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International

Blinken: "un moment décisif" des négociations pour une trêve à Gaza

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L'offensive israélienne dans la bande de Gaza a fait au moins 40'099 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas. Elle a provoqué un désastre humanitaire dans le territoire palestinien dévasté et menacé de famine selon l'ONU. La quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants y ont été déplacés. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Le secrétaire d'Etat américain a exhorté lundi Israël et le Hamas à "ne pas faire dérailler" les négociations en vue d'un cessez-le-feu après plus de dix mois de guerre dans la bande de Gaza,. Il a évoqué "un moment décisif" pour parvenir à un accord.

"C'est un moment décisif, c'est probablement la meilleure, peut-être la dernière occasion de ramener les otages chez eux, d'obtenir un cessez-le-feu", a déclaré Antony Blinken, lors d'un entretien à Tel-Aviv avec le président israélien, Isaac Herzog.

"C'est aussi le moment de s'assurer que personne ne fait quoi que ce soit qui pourrait faire dérailler le processus", a-t-il ajouté. Israël et le Hamas s'accusent mutuellement de faire échouer les négociations menées par les trois pays médiateurs - Etats-Unis, Egypte et Qatar.

Arrivé dimanche en Israël, le chef de la diplomatie américaine doit également rencontrer dans la journée le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à l'occasion de son neuvième voyage dans la région depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée le 7 octobre par Israël en riposte à l'attaque du Hamas sur le sol israélien le même jour, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.

Mardi au Caire

L'Américain se rendra mardi au Caire, où les médiateurs doivent reprendre leurs discussions cette semaine.

"Nous travaillons pour nous assurer qu'il n'y a pas d'escalade ni de provocations ni aucune action qui pourrait d'une manière ou d'une autre nous éloigner de cet accord ou élargir le conflit à d'autres endroits ou augmenter son intensité", a-t-il dit.

M. Herzog, dont le rôle est principalement protocolaire, a affirmé de son côté que les Israéliens voulaient le retour "le plus tôt possible" des otages enlevés lors de l'attaque du 7 octobre par le Hamas et retenus depuis dans la bande de Gaza.

Réagissant aux propos de M. Blinken, le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a affirmé qu'il s'agissait d'un "appel à Netanyahu: ne ratez pas cette occasion, vous les avez abandonnés (les otages). Il est de votre devoir de les ramener".

Bilan de Biden terni

Washington espère mettre fin à plus de dix mois d'un conflit dévastateur, qui ternit le bilan du président sortant, Joe Biden, et risque de s'étendre à toute la région après les menaces de l'Iran et de ses alliés.

Dimanche, Netanyahu a appelé à "diriger la pression sur le Hamas" et "non vers le gouvernement israélien", dénonçant un "refus obstiné" du mouvement palestinien de conclure un accord, après deux jours de négociations à Doha entre la partie israélienne et les médiateurs américain, qatari et égyptien.

"Nous faisons porter à Benjamin Netanyahu l'entière responsabilité d'avoir fait échouer les efforts des médiateurs et fait obstruction à un accord", au mépris de la "vie des otages" retenus depuis le 7 octobre, a rétorqué le Hamas dans un communiqué.

Nouvelle vente d'armes à Israël

Joe Biden a toutefois jugé dimanche soir qu'une trêve à Gaza était "toujours possible" et assuré que les Etats-Unis "n'abandonnaient pas" leurs efforts.

Les Etats-Unis, qui viennent d'approuver une vente d'armes de 20 milliards de dollars à leur allié israélien, ont soumis vendredi lors des pourparlers à Doha une nouvelle proposition de compromis.

Le Hamas a rejeté cette proposition, jugeant qu'elle "répondait aux conditions posées par Netanyahu, en particulier son refus d'un cessez-le-feu permanent et d'un retrait total de la bande de Gaza".

Nouvelles conditions sur les prisonniers

Le mouvement palestinien, qui n'a pas participé aux négociations au Qatar, dénonce notamment "l'insistance" israélienne à maintenir des troupes à la frontière de Gaza avec l'Egypte et de "nouvelles conditions sur le dossier" des prisonniers palestiniens susceptibles d'être échangés contre des otages retenus à Gaza.

Le Hamas demande l'application du plan annoncé fin mai par M. Biden, et appelle les médiateurs à "obliger l'occupation (Israël) à mettre en oeuvre ce qui a été convenu".

Ce plan prévoit dans une première phase une trêve de six semaines accompagnée d'un retrait israélien des zones densément peuplées de Gaza et de la libération d'otages enlevés le 7 octobre, et dans sa deuxième phase, notamment un retrait total israélien de Gaza.

Benjamin Netanyahu a dit maintes fois vouloir poursuivre la guerre jusqu'à la destruction du Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007.

Désastre humanitaire

Pour Washington, un cessez-le-feu aiderait à éviter une éventuelle attaque de l'Iran et de ses alliés contre Israël, après leurs menaces de riposter à l'assassinat, imputé à Israël, du chef du Hamas Ismaïl Haniyeh à Téhéran le 31 juillet, et à celui du chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, tué la veille dans une frappe israélienne près de Beyrouth.

L'offensive israélienne dans la bande de Gaza assiégée a fait au moins 40'099 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas, qui ne détaille pas le nombre des civils et des combattants tués.

Elle a provoqué un désastre humanitaire dans le territoire palestinien dévasté et menacé de famine selon l'ONU. La quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants y ont été déplacés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence

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L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/MICHAEL SOHN)

L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.

"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.

Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

France: agriculteurs mécontents de la stratégie face à la DNC

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Plus de 200 bovins doivent être abattus en France après la découverte d'un cas de dermatose nodulaire contagieuse. De quoi énerver les agriculteurs sur place (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Dans le sud de la France, un troupeau de vaches doit être abattu vendredi en raison d'un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Les agriculteurs se mobilisent depuis deux jours contre la stratégie du gouvernement pour contrer la maladie.

Faisant usage de gaz lacrymogène, les gendarmes ont pris jeudi en fin de soirée le contrôle de cette exploitation, située dans le village des Bordes-sur-Arize en Ariège, près de la frontière espagnole. Plusieurs centaines d'agriculteurs y étaient rassemblés depuis mercredi matin pour s'opposer à l'euthanasie des 207 bovins et bloquer l'accès aux services vétérinaires.

Parmi les manifestants figuraient notamment des membres de la Coordination rurale (deuxième syndicat agricole ndlr) et de la Confédération paysanne (troisième syndicat ndlr), qui critiquent depuis plusieurs jours la gestion de l'épizootie par les autorités.

Après la fièvre catarrhale ovine et alors que sévit toujours la grippe aviaire, la DNC est apparue en juin en France. Pour arrêter la maladie transmise via des insectes piqueurs mais qui n'atteint pas l'homme, les autorités ont imposé d'abattre toutes les bêtes d'un troupeau vivant ensemble dès qu'un cas était détecté.

Des "zones règlementées" doivent aussi être instaurées dans un rayon de 50 km autour du foyer avec des déplacements restreints et une vaccination des bêtes.

Protestations en hausse

Début décembre, la protestation a grandi après l'euthanasie très contestée de 83 vaches vaccinées contre la DNC dans une ferme du Doubs (est), où s'étaient là aussi mobilisés des manifestants, évacués avec des gaz lacrymogènes.

Les syndicats sont divisés. La Confédération paysanne et la Coordination rurale tentent de s'opposer aux euthanasies et plaident pour une vaccination préventive généralisée. La FNSEA (premier syndicat) en revanche soutient le protocole des autorités, redoutant qu'une vaccination large prive la France de son statut de pays "indemne" et donc de sa capacité d'export de bovins vivants pendant de longs mois.

Cette contestation se déroule dans un contexte de colère agricole alimentée par d'autres ressorts: un accord Union européenne-Mercosur sur le point d'être voté, une politique agricole commune (PAC) profondément remaniée... Une marche est prévue le 18 décembre à Bruxelles, où les organisateurs espèrent jusqu'à "10'000 manifestants", dont une bonne partie venue de France.

La première puissance agricole européenne souffre, doit importer toujours plus au point d'entrevoir un déficit commercial en 2025 pour la première fois depuis 50 ans. Ses fleurons, du blé aux vignes, traversent une crise inédite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Royaume-Uni: recul surprise du PIB en octobre, à -0,1%

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Le mois d'octobre a notamment été marqué par la reprise des activités du constructeur Jaguar Land Rover avec un impact non négligeable sur l'économie britannique (archives). (© KEYSTONE/EPA/ADAM VAUGHAN)

Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a reculé de 0,1% en octobre, a annoncé vendredi l'Office national des statistiques (ONS), une baisse inattendue, les analystes interrogés par Bloomberg tablant sur une légère progression de 0,1%.

Ce recul fait suite à un repli identique en septembre et une croissance nulle en août.

Il accentue encore la pression sur le gouvernement travailliste, qui peine depuis son retour au pouvoir en juillet 2024 à tenir sa promesse de retour de la croissance.

"Nous sommes déterminés à défier les prévisions de croissance et à créer des emplois de qualité, afin que chacun puisse bénéficier d'une meilleure situation", a réagi un porte-parole du ministère des Finances dans un communiqué.

Le mois d'octobre a notamment été marqué par la reprise des activités du constructeur Jaguar Land Rover, qui avait été contraint de mettre en pause sa production en septembre en raison d'une cyberattaque, avec un impact non négligeable sur l'économie britannique.

Mais ce regain d'activité n'a pas suffi au Royaume-Uni pour retrouver la croissance en octobre, relève Lindsay James, analyste chez Quilter, qui impute le recul du PIB aux inquiétudes en amont de la présentation du budget britannique le 26 novembre.

"Les entreprises et les consommateurs s'attendaient à des hausses d'impôts, et les spéculations et fuites incessantes ont de nouveau freiné l'économie britannique, comme l'an dernier", estime-t-elle.

Le gouvernement a finalement annoncé des hausses d'impôts dans ce budget, mais qui ne prendront effet que progressivement au fil des ans, ce qui semble avoir rassuré les marchés.

"En pratique, l'économie britannique recule", souligne cependant Lindsay James, ce qui rend selon elle "de plus en plus probable" une nouvelle baisse du taux d'intérêt par la Banque d'Angleterre lors de sa prochaine réunion le 18 décembre.

L'institution monétaire doit cependant composer avec inflation qui reste élevée par rapport aux pays de la zone euro, à 3,6% en octobre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Russie: sept blessés dans une attaque de drone contre un immeuble

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Des débris du drone ont provoqué un violent incendie dans un appartement, selon les autorités russes (archives). (© KEYSTONE/AP Russian Defense Ministry Press Service)

Sept personnes, parmi lesquelles un enfant, ont été blessées dans la nuit de jeudi à vendredi à la suite d'une attaque de drone ukrainienne à Tver, à environ 180 km au nord-ouest de Moscou, ont indiqué les autorités locales.

"A Tver, on est en train de combattre les conséquences de la chute des débris d'un drone sur un immeuble résidentiel", a écrit sur Telegram le gouverneur régional par intérim, Vitali Koroliov.

Selon lui, "six adultes et un enfant" ont été blessés dans l'attaque, et une vingtaine d'habitants ont dû être évacués en raison des dommages infligés à l'immeuble.

Des images de l'AFP sur place montrent la façade noircie des premiers étages d'un grand immeuble résidentiel et les fenêtres détruites de plusieurs appartements.

Des caméras de surveillance ont capturé le moment de l'impact sur les bas étages de l'immeuble, provoquant une forte explosion et un incendie.

"On a vu une énorme flamme, une flamme très forte. Ce n'est que plus tard, quand l'incendie a été éteint, que nous avons pu nous rendre compte à quel point c'était une tragédie", a raconté à l'AFP Natalia, qui habite dans une maison voisine.

Cirque endommagé

Le chapiteau d'un cirque installé à proximité a également été endommagé, a constaté l'AFP.

L'Ukraine subit des bombardements russes quasi quotidiens, qui frappent l'ensemble de son territoire depuis le début de l'assaut russe à grande échelle en février 2022.

Kiev mène de son côté régulièrement des frappes de drones en Russie, en disant cibler principalement les infrastructures militaires et énergétiques.

L'armée russe a déclaré vendredi avoir intercepté 90 drones ukrainiens au cours de la nuit, après avoir dit la veille en avoir abattu plus de 300 lors d'une des attaques ukrainiennes les plus massives à ce jour.

Le président américain Donald Trump, qui s'impose en médiateur dans le conflit ukrainien depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, a fait part jeudi de son exaspération face à l'absence de résultat des pourparlers pour mettre fin au conflit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Corée du Sud: démission après une épreuve du bac jugée trop dure

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Le trafic aérien est interrompu pendant 35 minutes, le temps de l'examen de compréhension orale d'anglais du Suneung, pour éviter tout bruit intempestif (archives). (© KEYSTONE/EPA/YONHAP)

Des questions sur Kant, Hobbes ou la philosophie du temps: en Corée du Sud, une polémique soulevée par l'épreuve d'anglais du baccalauréat, jugée bien trop difficile, a conduit son responsable à démissionner. Seuls 3% des élèves ont obtenu les meilleures notes.

Obtenir de bons résultats au "Suneung" permet de s'assurer une place dans les meilleures universités du pays. C'est un moment d'intense tension pour les candidats et leur famille, tant cet examen définit l'avenir des jeunes Sud-Coréens.

Mais l'épreuve écrite d'anglais de cette édition 2025, organisée le 13 novembre dernier, s'est retrouvée au coeur d'une polémique. Seuls 3% des élèves ont obtenu les meilleures notes à cet examen de langue, soit le pire score depuis 2018 et l'introduction de la notation absolue dans cet examen qui sert à classer les étudiants.

Controverse

Les candidats avaient 70 minutes pour répondre à 45 questions. Plusieurs questions consistaient à compléter des textes à trou à partir de plusieurs propositions. Mais les énoncés se sont révélés difficiles: l'un d'entre eux, particulièrement critiqué, s'intéressait aux philosophies d'Emmanuel Kant et Thomas Hobbes concernant la loi. D'autres portaient sur la nature du temps ou encore sur la notion d'existence appliquée aux avatars de jeux vidéo.

De quoi susciter la controverse dans le pays qui considère le Suneung comme une véritable cause nationale, allant jusqu'à interrompre le trafic aérien pendant 35 minutes, le temps de l'examen de compréhension orale d'anglais, pour éviter tout bruit intempestif.

Face à la polémique, le chef de l'institut coréen pour les programmes scolaires et l'évaluation, Oh Seung-keol, a présenté sa démission mercredi, reconnaissant que "la section d'anglais de l'examen [...] n'était pas conforme aux principes" d'évaluation, selon un communiqué transmis à l'AFP. M. Oh a regretté d'"avoir provoqué l'inquiétude des candidats et de leurs parents et d'avoir semé la confusion" lors de l'examen.

Dans un autre communiqué, l'institution a dit avoir pris au sérieux "les critiques, selon lesquelles, l'examen [n'avait] pas satisfait au niveau de difficulté" qui convenait.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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