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Politique

La fusion entre Montreux et Veytaux sera soumise au peuple

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La commune de Veytaux, où se situe le château de Chillon, est collée à l'est de Montreux dans le district de la Riviera-Pays-d'Enhaut (archives). (© Keystone/MARCEL GILLIERON)

La population des communes vaudoises de Montreux et de Veytaux se prononceront le 22 septembre prochain sur la fusion de leurs deux localités. Les conseils communaux respectifs ont accepté séparément mais simultanément mardi soir la convention de fusion lors d'une séance extraordinaire.

La convention de fusion devait absolument être adoptée par les conseils communaux des deux communes simultanément et sans amendement. Un refus par l'un des organes délibérants aurait mis formellement fin au processus de fusion avec effet immédiat. Cela n'a pas été le cas. La convention a été largement acceptée, ont indiqué mercredi les deux Municipalités dans un communiqué.

Le corps électoral des deux communes sera ainsi appelé à se prononcer dans le cadre d'un référendum obligatoire, dont la date est fixée au 22 septembre 2024, ont-elles annoncé dans la foulée. Si les populations respectives acceptent la convention de fusion dans les urnes, la mise en ½uvre de celle-ci aura lieu d'ici au changement de législature, en juillet 2026.

L'étude d'une convention de fusion avait été plébiscitée en 2018 par les citoyens veytausiens, à la suite d'une initiative populaire. Soutenues par leurs législatifs et accompagnées de leurs administrations et de mandataires externes, les deux Municipalités ont ensuite travaillé ensemble à l'élaboration d'une convention de fusion "aussi équilibrée et respectueuse que possible des deux communes, de leur population et de leurs autorités".

La convention, "cohérente et pragmatique, contient des éléments symboliques forts, notamment de nouvelles armoiries, sans pour autant remettre en question ce qui fonctionne bien, tels que les nombreux partenariats déjà existants, à la fois entre les deux communes et, au-delà, entre les communes du district et/ou de la région", soulignent encore les deux Municipalités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le National adopte la stratégie de coopération internationale

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Le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis a défendu lundi au National la stratégie de coopération internationale 2025-2028. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le National a accepté lundi la stratégie de coopération internationale pour la période 2025-2028. Le Conseil fédéral demande 11,27 milliards. Le National a refusé de lever le frein aux dépenses pour 9,7 milliards.

Le Conseil des Etats a approuvé en septembre les 11,27 milliards. Au National, l'UDC ne voulait d'abord pas entrer en matière. Tous les autres partis et le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis ont soutenu la nécessité d'une telle stratégie: celle-ci est pour la Suisse un "rouage important" de sa politique extérieure, une "carte de visite", et elle fait partie de son "ADN" et de sa "tradition humanitaire". Il est aussi question de la "réputation de la Suisse".

La majeure partie de l'enveloppe est prévue pour la coopération au développement et l'aide humanitaire, avec 9,7 milliards pour les projets de la Direction du développement et de la coopération (DDC). Les députés ont refusé de lever le frein aux dépenses, par 99 voix contre 89 et 5 abstentions. La majorité qualifiée de 101 voix était requise.

Le National a en revanche accepté les autres montants. Pour la coopération économique au développement, qui est du ressort du Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco), 1,4 milliard est prévu. Enfin, un montant de 232,6 millions est destiné au financement de mesures de promotion de la paix et de renforcement des droits humains.

Le dossier repart au Conseil des Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La Suisse suspend les procédures pour les requérants syriens

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Le SEM 'est actuellement pas en mesure d'examiner de manière fondée s'il existe des motifs d'asile et si l'exécution d'un renvoi est raisonnablement exigible (archives). (© Keystone/KEYSTONE/TI-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

A l'instar d'autres Etats, la Suisse suspend les procédures et les décisions d'asile pour les requérants d'asile syriens. Cette mesure restera en vigueur jusqu'à nouvel ordre, a annoncé lundi le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM).

Le SEM n'est actuellement pas en mesure d'examiner de manière fondée s'il existe des motifs d'asile et si l'exécution d'un renvoi est raisonnablement exigible, précise-t-il sur le réseau social X.

Au lendemain de la chute du président syrien Bachar al-Assad, les gouvernements allemand, autrichien, suédois, danois, norvégien et belge avaient auparavant décidé de la suspension des demandes d'asile des ressortissants syriens. La France envisage de leur emboîter le pas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Le Conseil des Etats entame l'examen du budget 2025

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La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter aura fort à faire pour arbitrer le budget 2025 entre les deux Chambres fédérales (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Après le National, le Conseil des Etats a commencé lundi l'examen du budget 2025 de la Confédération. La discussion porte notamment sur la manière de compenser les 530 millions de plus dévolus à l'armée.

Alors que le National veut compenser notamment par des coupes massives dans la coopération internationale, soit 250 millions, la commission des finances des Etats propose une baisse de seulement 30 millions dans la coopération et des économies plus importantes dans l'asile de 185 millions. L'agriculture resterait elle épargnée.

Les finances fédérales sont tendues et vont continuer à se dégrader dans les années à venir, a rappelé Peter Hegglin (Centre/ZG). On ne peut plus dépenser sans penser aux générations futures. Le frein à l'endettement doit être respecté, même dans des conditions difficiles, pour empêcher une dérive des dépenses. Beat Rieder (Centre/VS) en veut pour preuve la chute du gouvernement français sur le budget.

Baptiste Hurni (PS/NE) a dit regretter que "la magie de Noël n'ait touché ni le Conseil fédéral, ni Conseil national, ni la commission du Conseil des Etats". Il est opposé à une augmentation aussi massive des dépenses militaires. "Je suis contre cette orientation politique qui n'est pas utile, trop rapide et qui ne permet pas de dépenser l'argent de façon efficiente".

Il salue toutefois les propositions sur la table, un peu plus nuancées que celles du National. "De deux maux, il faut choisir le moindre", a-t-il dit, indiquant qu'il voterait le budget moyennant que le compromis soit accepté.

"Coupes moins brutales"

Avec la version du Conseil des Etats, on a réussi à prioriser les besoins, a contré Johanna Gapany (PLR/FR). Au vu du contexte international et du repli de certaines grandes puissances, il est prioritaire d'augmenter les dépenses militaires maintenant pour l'horizon 2030.

"Je pense que la version de notre conseil est plus équilibrée. Elle permet des coupes moins brutales, plus supportables pour les domaines concernés", selon la Fribourgeoise. Il est nécessaire de réduire l'augmentation des dépenses fédérales, a renchéri Esther Friedli (UDC/SG). Et de rappeler qu'il faut désormais mettre notre population au centre des tâches de l'Etat.

Au total, la Confédération roule sur un budget 2025 de l'ordre de 85 milliards de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

ONU: un Suisse élu président du Conseil des droits de l'homme

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L'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber va présider les discussions entre les 47 membres du Conseil des droits de l'homme l'année prochaine à Genève. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Un Suisse présidera en 2025 pour la première fois le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève. L'ambassadeur Jürg Lauber a été élu lundi par acclamation par les Etats membres de l'organe et occupera son mandat pendant un an.

Le retour de la Suisse au Conseil en janvier pour trois ans, après six ans d'absence, s'accompagnera d'une situation inédite. En près de 20 ans d'existence, jamais le principal organe des Nations unies en charge des droits humains n'avait été piloté par un représentant helvétique.

Aucun Etat du bloc régional de la Confédération n'a contesté la candidature de M. Lauber, laissant la voie libre à l'Etat hôte. "C'est un grand honneur et une immense responsabilité. C'est surtout une opportunité pour renforcer notre engagement au Conseil", a affirmé à Keystone-ATS le Zougois de 61 ans.

Il souhaite notamment "regagner un espace pour la diplomatie" dans un Conseil en proie aux tensions politiques. Il veut aussi contribuer à rendre l'organe plus efficace.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Macron propose une "réunion des différentes forces politiques"

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Après une courte trêve consacrée à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, Emmanuel Macron a repris lundi ses consultations afin de nommer un nouveau Premier ministre (archives). (© KEYSTONE/EPA/SARAH MEYSSONNIER / POOL)

Emmanuel Macron a proposé lundi une "nouvelle méthode" pour construire le futur gouvernement français. Celle-ci passerait par l'organisation d'une "réunion des différentes forces politiques pour échanger sur une plateforme programmatique", selon les écologistes.

Selon la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier, ces nouvelles discussions devraient avoir lieu dès mardi. Le président de la République a également indiqué que "la solution ne pourrait plus ou pas reposer sur un accord avec le Rassemblement national", a-t-elle dit après une consultation à l'Elysée.

"Il a été très clair sur le fait que le Rassemblement national, pour lui, n'était pas dans le périmètre des partis qui souhaitaient discuter", a-t-elle ajouté. Cela "correspond à ce qu'il pense, qu'il faut s'extraire des griffes du RN et de LFI", a pour sa part commenté un proche du président.

Si le chef de l'Etat concrétise cette proposition de réunion transpartisane, ce serait la première fois depuis la dissolution qu'Emmanuel Macron réunit plusieurs blocs politiques autour d'une même table.

Un premier ministre de gauche ?

"On ne sait pas encore à qui exactement a été faite cette proposition et qui répondra favorablement", a expliqué la secrétaire nationale des Ecologistes. Mais "c'est un premier pas pour pouvoir travailler en confiance", a-t-elle estimé, cinq jours après la censure du gouvernement de Michel Barnier.

"Nous, Ecologistes, serons à la table. J'imagine que les socialistes y seront, j'imagine que les communistes y seront. Je sais aussi que nous avons plus de poids dans cette discussion si les Insoumis viennent", a affirmé Marine Tondelier, alors que les dirigeants de La France insoumise (LFI) avaient refusé de se rendre à l'Elysée lundi à l'invitation d'Emmanuel Macron.

Les responsables écologistes ont néanmoins prévenu le président qu'ils "voyaient mal comment venir en confiance" si le chef de l'Etat nommait d'ici là un Premier ministre qui ne soit pas issu de la coalition de gauche du Nouveau Front populaire.

"Il est hors de question de remettre la question des retraites à la future présidentielle", a également insisté la cheffe des députés écologistes Cyrielle Chatelain.

"Bouger"

La tenue possible d'une telle réunion élargie entre bloc central et partis de gauche avait déjà été évoquée indirectement par le patron du Parti communiste (PCF) Fabien Roussel, reçu juste avant les Ecologistes.

Emmanuel Macron "fera une proposition peut-être dans la journée, demain (mardi), de méthode", avait-il indiqué. "Ce qui compte maintenant c'est de savoir si son camp est prêt à bouger, s'ils sont prêts à remettre en cause un tant soit peu la politique qu'ils mettent en oeuvre depuis des années maintenant", avait-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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