Rejoignez-nous

la journée finit bien

Croix-Rouge vaudoise: un jeu vidéo pour promouvoir l’entraide

Publié

,

le

"Let's Help Together", jeu vidéo de la Croix-Rouge vaudoise, se joue sur un ordinateur portable et à l'aide d'un téléphone mobile comme manette. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La Croix-Rouge vaudoise a lancé mardi un jeu vidéo gratuit intitulé "Let’s Help Together". Il a pour objectif de promouvoir l'entraide, notamment auprès d'un public plus jeune. Benjamin Smadja et Elsa Duperray l'ont testé pour vous.

"Le bénévolat est une affaire collective et intergénérationnelle, que l’implication soit ponctuelle ou dans la durée. Afin de susciter un intérêt pour cette activité auprès de la population, en particulier auprès d’un public plus jeune, nous avons choisi d’innover en utilisant le jeu vidéo comme levier d’action", a déclaré Daniel Drainville, directeur de la Croix-Rouge vaudoise, cité dans un communiqué.

Une colocation

"Let’s Help Together", c’est l’histoire d’une colocation de jeunes qui décident de s’engager dans la vie de leur immeuble. Leur bienveillance et esprit d’entraide prennent diverses formes: rendre visite à une personne isolée, faire les courses pour une autre, garder des enfants ou accompagner une personne dans ses déplacements.

Les joueurs se trouvent dans la même pièce. Ils sont invités à accomplir le plus de tâches possible en un temps donné, et ce, sans oublier de prendre soin d'eux-mêmes. Les participants sont immergés dans la société du "care", une notion qui englobe le souci de l'autre.

Gratuit, accessible à tous et coopératif, le jeu a été développé en partenariat avec une entreprise vaudoise de création de jeux vidéo, Digital Kingdom. Il est disponible dès à présent sur la plateforme suisse airconsole.com. Pour jouer, il suffit d'un écran connecté à internet et d'un smartphone transformé pour l'occasion en manette.

Campagne digitale

Pour le faire connaître auprès des jeunes, une campagne numérique est prévue sur les réseaux sociaux, a déclaré Anne Catherine Clément, responsable communication de la Croix-Rouge vaudoise à Keystone-ATS. Quelques influenceurs se sont également engagés pour sa promotion. Des jeunes à vélo sensibiliseront leurs pairs dans les rues d'Yverdon et de Lausanne.

À noter que la Croix-Rouge vaudoise n’utilise pas les dons de ses membres pour financer cette initiative. C’est grâce au Prix de la Fondation BCV récompensant la qualité de ce projet qu’elle peut aujourd’hui diffuser le jeu vidéo.

L'institution précise encore que plus de 600 bénévoles s’investissent pour elle. Leur engagement est indispensable afin de lutter contre les exclusions, de favoriser le maintien à domicile et l’intégration sociale, écrit-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Genève

[ITW] Éric-Emmanuel Schmitt au salon du livre: entre rencontres et réflexions

Publié

le

En 2004 Eric-Emmanuel Schmitt (à gauche) recevait le prix du public du International Book Fair à Leipzig. (EPA/Sebastian Willnow POOL)

Le Salon du Livre de Genève revient à Palexpo du 19 au 23 mars. Cette année, l'un des l'invités d'honneur n'est autre qu'Éric-Emmanuel Schmitt. L'auteur, dramaturge et membre de l'Académie Goncourt, multiplie les échanges et les rencontres au cœur de cet événement littéraire majeur. Il était mon invité à écouter en version longue.

 

Loin des entretiens classiques où un auteur répond seul aux questions d'un journaliste face au public, Eric-Emmanuel Schmitt invite des confrères et consœurs qui lui sont chers. « C'est une particularité du Salon du Livre de Genève de proposer des rencontres », explique-t-il. Parmi ses invités, Antoine Wauters, écrivain belge primé, qui se distingue par son style poétique.

« Il a une attention au réel, aux détails qui font la vie, aux êtres. Il y a une poésie et une tendresse qui baignent ses textes », décrit Schmitt, lui-même impliqué dans la remise du prix Goncourt de la Nouvelle à Wauters en 2022.

D'une manière générale, l’écrivain franco-belge reconnait une approche différente aux relations humaines et à la littérature. « Quand je passe la frontière entre la France et la Belgique, j’ai l’impression de passer du pessimisme à l’optimisme », explique-t-il. La France est une société fondée sur le rapport de force, alors que la Belgique, comme la Suisse, est basée sur le compromis. »

Une différence qui s’explique aussi par la diversité linguistique et culturelle : « En Belgique, comme en Suisse, il n’y a que des minorités. Cela donne un état d’esprit particulier: une modestie de fond, un humour plus subtil et une approche plus douce du monde. »

Littérature, géopolitique et histoire du cinéma

Le Salon du Livre innove également avec la section "Fenêtres sur le Monde", qui met en lumière des thématiques géopolitiques. L'occasion pour Schmitt d'échanger avec Giuliano da Empoli, auteur du réputé Mage du Kremlin. Ce roman analyse les mécanismes du pouvoir en Russie et la pensée de Vladimir Poutine.

« C'est une magnifique méditation sur le pouvoir, avec un personnage féminin fascinant. Poutine n'est pas un fou, il a sa propre logique, une conception de l'histoire qui n'est pas la nôtre. Et ce livre nous donne les clés pour comprendre cette Russie poutinienne », affirme Schmitt, qui regrette que l'ouvrage n'ait pas obtenu le prix Goncourt.

Éric-Emmanuel Schmitt ne se limite pas aux seuls enjeux politiques. L'un de ses récents projets, la pièce Bungalow 21, révèle les coulisses d'un épisode méconnu du Hollywood des années 60: la liaison entre Yves Montand et Marilyn Monroe, et ses répercussions sur Simone Signoret et Arthur Miller. L'idée a été initiée par Benjamin Castaldi, petit-fils de Signoret, qui voulait raconter cette histoire familiale complexe.

« C'est un bon sujet car il traite de problèmes universels – la trahison, l'amour, l'orgueil – mais à travers des êtres extraordinaires. J'ai écrit cette pièce en cherchant avant tout la faille chez chacun des protagonistes », confie Schmitt.

Il revient aussi sur l'amitié qu'il entretenait avec Arthur Miller : « Il était drôle et profond, mais Marilyn Monroe était un tabou. Il ne supportait pas qu'on l'interroge sur elle. J'avais envie d'explorer cette zone d'ombre. »

Un regard humaniste sur le monde

Derrière ces rencontres et analyses, Éric-Emmanuel Schmitt met en avant une vision humaniste et nuancée de l'histoire et des relations humaines et prône la diversité des regards : « Il n'y a pas d'objectivité historique, seulement des interprétations. Plus on multiplie les perspectives, plus on se rapproche du réel. »

Une philosophie qui fait de lui un écrivain inclassable, à la fois conteur et penseur, dont les interventions au Salon du Livre promettent d'enrichir les esprits, avant de continuer sa fresque de l'humanité "La Traversée des temps". dont le tome 5 paraitra le 30 septembre.

Avec IA

 

Continuer la lecture

Expositions et spectacles

[ITW] "La révolte" reprend vie sur les planches de La Julienne

Publié

le

Philippe Lüscher dans "La journée finit bien"

La révolte, un texte pourtant écrit il y a 150 ans, résonne avec une modernité déconcertante sur la scène de La Julienne à Plan-Les-Ouates. Mise en scène par Philippe Lüscher, cette pièce d'Auguste de Villiers de L'Isle-Adam retrace le parcours d'Élisabeth, une femme qui a contribué à la fortune de son mari avant de décider de tout quitter. Philippe Lüscher était mon invité.

« C'est une pièce qui pourrait être un manifeste féministe avant la lettre », explique Philippe Lüscher. Écrite en 1869 et créée en 1870, elle fut rapidement retirée de l'affiche après seulement cinq représentations, jugée trop scandaleuse pour l'époque. L’héroïne y incarne une remise en question radicale du monde de la finance et du profit, dominé par les hommes. « Ce qui scandalisait, c'était bien sûr l’idée qu'une femme puisse se retourner contre son mari, refuser l'argent comme seule valeur et chercher un avenir qui lui appartient », ajoute le metteur en scène.

Pour cette reprise, la mise en scène abandonne le décor classique du salon bourgeois parisien. « On se trouve dans un lieu plus indéterminé, où la présence du métal et de la dynamique du progrès est omnipresente », précise Philippe Lüscher. Loin d'une approche poussiéreuse, cette version s'ancre dans une énergie contemporaine : « Vous n'allez pas voir une pièce où une femme brûle son soutien-gorge. C'est subtil, intelligent, et drôle ».

Une interprétation moderne

Avec Émilie Cavalieri et Simon Labarrière dans les rôles principaux, le texte retrouve une vitalité indiscutable. « Nous avons pris le parti de conserver les dialogues d'origine, mais avec une interprétation moderne. La force des mots et le rythme de la langue font toute la modernité de la pièce », confie Lüscher. Une modernité confirmée par la place toujours centrale des questions d'émancipation féminine et d'inégalités sociales dans nos sociétés actuelles.

Un spectacle qui invite à la réflexion et à la remise en question, accessible dès 12 ans. « On en retient la force de cette femme qui veut s'aimer elle-même et trouver sa place dans un monde qui bouge tout le temps », conclut le metteur en scène. Une invitation à ne pas manquer, ce week-end et toute la semaine prochaine à La Julienne.

Avec IA

 

Continuer la lecture

Cinéma & Séries TV

[ITW] Quand partir "A bicyclette !" permet de faire le deuil d'un fils

Publié

le

Mathias Mlekuz et Philippe Rebbot dans "A Bicyclette !" © Emmanuel Guimier - MES Productions - F comme Film

Un film bouleversant, drôle et d'une sincérité désarmante. C'est ce que proposent Mathias Mlekuz et Philippe Rebbot avec "A bicyclette !", un documentaire unique en son genre, qui retrace un périple à vélo éminemment personnel. Tout commence avec une tragédie: Youri, le fils de Mathias, décide de traverser l'Europe de l'Est à vélo. Il choisira de mettre fin à ses jours en Ariège. « Un an après son suicide, avec Philippe, on a décidé de refaire la route qu'il avait parcourue cinq ans auparavant », explique Mathias Mlekuz. Il étaient mes invités, à retrouver en version longue.

L'alchimie entre les deux compagnons de route fait la force du récit. L'amitié se mêle au deuil, l'humour se frotte à la douleur. « On riait de rien et on pleurait de tout. Un moucheron dans l'œil et hop, ça nous faisait rire », se souvient Philippe Rebbot. L'un des enjeux du film était de ne jamais cacher ces émotions contrastées. « Il fallait montrer la vie dans ce qu'elle a de plus vrai. Et le deuil fait partie de la vie. »

Ce voyage initiatique se heurte aussi à la confrontation avec l'absence. Mathias, en recomposant les photos prises par son fils, cherche à raviver un lien. « Chaque étape me rappelait qu'il était mort. On allait constater son absence. » Une acceptation qui s'est faite peu à peu, grâce aussi à l'accueil bouleversant du public. « J'étais stupéfait de voir à quel point une histoire si intime pouvait être universelle. »

Au fil des projections, une véritable communion se crée. Les spectateurs rient et pleurent avec eux. « Les gens attendaient notre film pour chialer un bon coup et rire aussi. » Et ça fonctionne. Philippe en a même forgé une expression: « Les gens rient à chaudes larmes. »

Entre désarroi et résilience, ce film-témoignage ne laisse personne indemne. Youri n'est plus là, mais son souvenir persiste. « Une dame m'a dit : "Je ne connaissais pas Youri, maintenant j'en connais un, et c'est le vôtre." » Preuve que certains voyages ne s'arrêtent jamais vraiment.

Avec IA

Continuer la lecture

Expositions et spectacles

[ITW] Adrien Laplana est un gars triste, mais surtout drôle

Publié

le

© Radio Lac

Un humoriste qui ose parler de la tristesse avec le sourire? C'est Adrien Laplana qui présente son spectacle "Histoire drôle d'un gars triste", un seul en scène mis en scène par Blaise Berlinger, où stand-up et sketchs s'entremêlent pour mieux explorer une émotion souvent évitée: la tristesse. Il était mon invité, à regarder en version longue.

Loin de l'humour noir ou caustique, le spectacle d'Adrien Laplana invite à regarder la tristesse autrement. "L'intention du spectacle, c'est de parler en bien de la tristesse," explique-t-il. "Elle est là dans notre vie, à plein de niveaux, et on fait tout pour l'éviter. Peut-être que parfois, il faudrait juste accepter d'aller mal."

C'est un constat qui fait écho à une tendance profonde dans l'humour d'aujourd'hui: celle d'utiliser le comique pour exorciser les peines. "Quand on va voir des humoristes, on cherche à aller mieux, mais parfois, on ne prend pas le temps de comprendre pourquoi on va mal," confie Adrien Laplana.

Un spectacle intime et donc universel

Comme beaucoup d'humoristes, Adrien Laplana se livre sur scène, mais il le fait avec un recul assumé. "Ce spectacle, c'est aussi une réflexion sur la façon dont on vit nos émotions. Il n'y a pas de hiérarchie dans la tristesse. Ce n'est pas un concours." Une idée qu'il développe avec une touche d'absurde et son humour si particulier, oscillant entre introspection et rires francs.

L'écriture du spectacle a d'ailleurs été inspirée par une phrase entendue lors d'un cours de psychologie: "La tristesse est la seule émotion dont on n'est jamais déçu." Cette idée a marqué l'humoriste et lui a permis de donner naissance à un show à la fois personnel et accessible à tous.

Un artiste ancré dans son époque

Sur scène, Adrien Laplana jongle entre sketchs écrits et moments d'improvisation. "Il y a une part d'impro, surtout selon l'énergie du public," avoue-t-il. "Mais mon humour ne repose pas sur les interactions de stand-up classique. J'aime raconter des histoires, poser des situations et jouer avec les émotions."

En parallèle de son parcours humoristique, il utilise aussi l'improvisation dans des structures sociales. "C'est un outil puissant que j'emploie dans mon travail d'éducateur. Cela permet de créer du lien, de s'exprimer librement et de faire passer des messages autrement."

Ce rapport direct à l'émotion fait d'Adrien Laplana un représentant d'une génération d'humoristes qui assument leurs fêlures. Il cite en exemple Kyan Khojandi, tout en s'en démarquant : "Je ne pense pas qu'on doive toujours transformer nos faiblesses en forces. Parfois, elles sont juste là, et c'est bien aussi. Tout ne doit pas avoir une utilité."

Avec "Histoire drôle d'un gars triste", Adrien Laplana livre une performance authentique et touchante sans oublier d'être drôle, tout en réaffirmant une conviction simple: rire et tristesse ne sont jamais très loin l'un de l'autre.

Avec IA

Continuer la lecture

Genève

[ITW] "La maison est là où tout commence", une exposition d'ancrage et de mémoire

Publié

le

Image Radio Lac

L’exposition "La maison est là où tout commence" prend place à la Maison Tavel, au cœur de Genève, pour explorer la notion de foyer et de migration à travers le regard de 26 artistes contemporaines. Une initiative portée par l'ONG Art for the World. Nakhana Diakite Prats, autrice franco-malienne ayant réalisé des entretiens avec les artistes était mon invitée.

"Le lieu d'accueil joue un rôle essentiel dans la transmission de la culture. La maison n'est pas seulement un espace physique, mais aussi le berceau de la créativité", explique Nakhana Diakite Prats. Cette exposition s'attache à démontrer comment les artistes, souvent marquées par l'exil ou le déplacement, réinventent leur identité à travers leurs médiums.

L'exposition, en dialogue avec le patrimoine de la Maison Tavel, enrichit cette réflexion sur le mouvement et la migration. "Genève est un terreau fécond pour ces questionnements, car elle concentre une diversité culturelle unique", souligne Diakite Prats.

Elle met en avant un fil rouge marquant : "Il est évident qu'il y a un fil conducteur dans cette exposition : la capacité de transcendance. Ces artistes utilisent différents médiums pour réinterroger le passé, interroger le présent, et surtout porter un regard sur ce monde en mutation." Selon elle, ces œuvres sont autant de fragments d'une "archive de la mémoire du monde", où chaque artiste traduit son expérience individuelle en un questionnement universel.

 

"Ce qui m'intéresse, c'est que ces artistes racontent l'histoire de la pérégrination plus que de la migration", souligne Diakite Prats. "Il ne s'agit pas seulement d'exil forcé, mais aussi de migrations choisies. Ce qui compte, ce n'est pas la distance parcourue, mais ce que le mouvement crée en soi."

Parmi les œuvres marquantes, le botari, un tissu noué d'origine coréenne, résume cette symbolique : "On se balade presque à travers le monde avec. Mais ce qui interpelle, c'est ce que l'on emporte en soi, ce qui n'est pas toujours visible. Chaque pas, chaque transition, apporte une couche supplémentaire à l'identité." L'artiste Silvina Der-Meguerditchian, originaire d'Argentine et vivant à Berlin, illustre cette transmission mémorielle à travers une installation faite de coussins, de photographies et de parfums inspirés du papier d'Arménie.

D'autres artistes jouent sur la mémoire et l'espace domestique. "L'ancrage n'est pas dans un lieu physique, mais en soi", poursuit Diakite Prats. "Ces artistes déconstruisent les archétypes que nous avons de l'identité et du foyer. Peu importe que l'on ait voyagé à travers des continents ou simplement changé de ville, le mouvement et le parcours sont ce qui nous façonne."

Un programme vivant et engagé

L'exposition, visible jusqu'au 31 août, s'accompagne d'événements parallèles à Carouge les 8 et 9 mars, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Films, débats et concerts viendront prolonger cette réflexion sur la migration et l'identité féminine.

Avec IA

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 2 heures

Au moins 40 morts dans les tempêtes et tornades aux USA

Les tornades et violentes tempêtes qui balaient le centre et le sud des Etats-Unis ont tué au moins 40 personnes,...

InternationalIl y a 2 heures

Les astronautes bloqués de l'ISS attendus mardi soir sur Terre

Les deux astronautes américains bloqués à bord de la Station spatiale internationale (ISS) depuis plus...

InternationalIl y a 4 heures

Moscou compte insister pour que l'Ukraine n'accède pas à l'Otan

La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un...

CultureIl y a 6 heures

L'actrice belge Emilie Dequenne est morte à 43 ans

L'actrice belge Emilie Dequenne est décédée à 43 ans, dimanche en début de soirée à...

FootballIl y a 10 heures

Battu par Yverdon, Servette reste en tête!

Lors du match commémoratif pour son 135e anniversaire, Servette s'est incliné (2-3) face à Yverdon...

Suisse RomandeIl y a 11 heures

Jeunesse vaudoise: cinq propositions sur la table du Grand Conseil

Près de huitante Vaudois de 14 à 20 ans ont participé ce week-end à Lausanne...

InternationalIl y a 14 heures

Dans la tourmente judiciaire, Bolsonaro mobilise ses partisans

Haranguant des milliers de manifestants, l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a scandé dimanche à Rio de...

InternationalIl y a 16 heures

Plus de 800 kg de cocaïne saisis dans un poids lourd dans la Drôme

Plus de 800 kg de cocaïne dissimulés dans un poids lourd ont été saisis samedi...

InternationalIl y a 17 heures

Le pape François se dit "affaibli" et "confronté à une épreuve"

Le pape François s'est dit "affaibli" et "confronté à une épreuve" dans un message de...

InternationalIl y a 18 heures

Les rebelles au Yémen menacent de riposter aux frappes américaines

Des frappes américaines ont visé samedi plusieurs bastions des rebelles yéménites houthis, dont la capitale...