avec sa politique migratoire.

Les présidents américains ont rarement recours au veto aux Etats-Unis. Lors de son premier mandat à la Maison Blanche, Donald Trump a opposé son veto à 10 textes. Son prédécesseur, le démocrate Joe Biden, a mis son veto à 13 projets de loi au cours de ses quatre années de mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'activité manufacturière chinoise en légère hausse en décembre

Publié

le

L'indicateur a dépassé les prévisions (archives) (© KEYSTONE/EPA/ETIENNE LAURENT)

L'activité manufacturière en Chine a remonté légèrement en décembre, selon des chiffres officiels diffusés mercredi, un constat positif au terme d'une année sinon morose pour l'activité de la deuxième économie mondiale.

L'indice des directeurs d'achat (PMI) de l'activité manufacturière, qui reflète notamment le moral des milieux industriels, s'est établi à 50,1 en décembre, d'après le Bureau national des statistiques.

Pour la première fois depuis mars, ce chiffre est supérieur au seuil de 50 points qui traduit une expansion de l'activité.

L'indice dépasse grandement la prévision de 49,2 donnée par un panel d'économistes sondés par l'agence Bloomberg.

Par ailleurs, l'indice PMI non manufacturier, qui mesure l'activité dans des secteurs comme les services et le bâtiment, s'est établi à 50,2 en décembre, comme un sursaut après sa contraction de novembre - la première en près de trois ans.

Huo Lihui, du Bureau national des statistiques, a salué dans un communiqué "une amélioration générale de l'activité économique du pays", donnant des signes encourageants aux autorités pékinoises.

Car la deuxième économie mondiale fait face à une longue crise du secteur immobilier qui pèse sur les finances des collectivités locales et la consommation.

Indicateur clé de la consommation, les ventes au détail ont augmenté en novembre à leur rythme le plus lent depuis presque trois ans et la sortie des restrictions liées au Covid-19, selon des données officielles publiées.

Inverser cette tendance est devenue la priorité des autorités. Celles-ci ont annoncé mardi que 62,5 milliards de yuans (7,6 milliards d'euros) de plus seraient alloués en 2026 à un programme existant d'encouragement au remplacement de biens de consommation. Ces subventions concernent, entre autres, les réfrigérateurs, télévisions, machines à laver, automobiles et ordinateurs.

Les données publiées mercredi "indiquent un renversement partiel" concernant "la récente faiblesse des dépenses d'investissement et de l'activité dans le secteur de la construction", selon une note de Julian Evans-Pritchard, de Capital Economics.

Mais la croissance dans le secteur des services "reste faible", et celle de l'activité manufacturière est très dépendante des exportations, a-t-il averti. Et d'ajouter: "Les difficultés structurelles liées au déclin de l'immobilier et aux surcapacités industrielles devraient persister en 2026".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

Tunnel sous la Manche: Eurostar va assurer tous ses services"

Publié

le

La compagnie ferroviaire Eurostar a annoncé mercredi la reprise du trafic entre Londres et le continent. (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

La compagnie ferroviaire Eurostar a annoncé mercredi la reprise du trafic entre Londres et le continent, après un problème technique ayant interrompu le service pendant plusieurs heures, mais avertit de possibles perturbations.

"Nous prévoyons d'assurer tous nos services aujourd'hui, mais en raison des répercussions, il pourrait encore y avoir des retards et des annulations de dernière minute," indique le site officiel d'Eurostar.

Mardi, les plans de nombreux voyageurs ont été fortement perturbés en cette période de fin d'année. Dans l'après-midi, Eurostar avait annoncé une reprise progressive tout en prévenant que "le problème d'alimentation électrique par caténaire persistait", et conseillait vivement aux passagers de reporter leur voyage.

Prisé par ceux qui circulent entre Londres et le continent, Eurostar a transporté un nombre record de 19,5 millions de clients l'an dernier, soit 850'000 de plus qu'en 2023.

Plusieurs sociétés ont annoncé ces derniers mois leur intention d'ouvrir des lignes concurrentes à l'entreprise, qui est aujourd'hui seule à effectuer du transport de passagers sur la ligne sous la Manche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

EconomieIl y a 18 minutes

Le bitcoin perd des plumes après une année 2025 difficile

Le bitcoin, principale cryptomonnaie, va finir une année 2025 mouvementée en repli après avoir tutoyé des sommets, rattrapé par les...

InternationalIl y a 1 heure

Le Bangladesh a fait ses adieux à son ex-Première ministre

Une foule immense a assisté mercredi à Dacca aux funérailles nationales de l'ancienne Première ministre...

SuisseIl y a 1 heure

Jeunesse et collégialité pour la photo 2026 du Conseil fédéral

La photo officielle 2026 du Conseil fédéral symbolise la collégialité du gouvernement et la confiance...

SuisseIl y a 2 heures

La grippe continue de progresser en Suisse

La grippe saisonnière a continué de progresser en Suisse au cours de la semaine écoulée,...

EconomieIl y a 3 heures

La BNS a racheté des devises pour 75 millions au troisième partiel

Les interventions de la Banque nationale suisse (BNS) sur le marché des changes ont été...

InternationalIl y a 3 heures

Chine: la croissance va atteindre "environ 5%" en 2025 comme prévu

Le président chinois Xi Jinping a affirmé mercredi que la croissance économique de la Chine...

SuisseIl y a 3 heures

Les créations d'entreprises atteignent un nouveau pic en 2025

La Suisse a franchi un nouveau pic pour les créations de sociétés cette année: en...

EconomieIl y a 3 heures

2025, année de grand huit sur les marchés mondiaux

Chute du dollar, hausse des taux, Bourses qui plongent puis battent des records... 2025 a...

GenèveIl y a 4 heures

Genève commémore la restauration de la République

Comme chaque année, des coups de canon ont ponctué le début de la journée du...

InternationalIl y a 4 heures

Trump oppose son veto pour la première fois à deux projets de loi

Donald Trump a mis son veto à deux projets de loi, pour la première fois...