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Culture

Royal baby: pourquoi sommes-nous autant passionnés?

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Kate et William ont accueilli lundi leur 3e enfant.

Kate Middleton a donc accouché d’un garçon. La Duchesse de Cambridge et l’enfant se portent bien, selon le palais de Kensington. Pour le moment, le nom du rejeton royal n’est pas encore connu. Comme d’accoutumé, il sera dévoilé dans quelques jours. Arthur, Albert et James sont les plus populaires.

Mais comment expliquer cette passion pour cette famille de têtes couronnées qui semble si loin nous ? Nous avons posé la question au spécialiste Christophe Passer, journaliste au Matin Dimanche :

Christophe PasserJournaliste au Matin Dimanche

Cette famille est aussi et surtout une masse économique très importante pour le Royaume Uni. Christophe Passer:

Christophe PasserJournaliste au Matin Dimanche

Ce business florissant n’est pas terminé car d’autres événements vont arriver prochainement : le mariage du Prince Harry en mai et nous apprenions dernièrement que la sœur de Kate Middleton, Pippa, attendait son premier enfant.

Les fans de la famille royale du monde entier se sont réjouis de cette nouvelle. C’est le cas de Lorraine 24 ans, elle est étudiante en journalisme et elle aime suivre les aventures de la famille royale, comme beaucoup d’entre nous mais avec un certain détachement:

LorraineFan de la famille royale

Mais cela n'empêche pas Lorraine de collectionner certains objets :

LorraineFan de la famille royale

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Culture

L'exécutif genevois consterné par le plan d'économies de Tamedia

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Consterné par le nouveau plan d'économies de Tamedia, le Conseil d'Etat genevois a envoyé lundi une lettre au président du conseil d'administration de TX Group, propriétaire notamment de la Tribune de Genève. Lundi matin, des journalistes manifestaient à Lausanne (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Conseil d'Etat genevois est consterné par le nouveau plan d'économies de Tamedia et le nombre élevé de licenciements qui en résultera. Il a envoyé une lettre dans ce sens au président du conseil d'administration de TX Group, propriétaire notamment de la Tribune de Genève.

Le gouvernement genevois a rappelé à l'éditeur que la presse n'est pas un simple bien de consommation, a-t-il indiqué mercredi. Dans son courrier envoyé lundi, il a notamment écrit que la presse est le "pilier du débat public et d'une démocratie forte, elle doit être respectée comme telle et ne peut être gouvernée par de simples considérations financières".

TX Group prévoit de supprimer cet automne jusqu'à 28 postes sur 247 collaborateurs en Suisse romande, soit environ 10% des effectifs. Tous les titres et services éditoriaux sont touchés. Le Conseil d'Etat s'inquiète des conséquences de ce plan d'économies sur l'emploi et la qualité des médias affecté.

L'exécutif genevois précise avoir demandé aux "dirigeants de Tamedia de l'informer régulièrement et précisément sur les démarches en cours et à assumer leurs responsabilités d'employeur." Plus de 70 collaborateurs de Tamedia Suisse romande ont protesté lundi matin à Lausanne contre la restructuration des rédactions du groupe. Le débrayage marquait le début des négociations avec la direction.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Ringier reprend entièrement Ringier Axel Springer Suisse

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Marc Walder et la nouvelle directrice de Ringier Medien Schweiz, Ladina Heimgartner, misent sur les magazines, ont-ils souligné mercredi. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'éditeur Ringier et l'Allemand Axel Springer mettent fin à leur partenariat au sein de Ringier Axel Springer Suisse (RASCH). Ringier reprend les 35% de parts d'Axel Springer. Les 20 titres concernés, dont l'Illustré et PME Magazine, seront conservés.

Les magazines et les titres suisses sont regroupés dans la nouvelle l'entité "Ringier Médias Suisse", qui occupe un millier de collaborateurs, a indiqué mercredi le CEO de Ringier Marc Walder lors d'une conférence de presse. La Commission de la concurrence (COMCO) doit encore donner son feu vert.

La directrice sera Ladina Heimgartner, qui était jusqu'à présent CEO du groupe Blick. Aucun poste ne sera supprimé au sein des rédactions. Au niveau des éditions, il y aura des "synergies", selon Marc Walder, mais le nombre de postes supprimés n'est pas encore défini.

Ringier mise toujours sur les magazines, ont souligné M. Walder et Mme Heimgartner. En revanche, Axel Springer s'oriente de plus en plus vers le numérique. Dans un communiqué, Matthias Döpfner, directeur d'Axel Springer, indique que 90% du chiffre d'affaires est effectué en ligne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les stars du web retrouvent leur Royaume à Genève

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KEYSTONE Byline MARTIAL TREZZINI

Ce week-end, Palexpo accueille des stars de Youtube ou Instagram. 10 000 personnes sont attendues. 

Les stars des réseaux sociaux réunies ce week-end à Genève. Elles se retrouvent pour le Royaume à Palexpo pour trois jours de fête. 

Parmi les têtes d’affiche les plus populaires: Tibo Inshape, Amixem, l’atelier de Roxane ou encore Juju Fitcats. Ils cartonnent sur Youtube, TikTok, Instagram ou Twitch, chacun dans des domaines bien différents. Ils se succéderont sur scène pour des performances en live, par exemple recréer des vidéos, du gaming ou de la magie. Cet événement sera aussi l’occasion de rencontrer leurs abonnés qui pourront découvrir les coulisses de leur métier. Si le public visé reste la jeunesse, les parents sont aussi les bienvenus.

Bertrand Saillen, directeur artistique du Royaume:

Bertrand SaillenDirecteur artistique du Royaume

Toutes les générations peuvent s’y retrouver. Même si les réseaux sociaux sont utilisés en majorité par les plus jeunes, on peut devenir créateur de contenu à tout âge:

Bertrand SaillenDirecteur artistique du Royaume

Enfin, la musique ne sera pas en reste avec des concerts:

Bertrand SaillenDirecteur artistique du Royaume

10 000 personnes sont attendues sur les trois jours.

Infos sur le site du Royaume.

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Culture

En appel, Alain Soral se défend à nouveau de toute homophobie

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L'essayiste franco-suisse Alain Soral s'est à nouveau retrouvé devant la justice vaudoise, mercredi, pour un procès en appel pour homophobie. (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'idéologue d'extrême droite Alain Soral a comparu mercredi en appel devant le Tribunal cantonal vaudois à Lausanne pour homophobie. En première instance, il avait uniquement été condamné pour diffamation. Le Ministère public a redemandé trois mois de prison.

Alain Soral, de son vrai nom Alain Bonnet, bientôt 65 ans et domicilié à Lausanne depuis octobre 2019, est jugé à la suite d'une vidéo où il a attaqué une journaliste de La Tribune de Genève et de 24 heures ayant publié un article à son sujet en août 2021 qu'il estime à charge.

Dans cette vidéo publiée sur le site internet de son association Egalité et Réconciliation (E&R), l'essayiste franco-suisse a traité la journaliste de "grosse lesbienne" et "militante queer", insinuant que ce dernier terme voulait dire "désaxé". Celle-ci a déposé une plainte pénale en septembre 2021.

M. Soral est repassé devant la justice vaudoise à la suite de l'appel déposé par le Parquet en février dernier contre le jugement du Tribunal d'arrondissement de Lausanne du 16 décembre 2022. Ce dernier ne l'avait pas condamné à trois mois de prison ferme pour discrimination et incitation à la haine, comme le soutenait alors le Parquet. Il avait toutefois écopé de 30 jours-amendes à 50 francs pour diffamation.

Même arguments

Sans nouvelle surprise, les deux parties sont restées dans leurs argumentaires de première instance. Le nouveau procureur général Eric Kaltenrieder, dont c'était le premier réquisitoire depuis son entrée en fonction en début d'année, a repris dans les grandes lignes celui de son prédécesseur Eric Cottier.

Il a réitéré que les propos d'Alain Soral étaient "dépréciatifs, rabaissants et discriminants". "Ce ne sont pas que des mots, ce sont des messages (...) M. Soral a de la haine et du mépris pour les homosexuels (...) Il n'est pas crédible lorsqu'il affirme le contraire", a déclaré M. Kaltenrieder.

Le Parquet a donc une nouvelle fois requis trois mois de prison ferme, dans une "logique pénale" pour "dissuader le prévenu de récidiver", lui qui a déjà été condamné à une vingtaine de reprises en France, en grande partie pour des infractions liées à la provocation à la haine, diffamation et injure antisémite.

"Procès d'inquisition assez épouvantable"

L'avocat du prévenu, Me Pascal Junod, a de nouveau réfuté toute homophobie, évoquant l'acharnement spéculatif du Ministère public et "un procès d'inquisition assez épouvantable" "C'est l'homme que l'on veut juger et non pas ses quelques mots d'une réaction à chaud, à savoir une réponse du berger à la bergère", a-t-il dit.

L'article en question a été la "goutte qui a fait déborder le vase dans un contexte de harcèlement médiatique avant même l'installation de M. Soral en Suisse", a expliqué l'avocat de la défense. Il s'agit d'une réaction envers une journaliste et non envers toute la communauté LGBT, selon lui. Il a donc écarté toute idée de propagation d'idéologie.

Me Junod a encore relevé que l'enjeu de ce procès était d'obtenir "une jurisprudence Soral sur l'homophobie" en Suisse. Il a redemandé l'acquittement pour son client. Si une peine devait être prononcée, il a insisté pour qu'elle soit "clémente" et assortie du sursis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Cinéma & Séries TV

A Hollywood, seuls les scénaristes vont reprendre le travail.

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Des scénaristes devant Warner Bros., Discovery, et Netflix vont pouvoir reprendre le travail (© AP Photo/Mary Altaffer)

Les dirigeants de la Writers Guild of America (WGA), le puissant syndicat des scénaristes, ont approuvé mardi soir le récent accord salarial conclu avec les studios. Ils ont acté le retour au travail de leurs membres dès mercredi.

Le conseil d'administration du syndicat "a voté unanimement pour recommander l'accord" salarial, a-t-il fait savoir sur X, anciennement Twitter. "La grève prend fin à 00h01", heure de Los Angeles, ce mercredi.

Concrètement, l'accord peut théoriquement encore être rejeté par les 11'500 scénaristes représentés par la WGA aux Etats-Unis: il doit faire l'objet d'un vote, qui aura lieu "entre le 2 et le 9 octobre", a annoncé le syndicat.

Mais la plupart des spécialistes de l'industrie pensent que la ratification de cet accord, qui inclut des "gains significatifs" en matière de rémunérations ainsi que des protections pour encadrer l'usage de l'intelligence artificielle, devrait être une formalité. En attendant que le processus soit complété, les plumes de l'industrie vont donc pouvoir reprendre le travail dès mercredi.

De nombreuses séries et films américains bloqués aux premiers stades d'écriture vont ainsi pouvoir être remis en chantier. Les talk-shows de fin de soirée, animés par des présentateurs qui ont besoin de scripts, devraient aussi revenir à l'antenne dans le courant du mois prochain.

Acteurs toujours en grève

Mais même après l'ultime ratification des scénaristes, Hollywood sera encore loin d'un retour à la normale. Car les acteurs, représentés par le syndicat SAG-AFTRA, sont eux toujours en grève. Une résolution de ce conflit social, qui dure depuis la mi-juillet, pourrait prendre encore des semaines. Car certaines des revendications du SAG-AFTRA vont plus loin que celles de la WGA.

Les négociations s'annoncent donc ardues. D'autant que les studios savent que ce qu'ils lâchent aux acteurs servira de mètre étalon pour les professions techniques de l'industrie, dont les conventions collectives doivent être renouvelées l'année prochaine. Même après le retour des comédiens au travail, il faudra sûrement encore des mois pour réellement remettre tout le monde sur les plateaux et rattraper les retards accumulés par une myriade de productions hollywoodiennes.

Contenu de l'accord révélé

La WGA a également publié mardi soir le détail de l'accord passé avec les studios, dont le contenu exact n'avait pas filtré depuis sa conclusion dimanche. Le compromis montre que les studios ont cédé à la plupart des revendications portées par le syndicat et semble dessiner une victoire des scénaristes.

Il inclut notamment une prime lorsqu'une série ou un film rencontre un certain succès sur une plateforme de streaming, c'est-à-dire lorsque "20% ou plus des abonnés nationaux du service" visionnent la production "dans les 90 premiers jours de sa sortie". En matière d'intelligence artificielle, les scénaristes ont également obtenu des garanties pour ne pas se faire remplacer par des robots.

L'accord leur permet de retravailler des scripts initialement générés par une IA, tout en étant considéré comme l'unique auteur de ce travail, et donc sans être moins rémunéré. Une clause prévoit également que "l'exploitation du matériel des scénaristes pour former l'IA est interdite". Autrement dit, des robots ne pourront pas être nourris par des scripts de créateurs syndiqués pour améliorer leurs capacités narratives. Un point sur lequel les studios étaient longtemps restés silencieux.

Avec Kestone-ATS

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