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La deuxième édition du Forum de l’alimentation durable aura lieu toute la semaine à Genève
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Il y a 4 mois,le
Autour de la Journée mondiale de l’alimentation, la Ville de Genève propose la deuxième édition d’un forum consacré à l’alimentation durable. L’édition 2020 va se dérouler du 12 au 16 octobre dans différents lieux de Genève. Elle est co-organisée par l’association Swiss Food Academy.
Après une première édition à succès, le Forum de l’alimentation durable revient cette année clôre une période automnale riche en événements dédiés au «bien manger». Cette deuxième édition se déroule du 12 au 16 octobre et est co-organisé par l’association Swiss Food Academy, active dans la sensibilisation à l’alimentation saine et durable. L’événement va à nouveau tenter de regrouper citoyens, agriculteurs et acteurs de l’alimentation durable et population genevoise pour discuter de notre rapport à la nourriture. Cette année, le fil rouge thématique va se concentrer sur le gaspillage alimentaire. Les précisions de Maria Retamales, directrice de Swiss Food Academy.
Cette année encore le programme du forum est riche et varié: rencontres, ateliers de cuisine, remise des Prix de la Semaine du Goût ou encore des tables rondes. Le détail avec Maria Retamales.
Un sujet dans l’air du temps
Au centre de multiples enjeux et questions de société, l’alimentation est constamment sous les feux des projecteurs. Une thématique qui a pris de l’ampleur depuis quelques années notamment avec la crise climatique. Les précisions de Maria Retamales.
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Nouvelle tendance à Genève: le chanvre alimentaire!
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Il y a 1 moisle
22 décembre 2020Le chanvre, une plante encore peu utilisée dans l’alimentation
A Genève, la jeune entreprise familiale Konoï en fait du lait, des glaces, des tisanes ou des mix pour le petit-déjeuner. Et leur projet est sur le point de se concrétiser à Meyrin. Benoît Rouchaleau.
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Genève expérimente un bar à café technologique et écologique
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Il y a 3 moisle
5 novembre 2020Un bar à café sans contact, ni déchet
A l’heure du coronavirus, des distances sociales et de la limitation des contacts, la machine à café de Mia et Noa se démarque depuis quelques semaines à Chêne-Bourg: Elle est à la fois technologique et écologique… Présentation avec Benoît Rouchaleau.
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Interview – Philipe Chevrier met l’œuf et la poule à l’honneur de Monsieur Bouillon
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Il y a 3 moisle
19 octobre 2020Malgré la situation sanitaire actuelle, vous l’avez peut-être remarqué, une nouvelle brasserie s’est installée rue de la Synagogue à Genève. Monsieur Bouillon a ouvert ses portes le mois dernier. Aux commandes Grégory Arhr et Philippe Chevrier, deux figures incontournables de la gastronomie genevoise.
Monsieur Bouillon vient s’ajouter à la liste des nombreux autres établissements dont le chef, doublement étoilé du Domaine de Châteauvieux, est propriétaire ou qu’il supervise. Hyperactif dans la création de projet monsieur Chevrier ne sait pas rester tranquille, comme ont pu le remarquer Benjamin Smadja et Laurie Selli.
Monsieur Bouillon est un établissement chic qui a su garder l’ambiance rustique du bâtiment qui l’abrite. Au menu, la carte s’adapte au fil des saisons en déclinant l’œuf et la volaille. En plus du restaurant Monsieur Bouillon accueil un bar à l’étage mettant l’accent sur les cocktails et des brochettes d’inspiration japonaise.
Une innovation genevoise pour lutter contre la pollution des sacs plastiques, c’est le monde de demain…
La meilleure alternative au sacs en plastique, c’est quand même le sac en plastique… sans plastique. Petite révolution que l’on doit à la start up genevoise Preserve et son sac soluble: il s’autodétruit en 5 minutes seulement dans de l’eau à 85 degrés, mieux même il se décompose entièrement dans la nature en l’espace de 180 jours. Au 1er regard, ils ressemblent aux autres sacs classiques, sauf que le secret de celui-ci, c’est qu’il est composé d’extraits de roches calcaires et de gaz naturels et non pas de pétrole, comme les sacs plastiques traditionnels. Le créateur genevois les trouve également plus efficaces que les alternatives biodégradables qui existent déjà en papier, en coton, en amidon de maïs ou à base de manioc. Et d’expliquer par exemple qu’un sac en coton doit être utilisé 54 fois avant d’avoir un impact positif sur l’environnement. Que le papier est synonyme de déforestation et que ceux faits à partir d’aliments ont un comme un “arrière-goût” alors qu’une partie de la population souffre de malnutrition.
Est-ce qu’il est déjà disponible ce sac du futur?
Il existe déjà 2 gammes et 5 modèles différents, plus ou moins grands, plus ou moins résistants. Notez au passage que les sacs sont certifiés pour être en contact avec les aliments et qu’ils sont aussi customisables. Le jeune entrepreneur genevois cherche pour l’instant à les commercialiser directement auprès des chaînes de magasins qui seraient intéressées par cette approche écologique. Et à l’heure où l’on consomme 500 milliards de sacs en plastique chaque année à travers le monde et qu’une infime proportion est recyclée, le zéro plastique pourrait aussi être fantastique.
Demain, plus besoin d’aller au potager, c’est le potager qui sera dans votre cuisine…
On l’a vu notamment avec le nouveau coronavirus, les circuits courts alimentaires ont la côte. Et on ne fait pas plus court qu’un potager directement dans sa cuisine. C’est justement la bonne idée de Caulys, une jeune pousse vaudoise née dans les champs de l’EPFL: elle a développé un potager vertical d’intérieur pour produire ce que vous consommez. Des laitues, du basilic, de la menthe, de la coriandre, des poivrons, des tomates ou des fraises, la catalogue des semences est large… Et vous n’aurez même pas l’excuse de ne pas avoir la main verte puisque tout est connecté et automatisé: de l’irrigation, à la luminosité, en passant par la température ou l’humidité, tout est ajusté en temps réel selon les besoins de vos plantes et légumes. Et vous pourrez même faire valoir l’argument écologique puisque les serres utilisent jusqu’à 95% d’eau en moins que dans l’agriculture classique. Pour le fonctionnement, c’est on ne peut plus simple: Vous n’avez qu’à raccorder votre serre à l’électricité, remplir le bac d’eau et laisser mère nature jouer sa partition en duo avec votre serre connectée. Le meilleur exemple, c’est que plusieurs prototypes de ses potagers d’intérieur sont déjà installés depuis l’été 2019 dans l’un des restaurants du campus vaudois. Et l’idée continue de germer puisque la startup va bientôt passer à la phase de commercialisation.
A quoi est-ce qu’ils ressemblent ces potagers du futur?
Ce sont des mini-serres transparentes, un peu comme des aquariums en verre et en bois, équipés de capteurs et de LED. Vous les empilez les uns sur les autres, en fonction de la hauteur souhaitée. Il y a 4 configurations possibles, qui vont de 1650 à 2850 francs. Auxquels vous ajoutez un abonnement mensuel pour avoir accès à une interface utilisateur connectée en temps réel. Les livraisons sont prévues pour décembre 2020 en Suisse. Et déjà des ramifications en France et en Belgique pour juin 2021.
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