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JO: "Nous sommes prêts", dit Macron au village olympique

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"Nous sommes prêts", a déclaré le président français Emmanuel Macron lors d'une visite au village des athlètes. (© KEYSTONE/EPA/MICHEL EULER / POOL)

Emmanuel Macron a affirmé lundi que tout était "prêt" pour les Jeux olympiques de Paris qui s'ouvrent vendredi, lors d'une visite au village des athlètes à Saint-Denis, au nord de la capitale française.

"Nous sommes prêts et nous serons prêts tout le long des Jeux", a lancé le président de la République en inaugurant le commissariat de police et la caserne des pompiers du village olympique.

"Si on pourra être collectivement fiers du pays, c'est parce que vous faites ce sacrifice", a-t-il dit aux policiers et pompiers mobilisés pour la sécurité du plus grand événement sportif de la planète (26 juillet-11 août).

Emmanuel Macron a participé lundi matin avant cette visite à une réunion avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin "pour faire le point sur les éléments de sécurité les plus confidentiels pour la cérémonie d'ouverture", prévue vendredi sur la Seine.

"Ça fait maintenant des années que nous travaillons pour ces Jeux et nous sommes au début d'une semaine décisive qui verra vendredi la cérémonie d'ouverture et puis l'Olympiade qui se tiendra à Paris, cent ans après", a-t-il dit. "C'est le fruit d'un immense travail qui a profondément changé le territoire, en particulier le département" de Seine-Saint-Denis, en banlieue nord de la capitale, a-t-il ajouté.

Héritage

Il a insisté sur l'"héritage" des JO pour ces territoires défavorisés, grâce à de nombreuses infrastructures qui resteront après les épreuves. "Je reviendrai après les Jeux pour en voir l'héritage à vos côtés et voir la vie qui aura changé", a-t-il promis.

Avant de déjeuner avec les sportifs français, le chef de l'Etat a aussi salué les bénévoles "au coeur du chaudron dans ce village olympique". "La France est très fière d'accueillir ces Jeux", "merci du fond du coeur de nous permettre d'accueillir le monde", a-t-il lancé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump "sain et sauf" après des tirs à proximité de lui

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Donald Trump a à nouveau échappé à des tirs (Archives). (© KEYSTONE/EPA/BIZUAYEHU TESFAYE)

Donald Trump est "sain et sauf" après des tirs "à proximité de lui", a annoncé dimanche son équipe de campagne, deux mois après la tentative d'assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle américaine.

Le FBI a annoncé dimanche enquêter sur "une tentative d'assassinat présumée" ayant de nouveau visé Donald Trump, le candidat républicain étant "sain et sauf" et un suspect ayant été arrêté.

Dans un contexte de campagne présidentielle particulièrement tendue à une cinquantaine de jours de l'élection du 5 novembre, l'ex-président, qui se trouvait dans son club de golf en Floride, est "sain et sauf après des coups de feu à proximité de lui", a déclaré dans un communiqué Steven Cheung, directeur de la communication de sa campagne.

La police fédérale américaine a dit dans un communiqué enquêter sur "ce qui semble être une tentative d'assassinat contre l'ancien président Trump".

Le Secret Service, police d'élite chargée de la protection des présidents, anciens présidents et personnalités politiques de premier plan, a également annoncé une enquête sur ces tirs qui se sont déroulés "peu avant 14H00 (20H00 Heure suisse)".

Plusieurs de ses agents ont "ouvert le feu sur un homme armé" qui se trouvait près du bord du terrain de golf de Donald Trump, et un fusil AK-47 à lunette a été retrouvé, ainsi que deux sacs à dos et du matériel d'enregistrement vidéo, ont précisé les autorités lors d'une conférence de presse.

Cible encore inconnue

Le suspect s'est enfui à bord d'une voiture noire, mais un témoin a aidé la police à identifier le véhicule et les autorités l'ont retrouvé.

"Nous avons quelqu'un en garde à vue qui est un suspect potentiel", a déclaré Ric Bradshaw, shérif du comté de Palm Beach, lors de cette conférence de presse. Les motivations du tireur présumé ne sont pas connues.

Cet incident survient dans une campagne déjà totalement folle qui a vu en quelques semaines le candidat républicain échapper à une tentative d'assassinat, le président démocrate Joe Biden jeter l'éponge et sa vice-présidente Kamala Harris le remplacer au pied levé.

Biden et Harris "soulagés"

Joe Biden et Kamala Harris se sont dit "soulagés" que Donald Trump soit "sain et sauf". Selon un communiqué de la Maison Blanche, le président et sa vice-présidente "seront régulièrement tenus informés par leurs équipes".

Le 13 juillet, l'ex-président (2017-2021) qui aspire à le redevenir avait été blessé à l'oreille par les tirs qui avaient fait un mort et deux blessés dans l'assistance d'un meeting en Pennsylvanie, l'un des six ou sept Etats clés de la présidentielle, dans le nord-est du pays.

Les images de Donald Trump, du sang coulant sur le visage et le poing levé, ont fait le tour du monde et ont bouleversé la campagne pour le scrutin du 5 novembre.

Ce fiasco sécuritaire avait conduit à la démission de la patronne du Secret Service et au placement en congé d'office d'au moins cinq agents de cette unité.

Une semaine plus tard, le 21 juillet, sous la pression de son propre camp démocrate après un débat calamiteux contre Donald Trump, le président Biden, 81 ans, avait renoncé à se représenter et laissé la place à sa vice-présidente Harris.

Depuis, la campagne a pris un tour très acrimonieux entre le milliardaire et tribun républicain et sa rivale de 59 ans, ancienne procureure et sénatrice de Californie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Automobile: la marque DS pourrait faire revivre la Citroën DS

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Un défilé de DS en 2005 à Paris, une voiture restée culte dont on dit que sa fameuse suspension hydraulique qa sauvé la vie du général De Gaulle lors de la tentative d'attentat du Petit Clamart. (© KEYSTONE/EPA/HALEY)

La marque française DS n'exclut pas de faire revivre la Citröen DS en version électrique, a indiqué son patron Olivier François dimanche à l'AFP.

La marque premium du groupe Stellantis présentait dimanche au Concours d'élégance de Compiègne (Oise) un prototype électrique inspiré de la Citroën SM, un coupé de luxe à moteur Maserati lancé en 1970.

"On aurait pu vous proposer quelque chose inspiré par la DS de 1955, c'est ce que tout le monde attend", a souligné Olivier François, directeur de DS, Fiat mais aussi directeur marketing de Stellantis.

"Je pense que c'est exactement la direction dans laquelle il faudra aller. On y travaille. (...) On va le faire, mais pas tout de suite", a précisé M. François. "On vous montre à travers la SM ce qu'on fera à travers la DS".

La marque lancée par Peugeot-Citroën en 2014 a encore du mal dix ans après à se faire une place sur le marché du haut de gamme, face à ses concurrentes allemandes comme BMW ou Mercedes. Elle a immatriculé 20'706 voitures en Europe au premier semestre, soit une baisse de 20,8% sur un an.

DS compte renouveler sa gamme avec trois nouveaux modèles, dont un nouveau "porte-étendard" dès l'automne 2024, soit une grosse berline électrique dotée de 700 kilomètres d'autonomie.

La marque compte s'améliorer sur le critère de la "satisfaction client" (qualité du produit, vente, entretien). Et elle veut convaincre des acheteurs à la recherche de "sérénité", en termes de confort, de silence mais aussi d'autonomie électrique, a souligné M. François.

Rechercher l'ADN

Le prototype présenté dimanche à Chantilly reprend notamment la "cote de prestige" de la Citroën SM, avec un espace très large entre la roue avant et le pare-brise qui lui donne des airs élancés à la Ferrari.

Certains éléments de cette nouvelle SM seront repris sur le modèle porte-drapeau de DS: une plaque de verre couvrant les projecteurs sur toute la face avant, avec un logo lumineux, et une carrosserie très aérodynamique qui améliore l'autonomie.

Olivier François compte proposer ensuite des "voitures beaucoup plus enracinées dans l'ADN intemporel de la marque". "Dans un monde du tout électrifié, où les Chinois arrivent, où Tesla s'est imposé comme une nouvelle marque leader, il faut essayer de proposer quelque chose de frais, de captivant, mais en allant chercher ce que toutes les marques que je viens de citer n'ont pas: l'histoire, l'ADN, le côté romantique, iconique et artistique", a-t-il affirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les Houthis yéménites tirent un missile dans le centre d'Israël

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La guerre a provoqué un désastre humanitaire et le déplacement de la quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Un tir de missile revendiqué par les rebelles Houthis du Yémen a visé dimanche le centre d'Israël en pleine guerre dans la bande de Gaza. Le Hamas a salué l'action, affirmant qu'Israël "ne sera pas en sécurité tant qu'il ne cessera pas son agression" à Gaza.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a prévenu que les Houthis paieront "un lourd tribut" après leur "tentative de nuire" à Israël. Un responsable du Hamas palestinien a lui affirmé que ce tir de missile montre les "limites" des défenses israéliennes, ajoutant que la capacité du mouvement à se battre contre Israël reste "élevée" malgré les pertes subies.

"La capacité de la résistance à continuer est élevée", a insisté Oussama Hamdane dans un entretien, en ajoutant que malgré "les martyrs et les sacrifices", le mouvement bénéficie d'une "accumulation d'expériences et de la mobilisation de nouvelles générations".

Aucun blessé

Les rebelles houthis ont déjà lancé plusieurs attaques contre Israël, en affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, depuis le début de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza déclenchée par l'attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.

Un missile sol-sol "tiré depuis le Yémen" est "tombé dans une zone dégagée", a indiqué l'armée israélienne, ajoutant qu'"aucun blessé n'a été signalé". Plus tard, elle a dit que selon une enquête préliminaire le missile s'était "probablement désintégré".

Position militaire ciblée

Les Houthis ont eux indiqué que l'attaque, menée "avec un nouveau missile balistique hypersonique", ciblait une position militaire à Jaffa, dans l'agglomération de Tel-Aviv, et avait atteint sa cible.

"L'ennemi israélien doit s'attendre à d'autres frappes (...) à l'approche du premier anniversaire de l'opération bénie du 7 octobre", ont-ils ajouté. La police israélienne a fait état de son côté de la chute d'un "fragment d'un missile d'interception", dans la région de Shéphélah (centre).

Des secouristes éteignaient dans la matinée un incendie près de la ville de Lod (centre), provoqué par la chute de débris du missile, d'après un photographe de l'AFP.

Echange d'hostilités

En juillet dernier, les Houthis avaient mené une attaque de drone sur Tel-Aviv qui a tué un civil. En représailles, Israël a bombardé le port yéménite de Hodeida, contrôlé par les Houthis.

Les rebelles houthis ciblent également depuis des mois des navires qu'ils estiment liés à Israël, aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni dans le golfe d'Aden et la mer Rouge, perturbant le trafic dans cette zone maritime essentielle pour le commerce mondial.

Les Houthis font partie de ce que l'Iran, ennemi juré d'Israël, appelle l'"axe de la résistance", qui regroupe d'autres alliés du Hamas comme des groupes irakiens ou le puissant Hezbollah libanais.

Autre front au nord

Affirmant, comme les Houthis, agir en solidarité avec les Palestiniens, le mouvement islamiste libanais a ouvert un front à la frontière avec Israël, échangeant des tirs quasi quotidiennement depuis le 7 octobre.

Des dizaines de milliers de personnes ont été déplacées des deux côtés de la frontière israélo-libanaise. "Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour que nos résidents rentrent chez eux en toute sécurité", a affirmé dimanche Netanyahu.

"Nous menons une campagne à plusieurs niveaux contre l'axe du mal de l'Iran qui s'efforce de nous détruire", a-t-il poursuivi. "Le statu quo ne peut pas durer. Il faut changer l'équilibre des forces à notre frontière nord."

Dimanche, l'armée israélienne a largué des tracts demandant à des habitants d'une région libanaise proche de la frontière avec Israël d'évacuer, selon l'agence officielle libanaise ANI.

L'armée a cependant annoncé qu'il s'agissait d'une "initiative" d'une de ses brigades qui "n'avait pas été approuvée par le commandement".

Nouvelles attaques sur Gaza

Pendant ce temps, l'armée israélienne poursuit son offensive dans la bande de Gaza, où plusieurs attaques aériennes nocturnes et des tirs d'artillerie ont été signalés, selon des journalistes de l'AFP et la Défense civile de Gaza.

Au moins 24 personnes y ont été tuées ces dernières 24 heures, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas. La Défense civile gazaoui a indiqué qu'au moins trois personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées dans une attaque contre une maison dans le camp de réfugiés de Nousseirat (centre).

Plus au nord, dans le camp de réfugiés de Jabalia, une personne a été tuée et trois autres blessées lors d'une attaque contre une maison, selon la même source.

Otages tués dans une attaque israélienne

Sur les 251 personnes enlevées lors de l'attaque du 7 octobre, 97 sont toujours retenues dans la bande de Gaza, dont 33 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Celle-ci a annoncé dimanche que trois otages morts à Gaza en novembre ont été "probablement" tués par une attaque israélienne.

Ces attaques ont fait au moins 41'206 morts au total dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, qui ne précise pas la part de combattants et de civils tués.

La guerre a provoqué un désastre humanitaire et le déplacement de la quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Typhon Yagi: le bilan des inondations monte à 113 morts en Birmanie

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Le typhon meurtrier Yagi a déversé le week-end dernier de fortes pluies sur l'Asie du Sud-Est. Il a provoqué des glissements de terrain et des inondations, comme ici dans une ville du sud de la Birmanie. (Archives) (© KEYSTONE/EPA/NYEIN CHAN NAING)

Le bilan des inondations provoquées par le typhon Yagi en Birmanie est passé à 113 morts, a annoncé dimanche la junte. Plus de 320'000 personnes ont été déplacées.

Ce bilan demeure provisoire car les informations sont parcellaires en raison des routes et des ponts endommagés ainsi que des lignes téléphoniques et Internet coupés.

Les inondations et les glissements de terrain qui ont suivi le passage du Yagi, qui a frappé la région le week-end dernier, ont fait au total plus de 400 morts, essentiellement en Birmanie et au Vietnam, mais aussi au Laos et en Thaïlande, selon les chiffres officiels.

Face à cette catastrophe, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a annoncé dimanche sur X que son pays avait envoyé plusieurs tonnes d'aides, incluant des rations de nourriture sèche, des vêtements et des médicaments, aussi bien en Birmanie qu'au Vietnam et au Laos.

Le chef de la junte birmane, Min Aung Hlaing, avait demandé samedi de l'aide internationale, une démarche rare, le pouvoir ayant entravé par le passé l'aide humanitaire en provenance de l'étranger.

Un homme a raconté à l'AFP comment, à l'aide de cordes, il a tenté le 10 septembre de sauver des personnes prises au piège par la montée des eaux qui ont atteint quatre mètres dans la ville de Kalaw, dans l'Etat de Shan, situé dans le centre de la Birmanie.

"Le courant était très fort et certains bâtiments ont même été détruits", a-t-il expliqué, affirmant avoir vu des meubles emportés par les flots.

"Je pouvais voir au loin des familles prises au piège, debout sur les toits de leurs maisons", se souvient cet homme qui travaille pour une ONG locale. "J'ai entendu dire qu'il y avait 40 corps à l'hôpital".

A une trentaine de kilomètres de là, au lac Inle, très touristique, le niveau des eaux a atteint le deuxième étage des maisons sur pilotis, selon un habitant venu aider sa famille à évacuer.

Villages submergés

Dans des zones proches du lac, "des villages entiers ont été submergés", a-t-il témoigné dimanche auprès de l'AFP, en demandant à rester anonyme.

"Les personnes âgées assurent que c'est le niveau d'eau le plus élevé jamais vu", a-t-il ajouté.

Des véhicules transportant des volontaires ont afflué vers le nord depuis le centre de Rangoun pour atteindre les zones sinistrées de Taungoo dans la région de Bago et autour de la capitale Naypyidaw, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Les camions étaient chargés de palettes d'eau en bouteille, de vêtements et de nourriture séchée et certains transportaient des bateaux sur leur toit.

Les rivières Sittaung et Bago, qui traversent le centre et le sud du pays, étaient toujours toutes deux au-dessus des niveaux dangereux dimanche, selon les médias d'Etat.

Terres agricoles inondées

Cette catastrophe aggrave la misère en Birmanie qui a basculé dans la crise humanitaire, sécuritaire et politique depuis le coup d'Etat de février 2021 contre le gouvernement élu d'Aung San Suu Kyi. Plus de 2,7 millions d'habitants ont été obligés de quitter leur maison en raison du conflit civil en cours.

Les résidents du camp de déplacés de Yado, dans l'est de l'Etat de Karen, ont été contraints de fuir leurs habitations temporaires après que des torrents d'eau ont déferlé sur le camp.

Belto, un résident du camp, a déclaré que les eaux avaient emporté sa maison, ainsi que sa soeur qui se trouvait à l'intérieur pour tenter de récupérer leur argent. "Nous sommes déjà des personnes déplacées des zones de guerre et après les inondations, il ne nous reste plus rien... Mais nous ne sommes pas les seuls à faire face à ce sort, toutes les familles sont confrontées à des difficultés".

Le bureau météorologique thaïlandais a mis en garde dimanche contre de nouvelles précipitations abondantes dans les provinces situées le long du Mékong, selon les médias d'Etat. Les autorités vietnamiennes ont donné dimanche un bilan actualisé de 281 morts et 67 disparus.

Les scientifiques affirment que le changement climatique rend la mousson, qui s'abat sur l'Asie du Sud-Est de juin à septembre, encore plus forte et plus irrégulière.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La famille royale souhaite un joyeux anniversaire au prince Harry

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Le prince Harry fête son anniversaire dimanche en Californie avec ses deux enfants et sa femme Meghan. Le couple (ici en 2017) y est installé depuis 2020. (© KEYSTONE/AP/Matt Dunham)

Après des années de tensions, la famille royale britannique a présenté dimanche ses meilleurs voeux d'anniversaire au prince Harry, qui fête ses 40 ans. Une première depuis 2021.

Le premier message a été publié tôt dimanche sur le compte officiel de la famille royale. "Nous souhaitons au duc de Sussex un très bon anniversaire", dit le message écrit sur la plateforme X.

Il a été suivi d'un autre message, tout aussi laconique, publié sur le compte X du prince William et de son épouse, la princesse Kate. Selon les médias britanniques, le dernier message du genre date de 2021.

L'année où le prince Harry et son épouse Meghan ont affirmé dans une interview fracassante chez la papesse des médias américains, Oprah Winfrey, qu'un membre de la famille royale s'était interrogé, lorsque Meghan était enceinte, sur la couleur de peau qu'aurait leur fils Archie.

Le Suppléant

Le coup de grâce est venu début 2023 avec la publication de "Spare" (le Suppléant), autobiographie du prince sans concession et sans filtre, très critique envers la famille royale.

Signe de ces tensions, la dernière apparition publique entre le prince Harry et son frère William remonte à septembre 2022, pour l'enterrement de la reine Elizabeth II. Il avait revu son père, Charles III, très brièvement en février dernier lors de l'annonce de son cancer.

"Anxieux à 30 ans, enthousiaste à 40"

"J'étais anxieux à 30 ans, je suis enthousiaste à 40 ans", avait déclaré vendredi le prince dans un communiqué à la BBC, sans faire aucune mention de sa famille.

Le prince Harry fête son anniversaire dimanche en Californie avec ses deux enfants et sa femme Meghan. Le couple y est installé depuis 2020.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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