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Economie

Femmes et mères plus souvent actives qu'il y a 20 ans

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La participation des mères avec enfant(s) de moins de 15 ans au marché du travail a augmenté de manière notable en 20 ans, relèvent les statistiques vaudoises (photo symbolique). (© Keystone/GAETAN BALLY)

Les femmes et les mères vaudoises sont plus souvent actives en 2020 en comparaison à 2000. Représentant 47% de la population active en 2020, contre 44% 20 ans plus tôt, les femmes travaillent de moins en moins à taux réduit et davantage dans les domaines de la santé et de l'action sociale ainsi que dans l'enseignement.

Indicateur de leur participation au marché du travail, leur taux d'activité est passé de 67% en moyenne en 2000 à 73% en 2020, indique mardi Statistique Vaud dans un communiqué. Si les Vaudoises sont plus souvent actives, elles travaillent également davantage à des taux d'occupation élevés. En 2020, elles sont ainsi 39% à travailler entre 50 et 89% (33% en 2000). Le changement est plus marqué parmi les femmes de 25 à 44 ans, détaille le communiqué.

En 2020, plus du tiers des Vaudoises travaillent dans le domaine de la santé et de l'action sociale (23%) ou dans l'enseignement (12%). Une part non négligeable d'entre elles sont occupées dans les Activités spécialisées, scientifiques et techniques (10%). Depuis 2010, ces trois branches ont vu la part de femmes augmenter le plus fortement, souligne le Canton.

Moins d'employées administratives

Autre changement, lié à la progression du niveau de formation, les femmes ont peu à peu quitté les professions de type employées administratives pour exercer des professions dites intellectuelles et scientifiques, note-on encore.

La participation des mères avec enfant(s) de moins de 15 ans au marché du travail a augmenté de manière notable, relèvent aussi les statistiques vaudoises. La part d'entre elles en activité a progressé d'environ dix points de pourcentage entre 2000 et 2010 pour atteindre 78% et se stabiliser ensuite.

Elles travaillent aussi plus souvent entre 50 et 89%. La part des mères travaillant à moins de 50% n'est plus que de 13%. L'amélioration des conditions de conciliation entre vie professionnelle et vie familiale explique notamment ces évolutions, estime le Canton.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Une motion pour fixer trois mois de domiciliation avant élection

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La motion de la gauche radicale a été déposée dans le cadre de l'affaire du nomadisme fiscal de la conseillère d'Etat Valérie Dittli (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Dans le cadre de l'affaire du nomadisme fiscal de la conseillère d'Etat Valérie Dittli, une motion de la gauche radicale demande un minimum de trois mois de domiciliation fiscale dans le canton avant la date du dépôt des listes de candidature pour le Conseil d'Etat. Elle a été déposée mardi et renvoyée à une commission, munie de 26 signatures de gauche (PS, Verts et EP).

Le texte demande l'introduction d'une nouvelle disposition dans la Loi vaudoise sur l'exercice des droits politiques (LEDP), au chapitre III "Election au Conseil d'Etat", a expliqué le député Hadrien Buclin d'Ensemble à Gauche & POP (EP). Il a précisé que les trois mois étaient un minimum et qu'il envisageait que ce délai puisse être allongé lors des débats en commission et au plénum.

Le nouvel alinéa proposé stipulerait qu'"une personne candidate ne peut être inscrite sur une liste que si elle a élu son domicile fiscal dans le canton de Vaud au plus tard trois mois avant l'échéance de dépôt des listes".

Premier blanchissement

La semaine dernière, Blick romand a révélé que l'expert fiscal mandaté par Valérie Dittli la blanchissait. La ministre a respecté les règles sur le domicile civil et l'assujettissement fiscal, selon un avis de droit rédigé par l'avocat Yves Noël. Aux yeux de ce professeur à l'Univeristé de Lausanne, le fait que Mme Dittli ait effectué son cycle académique complet avant l'âge de 30 ans est déterminant.

Ce document est apparu quelques jours après que le Conseil d'Etat a annoncé le lancement d'une expertise externe sur la situation fiscale de la ministre des finances, sous le feu des critiques pour avoir attendu 2022 avant d'établir son domicile fiscal dans le canton de Vaud.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Pour l'ASB, "rien n'a dysfonctionné" dans la reprise de CS par UBS

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La réputation de la Suisse "n'est pas détruite, mais elle a été affectée", a admis mardi en conférence de presse Marcel Rohner, président de l'Association suisse des banquiers après l'absorption de Credit Suisse par UBS. (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

L'Association suisse des banquiers (ASB) a exprimé mardi son approbation pour l'absorption de Credit Suisse (CS) par son rival UBS. "On ne peut pas dire que quelque chose a dysfonctionné", a déclaré face aux médias son président Marcel Rohner.

Selon lui, la crédibilité de la place financière helvétique a ainsi pu être préservée. La réputation de la Suisse "n'est pas détruite, mais elle a été affectée", a admis celui qui était à la tête d'UBS lors de la crise financière de 2008. "Les banques suisses sont bien capitalisées et le secteur financier est solide", a-t-il affirmé, soulignant les progrès réalisés depuis lors en termes de réglementation en matière de liquidités.

"Le plan B aurait été la liquidation de la banque selon le plan d'urgence de la loi sur les établissements systémiques ('too big to fail', ndlr) avec des conséquences dévastatrices", a poursuivi M. Rohner. Ainsi, il était préférable pour les actionnaires de CS de voir la valeur de leur titre amputée de deux tiers que de se retrouver sans rien. Quant aux détenteurs de titres de dette (AT1) annulés, ce risque était inhérent à leur investissement.

Pris de court

Interrogé sur la réaction tardive des autorités et des régulateurs, il a insisté sur la rapidité à laquelle les évènements se sont enchaînés la semaine dernière, qui a surpris tout le monde, selon lui. "Jamais je n'aurais pensé que la faillite d'une banque régionale américaine pourrait avoir des répercussions aussi importantes à l'échelle globale", a-t-il concédé, en référence à la débâcle de Silicon Valley Bank (SVB).

L'intervention de la Confédération et de la Banque nationale suisse (BNS) pour garantir la reprise de CS par UBS - que ce soit au niveau des garanties en matière de liquidités de plus de 200 milliards de francs, ou de la couverture d'éventuelles pertes à hauteur de 9 milliards, payables par le contribuable - était une condition nécessaire pour que l'accord aboutisse, estime M. Rohner.

UBS a dû se prononcer en l'espace de quelques jours sur une transaction qui normalement requiert des mois d'analyses approfondie (due diligence) a poursuivi le banquier. "La ligne de crédit et la couverture des pertes devrait permettre aux dirigeants d'UBS de convaincre leurs actionnaires que le risque est mineur", quand bien même leur approbation ne sera pas requise pour finaliser la transaction, au nom du droit d'urgence.

Pas de bonus

Pour ce qui est d'un potentiel remboursement de rémunérations versées aux dirigeants qui ont conduit à cette situation, l'Argovien estime que la question relève des deux partenaires privés, et que ce sera à leurs actionnaires d'entreprendre toute démarche dans ce sens.

"Personnellement, j'estime que le chef d'une banque qui essuie une perte ne devrait pas toucher de bonus", a martelé M. Rohner, rappelant que lorsqu'il était à la tête d'UBS au plus fort de la crise des subprimes, il n'en avait pas perçu pour ses deux dernières années en poste.

Concernant la situation hégémonique de la banque aux trois clés - déjà numéro un du secteur avant le mariage forcé avec son principal rival - le président de l'ASB s'est voulu rassurant. "UBS n'est pas intéressé par un monopole, et les clients vont certainement vouloir diversifier leurs dépôts", a-t-il affirmé, soulignant la diversité du secteur bancaire en Suisse.

La direction d'UBS a clairement laissé entendre quelles seraient ses priorités, a de son côté signalé August Benz, directeur général (CEO) par intérim de la faîtière des banquiers suite au départ de Jörg Gasser en janvier, soulignant que "l'accent sera mis sur son coeur de métier qui est la gestion de fortune, une activité qui présente nettement moins de risques que la banque d'affaires", en particulier à l'étranger.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Bâtiments d'Etat: tuile pour la droite en troisième débat

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Suite à un vote du Grand Conseil, des tuiles solaires pourront être posées sur des bâtiments de l'Etat qui vont être rénovés, à l'instar du Tribunal d'arrondissement de Lausanne (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Le Grand Conseil vaudois a donné son aval mardi à un crédit-cadre de 42 millions de francs pour financer les travaux d'entretien de bâtiments de cinq sites appartenant au canton. Il a confirmé de justesse son vote du premier débat, en acceptant un crédit additionnel de 3,2 millions incluant la pose de tuiles solaires.

Les sites concernés par les travaux sont le Tribunal d'arrondissement et l'Ecole supérieure de la santé à Lausanne, le Centre d'enseignement professionnel de Vevey, le Centre de protection de la population à Gollion et l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) à Bex. Les rénovations proposées concernent l’entier des bâtiments.

Deux variantes

Le débat politique a cependant porté sur le revêtement des toits. Le plénum avait le choix entre deux variantes. Soutenue par la droite, la première prévoyait d'ajouter la pose de panneaux solaires photovoltaïques sur les bâtiments de l'Ecole supérieure de la santé (Couvaloup), à Gollion et à Vevey.

Un montant additionnel de 1,45 million aurait permis de produire 632'000 kWh/an. Sur 25 ans, durée de vie moyenne d'un panneau solaire, le coût de production des kWh se serait monté à 9 centimes.

L'autre variante, qui visait à ajouter des panneaux, mais aussi des tuiles solaires "partout où cela est possible" a eu les faveurs de la gauche et des Vert'libéraux (PVL). Des bâtiments classés sont concernés, à l'image de l'Ecole de la santé (Château).

La production augmenterait à 790'000 kWh/an pour un investissement supplémentaire de 1,8 million. Sur 25 ans, les kWh additionnels seraient produits pour un coût de 45 ct.

Efficience ou innovation

Les partisans des tuiles ont ainsi plaidé pour un investissement courageux, arguant de l'exemplarité de l'Etat. Plusieurs ont estimé qu'il fallait choisir l'option la plus ambitieuse en vue de la neutralité énergétique prévue en 2035. Il faut soutenir l'innovation même si ces tuiles sont encore un peu chères, relevait le Vert Alberto Mocchi.

C'est bien là que le bât blesse, selon la droite qui a préconisé d'investir là où l'efficience est bonne. Poser des tuiles sur des bâtiments classés est techniquement compliqué et non rentable, ont affirmé des députés PLR.

La conseillère d'Etat Isabelle Moret en charge du dossier avait elle aussi plaidé mardi dernier pour la sobriété. Elle a annoncé qu'un plan d'action à 40 millions était prévu pour des panneaux photovoltaïques dans les 10 ans à venir, a rappelé le PLR Pierre-André Romanens. Pour la droite, il faut les investir à bon escient et garder ces quelque deux millions à cet effet. L'option tuile coûte trop cher pour ce qu'elle rapporte.

Revirements

Mardi dernier, lors du deuxième débat, la droite a eu gain de cause à une voix près. Au troisième débat, les députés sont revenus au choix du premier par 71 votes pour contre 69 contre. Le crédit additionnel de 3,3 millions pour effectuer des travaux d'amélioration de l'efficience énergétique des sites de Marcelin à Morges et de l'ETML à Lausanne a lui passé la rampe sans discussion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Forte hausse du chiffre d'affaires des produits bio

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Le chiffre d'affaires des produits bio dans le commercer de détail a augmenté de 22,5 % (Photo prétexte).. (© KEYSTONE/DPA-Zentralbild/BERND SETTNIK)

Le chiffre d'affaires des produits bio dans le commerce de détail a augmenté de 22,5% en quatre ans en Suisse, pendant que celui des produits non bio progressait de 6,9%, a indiqué l'Office fédéral de l'agriculture. La part de marché du bio est passée de 9,9% à 11,2%.

La hausse marquée du chiffre d'affaires des produits bio correspond à une augmentation de 2,68 à 3,28 milliards de francs entre 2018 et 2022.

Entre 2021 et 2022, le chiffre d'affaires des denrées alimentaires en général a baissé de 4,6% dans le commerce de détail. Celui des aliments bio a connu une baisse de 2,2%, et celui des aliments non bio de 4,9%. Cette évolution à la baisse s'explique avant tout par la normalisation de la consommation après la fin de la pandémie, a précisé mardi l'OFAG.

L'écueil du prix

La hausse de la part de marché du bio constatée entre 2018 et 2022 ne va pas forcément se poursuivre dans les mêmes proportions. Le renchérissement fait peser une incertitude à ce sujet, relève le communiqué.

L’Institut de recherche de l’agriculture biologique (FiBL) a réalisé auprès d’un millier de personnes dans toute la Suisse un sondage représentatif, le Biobaromètre. D’après ce sondage, la grande majorité des participants envisagent de maintenir ou d’augmenter leur consommation de bio à l’avenir aussi.

Cependant, la hausse du coût de la vie pourrait mettre un frein à ces intentions. En effet, 16% des sondés ont indiqué qu’ils consommeraient moins de bio à l’avenir à cause de l'inflation. Il ressort également que le prix est considéré comme le principal obstacle aux achats de bio.

Par ailleurs, les magasins discounts, jusqu’alors peu présents sur ce marché, sont devenus le deuxième canal de distribution de denrées alimentaires bio, après les détaillants classiques, comme le révèle l’analyse des données du panel de ménages et de détaillants de NielsenIQ Switzerland. Cet élargissement devrait avoir un impact favorable sur le bio.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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UBS-CS: l'USS réclame le maintien des emplois et un bon plan social

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Daniel Lampart, premier secrétaire de l'USS, a exigé des garanties pour le personnel mardi, après le rachat de CS par UBS. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Après le rachat éclair de Credit Suisse par UBS, l'Union syndicale suisse (USS) exige le maintien des emplois et des mesures de prévention. Ce n'est pas aux employés de payer "pour les fautes des managers de la banque et des autorités", tonne-t-elle.

Dans une conférence de presse commune à Berne, la centrale syndicale a exprimé son soutien mardi à l'Association suisse des employés de banque (Aseb) dans sa lutte pour maintenir les emplois et obtenir un bon plan social.

"Les deux banques ont le devoir d'éviter des coupes brutales. L'enjeu est colossal pour les 17'000 employés de Credit Suisse. Directement ou indirectement, des dizaines de milliers d'emplois sont potentiellement menacés", estiment les syndicats.

L'USS fustige les "risques excessifs des responsables de CS qui ont acculé la banque à la faillite" et accuse la Confédération et la BNS d'avoir "jeté de la poudre aux yeux" à la population en prétendant avoir réduit les problèmes des banques d'importance systémique. "Il convient d'éviter que de tels événements se reproduisent", clame-t-elle.

"Task force"

C'est à la fois "horrible et vrai", constate la faîtière: quinze ans après UBS, c'est au tour de Credit Suisse (CS) de devoir être sauvé par l'Etat. Les grands perdants sont "les employés de CS et la population, alors que les anciens responsables de CS ont quitté le navire depuis longtemps avec leurs millions".

L'Aseb réclame des mesures pour favoriser la reconversion du personnel qui sera touché par les rationalisations et demande d'éviter tout licenciement jusqu'à fin 2023.

Les deux organisations estiment urgente la mise en place d'une "task force" réunissant d'ici la fin du mois les partenaires sociaux - donc aussi UBS - afin de préparer un "parapluie de sauvetage" pour le personnel".

Un tel groupe de travail représente un espace structuré pour mener des négociations, a précisé le président de l'USS Pierre-Yves Maillard.

Protection pour les plus de 55 ans

En cas de licenciements, l'USS demande que les personnes concernées puissent retrouver un travail le plus vite possible. Lors de la fusion, les contrats de travail qui seront transférés doivent être assortis d'une protection contre le licenciement, en particulier pour les plus de 55 ans, exige-t-elle encore.

A l'avenir, il reviendra aux autorités de veiller à ce que les banques disposent d'assez de réserves en liquidités et en fonds propres "pour pouvoir supporter elles-mêmes les pertes dans tous les cas de figure". Des restrictions sur la prise de risques des banques doivent être imposées, "et les bonus qui poussent vers les risques doivent disparaître", exige aussi l'USS.

Mais il ne s'agit pas de supprimer les bonus à tous les employés: pour nombre d'entre eux, ils représentent le 13e salaire, a indiqué le chef économiste de l'USS Daniel Lampart.

La conseillère fédérale en charge des finances Karin Keller-Sutter "va devoir expliquer pourquoi on soutient UBS et CS alors que dans le même temps, on économise sur les rentes AVS et on fait baisser celles du 2e pilier" (...), sans compter que "les primes maladie ne cessent de prendre l'ascenseur", relèvent encore les syndicats.

Selon l'institut de recherches BAK Economics, le rachat de CS menace directement "entre 9500 et 12'000 emplois", soit jusqu'à près d'un tiers des effectifs cumulés des deux banques en Suisse (quelque 40'000 postes à elles deux).

Paquet d'aides

La reprise de CS par Credit Suisse pour 3 milliards de francs, annoncée dimanche suite à une série de déboires de CS touchée notamment par des retraits de fonds extrêmement importants, a été rendue possible par un engagement massif de la Confédération et de la Banque nationale suisse (BNS).

La Confédération a accordé une garantie de 9 milliards de francs à UBS afin de réduire les risques liés à l'opération.

Les deux groupes bancaires peuvent aussi "obtenir (de la BNS) une aide sous forme de liquidités jusqu'à concurrence de 100 milliards de francs au total, au moyen d'un prêt couvert par un privilège en cas de faillite". Par ailleurs, la BNS peut allouer à Credit Suisse une aide "jusqu'à concurrence de 100 milliards de francs sous la forme d'un prêt couvert par une garantie de la Confédération".

La directrice de l'Aseb Natalia Ferrara a demandé que les milliards de francs de garantie de la Confédération soient liés à des conditions en faveur du personnel. Les employés d'UBS seraient eux aussi dans l'incertitude.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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