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A Strasbourg, Orban tempête contre les "élites européennes"

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"Il y a un changement profond en cours en Europe", a lancé Viktor Orban. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fait le show mardi au Parlement européen à Strasbourg en appelant l'Union européenne à changer de stratégie en Ukraine. Il a promis d'ouvrir le champagne en cas de retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

A la veille d'un discours face aux eurodéputés qui s'annonce tendu, au milieu d'une présidence hongroise de l'UE qui rompt avec tous les codes, le dirigeant hongrois a affiché - et revendiqué - ses différences avec les autres dirigeants du bloc.

"Il y a un changement profond en cours en Europe", a-t-il lancé, évoquant le poids croissant de ses alliés, après les succès électoraux de l'extrême droite en Italie, aux Pays-Bas, en Autriche et en République Tchèque.

"Mais ce que nous voyons ce sont des élites européennes, de la gauche et du centre, qui prétendent gérer les affaires européennes", a-t-il poursuivi. "Certains à gauche rêvent d'isoler tel ou tel dirigeant, mais cela n'arrivera pas!", a-t-il poursuivi, martelant qu'il n'entendait pas "quitter" l'UE mais la "changer".

Depuis son retour à la tête du pays en 2010, Viktor Orban a renforcé son emprise sur le pouvoir tout en restreignant les droits des oppositions, se heurtant à plusieurs reprises à Bruxelles sur des questions d'État de droit.

Début juillet, dès le deuxième jour de la présidence hongroise de l'UE (qui dure six mois), il s'est lancé dans une "mission de paix" à Kiev, Moscou et Pékin, suscitant l'ire des dirigeants européens.

En réponse, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a ordonné aux commissaires de boycotter une série de réunions en Hongrie, se faisant représenter uniquement au niveau technique, une première dans l'histoire des institutions européennes.

"Nouvelle stratégie sur l'Ukraine"

"Il faut une nouvelle stratégie sur l'Ukraine", a martelé mardi le dirigeant hongrois, estimant que la voie actuelle mènerait à la défaite. "L'intention de la Hongrie est de se concentrer sur un cessez-le-feu (...) Il faut communiquer, directement et indirectement (avec Moscou) et tous les pays du monde devraient pousser dans cette direction".

Le Premier ministre hongrois a aussi profité de son passage à Strasbourg pour afficher une nouvelle fois sa proximité avec Donald Trump, grand pourfendeur de l'UE.

Si le candidat républicain est élu lors de l'élection présidentielle américaine le 5 novembre, "nous ouvrirons plein de bouteilles de champagne!", a-t-il lancé.

Rappelant qu'un sommet des dirigeants des 27 est prévu à Budapest le 7 novembre, soit deux jours après le rendez-vous électoral américain, Viktor Orban y a vu le moment idéal pour se pencher sur le programme du magnat de l'immobilier, évoquant sa promesse de mettre fin à la guerre en Ukraine.

Dans ce contexte, les échanges de mercredi avec les eurodéputés devraient être houleux.

"Pyromane"

"Orban agit bel et bien comme un véritable pyromane de l'idée européenne", estime Valérie Hayer, présidente du groupe Renew, qualifiant "d'inacceptable" sa diplomatie parallèle menée sous l'étendard européen. "Son seul objectif est de mettre le feu à une Europe démocratique, libérale et tolérante", ajoute-t-elle.

En juillet, la Commission européenne a estimé dans un rapport que la Hongrie ne respectait pas les normes démocratiques de l'UE, notamment en matière de corruption, de financement politique, de conflits d'intérêts et d'indépendance des médias.

Dernier épisode du conflit entre Budapest et Bruxelles, la Commission a annoncé jeudi saisir la justice européenne au sujet de la loi hongroise sur la "souveraineté", que des ONG considèrent comme une nouvelle offensive pour museler les contre-pouvoirs.

En septembre, l'UE a déclaré qu'elle allait réduire ses paiements en faveur de la Hongrie afin de récupérer 200 millions d'euros d'amende pour non-respect des traités en matière de droit d'asile que Budapest refuse de régler, en plus des 19 milliards d'euros de fonds européens gelés pour des atteintes à l'Etat de droit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inondations en Espagne: au moins 211 morts

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Les critiques contre le manque de réactivité des autorités espagnoles ne retombent pas. (© KEYSTONE/EPA/Biel Alino)

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé samedi l'envoi de 10'000 soldats et policiers supplémentaires dans le sud-est de l'Espagne pour venir en aide aux sinistrés et aider à la recherche des disparus. Les inondations ont fait au moins 211 morts.

Les intempéries survenues dans la nuit de mardi à mercredi ont "provoqué la plus grande catastrophe naturelle dans l'histoire récente de notre pays", a souligné le chef du gouvernement lors d'une déclaration institutionnelle après une réunion du comité de crise sur les inondations.

A ce stade, les secours ont "localisé et recensé 211 morts", a poursuivi le dirigeant socialiste, en précisant que les opérations se poursuivaient pour retrouver les personnes portées disparues, dont le nombre est à ce stade inconnu.

Le dernier bilan des autorités, donné vendredi soir, faisait état d'au moins 207 victimes, dont 204 dans la région de Valence, la plus affectée par ces intempéries spectaculaires. Deux autres personnes sont décédées en Castille-la-Manche et une troisième en Andalousie.

Les secouristes s'attendent à trouver des victimes supplémentaires notamment dans les carcasses de voitures renversées par les torrents de boue, qui jonchent encore les parkings et les rues des localités les plus affectées.

"Problèmes et carences graves"

Pour faire face à cette situation, Pedro Sánchez a annoncé l'envoi "dans les heures qui viennent" de 5000 soldats supplémentaires, comme réclamé par le gouvernement régional de Valence. Ce chiffre porte à 7000 le nombre total de militaires déployés sur le terrain.

Près de 5000 policiers et gendarmes supplémentaires vont par ailleurs être également envoyés sur le terrain dans les prochaines heures, ce qui permettra de doubler le nombre d'agents des forces de l'ordre sur le terrain.

"Je suis conscient que la réponse qui est donnée n'est pas suffisante, je sais qu'il y a des problèmes et des carences graves", a par ailleurs déclaré le Premier ministre, alors que les critiques contre le manque de réactivité des autorités ne retombent pas.

Le gouvernement régional de Valence est notamment accusé d'avoir envoyé très tardivement mardi un message d'alerte téléphoniques aux habitants, alors que l'agence météorologique espagnole (Aemet) avait placé la région de Valence en "alerte rouge" dès la matinée.

Aujourd'hui, la priorité reste la recherche des disparus et la réouverture des routes pour permettre "l'acheminement" de l'aide et le rétablissement des "services essentiels", en dégageant les véhicules et les gravats qui empêchent la circulation, a assuré M. Sánchez.

Pillages et vols

Au total, plus de 2000 voitures et camions endommagés ont été enlevés, ainsi que des centaines de tonnes de boue et de débris, selon le chef du gouvernement, qui a par ailleurs promis de rétablir l'ordre dans les zones touchées.

Depuis les inondations, survenues dans la nuit de mardi à mercredi, les autorités ont en effet relevé des actes de pillage et des vols. La police a d'ores et déjà procédé à "82 interpellations", a-t-il précisé.

Dans un entretien au quotidien El Pais, le ministre des Transports Oscar Puente a reconnu que de nombreuses localités avaient "de sérieuses difficultés de communication parce que le réseau est pratiquement détruit". "L'ampleur de cette catastrophe est sans précédent dans l'histoire de notre pays", a-t-il insisté.

Dans ce panorama lugubre, les élans de solidarité se sont poursuivis, notamment à Valence, où des milliers de personnes se sont retrouvées à l'aube pour le deuxième jour consécutif pour se rendre à pied dans les localités voisines, équipées de pelles et de balais, selon une journaliste de l'AFP.

Trop de volontaires

Vendredi, le nombre de volontaires a été tel que les autorités ont appelé les habitants se rendant en voiture dans les communes sinistrées à rester chez eux pour ne pas encombrer les routes et empêcher le passage des secours.

Dans la banlieue de Valence, le travail des secouristes et des soldats devrait se dérouler sous un ciel clément samedi. Mais l'Agence nationale de météorologie a averti que de fortes précipitations auraient encore lieu dans la province de Castellon, dans le nord de la région de Valence, placée en alerte orange.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La très à droite Kemi Badenoch élue à la tête du parti conservateur

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L'ancienne ministre de l'Economie et du Commerce Kemi Badenoch devient la nouvelle présidente des conservateurs britanniques, et représente une ligne nettement plus à droite au sein des Tories (archives). (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

La très à droite Kemi Badenoch a été désignée samedi nouvelle cheffe du parti conservateur britannique, désormais dans l'opposition, pour succéder à l'ancien Premier ministre Rishi Sunak à l'issue d'une campagne dominée par le sujet de l'immigration.

Kemi Badenoch, 44 ans, a remporté le vote des militants face à l'autre finaliste Robert Jenrick, incarnant également l'aile droite des Tories, et va désormais devoir reconstruire le parti après sa cuisante défaite en juillet aux dernières législatives.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inondations en Espagne: nouveaux renforts pour les recherches

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Des milliers de volontaires se sont mobilisés samedi à Valence pour aller aider dans les localités de la région sinistrées par les intempéries qui ont fait plus de 200 victimes. (© KEYSTONE/EPA/Manuel Bruque)

Quatre jours après les tragiques inondations qui ont endeuillé le sud-est de l'Espagne, de nouveaux renforts militaires arrivent samedi pour aider à la recherche des disparus et à la remise en état des localités ravagées par les torrents de boue.

Le dernier bilan donné vendredi soir par les autorités fait état d'au moins 207 victimes, dont 204 dans la région de Valence, la plus affectée par ces intempéries spectaculaires. Deux autres personnes sont décédées en Castille-la-Manche et une troisième en Andalousie.

Mais ce bilan pourrait s'alourdir encore, de nombreux disparus étant toujours recherchés, notamment dans les carcasses de voitures renversées par les flots en furie, qui jonchent les parkings et les rues.

Le président de la région de Valence, Carlos Mazón, a assuré vendredi soir qu'il n'y avait toujours pas de chiffre officiel concernant les personnes manquant à l'appel, alors que des habitants sans nouvelles de leurs proches multiplient les appels à l'aide sur les réseaux sociaux.

"Il serait imprudent de donner un chiffre", a confirmé sur la chaîne de télévision Antena 3 le ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska. Néanmoins, "il est probable, étant donné les circonstances et les retours des experts (...) qu'il y aura plus de morts", a-t-il précisé.

Pour faire face à cette situation, 500 soldats supplémentaires doivent être déployés dans la région de Valence samedi, portant à 2500 le nombre de soldats dans la zone. Plusieurs milliers de policiers, gendarmes et pompiers sont également mobilisés.

Le Premier ministre Pedro Sanchez, qui a présidé samedi matin un réunion du comité de crise depuis le palais de la Moncloa, résidence officielle du chef de gouvernement, doit prendre la parole à 10H30.

Solidarité

L'une des priorités de l'armée, outre la recherche des disparus, est de rouvrir les routes pour permettre l'acheminement de l'aide, notamment alimentaire, en dégageant les véhicules et les gravats qui empêchent la circulation, et de rétablir l'ordre dans les communes affectées.

Depuis les inondations, survenues dans la nuit de mardi à mercredi, les autorités ont en effet relevé des actes de pillage et des vols. La police a ainsi annoncé avoir déjà interpellé plusieurs dizaines de personnes, dont plusieurs ont été placées en détention provisoire.

Les élans de solidarité se poursuivent eux, notamment à Valence, où des milliers de personnes se sont retrouvées pour le deuxième jour consécutif samedi à l'aube pour se rendre à pied dans les localités voisines, équipées de pelles et de balais, selon une journaliste de l'AFP.

"Hier, nous avons apporté des tonnes de nourriture et d'eau aux municipalités les plus touchées", a assuré à des journalistes Susana Camarero, vice-présidente de la région de Valence, en reconnaissant que les opérations étaient entravées par l'état des infrastructures

"De nombreux villages étaient isolés et nous avons appelé les conseils municipaux pour savoir ce dont ils avaient besoin, mais il n'y avait pas de téléphone", a-t-elle rappelé, alors que des milliers de personnes restent privées de communications.

Trop de volontaires

"Les aides sont insuffisantes. Heureusement, l'Espagne sait faire preuve de solidarité", a confié à l'AFP Alicia Izquierdo, venue vendredi apporter deux chariots remplis de nourriture avec sa soeur Marta vers la maison de leur frère à Paiporta, ville de plus de 25'000 habitants où au moins 62 morts ont été recensés.

Vendredi, le nombre de volontaires a été tel que les autorités ont appelé les habitants se rendant en voiture dans les communes sinistrées à rester chez eux, pour ne pas encombrer les routes et empêcher le passage des secours.

Dans la banlieue de Valence, le travail des secouristes et des soldats devrait se dérouler sous un ciel clément samedi. Mais l'Agence nationale de météorologie (Aemet) a averti que de fortes précipitations auraient encore lieu dans la province de Castellon, dans le nord de la région de Valence, placée en alerte orange.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La COP16 sur la biodiversité se termine sur un échec

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Cette perte du quorum a interrompu les débats entre le Brésil qui soutenait la proposition colombienne de créer un nouveau fonds pour la nature, et l'Union européenne, le Japon et le Canada fermement opposés. (© KEYSTONE/EPA/ERNESTO GUZMAN JR.)

La COP16 biodiversité s'est terminée sur un échec samedi à Cali. Elle n'est pas parvenue à obtenir un accord sur le financement de la feuille de route que l'humanité s'est fixée pour stopper la destruction de la nature d'ici 2030.

Les négociations ont été suspendues au matin par la présidente colombienne du sommet quand Susana Muhamad a constaté avoir perdu le quorum des délégués, partis attraper leur avion après une nuit blanche en plénière. "C'est fini", a déclaré Susana Muhamad à l'AFP, depuis la tribune où elle se congratulait avec ses équipes.

Malgré l'échec des négociations cruciales sur le financement et sur un mécanisme de suivi, censé assurer que les pays remplissent leur engagements pris il y a deux ans à Montréal pour sauver la nature.

Plusieurs décisions

La présidence colombienne se félicite en revanche d'avoir obtenu l'adoption de décisions dont elle avait fait sa priorité: un statut renforcé pour les peuples autochtones dans les COP biodiversité, un texte sur la reconnaissance des "afrodescendants", et la mise en oeuvre d'un fonds multilatéral.

Ce dernier vise à partager avec les pays en développement les bénéfices réalisés par des entreprises grâce au génome numérisé de plantes et animaux de leurs territoires.

Après plus de dix heures d'âpres débats nocturnes samedi, les pays venaient enfin d'aborder le sujet le plus explosif de la conférence: comment atteindre d'ici 2030 l'objectif de porter à 200 milliards de dollars par an les dépenses mondiales pour sauver la nature, dont trente milliards d'aide des pays riches.

Positions figées

Pour y parvenir, la présidence colombienne présentait une feuille de route incluant la création d'un nouveau fonds pour la nature, ce que refusent les pays riches, hostiles à la multiplication des fonds multilatéraux d'aide au développement.

Comme attendu, la prise de parole du Brésil, premier soutien de la Colombie, en réponse à celles de l'UE, du Japon et du Canada, a dévoilé des positions toujours aussi figées après douze jours de sommet. Le Panama a alors demandé à la présidence colombienne de vérifier le quorum. Celui-ci n'étant plus rempli, c'est la raison qui a été invoquée pour suspendre la plénière de clôture.

"Bien sûr cela rend plus faible et plus lent le potentiel" du processus onusien, censé remédier à la crise de la nature qui menace la prospérité de l'humanité, a déclaré Mme Muhamad. "Le gouvernement colombien s'est beaucoup mobilisé (...) le peuple colombien a tout donné, (...) mais au final, cela dépend des parties et du processus de négociation", a-t-elle justifié, au bord des larmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un homme exécuté pour un meurtre en Caroline du Sud

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Le condamné a été exécuté par injection létale (archives). (© KEYSTONE/AP)

Un Noir, condamné dans l'Etat américain de Caroline du Sud (sud-est) par un jury exclusivement blanc pour le meurtre d'un caissier en 1999, a été exécuté vendredi, selon les médias américains. Le condamné affirmait avoir agi en état de légitime défense.

L'exécution de l'homme de 59 ans est la 21e aux Etats-Unis depuis le début de l'année. Elles ont toutes été réalisées par injection létale à l'exception de deux en Alabama (sud) par inhalation d'azote, une méthode dénoncée par l'ONU qui l'a comparée à une forme de "torture".

Le condamné avait écopé de la peine capitale en 2001 pour le meurtre d'un caissier d'une supérette dans laquelle il était entré sans arme. Une altercation a éclaté, le caissier a sorti une arme et les deux hommes ont été blessés, l'un mortellement. Le condamné est alors sorti du magasin avec l'argent la caisse.

Clémence demandée par le juge

Une pétition pour l'épargner avait été signée par plus de 50'000 personnes. L'initiative a reçu le soutien d'un ancien directeur de l'administration pénitentiaire de Caroline du Sud, qui dans un enregistrement vidéo, souligne "que cela n'aurait pas été un dossier de peine capitale dans la plupart des Etats".

Le juge qui a présidé le procès a écrit au gouverneur pour l'exhorter à la "clémence", affirmant que ce cas était "unique" parmi les condamnés à mort en Caroline du Sud. Ses avocats ont notamment fait valoir qu'il était le seul d'entre eux à avoir été jugé par un jury ne comprenant aucun Noir.

La Caroline du Sud avait procédé en septembre à sa première exécution depuis 2011. La peine de mort a été abolie dans 23 des 50 Etats américains. Six autres (Arizona, Californie, Ohio, Oregon, Pennsylvanie et Tennessee) observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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