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Conservateurs en tête en Crotatie, de longues négociations en vue

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A 16h00, la participation aux élections étaient de près de 50% supérieure à celle des dernières élections législatives. (© KEYSTONE/AP/Darko Bandic)

Les conservateurs au pouvoir en Croatie sont arrivés en tête des élections législatives, mais avec un peu moins de sièges qu'en 2020, selon des résultats partiels. Cette situation laisse présager des négociations difficiles pour former une majorité.

Selon des résultats partiels après le dépouillement de plus de 80% des bulletins de vote, le HDZ du premier ministre sortant Andrej Plenkovic remporterait 61 sièges, contre 66 en 2020. Arrivant en deuxième position, les sociaux-démocrates (SDP) du président Zoran Milanovic obtiendraient 42 sièges.

Les deux partis sont loin des 76 sièges nécessaires pour gouverner seul. "Ce ne sont pas les résultats qu'on espérait", a reconnu peu avant minuit le chef des sociaux-démocrates, Pedja Grbin. "Mais nous avons maintenant devant nous des jours, des semaines, peut-être des mois de négociations. Des négociations qui apporteront le changement qui fera de la Croatie un pays débarrassé de la corruption", a-t-il dit.

Toutes les options ouvertes

"Et cela commence dès demain, avec tous ceux qui ont dit qu'ils n'iraient pas [en coalition, ndlr] avec le HDZ. Il est temps de voir si c'était des mensonges ou s'ils veulent réellement le changement".

Derrière les deux grands partis croates, la droite nationaliste du mouvement patriotique Homeland arrive en 3e position avec 13 sièges. Viennent ensuite les ultra-conservateurs de Most, qui pourraient en gagner 11. Le parti de gauche écologiste Mozemo devrait en avoir 10. Toutes les options semblent donc ouvertes pour des coalitions.

"Il semble clair que nous sommes la troisième force politique de Croatie et nous parlerons à tous ceux qui nous appelleront", a déclaré dans la soirée le chef de Homeland, Ivan Penava, ajoutant: "Tous les camps nous appellent".

"Cela pourrait se jouer à un siège", a prévenu dans la soirée l'analyste politique Tihomir Cipek, invité de Nova TV. "Ce sera un processus de négociation très difficile. Il sera très difficile de trouver un langage commun".

Discussions

Après une campagne tendue en forme de match de boxe entre le premier ministre et le président, ennemis de longue date de la vie politique croate, l'heure de négociations est arrivée.

"Je discuterai avec tous ceux qui veulent une Croatie où les gens ne volent pas, où il n'y a pas de pillage, où les gens ne sont pas dupés, où les gens qui ne respectent pas le code de la route - sans parler du code pénal - ne sont pas nommés à la tête du parquet national", a déclaré Zoran Milanovic, candidat surprise au poste de premier ministre.

Les juges ont beau avoir estimé sa candidature inconstitutionnelle tant qu'il ne démissionnait pas de la présidence, Zoran Milanovic, un social-démocrate aux accents de plus en plus populistes a mené campagne comme une tête de liste, en tapant fort sur son rival, le premier ministre sortant Andrej Plenkovic, au prix de nombreuses saillies et insultes.

"Quand vous avez affaire à des voleurs et des sauvages qui profitent de leur pouvoir, vous devez réagir ainsi. Vous devez montrer vos muscles", a-t-il expliqué.

Stabilité et sérieux

La corruption a longtemps été le talon d'Achille du parti conservateur (HDZ), qui a le plus souvent dirigé la Croatie depuis son indépendance en 1991. Plusieurs ministres ont dû démissionner ces dernières années, entachant la vie politique de nombreux scandales.

Cela n'a pas empêché les Croates de voter en nombre - plus de 60% des électeurs se sont déplacés, contre 46,9% lors des élections de 2020.

Ennemi juré du président depuis des années, le premier ministre en poste depuis 2016 a fait campagne en promettant aux 3,8 millions d'habitants stabilité et sérieux. "Beaucoup de choses ont été réalisées au cours de ces dernières années, mais il y a toujours de nouveaux devoirs, de nouveaux défis, de nouveaux problèmes", a-t-il dit après avoir voté dans la capitale, Zagreb.

"Dans un contexte géopolitique qui a sensiblement changé, face aux menaces sécuritaires, il est important que la Croatie soit dirigée de façon sérieuse, responsable, fiable et que tous nos citoyens soient en sécurité", a ajouté Andrej Plenkovic.

Membre de l'OTAN depuis 2009 et de l'Union européenne depuis 2013, la Croatie reste l'un des pays les plus pauvres de l'UE, avec un salaire mensuel moyen de 1240 euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Devoir de vigilance des entreprises: détricotage de la loi en vue

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Les eurodéputés ont soutenu par 382 voix contre 249 la baisse des ambitions de la loi sur le devoir de vigilance des grandes entreprises (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER HOSLET)

Le Parlement européen a soutenu jeudi le détricotage d'une loi de 2024 sur le devoir de vigilance sociale et environnementale des grandes entreprises. Droite et extrême droite ont mêlé leurs voix lors du vote.

Les eurodéputés ont soutenu par 382 voix contre 249 la baisse des ambitions de cette loi, en limitant le nombre d'entreprises concernées et en supprimant certaines de leurs obligations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Corruption: Zelensky impose des sanctions contre un proche

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Selon un haut responsable ukrainien travaillant étroitement avec le chef de l'Etat, ce dernier a été pris au dépourvu par les révélations de l'enquête. "Bien sûr, il ne considère pas cela comme normal et a pété un câble lorsqu'il a découvert ce qui se passait", a assuré ce responsable. (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Le président ukrainien a imposé jeudi des sanctions contre un homme d'affaires considéré comme son ami proche et accusé d'avoir orchestré une vaste affaire de corruption. Il tente ainsi de régler l'une des pires crises politiques qu'il traverse depuis l'invasion russe

Ces sanctions visant Timour Minditch, 46 ans, ainsi qu'un autre homme d'affaires impliqué dans ce scandale, prévoient notamment le gel de leurs biens, selon un décret présidentiel.

M. Minditch est accusé d'avoir orchestré un vaste système de corruption dans le secteur énergétique, avec 100 millions de dollars de pots-de-vin et impliquant plusieurs hauts responsables dont des ministres.

Cet homme, qui a quitté l'Ukraine peu avant le scandale, est copropriétaire de la société de production audiovisuelle fondée par M. Zelensky, qui était un humoriste vedette avant de se lancer en politique.

Ce scandale éclate alors que le réseau énergétique ukrainien a été gravement endommagé par une série de frappes massives russes, qui ont provoqué des coupures de courant à l'approche de l'hiver.

Inquiétude sur les répercussions

Il s'agit de l'une des pires crises politiques pour le président Zelensky depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022.

Des voix s'inquiètent en Ukraine de la réaction d'alliés européens à ce scandale, alors que l'effort de guerre de Kiev dépend fortement de l'aide occidentale.

Le chancelier allemand Friedrich Merz, dont le pays est le principal bailleur européen de Kiev, a réclamé jeudi, lors d'un entretien téléphonique avec le président Zelensky, que ce dernier lutte "avec énergie" contre la corruption.

M. Zelensky n'a pas, lui, mentionné le dossier de corruption en commentant son entretien avec M. Merz sur X. "J'ai assuré à Friedrich que l'Ukraine fera tout le nécessaire pour renforcer la confiance des partenaires", s'est-il borné à indiquer.

"Pété un câble"

Interrogé par l'AFP, un haut responsable ukrainien travaillant étroitement avec le chef de l'Etat a assuré que le chef de l'Etat avait été pris au dépourvu par les révélations de l'enquête.

"Bien sûr, il ne considère pas cela comme normal et a pété un câble lorsqu'il a découvert ce qui se passait", a assuré ce responsable. "Il soutient pleinement l'enquête. Tout le monde au gouvernement va aider l'enquête".

Cette source a assuré que "le président avait pris les mesures les plus dures possible dans le cadre de ses pouvoirs" en imposant des sanctions et réclamant le départ de deux ministres.

"Le président n'a pas parlé avec Minditch" depuis l'éclatement de cette affaire, a encore affirmé le responsable. "Qu'y a-t-il à discuter ? Qu'il aille voir ailleurs. Il a créé un tel problème", s'est-il insurgé.

Soupçonné d'avoir influencé des décisions

Timour Minditch est également soupçonné d'avoir influencé des décisions de hauts responsables du gouvernement, parmi lesquels l'ex-ministre de la Défense, Roustem Oumerov, aujourd'hui secrétaire du Conseil de sécurité national, et un vice-Premier ministre, Oleksiï Tchernychov.

Les ministres de l'Energie et de la Justice, Svitlana Gryntchouk et Guerman Galouchtchenko, ont annoncé mercredi leur démission, à la demande de M. Zelensky, après la révélation du scandale.

M. Galouchtchenko, ex-ministre de l'Energie, est accusé d'avoir perçu des "avantages personnels" dans cette affaire en échange du contrôle sur les flux financiers du secteur énergétique donné à M. Minditch.

Mme Gryntchouk n'est, elle, pas directement visée par des accusations de corruption à ce stade mais elle est considérée comme une personne de confiance de M. Galouchtchenko, selon des médias ukrainiens.

Passeport israélien

Timour Minditch et un autre homme d'affaires ukrainien cité par dans l'enquête et visé par les sanctions, Oleksandre Tsoukerman, possèdent des passeports israéliens, selon la présidence ukrainienne.

Un vote parlementaire entérinant le renvoi des deux ministres est attendu mardi, selon des députés, dont beaucoup se disaient scandalisés par cette affaire.

"C'est un bordel! J'en peux plus", a lancé auprès de l'AFP une source parlementaire proche du parti présidentiel.

Le président Zelensky a par ailleurs annoncé avoir effectué dans la matinée une visite auprès des soldats combattant dans la région

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les policiers japonais désormais autorisés à tirer sur des ours

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Des mises en garde ont été émises contre la présence d'ours dans certaines zones du Japon (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/FRANCK ROBICHON)

Les policiers japonais sont autorisés depuis jeudi à abattre des ours. Le pays a assoupli ses règles draconiennes sur les armes à feu, afin d'endiguer une série d'attaques mortelles.

Treize morts - plus du double de l'an dernier et un record depuis l'établissement de statistiques - et plus de 100 blessés ont été recensés dans des attaques d'ours depuis début avril au Japon. Des incidents sont rapportés presque quotidiennement par la presse, qui évoque des plantigrades errant dans des zones résidentielles, entrant dans des maisons, dévastant des supermarchés ou s'approchant d'écoles.

Les départements d'Akita et Iwate (nord-est), où la plupart des attaques ont eu lieu, ont organisé jeudi des cérémonies pour accueillir les policiers antiémeutes qui seront déployés dans la région armés de fusils.

Des responsables locaux ont confirmé à l'AFP que la modification des règles sur les armes à feu prenait effet ce jeudi. Les pistolets habituellement portés par les policiers n'étaient pas réputés assez puissants pour tuer un ours.

L'armée a également été déployée depuis la semaine dernière dans les deux départements du nord-est, mais les soldats ne sont pas armés. Équipés de sprays anti-ours, bâtons, boucliers, lunettes de protection, gilets pare-balles et lance-filets, ils aideront à transporter des pièges à ours, des chasseurs et des animaux capturés.

L'ambassade des Etats-Unis à Tokyo a posté mercredi sur son site "une alerte concernant la faune sauvage", pour enjoindre à ses ressortissants d'éviter de randonner seuls dans les zones où des ours ont été aperçus, ou bien de ne pas s'y rendre. Le gouvernement britannique a également appelé les voyageurs à éviter de marcher seuls dans les régions fréquentées par les ours.

Une pénurie de nourriture a poussé cette année certains ours, dont la population est en pleine expansion dans l'archipel, à s'aventurer dans les villes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Burberry divise ses pertes par trois au premier semestre

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Burberry voit les premiers signes d'un rebond après ses difficultés. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Burberry, symbole du luxe britannique, a annoncé jeudi une perte nette divisée par trois pour son premier semestre décalé, à 26 millions de livres (29 millions d'euros), et voit les premiers signes d'un rebond après le recentrage stratégique amorcé il y a un an.

"Bien qu'il soit encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives et qu'il reste du travail à accomplir, nous disposons désormais d'éléments probants démontrant" que cette nouvelle stratégie "est la bonne voie", a fait valoir le directeur général Joshua Schulman dans un communiqué.

Confronté comme l'ensemble du secteur du luxe à un ralentissement de la demande et à l'offensive protectionniste des Etats-Unis, Burberry pâtit en outre de choix stratégiques malheureux, notamment d'un pari (raté) de monter encore davantage en gamme, ce qui avait fait tomber dans le rouge son dernier résultat annuel.

Le groupe a amorcé ces derniers mois un recentrage d'urgence sur ses grands classiques, comme son trench coat et ses écharpes, pour enrayer le plongeon de ses résultats, avec des prix plus en rapport avec sa marque: le luxe, mais pas l'ultra luxe.

Si le groupe voit encore son chiffre d'affaires reculer sur un an au cours des six mois achevés fin septembre (-5% à 1,03 milliard de livres), il signale une progression de ses "ventes à périmètre comparable" (c'est à dire notamment hors effet des ouvertures et fermetures de magasins) au deuxième trimestre de son exercice, pour la première fois en deux ans.

Burberry met aussi en oeuvre un plan drastique de réduction de coûts qui "est en bonne voie pour générer 80 millions de livres sterling d'économies annualisées d'ici la fin de l'exercice", indique l'entreprise, tout en avertissant qu'elle évolue dans un marché qui "demeure incertain".

Pour autant, plusieurs groupes de luxe tels que Kering, L'Oréal ou encore Prada, ont eux aussi publié récemment des résultats encourageants.

Et en dépit de ses difficultés, l'entreprise fondée en 1856 à Basingstoke (sud de l'Angleterre) par un apprenti drapier, peut toujours compter sur sa renommée.

La Reine d'Angleterre elle-même avait décerné un "mandat royal" à l'entreprise dès 1955, faisant de Burberry un fournisseur régulier de la famille royale.

Le groupe a par ailleurs fait en septembre un retour parmi les valeurs de l'indice vedette FTSE 100 de la Bourse de Londres, un an après en avoir été délogé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Royaume-Uni: la croissance s'essouffle au 3e trimestre, à 0,1%

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer doit présenter le nouveau budget dans deux semaines. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La croissance de l'économie britannique a encore ralenti au troisième trimestre, le PIB ne progressant que de 0,1%, ce qui constitue un nouvel accroc pour le gouvernement travailliste à deux semaines de son budget.

Ce chiffre, publié par jeudi par l'Office national des statistiques (ONS), fait suite à une croissance inattendue de 0,7% au premier trimestre, puis à un fort ralentissement, à 0,3%, sur les trois mois suivants.

Cette croissance, inférieure aux attentes des analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur 0,2%, accroît un peu plus la pression sur la ministre des Finances Rachel Reeves, qui a promis d'équilibrer les comptes publics sans étouffer une économie à la peine et présente son projet de budget le 26 novembre.

"Cela brosse le tableau d'une économie qui a démarré l'année 2025 en force, mais qui perd aujourd'hui beaucoup de son élan", souligne Lindsay James, analyste chez Quilter, pour qui le budget sera "crucial pour la suite".

"L'incertitude quant à d'éventuelles hausses d'impôts et les rumeurs persistantes selon lesquelles les employeurs seraient à nouveau visés (...) risquent d'étouffer la fragile confiance des entreprises et de faire grimper le chômage", estime-t-elle.

La presse britannique spécule aussi depuis des semaines sur une possible hausse de l'impôt sur le revenu, qui viendrait compromettre une promesse formulée par les travaillistes avant leur retour au pouvoir en juillet 2024.

Mme Reeves a longtemps balayé l'hypothèse, avant d'évoluer peu à peu dans sa rhétorique, jusqu'à laisser entendre que cette hausse était possible, sans quoi il serait nécessaire de faire des "coupes profondes" dans les investissements publics, compromettant les espoirs de croissance à long terme.

Le gouvernement doit, outre une croissance faible, composer avec une inflation élevée, à 3,8% sur un an en septembre, et un chômage au plus haut depuis la pandémie, avec un taux de 5% au troisième trimestre.

La présentation du nouveau budget constitue une échéance décisive pour l'équipe du Premier ministre Keir Starmer, au plus bas dans les sondages et contesté jusque dans son camp, au moment où le parti d'extrême droite Reform UK caracole en tête des intentions de vote.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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