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Environnement

Nouvelle étape de franchie pour l’autoroute Machilly / Thonon

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Une nouvelle étape de franchie pour l’autoroute Machilly / Thonon-les-Bains, en France voisine. Le Conseil constitutionnel français a rejeté, jeudi 20 juillet, le recours de députés français contre la loi visant à régulariser le plan local d’urbanisme intercommunal de la communauté de communes du Bas-Chablais, nécessaire à la création de cet axe. 

Tout roule quasiment pour l'autoroute A412. Cette 2X2 voies doit relier Machilly, à Thonon-les-Bains, en France voisine. En juin dernier, l'Assemblée nationale française avait approuvé ce tronçon autoroutier. Des députés écologistes et de la France insoumises avaient saisi le Conseil constitutionnel de la loi visant à régulariser le plan local d’urbanisme intercommunal de la communauté de communes du Bas-Chablais, une loi nécessaire à la réalisation de cette autoroute. Ce recours a été rejeté par le Conseil constitutionnel français, jeudi 20 juillet, estimant que "l’article unique de la loi visant à régulariser le plan local d’urbanisme intercommunal de la communauté de communes du Bas-Chablais est conforme à la Constitution". Plus rien ne semble donc s’opposer à la réalisation de ce tronçon autoroutier, qui doit permettre le désenclavement du Chablais français. Sauf peut-être Genève, où l'opposition gronde. Le maire de la Ville, Alfonso Gomez avait annoncé son intention,  en juin, de faire recours auprès du Conseil d’Etat français, contre ce projet. 

 

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Environnement

Le gouvernement vaudois a choisi son vin et son fromage pour 2024

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La conseillère d'Etat en charge de l'agriculture et de la viticulture Valérie Dittli a félicité et remis leur diplôme vendredi matin aux deux producteurs désignés pour l'année 2024 (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Conseil d'Etat vaudois a choisi comme vin d'honneur pour l'année 2024 le millésime 2022 du Clos blanc du Clos du Châtelard à Villeneuve, AOC Chablais Premier grand cru, propriété de la maison Hammel. Il sera accompagné du gruyère AOP de la fromagerie du Haut-Jorat à Peney-le-Jorat, désigné fromage d'excellence de l'an prochain.

La conseillère d'Etat en charge de l'agriculture et de la viticulture Valérie Dittli a félicité et remis leur diplôme vendredi matin aux deux producteurs désignés dans la cave d'affinage de la fromagerie lauréate, indique un communiqué du Canton. Elle a annoncé à cette occasion que la prochaine édition de cette distinction à vocation promotionnelle devrait s'ouvrir également aux vins rouges.

A l'issue de sa séance hebdomadaire du 1er novembre, le gouvernement a dégusté à l'aveugle trois Premiers grands crus vaudois et cinq gruyère AOP présélectionnés parmi une quinzaine d'échantillons de chaque. L'½nologue cantonal Philippe Meyer s'est assuré que cette phase finale se déroule dans les règles de l'art, alors qu'un contrôleur-qualité de l'Interprofession du gruyère a fait de même.

Solaire et doré

Le chasselas Premier grand cru élu pour 2024 l'est pour la troisième fois en douze éditions du Vin d'honneur du Conseil d'Etat. "Un vin d'aspect solaire aux teintes dorées", a commenté Olivier Viret, responsable du Secteur viticulture et cultures spéciales de l'Etat de Vaud.

"Son nez à la fois intense et élégant est typé floral, tilleul et fleurs blanches, avec une légère note poirée. Sa bouche structurée mais équilibrée est gouleyante, fruitée, croquante avec une légère note tannique en finale", décrit-il.

Fondant sans être collant

C'est aussi la troisième fois en onze ans que le Conseil d'Etat met à l'honneur la Société de fromagerie du Haut-Jorat et ses 14 producteurs de lait dans la région. "Notre gruyère se caractérise par une pâte fondante sans être collante", précise le fromager, "d'une texture soutenue, mais pas cassante. Il exprime beaucoup d'arômes et une belle longueur en bouche".

Les deux lauréats seront donc le vin d'honneur et le fromage d'excellence du gouvernement cantonal durant toute l'année prochaine. Ils seront servis aux hôtes du Conseil d'Etat lors de certaines manifestations officielles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Les paysans peinent à joindre les deux bouts, selon leur faîtière

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Alors que les prix des produits agricoles et laitiers augmentent dans les supermarchés, les paysans eux ne profitent pas de cette hausse, a critiqué l'Union suisse des paysans (USP) (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les revenus des paysans baissent de "manière inquiétante", s'est alarmée mercredi l'Union suisse des paysans (USP) lors de son assemblée des délégués. Fustigeant les coupes dans le budget agricole, elle se désole des exigences croissantes imposées aux agriculteurs.

Entre 2021 et 2022, le revenu annuel moyen du paysan a diminué de 6,3%, atteignant ainsi un "niveau très bas", s'est inquiétée l'USP dans un communiqué. "Les prix à la production doivent augmenter", a insisté son président Markus Ritter.

En même temps, l'USP juge "incompréhensible" que le Conseil fédéral prévoie de couper dans le budget agricole. Alors qu'en parallèle, les exigences posées aux paysans ne cessent d'augmenter, notamment en matière de réduction des pesticides et préservation de la biodiversité.

Sur ce dernier sujet, l'USP rejette l'initiative qui sera débattue au Conseil des Etats à la session d'hiver. Le texte contient des exigences "totalement disproportionnées" et nuirait au secteur de l'énergie et à la capacité d'auto-approvisionnement du pays, selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Toujours trop de pertes d'azote et de phosphore dans l'agriculture

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Les pertes d'azote et de phosphore dans l'agriculture suisse sont toujours trop élevées par rapport aux objectifs environnementaux définis par la Confédération (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Les pertes d'azote et de phosphore dans l'agriculture ont diminué d'environ 10% depuis la période 2014-16, a indiqué Agroscope mardi. Ces éléments présents dans les engrais et les aliments pour animaux devront cependant être "considérablement réduits" à l'avenir.

En effet, les objectifs environnementaux fixés par la Confédération ne sont pas atteints. Les fluctuations annuelles pouvant être importantes, il faudra quelques années pour déterminer s'il s'agit d'une tendance à la baisse stable, prévient Agroscope.

Selon l'institut gouvernemental de recherche agroalimentaire, cette réduction des pertes d'azote et de phosphore s'explique par une baisse des importations d'aliments pour animaux et, dans le cas de l'azote, une diminution de l’utilisation d'engrais minéraux.

L'azote et le phosphore perdus sous différentes formes via le sol, l'air et l'eau sont mauvais pour l'environnement. De plus, les agriculteurs doivent compenser ces pertes en introduisant dans les sols des engrais supplémentaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Suisse a assez de terres pour garantir sa sécurité alimentaire

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La Suisse a assez de bonnes terres agricoles pour l'instant. Mais la pression sur ces surfaces va s'intensifier (illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Suisse dispose de suffisamment de bonnes terres agricoles pour garantir sa sécurité alimentaire en cas de pénurie. Mais les surfaces d'assolement sont sous pression, avertit l'Office fédéral du développement territorial (ARE).

Les surfaces d'assolement garanties représentent 445'680 hectares pour l'ensemble de la Suisse. Ces terres qui présentent le potentiel de rendement agricole le plus important doivent garantir l'autosuffisance en cas de pénurie grave. Selon la première statistique publiée à ce sujet, la Suisse respecte la surface minimale imposée, écrit l'ARE dans un communiqué publié mardi.

Ces surfaces sont toutefois sous pression. La société a besoin de toujours plus d'espace pour le logement, les loisirs, la mobilité et la production d'énergie. Et les pressions exercées sur les surfaces d'assolement en raison de la croissance démographique et économique pourraient encore s'intensifier à l'avenir. La Confédération et les cantons doivent donc les préserver à long terme, alerte l'ARE.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Système des paiements directs à revoir

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La politique agricole suisse va évoluer. Le système actuel des paiements directs atteint ses limites (illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le système des paiements directs versés par la Confédération aux agriculteurs atteint ses limites, selon un rapport de l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG). Les objectifs environnementaux ne pourront pas être atteints uniquement par des incitations financières.

Les paiements directs représentent actuellement un volume financier de 2,8 milliards de francs par an. Ils sont, avec la protection douanière, l'un des principaux instruments de la politique agricole suisse, rappelle l'OFAG dans un communiqué publié mardi.

Mais ils atteignent de plus en plus leurs limites. Le système actuel est devenu très complexe en raison de la différenciation croissante des contributions.

Pour l'OFAG, il est clair que les objectifs dans le domaine de l'environnement ne peuvent pas être atteints seulement par des incitations financières et des mesures exclusivement axées sur l'agriculture. La future politique agricole intégrera toute la chaîne alimentaire, de la production à la distribution.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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