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Economie

2300 signatures contre l'interdiction de la publicité à Vernier

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A Genève, des militants du mouvement ROC-GE (Reseau Objection de Croissance de Genève) s'étaient déjà attaqués, en 2018, à l'affichage publicitaire dans la rue à l'occasion de la journée mondiale contre la publicité (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les habitants de Vernier (GE) devraient pouvoir se prononcer sur l'interdiction de la publicité dans les rues de leur commune. Le référendum lancé contre le nouveau règlement qui bannit cette forme de communication a en effet récolté 2300 signatures, a indiqué lundi Nicolas Aubert, co-président du comité référendaire, confirmant une information de la Tribune de Genève.

Pour faire aboutir le référendum, il faut déposer 1921 signatures valables. L'affaire est maintenant entre les mains du Service des votations et élections, le contrôleur des paraphes reçus. L'interdiction de la publicité est souhaitée par le Conseil administratif qui y voit un moyen d'améliorer la qualité du paysage.

Le comité référendaire estime, au contraire, qu'il s'agit d'une atteinte grave à la liberté de commerce. L'interdiction de l'affichage publicitaire à Vernier porterait un grave préjudice aux nombreuses entreprises locales, en créant une situation de concurrence déloyale.

Le comité référendaire de Vernier est composé des partis du centre et de la droite, à l'exception du PLR.

En Ville de Genève, les citoyens seront prochainement appelés à se prononcer sur une telle interdiction de la publicité dans l'espace public. Un référendum lancé par la droite contre le règlement d'application de l'initiative populaire communale "Genève zéro pub, libérons nos rues de la publicité commerciale" a abouti.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Une nouvelle présidente pour l'association régionale

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Corinne Ingold, la syndique de Villeneuve, est la nouvelle présidente de l’association intercantonale Chablais Région. (© )

La syndique de Villeneuve Corinne Ingold est la nouvelle présidente de l'association de communes Chablais Région. Les délégués des 28 communes l'ont élue pour deux ans lors de leur assemblée jeudi à Ollon (VD) pour succéder à Xavier Lavanchy, président de St-Maurice (VS).

En présence de la conseillère d’Etat vaudoise en charge del’économie, de l’innovation, de l’emploi et du patrimoine Isabelle Moret, les délégués ont fait le point sur leurs projets en cours, en particulier dans les deux domaines de la mobilité et de l'économie. L'association veut rendre le Chablais plus fort et plus visible entre les deux capitales que sont Sion et Lausanne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Offres d'emploi: La Poste publie le salaire initial

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La Poste fait oeuvre de transparence en matière salariale (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Pour favoriser le recrutement, La Poste publie désormais le salaire initial et la fourchette de rémunération dans ses offres d'emploi relevant de la convention collective de travail (CCT). Cette mesure doit aussi renforcer l'égalité des chances.

La nouveauté, qui concerne chaque année environ 2500 postes au concours, représente pour La Poste "une étape importante" vers un système de rémunération transparent, écrit jeudi l'entreprise sur son site.

L'information, en vigueur dès le 1er juin, doit servir d’orientation. Le salaire exact dépend de différents facteurs, comme la qualification, l’expérience ou la situation sur le marché du travail.

Environ 27'000 personnes sont soumises à la CCT du géant jaune.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un nouveau gymnase verra le jour dès 2024 à Crissier

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Le gouvernement vaudois souligne que l'agglomération lausannoise pourrait accueillir près de 11'000 élèves gymnasiaux à l'horizon 2035, soit 2700 de plus qu'aujourd'hui (photo symbolique). (© Keystone/FABRICE COFFRINI)

Un nouveau gymnase verra le jour dans le canton de Vaud dès la rentrée 2024 à Crissier, à côté de Lausanne. Ses 44 classes prendront place dans des locaux loués d'un bâtiment construit par un tiers privé et ouvriront en trois étapes d'ici 2026-2027. A cet horizon, près de 80 postes d'enseignants seront créés pour accueillir environ 1200 élèves.

Le Conseil d'Etat présente à cet effet au Grand Conseil une demande de crédit d'investissement de 4,98 millions de francs, a-t-il indiqué jeudi dans ses décisions hebdomadaires. Il vise à financer l'équipement de locaux finis situés dans des immeubles récemment construits au lieu-dit de La Gottrause à Crissier

"L'objectif de ce projet est de répondre à la pénurie de salles de classe dans l'enseignement postobligatoire dès la rentrée d'août 2024-2025", écrit le Canton. Les détails de ce projet seront dévoilés lors d'une soirée d’information à la population de Crissier le 19 juin prochain, précise-t-il.

Site bien desservi

L'ouverture de 44 classes au Gymnase de Crissier nécessitera la création de 79,2 nouveaux postes d'enseignants (équivalent temps plein), dont 25 postes pour 14 classes dès la rentrée 2024, détaille l'exposé des motifs et projet de décret (EMPD). Quatorze classes supplémentaires ouvriront leur porte à la rentrée 2025-2026 et seize à celle de 2026-2027.

Au total, les près de 80 nouveaux postes entraîneront un coût annuel pérenne de 12,31 millions de francs. Une fois toutes les classes ouvertes, le loyer s'élèvera à 6,8 millions de francs par an, lit-on dans l'EMPD.

Le site du futur Gymnase de Crissier sera à terme très bien desservi en transports publics. Il est situé à proximité d'une future ligne de bus à haut niveau de service (BHNS) ainsi que du futur tramway lausannois, relève le Conseil d'Etat vaudois.

Le gouvernement rappelle aussi que l'agglomération lausannoise pourrait accueillir près de 11'000 élèves à l'horizon 2035, soit 2700 de plus qu’aujourd’hui. "Les Gymnases d'Echallens et de Crissier sont donc nécessaires pour absorber la croissance prévue dans cette zone géographique", souligne-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Débits résiduels: les prescriptions ne doivent pas être suspendues

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Les sénateurs ont débattu pendant plus de deux heures des débits résiduels dans les barrages (image d'illustration). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

Les prescriptions pour les débits résiduels dans les cours d'eau pour les barrages ne doivent pas être suspendues. Le Conseil des Etats a voté jeudi un compromis, rejetant l'ajout du National visant à éviter des pertes de production des centrales hydroélectriques.

Suspendre les prescriptions en la matière est discutable d'un point de vue constitutionnel, a estimé Beat Rieder (Centre/VS) pour la commission. La quantité d'électricité concernée est minime alors que l'impact est très important pour la nature, a appuyé Lisa Mazzone (Vert-e-s/GE).

Daniel Fässler (Centre/AI) a au contraire plaidé en faveur de capacités hydroélectriques suffisantes. Sans cette disposition, il sera impossible d’atteindre les objectifs en matière de développement des énergies renouvelables, a complété Stefan Engler (Centre/GR).

Celui-ci a proposé un compromis donnant une marge de manoeuvre au Conseil fédéral. Ce dernier doit pouvoir temporairement assouplir les prescriptions afin d'atteindre les objectifs de production et d'importation ou si une pénurie menace. Cette troisième voie a passé la rampe par 23 voix contre 22, avec la voix prépondérante de la présidente.

Pas trop vite sur le solaire

Dans le domaine de l'énergie solaire, le National veut donner un coup d'accélérateur. Mais le Conseil des Etats temporise. Il soutient l'orientation, mais les nouvelles normes ne doivent pas porter atteinte à la propriété privée et à la souveraineté des cantons.

Actuellement, les nouveaux bâtiments de plus de 300 m2 doivent être équipés d'une installation solaire. Les députés ont décidé que des panneaux photovoltaïques doivent également être posés sur les toitures des grands bâtiments lors de rénovations. Les sénateurs n'en veulent pas.

A la place, ils ont décidé, par 29 voix contre 12, de transposer dans le droit en vigueur, sans limites de temps, l'obligation d'utiliser l'énergie solaire sur les bâtiments d'une surface supérieure à 300 m2. C'est une décision conforme à une autre prise dans un autre projet sur le solaire, déjà bouclé, a rappelé M. Rieder.

La Chambre des cantons ne se rallie pas non plus à celle du peuple, par 23 voix contre 19, concernant l'obligation de construire des panneaux photovoltaïques sur les nouveaux parkings de plus de 250 m2 à partir de 2030. Le National voulait aussi que les parkings existants de plus de 500 m2 aient cinq ans de plus pour s'en doter.

Lors d'un débat fleuve, les sénateurs se sont aussi exprimés sur une série d'autres points, pour la plupart techniques. Ils n'ont pas terminé la deuxième lecture de cette grande réforme de l'énergie, voulue par le Conseil fédéral pour développer les énergies renouvelables indigènes et assurer l'approvisionnement en électricité, notamment en hiver. Les débats reprendront ultérieurement lors de la session d'été.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Gaspillage alimentaire: les normes de qualité des légumes adaptées

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Les légumes pourront être vendus même s'ils présentent de légers défauts optiques (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les producteurs suisses de légumes s'engagent pour réduire le gaspillage alimentaire. Les normes de qualité ont été adaptées: dès ce jeudi, des produits seront disponibles dans le commerce même s'ils présentent de petits défauts optiques.

Soixante-cinq produits sont concernés par cette modification des normes de qualité, la première depuis 2014, indique jeudi l'Union maraîchère suisse (UMS) et l'Association suisse du commerce de fruits, de légumes et de pommes de terre (SWISSCOFEL). La tolérance envers les défauts optiques a notamment été augmentée. Les légumes suisses doivent ainsi devenir plus durables.

Selon la branche, cette adaptation vise à réagir à diverses évolutions de ces dernières années. Elle apporte une "contribution importante" à la mise en ½uvre du plan d’action du Conseil fédéral contre le gaspillage alimentaire, qui doit permettre de réduire de moitié les pertes alimentaires d’ici 2030 par rapport à 2017.

Cette adaptation diminue également l’utilisation de produits phytosanitaires, en conséquence de la trajectoire de réduction des produits phytosanitaires et des nutriments. Et la branche réagit à la fréquence accrue d’évènements météorologiques extrêmes suite au changement climatique.

Un milliard de tonnes de nourriture gaspillée

Selon un rapport de l'ONU datant de 2021, près d'un milliard de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année dans le monde, soit près de 20% des aliments disponibles pour les habitants du globe. Si le gaspillage et les pertes alimentaires étaient un pays, il serait le troisième émetteur au monde de gaz à effet de serre.

Un des Objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU prévoit une réduction de moitié du gaspillage alimentaire au niveau des consommateurs et du commerce de détail d'ici 2030.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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