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ONU: Biden met en garde contre une "guerre généralisée" au Liban

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé Israël "d'entraîner toute la région dans la guerre" avec ses frappes meurtrières contre le Hezbollah au Liban. "Le système de l'ONU meurt à Gaza, pas seulement les enfants", a-il aussi lancé devant les dirigeants du monde entier. (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

Une "guerre généralisée" au Liban n'est dans l'intérêt de personne, a plaidé mardi le président américain Joe Biden à la tribune de l'ONU. Israël a annoncé dans la foulée la poursuite de ses attaques sur ce pays, désormais "au bord du gouffre" selon le chef de l'ONU.

"Une guerre généralisée n'est dans l'intérêt de personne. Même s'il y a une escalade de la situation, une solution diplomatique est toujours possible", a insisté le président américain, qui a délivré à New York son dernier discours lors de cette grand-messe annuelle de l'ONU.

L'inquiétude face à cette escalade entre l'armée israélienne et le Hezbollah, allié du Hamas palestinien, a dominé l'ouverture à New-York de l'Assemblée générale des Nations unies.

Il faut "finaliser maintenant" un accord de cessez-le-feu à Gaza, a d'ailleurs insisté Joe Biden. Les Etats-Unis mènent avec le Qatar et l'Egypte des négociations avec Israël et le Hamas pour un accord visant à faire taire les armes et une libération des otages.

Le Hamas palestinien a lui exigé une "action immédiate" de l'ONU pour mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza. Il a affirmé son refus de nouvelles négociations en vue d'un cessez-le-feu qui donneraient à Israël "une couverture pour poursuivre son agression".

Liban "au bord du gouffre"

"Gaza est un cauchemar permanent qui menace d'emporter toute la région dans le chaos", a lui aussi affirmé le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, sous les yeux du président palestinien Mahmoud Abbas. Ce dernier siégeait pour la première fois, par ordre alphabétique au milieu des autres dirigeants, grâce à de nouveaux droits accordés à l'"Etat observateur" de Palestine.

"Le peuple libanais, le peuple israélien et les peuples du monde ne peuvent se permettre que le Liban devienne un autre Gaza", a ajouté M. Guterres. "Nous devrions tous être alarmés par cette escalade. Le Liban est au bord du gouffre".

"Le système de l'ONU meurt à Gaza"

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a de son côté accusé Israël "d'entraîner toute la région dans la guerre". "Le système de l'ONU meurt à Gaza, pas seulement les enfants", a-t-il aussi lancé devant les dirigeants du monde entier, qualifiant l'ONU de "structure dysfonctionnelle".

"Les valeurs que l'Occident prétend défendre sont en train de mourir... Je pose la question ouvertement: Hé, organisations de défense des droits humains, ceux qui vivent à Gaza et en Cisjordanie ne sont-ils pas des êtres humains?", a-t-il poursuivi, accusant Israël de perpétrer un génocide.

Nouvelles attaques "massives" sur le Liban

Près d'un an après le début de la guerre dans le petit territoire palestinien, déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, le conflit menace de s'étendre au Proche-Orient.

Israël a annoncé mardi une nouvelle vague de frappes "massives" sur des cibles du Hezbollah au Liban, au lendemain de multiples bombardements. Ceux-ci ont fait 558 morts, dont 50 enfants et 94 femmes, et 1835 blessés, selon les autorités libanaises, soit le plus lourd bilan humain en une journée depuis la fin de la guerre civile (1975-1990).

Des dizaines de milliers de personnes, selon l'ONU, ont fui les zones pilonnées, vers Saïda, la plus grande ville du sud, Beyrouth ou la Syrie.

Le responsable d'un centre de santé à Saksakiyeh, près de Saïda, a décrit des scènes d'horreur. Il y avait "de nombreux morts: des enfants, des femmes, des personnes dont les membres, le nez ou la main avaient été arrachés, la tête cassée", d'autres "éventrés", a déclaré le docteur Moussa Youssef, soulignant que "90% des blessés" arrivés au centre "étaient des enfants".

Commandant "éliminé"

Une source proche du Hezbollah a annoncé le décès d'un de ses commandants, Ibrahim Kobeissi, dans l'attaque israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion de la puissante formation pro-iranienne. Israël a affirmé un peu plus tôt l'avoir "éliminé".

L'attaque a tué six personnes selon le ministère de la Santé, détruisant deux étages d'un immeuble dans une zone densément peuplée, selon un photographe de l'AFP.

Israël n'a "aucun désir" d'envahir au sol le Liban et préfèrerait une solution diplomatique pour mettre fin à son conflit avec le Hezbollah, a assuré l'ambassadeur israélien à l'ONU, Danny Danon, en rappelant que le but de l'opération au Liban était de faire rentrer chez eux des dizaines de milliers d'habitants du nord d'Israël.

Le Hezbollah a de son côté affirmé avoir tiré 90 roquettes visant le siège du commandement nord de l'armée israélienne près de Safed. Il a aussi dit avoir eu recours, pour la première fois depuis le début de la guerre à Gaza, à des roquettes Fadi 2 pour viser des sites militaires proches d'Haïfa, le grand port du nord et de la ville de Kiryat Shmona.

"Inaction incompréhensible"

Le nouveau président iranien Massoud Pezeshkian, dont le pays soutient le Hezbollah et le Hamas, a qualifié d'"insensée et incompréhensible" l'"inaction" des Nations unies envers Israël en référence à Gaza et aux attaques sur le Liban.

"Nous sommes au bord d'une guerre totale" au Liban, a lui aussi averti lundi soir le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, tandis que la France a demandé une réunion d'urgence du Conseil de sécurité durant cette semaine diplomatique déjà surchargée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Taïwan détecte 47 avions et 12 navires chinois près de l'île

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Les forces armées taïwanaises ont été placées en état d'alerte "élevée" lundi après l'imposition, par la Chine, de vastes restrictions aériennes au large de sa côte est (archives). (© KEYSTONE/AP Taiwan Coast Guard)

Le ministère taïwanais de la défense a indiqué mardi avoir détecté 47 avions militaires et 12 navires de guerre chinois près de l'île en 24 heures. Ces incursions surviennent quelques jours après le déplacement à l'étranger du président taïwanais qui a irrité Pékin.

Les avions et navires militaires chinois ont été détectés au cours des 24 heures courant jusqu'à 06h00 mardi, selon le ministère taïwanais.

Ces incursions chinoises surviennent alors que Taïwan se prépare à de potentiels exercices militaires chinois après la tournée du président taïwanais Lai Ching-te dans le Pacifique, qui a suscité de vives protestations de la part de Pékin.

Son déplacement, qui l'a conduit dans deux territoires américains, Hawaï et Guam, où se trouvent plusieurs bases militaires stratégiques, a alimenté les spéculations quant à une éventuelle réponse de Pékin.

Etat d'alerte

Les forces armées taïwanaises ont ainsi été placées en état d'alerte "élevée" lundi après l'imposition, par la Chine, de vastes restrictions aériennes au large de sa côte est. Taïpei avait également annoncé lundi avoir détecté des navires militaires et des gardes-côtes chinois naviguant près du détroit de Taïwan et dans l'océan Pacifique.

En réponse, les autorités taïwanaises ont annoncé engager des "manoeuvres de préparation au combat".

Dans la foulée, Pékin a dit vouloir "défendre fermement sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale" face aux manoeuvres militaires de Taïpei, décrivant Taïwan comme une partie "inaliénable" de la Chine.

La Chine estime que Taïwan est l'une de ses provinces, qu'elle n'a pas encore réussi à faire revenir dans son giron depuis la fin de la guerre civile chinoise en 1949. Elle n'exclut pas le recours à la force pour y parvenir.

Elle a intensifié la pression sur Taïpei ces dernières années et a organisé des exercices militaires autour de l'île en mai, après l'investiture de Lai Ching-te, que Pékin considère comme un "dangereux séparatiste".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le président ukrainien "reconnaissant" envers Trump

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Volodymyr Zelensky (à gauche sur le cliché) et Donald Trump (à droite) ont eu des entretiens samedi à l'Elysée avec le président français Emmanuel Macron. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé mardi sa "profonde reconnaissance" envers le président américain élu Donald Trump pour "sa forte détermination" à mettre fin à la guerre avec la Russie. Les deux hommes se sont rencontrés samedi à Paris.

Le président français Emmanuel Macron a été l'hôte d'un entretien avec M. Zelensky et M. Trump au palais de l'Elysée, au moment où les craintes grandissent en Ukraine quant au niveau de soutien militaire que le pays recevra de la part de la nouvelle administration américaine.

"Le plus important est de travailler ensemble pour mettre fin à cette guerre. C'est notre priorité absolue. Lors de la réunion à Paris, c'est exactement sur cela que nous nous sommes concentrés", a écrit M. Zelensky sur le réseau social X.

"Je réitère ma gratitude au président Macron pour l'organisation de cette rencontre, ainsi que ma profonde reconnaissance au président Trump pour sa ferme détermination à mettre fin à cette guerre de manière équitable", a ajouté le dirigeant ukrainien.

Pas de conscription aux 18 ans

M. Trump a longtemps affirmé qu'une fois au pouvoir, il mettrait fin en "24 heures" au conflit qui dure depuis près de trois ans, suscitant des inquiétudes en Ukraine. Kiev craint d'être poussé à faire d'importantes concessions territoriales à la Russie en échange de la paix.

Dimanche, le président élu a appelé à un "cessez-le-feu immédiat", écrivant sur sa plateforme Truth Social que M. Zelensky était prêt à "conclure un accord et mettre fin à cette folie".

M. Zelensky a également rejeté les appels à abaisser l'âge de la conscription. Selon des informations de presse, des responsables américains souhaitent que l'Ukraine élargisse le contingent d'appelés aux jeunes de 18 ans.

"Nous devons nous concentrer sur l'équipement des brigades existantes et la formation du personnel pour utiliser cet équipement. Nous ne devons pas compenser le manque d'équipement et de formation par la jeunesse des soldats", a-t-il déclaré dans le même message mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Israël a mené environ 250 frappes en Syrie depuis la chute d'Assad

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Israël a mené environ 250 frappes contre le territoire syrien depuis la prise de Damas par les rebelles et la chute du président Bachar al-Assad (archives). (© KEYSTONE/AP/ARIEL SCHALIT)

L'armée israélienne "a détruit les principaux sites militaires en Syrie" depuis la chute du président Bachar al-Assad, a indiqué mardi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Elle a mené environ 250 frappes sur le territoire syrien.

Selon cette organisation, basée à Londres et qui s'appuie sur un vaste réseau de sources à travers la Syrie, Israël a entre autres bombardé des aéroports, des radars, des dépôts d'armes et de munitions, des centres de recherche militaires.

L'État hébreu a également endommagé des navires de la marine syrienne en attaquant une unité de défense aérienne près du grand port de Lattaquié, dans le nord-ouest du pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Plus de 75 prix Nobel opposés à Kennedy comme ministre de la santé

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Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Morry Gash)

Plus de 75 lauréats de prix Nobel ont adressé lundi une lettre ouverte exprimant leur opposition à la nomination par le président américain élu Donald Trump de Robert Kennedy Jr comme ministre de la santé. Ils pointent notamment ses positions anti-vaccins.

"Au vu de son bilan, placer M. Kennedy en charge du ministère de la santé représenterait un risque pour la santé publique", écrivent ces 77 prix Nobel de médecine, physique, chimie ou économie dans cette lettre adressée aux sénateurs américains.

Parmi les signataires figure Drew Weissman, prix Nobel de médecine en 2023 pour ses travaux sur le développement de vaccins à ARN messager, décisifs dans la lutte contre le Covid-19.

Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump. Le républicain l'a récompensé de son soutien après sa victoire en lui conférant un portefeuille de ministre, mais cette nomination doit faire l'objet d'un vote de confirmation au Sénat, comme le veut la constitution.

Contre de nombreux vaccins

Cet ancien avocat en droit de l'environnement, sans formation scientifique, a propagé des théories du complot sur les vaccins contre le Covid-19 comme sur de prétendus liens entre vaccination et autisme. Il réclame aussi l'arrêt de l'ajout de fluor dans l'eau courante, pourtant considérée comme une grande réussite sanitaire dans la lutte contre les caries dentaires.

"Outre son manque de qualifications ou d'expérience pertinente dans les domaines de la médecine, des sciences, de la santé publique ou du gouvernement, M. Kennedy a été un opposant à de nombreux vaccins qui ont permis de protéger la santé et de sauver des vies, tels ceux contre la rougeole et la poliomyélite", fustigent notamment les signataires de la lettre ouverte.

Plusieurs choix de Donald Trump pour son gouvernement ont provoqué la controverse. Il a notamment nommé Pete Hegseth, un ancien militaire et présentateur de Fox News, pour prendre la tête du Pentagone malgré des accusations d'agression sexuelle et de consommation excessive d'alcool.

Le futur président républicain a déjà essuyé le retrait forcé de Matt Gaetz, son premier choix pour le poste de ministre de la justice, après des accusations de relations sexuelles avec une mineure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Une pièce romaine à l'effigie de Brutus vendue 1,84 million

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Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine. (© NGSA)

Une rarissime pièce romaine à l'effigie de Brutus, le plus célèbre des assassins de Jules César, a été vendue aux enchères lundi à Genève pour 1,84 million de francs, a annoncé Numismatica Genevensis, responsable de la vente.

La pièce en or a été vendue pour plus de 1,84 million de francs, commission de vente comprise, "à un collectionneur européen", a indiqué la société dans un communiqué.

Sa mise à prix était de plus de 742'000 euros.

La vente a donné lieu à "une intense bataille entre huit enchérisseurs en ligne", a détaillé la maison d'enchères.

Cet aureus, la monnaie d'or romaine, est "un morceau d'histoire" lié aux derniers chapitres de la République romaine, avait expliqué à l'AFP Frank Baldacci, le directeur de Numismatica Genevensis, il y a quelques jours.

La pièce - pesant 8 grammes et d'une dimension similaire à celle d'un euro - a été frappée en 43-42 avant JC par "Brutus et ses amis qui ont assassiné Jules César" en mars 44 avant JC, détaille-t-il.

Dix-sept spécimens

Cet aureus particulier arbore côté face le profil de la tête de Brutus entouré de feuilles de laurier et célèbre au revers ses récentes victoires militaires avec des symboles guerriers. C'est l'un des 17 spécimens connus, selon la maison d'enchères.

Cette pièce, "frappée non pas à Rome mais dans un atelier qui bougeait avec Brutus et ses armées, alors qu'il tentait de s'octroyer le pouvoir après avoir assassiné Jules César", avait aussi une "valeur de propagande", selon M. Baldacci.

La couronne de lauriers est vraiment le signe de "quelqu'un qui veut se promouvoir empereur" qui veut être "calife à la place du calife", avait-il relevé, soulignant l'inscription "IMP" - pour Imperator, chef des armées, titre qui deviendra héréditaire sous l'Empire.

La pièce a été frappée peu de temps avant la bataille très célèbre de Philippes, que Brutus a perdu contre Marc-Antoine et Octave et à l'issue de laquelle il s'est "donné la mort", avait expliqué M. Baldacci.

L'aureus a voyagé à travers les siècles, passant de main en main, à l'abri des regards.

La pièce n'a refait surface que dans les années 1950 lorsqu'elle a été publiée dans le catalogue d'un collectionneur privé. Elle est réapparue par la suite lors d'une vente aux enchères en 2006 à Zurich, où elle a été vendue à un autre collectionneur privé pour 360'000 francs.

La pièce est conservée dans une boîte hermétique pour empêcher toute altération, et pour "garantir son authenticité", avait indiqué M. Baldacci, expliquant que la certification par des sociétés spécialisées se fait notamment en comparant avec d'autres monnaies anciennes, ainsi qu'en examinant l'or utilisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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