Cosey publie son nouvel album “Yiyun”. Une bande dessinée qui mêle plusieurs thèmes très différents, la politique de l’enfant unique en Chine ou les papiers découpés. L’auteur s’amuse à perdre le lecteur dans une intrigue passionnante.
Des Alpes suisses à la Chine.
Voilà le voyage que nous propose Cosey.
L’auteur de bande dessinée lausannois publie “Yiyun” son nouvel album dont l’action se déroule dans le Pays-d’Enhaut. Le personnage principal s’appelle Urs, il tombe amoureux d’une jeune Chinoise qu’il recroise chaque année en classe de neige. Cosey:
Cosey
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CoseyAuteur de BD
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"Cette fille est totalement incohérente dans son comportement, ça ajoute encore au mystère. On n'y comprend rien. Mais c'est un peu le but, jusqu'à ce que finalement la vérité soit révélée à travers cette technique des papiers découpés."
Car Urs, le héros, réalise des œuvres en papier découpé pour se faire un peu d'argent. Un art qui passionne l’auteur.
Cosey
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"Je suis allé prendre un cours. Je suis allé à Château-d'Œx, où il y a un musée du découpage. Et là, j'ai pris un cours et c'est fastidieux. C'est un travail avec une maîtrise constante, on ne peut pas se laisser aller."
Et au-delà de cette romance, l’histoire se transforme vite en intrigue. Cosey aborde un sujet délicat, celui de la politique de l’enfant unique en Chine:
Cosey
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"J'avais quand même une gêne, parce que je me disais, moi, le brave dessinateur suisse qui vit dans son petit confort, qui parle de ces horreurs, c'est un peu facile. Et j'ai pu rencontrer une dessinatrice chinoise qui s'appelle Maou, qui, elle, a traversé cette période. En discutant avec elle, je lui ai demandé de faire une introduction, au final, elle a dessiné huit pages."
Précisons que Maou, l’autrice lausannoise a publié "Fleur de prunier".
Une personne regarde des reproductions des personnages des albums d'Asterix en avril 2025 au Chateau de Saint-Maurice (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)
Le célèbre Gaulois part au Portugal, un territoire qu'Asterix n’avait jamais foulé mais que le scénariste Fabcaro et le dessinateur Didier Conrad ont souhaité explorer tout en respectant une recette: faire rire, tout en restant fidèles à l’héritage d’Albert Uderzo et René Goscinny. Entretien en version longue.
Fabcaro & Didier Conrad
Scénariste & Dessinateur
Fabcaro & Didier ConradScénariste & Dessinateur
Fabcaro & Didier ConradScénariste & Dessinateur
La Lusitanie de l’époque romaine n’était pas un terrain familier pour les auteurs. Si Fabcaro connaît le Portugal moderne, il reconnaît qu’il a dû « se documenter sérieusement » sur son passé antique. « C’est de là que vient l’histoire. Elle naît de la documentation. »
Je voulais respecter la tradition d’alternance entre albums au village et albums en voyage; le Portugal n’avait jamais été abordé
Fabcaro
Pour Didier Conrad, la reconstitution graphique du pays a nécessité un travail minutieux. Il a pu s’appuyer sur des documents historiques, des photos fournies par son acolyte, mais aussi sur des ressources numériques. « Même les costumes ont été pensés à partir de recherches », précise-t-il. « Il y a une reconstitution de la ville d’Olisipo – l’ancienne Lisbonne – que j’ai pu recréer à partir de modélisations 3D. »
Si l’on sait qu’Astérix et Obélix partent aider un petit Lusitanien croisé pour la première fois dans Le Domaine des dieux, le reste de l’intrigue est tenu secret. Aucune planche, aucune page n’a filtré. Une rareté à l’ère des aperçus en rafale.
On est dans une époque où tout est spoilé. C’est beau de se dire que le lecteur va tout découvrir en ouvrant l’album. C’est presque intemporel
Didier Conrad
Ce nouvel album, ancré en Lusitanie, suscite naturellement une attention toute particulière de la part du public portugais. Les auteurs en ont pleinement conscience. Le livre a d’ailleurs été présenté en avant-première à l’ambassade du Portugal, preuve de l’importance accordée à cette réception locale.
Quand l’ambassadeur nous a dit qu’il s’était marré, on a soufflé un peu. On s’est dit: ça va, on n’a pas fait trop de bêtises
Fabcaro
Fabcaro et Didier Conrad durant la présentation de l'album "Asterix en Lusitanie" à l'embassade du Portugal à Paris le 13 octobre 2025 (EPA/Teresa Suarez)
Travailler sur un mythe
Malgré le poids de l’héritage, les auteurs affirment travailler avec une grande liberté d’esprit. « Heureusement qu’on n’a pas la pression pendant qu’on travaille, sinon on serait tétanisés », sourit Fabcaro.
Didier Conrad, qui en est à son septième album, évoque un processus qui se répète. « C’est un rituel. Les lecteurs savent comment ça fonctionne, ils aiment ça. »
Leur but n’est pas de faire du Goscinny ou du Uderzo, mais de leur rendre hommage. « Goscinny, c’est inatteignable », reconnaît Fabcaro. « On fait ce qu’on peut, mais on essaie d’être à la hauteur. »
On a envie de faire un vrai Astérix. Pas une parodie. Pas un truc absurde
Et quand ils relisent les anciens albums, c’est toujours « par plaisir », pas par nécessité. L’univers est déjà bien en tête tout comme les albums fétiches. Pour Didier Conrad, ce sont Astérix chez les Bretons ou Astérix et Cléopâtre. Pour Fabcaro, ce jour-là, ce sera Le Combat des chefs.
Asterix en Lusitanie est lancé en simultané dans 19 langues. Didier Conrad a livré les dessins au début de l’été, les couleurs ont suivi. Fabcaro, lui, a travaillé le scénario dès la sortie de L’Iris blanc, jusqu’au dernier moment. « Je modifie des virgules jusqu’à l’impression », confie-t-il.Avec IA
Une femme passe devant le café des Deux Magots Cafe, à Paris, le 21 novembre 2002 (AP Photo/Michel Euler)
Le 92e prix des Deux Magots a été décerné lundi à Paris à l’écrivain genevois Joseph Incardona pour son roman "Le monde est fatigué" (Finitude, 2025). Il a également été retenu fin septembre dans la deuxième sélection du Prix Femina 2025.
Dans "Le monde est fatigué", Joseph Incardona suit le parcours d’Êve, sirène professionnelle dont les prestations émerveillent les foules dans les aquariums géants de Dubaï, Tokyo ou Brisbane. Mais derrière la grâce aquatique de cette créature de silicone se cache une femme mutilée, marquée à vie par un accident de la route. Le roman s’attache à sa quête de vérité et de justice: retrouver le coupable, rétablir les comptes, se venger.
Loin d’un simple thriller, le texte dépeint un monde saturé de faux-semblants. "Cela parle de solitude, de rébellion, de l’état du monde et d’une forme de superficialité", confiait l’auteur à la RTS à la sortie du roman. Un monde désenchanté, que le personnage d’Êve traverse, croisant sur sa route des figures grotesques, mais attachantes, comme Matt Mauser, détective obèse rongé par ses échecs.
Une voix mordante
A 56 ans, Joseph Incardona est loin d’en être à son coup d’essai. Né d’un père italien et d’une mère suisse, installé à Genève, il a signé une quinzaine de romans, ainsi que des pièces de théâtre, des nouvelles et un film coréalisé en 2013 (Milky Way).
En 2024, il proposait avec "Stella et l’Amérique" un road-trip grotesque et provocant où une prostituée réalisait des miracles. Une adaptation à l’écran n'est pas exclue.
Joseph Incardona succède au palmarès du prix des Deux Magots à Jean-Pierre Montal, récompensé en 2024 pour "La face nord" (Séguier). Créé en 1933 en réaction à l’académisme du Goncourt, il est doté de 7700 euros.
Thomas VDB présente "Fiascorama" publié aux éditions Buchet-Chastel.
Pourquoi Thomas VDB a-t-il vexé, sans le vouloir, Nicola Sirkis, le chanteur d’Indochine? A quel moment a-t-il dû interpréter une boule de coton sur scène? Ou pourquoi une sortie en tyrolienne a-t-elle failli tourner au drame? Ces anecdotes croustillantes sont à découvrir dans "Fiascorama", le nouveau livre de l’artiste français.
Thomas VDB présente ses plus belles foirades.
Voilà sans doute la meilleure manière de résumer le dernier livre de l'humoriste français, de son vrai nom: Thomas Vanderberghe.
"Fiascorama" est le deuxième ouvrage de Thomas VDB dans lequel il confesse les fiascos de sa vie professionnelle et privée. Des moments de poisse qui nous font rire car précisons-le, ils ne sont jamais graves. Car oui, on rit, on rit beaucoup même en lisant ces lignes. On pourrait croire que l’auteur nous dévoile en avant première son prochain stand-up, mais ce n’était pas son intention de départ. Thomas VDB:
Thomas VDB
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"L'idée ne m'était pas venue, mais ça m'est tellement suggéré ces derniers temps que je me dis, peut-être que mon prochain spectacle est écrit. Il y a plein de trucs qui pourraient être des anecdotes et qui pourraient se transformer en sketch, certainement."
Thomas VDB se définit lui-même comme un “patapouf de gentillesse”. Il n’a donc plus le choix, maintenant qu’il l’a écrit, il devra être extrêmement sympathique avec les gens qu’il croisera:
Thomas VDB
Thomas VDB
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"Toute ma vie on m'a dit « Ah t'es sympa, on sent qu'on peut venir te parler ». Et donc je suis là « Ok bon, ça fait quand même beaucoup de conversations à avoir avec tout le monde ». On m'appelle pour des plans. « Tu veux bien venir animer une soirée samedi soir ? Il n'y a pas de thunes, mais par contre il y aura du pâté et du vin, tu peux venir ». Et donc je suis là « Bon d'accord ».
Tellement gentil qu’à un moment de sa vie, Thomas VDB s’est retrouvé avec de parfaits inconnus dans son salon:
Thomas VDB
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"Un jour je prête mes clés et je reviens chez moi, je vois un gars que je ne connaissais pas qui dort dans mon salon (...) il me dit « non mais je pensais que tu rentrais demain, mais en fait Clarisse elle m'a filé les clés ». Voilà donc je me suis retrouvé à boire un café un matin dans mon salon avec un mec que je ne connaissais pas."
Entre deux anecdotes, l’humoriste s’adresse parfois directement au lecteur “bravo, vous avez fait l’effort d’aller jusqu’à la page 149”. A t-il peur que les gens lâchent le bouquin?
Thomas VDB
Thomas VDB
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"J'aime bien l'idée de m'adresser au lecteur en disant, on est à la moitié du livre, allez, on continue, on ne lâche pas l'affaire. Mais bon, je leur dis, vous avez le droit de sauter des pages."
Thomas VDB est un touche-à-tout. D’abord journaliste musical, il est passé par la scène, le spectacle de rue, le cinéma ou encore la radio. Des expériences qui n’ont pas toujours été aussi parfaites qu’il l’aurait souhaité et dont il parle avec honnêteté et toujours beaucoup d'humour.
Ces fiascos peuvent s’expliquer par son TDAH. Sa compagne l’encourage à passer un test qui validera son Trouble du Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité. Un trouble qui a sans doute fait beaucoup pour son succès populaire:
Thomas VDB
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"J'ai vu un spécialiste et le mec me dit que ça se soigne mais que ça va très bien avec mon métier et c'est vrai. Parce que ce côté où je change de sujet, j'ai une phrase qui s'arrête au milieu, ça fait partie de moi."
"Fiascorama" est publié aux éditions Buchet-Chastel.
Le livre se termine sur une dernière boulette, l’ultime chapitre qui n’est pas conservé dans la version finale, il s'agit de sa première rencontre avec Thomas Dutronc.
Pour en savoir plus, retrouvez l’interview de Thomas VDB en intégralité ci-dessous:
Nicolas Feuz avec son nouveau roman "La secte" publié aux éditions Rosie & Wolfe.
“La secte”, le nouveau roman de Nicolas Feuz est directement inspiré de l’histoire vraie de l’Ordre du Temple solaire. Des faits qui ont marqué notre région il y a 30 ans. Le procureur et romancier neuchâtelois a imaginé une branche de cette affaire hors norme qui se déroule à Genève et en Valais.
Nicolas Feuz nous replonge dans l’affaire de l'Ordre du Temple solaire.
Le procureur et romancier neuchâtelois se sert de cet événement tragique comme point de départ de son vingtième roman “La secte”. Pour rappel, l’OTS avait sévi, il y a 30 ans, en Suisse, à Cheiry et Salvan, en France et au Canada. Plus de 70 personnes sont mortes lors de différents massacres dans les années 90.
Ce thriller se déroule sous la forme d’un huis clos, une retraite en montagne en Valais qui tourne au cauchemar. On retrouve l’inspectrice Ana Bartomeu qui était l'héroïne du “Philatéliste”, l’un des précédents romans de Nicolas Feuz. Elle va devoir, malgré elle, de nouveau mettre sa casquette d’enquêtrice.
En 1994, Nicolas Feuz avait 23 ans, il était alors en étude d’avocat et cette affaire l’a profondément marqué à l’époque:
Nicolas Feuz
Procureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
"C'est un petit peu comme le 11 septembre 2001. C'est quelque chose qui reste en tête dont les médias parlent pendant des jours, voire des semaines. Là, ça se passait en plus chez nous, à Chéry et à Salvan. Je dirais que ce n'est pas l'affaire qui m'a poussé vers le métier de juge d'instruction ou le ministère public. En revanche, je me souviens avoir suivi cette affaire dans les médias. Je me souviens avoir été fasciné par le travail de la police fribourgeoise, par celui de la police valaisanne, par le juge d'instruction fribourgeois qui a été énormément pris à partie à l'époque. Et j'ai côtoyé par la suite comme juge d'instruction de Neuchâtel."
L’écrivain neuchâtelois ajoute à cette affaire de l’OTS un récit de fiction, il y a donc deux lectures dans ce roman, une réelle et fictionnelle:
Nicolas Feuz
Procureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
"J'essaie de ne pas trahir les faits, en tout cas s'agissant des flashbacks sur l'OTS, j'essaie d'être le plus précis possible selon évidemment le résultat des recherches que j'ai faites. Je pense avoir été assez peu fictionnel sur ces flashbacks, sauf évidemment quand je me place dans la peau de protagonistes qui sont aujourd'hui décédés. J'ai pris plus de recul par exemple sur des épisodes de Chéri et Salvant que je décris de l'extérieur, c'est-à-dire que je décris sous l'angle des enquêteurs qui interviennent dans ces maisons incendiées. Et c'est quelque chose que je fais dans tous mes livres, j'essaie de mêler fiction et réalité, à tel point que c'est assez marrant si j'ose cet adjectif aujourd'hui, parce que dans tous les dédicaces, énormément de lecteurs me disent « Mais finalement dans votre livre, on ne sait plus ce qui est réel ou ce qui ne l'est pas. »
La partie fiction se déroule dans un refuge en Valais et à Genève. Nicolas Feuz à ajouter une branche à cette affaire de l’OTS déjà complexe:
Nicolas Feuz
Procureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
Nicolas FeuzProcureur et romancier neuchâtelois
"Il y a une petite part fictionnelle dans les flashbacks, c'est-à-dire qu'il y a un procès, alors un procès fictif dans la réalité, réel dans le livre, qui se passe au Tribunal de la Genève et j'ai imaginé ce procès en parallèle à celui de Michel Tabachnik qui était jugé dans la vraie vie à Grenoble pour sa participation à l'OTS. Je pense que ce procès fictif devant la cour d'assises genevoise aurait pu se passer, alors faudra voir comment les experts du milieu, c'est-à-dire les juges, les procureurs, les policiers, appréhendent ce récit-là, mais j'ai essayé de faire en sorte qu'il soit tout à fait crédible.
Retrouvez l'interview en intégralité de Nicolas Feuz ci-dessous:
Nicolas Feuz
Nicolas Feuz
Nicolas Feuz
“La Secte” de Nicolas Feuz est disponible dès ce jeudi 2 octobre chez Rosie & Wolfe.
L’été, période propice à la lecture. Que ce soit à la plage ou en montagne, le moment est idéal pour prendre le temps de lire un peu plus. Mais quel livre emporter dans les bagages, autant pour les grands que pour les petits? Camille Bernasconi, responsable des communications aux Editions La Joie de Lire, nous donne, chaque jeudi, ses coups de cœur pour cet été.
Jean Blaise, le chat qui se prenait pour un oiseau
Si vous cherchez une petite bande-dessinée pour les enfants qui ont cinq ans et plus, Camille Bernasconi vous suggère de plonger dans l'univers unique de "Jean Blaise, le chat qui se prenait pour un oiseau". On y suit la quête identitaire peu conventionnelle de Jean Blaise, un chat qui découvre sa véritable nature.
"Une histoire pleine de charme et d'humour"
Camille Bernasconi
Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
Camille Bernasconi Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
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“Jean-Blaise le chat qui se prenait pour un oiseau”, a été imaginé et dessiné par Emilie Boré et Vincent, publié aux éditions La Joie de Lire. Un troisième tome sera à découvrir dès la rentrée.
Les adolescents auront aussi de belles découvertes à lire cet été. Avec notamment Freak City, un roman à l’eau de rose pour les ados avec une particularité: ce récit explore le thème du deuxième amour, souvent moins abordé dans la littérature jeunesse, et met en lumière les défis et les beautés d'une relation où la communication va au-delà des mots.
"Un roman touchant qui questionne les normes des premiers amours et ouvre la voie à de nouvelles expériences et découvertes personnelles."
Camille Bernasconi
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Freak City de Kathrin Schrocke, traduction de l’allemand, est à découvrir aux éditions La Joie de Lire.
Camille Bernasconi recommande aussi chaudement “La rivière de mon grand -père" de Rémi Farnos, une bande-dessinée autobiographique touchante qui explore les liens familiaux et le processus du deuil.
"Cette œuvre délicate et colorée nous emmène dans un voyage émotionnel"
Camille Bernasconi
Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
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Un livre aussi pour les grands-parents qui partent en vacances avec leurs petits-enfants: Séraphine en vacances, d’Albertine. Pour Camille Bernasconi, ce livre est un compagnon idéal pour les vacances d'été.
"Chaque page regorge de détails colorés et de scènes joyeuses"
Camille Bernasconi
Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
Camille Bernasconi Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
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Séraphine en vacances, d’Albertine, est publié aux éditions La Joie de Lire.
L'adolescence, on le sait, n'est pas un long fleuve tranquille. Pour les jeunes qui sont en quête d'émotions et d'aventures, Camille Bernasconi, responsable des communications aux Editions La Joie de Lire, conseille “Un été au bord de l’eau” de Catherine Dabadie, à découvrir à partir de 12 ans.
"Un récit touchant, mêlant romance, amitié et résilience"
Camille Bernasconi
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Camille Bernasconi Responsable des communications chez Editions La Joie de Lire
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