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International

Des Américains commencent à voter à la présidentielle

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La candidate démocrate à l'élection présidentielle Kamala Harris a rejoint Oprah Winfrey lors de l'événement Unite for America Live Streaming jeudi à Farmington Hills, Michigan (© KEYSTONE/AP/Paul Sancya)

A 45 jours de la présidentielle américaine, Kamala Harris se rend vendredi dans l'Etat de Géorgie pour y parler du droit à l'avortement, tandis que dans plusieurs autres Etats des électeurs commencent à voter de façon anticipée.

Son adversaire Donald Trump se rend lui à Miami pour une réunion de levée de fonds fermée à la presse. L'argent reste le nerf d'une campagne qui devrait voir les candidats dépenser un montant total d'un milliard de dollars.

Depuis que la Cour suprême des Etats-Unis, remaniée par le républicain, a mis fin à la protection fédérale de l'IVG en juin 2022, les démocrates considèrent ce sujet comme extrêmement porteur pour eux sur le plan électoral. Il est donc exploité souvent par Kamala Harris, nettement moins à l'aise sur d'autres questions comme la hausse des prix.

Jeudi soir, la vice-présidente a longuement insisté sur ce thème en étant reçue par la papesse de la télévision américaine, Oprah Winfrey, sur un plateau de talk-show entièrement acquis à la candidate.

Plusieurs vedettes lui ont à cette occasion apporté leur soutien, dont la chanteuse Jennifer Lopez, les actrices Meryl Streep et Julia Roberts ou encore les comédiens Bryan Cranston et Ben Stiller.

L'issue de la présidentielle reste plus indécise que jamais, Donald Trump et Kamala Harris étant au coude-à-coude dans plusieurs des sept Etats-clés où tout va probablement se jouer.

A voté !

Parmi ces sept terrains de bataille très disputés figure la Géorgie, remportée par Joe Biden en 2020 avec moins de 12'000 voix d'avance sur le milliardaire républicain. Celui-ci est aujourd'hui poursuivi par la justice de cet Etat pour les pressions qu'il est accusé d'avoir exercé pour inverser le résultat.

Dans la capitale et plus grande ville de l'Etat, Atlanta, Kamala Harris évoquera le cas d'Amber Thurman, une femme dont la mort a directement résulté des conséquences d'une loi anti-IVG draconienne adoptée en Géorgie, selon une enquête publiée cette semaine par le site d'information ProPublica.

Nouveau signe que la date du scrutin se rapproche, des bureaux de vote ont ouvert vendredi dans trois Etats qui offrent la possibilité de voter physiquement par anticipation.

Cet aménagement a pour objectif d'améliorer la participation électorale, en permettant de voter aux personnes empêchées de le faire par des circonstances personnelles et de réduire l'affluence le jour de l'élection.

Les trois Etats concernés sont la Virginie, le Minnesota et le Dakota du Sud. D'autres suivront ces prochains jours et semaines.

L'élection présidentielle américaine, qui est un scrutin indirect, se déroule avec de multiples modalités proposées aux électeurs, notamment le vote par correspondance, accusé par Donald Trump d'avoir favorisé en 2020 une fraude présumée, dont il n'a jamais pu apporter la preuve.

"C'est bien d'avoir le vote anticipé, afin de proposer aux gens plein d'occasions de voter. J'en suis une grande partisane, afin d'avoir le plus de monde possible qui vote", explique à l'AFP Madison Granger, candidate à un scrutin local à Arlington, une ville de Virginie limitrophe de Washington.

Egalement présente vendredi dans un bureau de vote d'Arlington, Michelle Kilkenny, 55 ans, confie être "excitée" par cette entrée en matière électorale.

"Je vote pour encourager les gens à voter. Voter tôt, particulièrement le premier jour, aide à la campagne et dope le niveau d'enthousiasme", assure-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Ryan Gosling en tête d'affiche d'un nouvel opus Star Wars en 2027

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Ryan Gosling jouera un "tout nouveau personnage" dans l'univers Star Wars. (© KEYSTONE/EPA/FRANCK ROBICHON)

Après le succès du blockbuster "Barbie" dans lequel il incarnait Ken, l'acteur canadien Ryan Gosling sera la tête d'affiche d'un nouvel opus de la saga culte "Star Wars". La sortie en salle du film est prévue en mai 2027.

"Star Wars: Starfighter" se passera "approximativement cinq ans après les événements de Star Wars, épisode IX: L'Ascension de Skywalker", sorti en 2019, a annoncé la société de production Lucasfilms, filiale de Disney, vendredi lors d'un événement Star Wars Celebration au Japon.

Réalisé par Shawn Levy ("Deadpool & Wolverine," "Stranger Things"), le film sera "une aventure entièrement nouvelle avec de tous nouveaux personnages inscrits dans une période qui n'a pas encore été explorée à l'écran". Il entrera en production à l'automne 2025.

Un "tout nouveau personnage"

Ryan Gosling, qui jouera un "tout nouveau personnage" dans l'univers Star Wars, et Shawn Levy ont fait une apparition surprise lors de cet événement au Japon, devant des fans ravis.

Le film sortira un an après "Le Mandalorien & Grogu", une série télévisée de ce même univers sur Disney+, avec l'acteur chilo-américain Pedro Pascal, attendue en 2026.

D'autres films de l'univers Star Wars sont en cours d'élaboration par d'autres réalisateurs, tels que Taika Waititi, connu pour "Jojo Rabbit" et deux films autour du héros Thor (Marvel), et James Mangold, réalisateur du récent biopic sur Bob Dylan "Un parfait inconnu".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Coronavirus

Covid-19: la fuite de laboratoire privilégiée par la Maison-Blanche

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Le virus du SARS-CoV-2 a fait plus d'un million de morts aux Etats-Unis et des millions d'autres dans le monde (archives). (© KEYSTONE/AP CDC/HANNAH A. BULLOCK, AZAIBI TAMIN)

La thèse de la fuite de laboratoire présentée comme la "véritable origine" du Covid-19 est désormais promue dans la version remaniée de la page Internet de la Maison-Blanche sur le virus, dévoilée vendredi. Cette théorie est fortement contestée.

Une image du président américain Donald Trump et des critiques de la réponse à la pandémie de son prédécesseur à la Maison-Blanche Joe Biden s'affichent aussi sur cette page, qui présentait jusque-là des informations sur la vaccination ou les tests.

Le site Covid.gov cible aussi l'ex-architecte de la stratégie de Washington contre le virus, le docteur Anthony Fauci, pour avoir défendu "le scénario privilégié selon lequel le Covid-19 est d'origine naturelle".

La page liste désormais cinq arguments en faveur de la théorie de la fuite de laboratoire, soulignant notamment que les premiers cas connus de la maladie se sont déclarés à Wuhan, en Chine, où est hébergé un institut de virologie réputé pour ses recherches sur les coronavirus.

FBI et CIA

"S'il existait des preuves d'une origine naturelle, elles seraient déjà apparues. Mais ce n'est pas le cas", peut-on y lire aussi. L'hypothèse de la fuite d'un laboratoire, qualifiée un temps de complotiste, a récemment gagné en popularité aux Etats-Unis.

Des agences américaines comme le FBI ou le ministère de l'énergie la soutiennent désormais à des degrés divers de certitude, bien que la question de l'origine du Covid-19 demeure un mystère largement débattu par les scientifiques.

Principale agence de renseignement des Etats-Unis, la CIA avait aussi estimé en janvier "avec un faible degré de confiance [...] qu'une origine de la pandémie de Covid-19 liée à des recherches est plus probable qu'une origine naturelle". Cette hypothèse a été jugée d'"extrêmement improbable" par la Chine.

Désormais engagée dans une guerre commerciale majeure avec Washington, Pékin avait également accusé les Etats-Unis "de politiser et d'instrumentaliser la question de la recherche des origines" de la pandémie.

Dans une rubrique intitulée "désinformation", le site accuse également M. Biden d'avoir discrédité des "traitements alternatifs" et de s'être entendu avec les grandes plateformes pour censurer les discours dissidents sur les réseaux sociaux, un reproche fréquemment adressé par les conservateurs.

Plus d'un million de personnes sont mortes du Covid-19 aux Etats-Unis et des millions d'autres dans le monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Un juge rejette la demande de report du procès du rappeur P.Diddy

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Arrêté à l'automne dernier, P.Diddy est accusé d'avoir mis son empire musical au service d'un système violent de trafic à des fins d'exploitation sexuelle. Depuis, il a été visé par les plaintes au civil de plus de 120 victimes présumées (archives). (© KEYSTONE/AP/Elizabeth Williams)

Un juge de New York a refusé vendredi la demande du rappeur et influent producteur de hip-hop Sean "Diddy" Combs de reporter de deux mois son procès pour trafic sexuel. Il a affirmé que l'accusé avait eu assez de temps pour le préparer.

Arrêté à l'automne dernier, l'artiste américain de 55 ans est accusé par la justice d'avoir mis son empire musical au service d'un système violent de trafic à des fins d'exploitation sexuelle. Depuis, il a été visé par les plaintes au civil de plus de 120 victimes présumées.

Vendredi, le juge Arun Subramanian a affirmé que son procès débuterait comme prévu le 5 mai. Il devrait durer entre huit et dix semaines. "Il ne me semble pas clair pourquoi (...) il n'y a pas suffisamment de temps, surtout si l'on considère que M. Combs est désormais représenté par quatre cabinets d'avocats", a-t-il précisé lors d'une audience au tribunal fédéral de Manhattan.

L'un de ses avocats, Marc Agnifilo, a demandé ce report afin d'avoir le temps d'examiner de nouvelles preuves versées au dossier. P.Diddy a plaidé non coupable lundi de deux nouveaux chefs d'inculpation.

En tenue de prisonnier, Sean Combs, aussi appelé P. Diddy ou Puff Daddy, s'est retourné lors de l'audience pour envoyer un baiser à sa mère, Janice.

Plusieurs plaintes ont été révélées à l'automne 2023 à son encontre, concernant notamment des accusations de viol émanant de la chanteuse de R&B Cassie, qui a été sa compagne, une procédure finalement réglée par un accord à l'amiable.

Un temps superstar, Sean Combs est aujourd'hui décrit par ses victimes comme un prédateur sexuel violent, qui utilisait alcool et drogues pour obtenir leur soumission.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump examine la possibilité de renvoyer le président de la Fed

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Donald Trump a réitéré mercredi ses attaques contre le patron de la Fed Jerome Powell au sujet de sa politique de taux d'intérêts (archives). (© KEYSTONE/EPA/MICHAEL REYNOLDS)

Donald Trump et son gouvernement étudient la possibilité de limoger le président de la Banque centrale américaine Jerome Powell. Le patron de la Fed est dans le viseur du président depuis plusieurs jours pour son refus de baisser les taux d'intérêt de l'institution.

"Le président et son équipe continueront à se pencher sur la question" de limoger Jerome Powell, a déclaré vendredi à des journalistes le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett.

Jeudi, Donald Trump avait affirmé qu'il n'était "pas content" de M. Powell. "Je lui ai fait savoir et si je veux qu'il parte, il partira vite fait, croyez-moi", avait-il assuré.

Le milliardaire républicain n'a pas le pouvoir de limoger directement les patrons de la Fed. Pour tenter de destituer Jerome Powell, il devrait entamer une longue procédure et prouver que ce dernier a commis une faute grave.

Donald Trump a nommé Jerome Powell à la tête de la Fed lors de son premier mandat, en 2018, mais l'accuse aujourd'hui de politiser la banque centrale américaine.

Le président de la Fed a mis en garde mercredi contre les effets des droits de douane décidés par M. Trump, qui "vont très certainement entraîner au moins une hausse temporaire de l'inflation". Le président américain a fortement augmenté les droits de douane s'appliquant aux produits entrant aux Etats-Unis, imposés désormais au minimum à 10%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Frappes israéliennes après le rejet du Hamas d'un projet de trêve

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Tous les efforts pour parvenir à une trêve par l'intermédiaire d'une médiation de l'Egypte, du Qatar et des Etats-Unis ont jusqu'à présent échoué (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Au moins 24 personnes sont mortes dans de nouvelles frappes israéliennes sur la bande de Gaza, a annoncé vendredi la Défense civile palestinienne. Ces bombardements sont survenus au lendemain du rejet par le Hamas d'une proposition israélienne de trêve.

Le mouvement islamiste palestinien exhorte de son côté la communauté internationale à faire pression pour qu'Israël lève son "blocus injuste" sur le territoire palestinien, où l'aide humanitaire n'entre plus depuis plus de six semaines.

Déclenchée par l'attaque du Hamas dans le sud israélien le 7 octobre 2023, la guerre a plongé la bande de Gaza dans une situation humanitaire catastrophique. La reprise de l'offensive israélienne le 18 mars, après deux mois de trêve, a de nouveau déplacé des centaines de milliers de Gazaouis.

Selon la Défense civile locale, de nouvelles frappes israéliennes ont fait 24 morts, dont dix membres d'une même famille tués dans le sud de la bande de Gaza. Tous les efforts pour parvenir à une trêve par l'intermédiaire d'une médiation de l'Egypte, du Qatar et des Etats-Unis ont jusqu'à présent échoué.

Refus d'un accord "partiel"

Jeudi, le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a annoncé que le mouvement s'opposait à un accord "partiel" avec Israël pour mettre fin aux combats, rejetant de fait une dernière proposition israélienne de trêve.

"Les accords partiels sont utilisés par Netanyahu et son gouvernement comme couverture pour son projet politique (...) et nous ne participerons pas à cette politique", a-t-il dit. Selon lui, le Hamas "cherche un accord global impliquant un échange de prisonniers en une seule fois en échange de l'arrêt de la guerre, d'un retrait de l'occupation de la bande de Gaza et du début de la reconstruction" dans le territoire, a-t-il ajouté.

Selon un dirigeant du mouvement, le projet israélien prévoit l'échange de dix otages israéliens vivants contre une trêve de 45 jours, la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël et une autorisation de faire entrer de l'aide humanitaire dans Gaza.

Les discussions butent notamment sur la question d'un désarmement du Hamas et des autres groupes armés à Gaza, exigé par Israël pour mettre à la guerre. Une question érigée en "ligne rouge (...) non négociable" par le mouvement palestinien.

"Prière pour la paix" de Trump

Entretemps, d'après un calcul de l'AFP à partir des cartes publiées par l'armée israélienne, celle-ci a pris le contrôle d'un peu plus de la moitié de la bande de Gaza pour en faire une zone tampon, où les Palestiniens ne peuvent pas vivre.

Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich, figure de l'extrême droite, a réagi en appelant à "intensifier les combats" à Gaza, pilonnée par l'armée israélienne qui y a aussi élargi ses opérations terrestres, depuis qu'elle y a repris son offensive le 18 mars, rompant une trêve de deux mois.

L'attaque du 7 Octobre a fait 1218 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Le nouvel ambassadeur des Etats-Unis en Israël a déposé vendredi au mur des Lamentations à Jérusalem un message manuscrit de Donald Trump, assurant que le président américain priait pour la paix et le retour des otages. Ex-gouverneur républicain proche des milieux israéliens pro-colonisation, Mike Huckabee s'est dit honoré de convoyer, au nom du président, "sa prière pour la paix".

Appel à mettre fin au blocus

Selon le ministère de la Santé du Hamas, au moins 1691 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars, portant à 51'065 le nombre de morts à Gaza depuis le début de l'offensive de représailles israélienne il y a 18 mois.

"La communauté internationale doit intervenir immédiatement et exercer la pression nécessaire pour mettre fin au blocus injuste imposé à notre peuple dans la bande de Gaza", a affirmé Khalil al-Hayya dans un communiqué diffusé vendredi.

Accusant le Hamas de la détourner, ce que le mouvement palestinien dément, Israël bloque depuis le 2 mars toute livraison humanitaire dans le territoire, où vivent 2,4 millions de Palestiniens.

Viande de tortue

Le Bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) a estimé cette semaine que la bande de Gaza connaissait "probablement la pire" situation humanitaire depuis le début du conflit.

La situation est tellement désespérée que certains Gazaouis se sont résolus à manger de la viande de tortue marine. "S'il n'y avait pas de famine, on n'en mangerait pas, mais il faut compenser avec quelque chose", explique un pêcheur, Abdul Halim Qanan.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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