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Akira Toriyama, créateur de Dragon Ball, est mort

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Akira Toriyama en mai 1982(© EPA/JIJI PRESS JAPAN OUT)

Le mangaka Akira Toriyama, créateur notamment des séries mondialement connues "Dragon Ball" et "Dr Slump", est décédé à l'âge de 68 ans d'un hématome sous-dural, ont annoncé vendredi sa maison d'édition et son studio.

"Nous sommes sincèrement attristés de vous informer que le créateur de manga Akira Toriyama est mort le 1er mars d'un hématome sous-dural aigu. Il avait 68 ans", a déclaré Bird Studio, une entité qu'avait fondée le mangaka, dans un communiqué publié sur le réseau social X .

Né à Nagoya (centre du Japon) en 1955, Akira Toriyama était avant tout connu pour "Dragon Ball". Créé en 1984, le manga conte la vie et les aventures du prodige des arts martiaux Son Goku depuis son enfance. Il était librement inspiré du roman chinois du XVIe siècle "La Pérégrination vers l'Ouest".

Le manga s'est vendu à au moins 260 millions d'exemplaires dans le monde, selon le site spécialisé Mangazenkan. Il a engendré de nombreuses adaptations à la télévision, au cinéma ou en jeu vidéo et connu de nombreuses suites comme "Dragon Ball Z" ou plus récemment "Dragon Ball Super".

"Plaire aux garçons du Japon"

"Pour moi, Dragon Ball est comme un miracle", avait déclaré M. Toriyama dans un entretien accordé au quotidien Asahi en 2013. "Il a aidé quelqu'un comme moi, qui a une personnalité tordue et difficile, à faire un travail décent et à se faire accepter par la société".

Il assurait cependant dans cet entretien n'avoir "aucune idée" de la raison du succès planétaire de cette oeuvre. "J'espère simplement que les lecteurs s'amuseront en lisant mes travaux", avait-il déclaré, ajoutant qu'il ne s'était "jamais préoccupé de faire passer un message à travers" ses mangas.

"Lorsque j'ai dessiné la série [Dragon Ball], tout ce que je voulais, c'était plaire aux garçons du Japon", avait-il encore déclaré au Asahi.

Un poster géant de Son Goku, héros de la saga Dragon Ball durant un match de Ligue 1 opposant le PSG à l'OM le 25 février 2018 (© EPA/CHRISTOPHE PETTIT TESSON)

M. Toriyama était également l'auteur de nombreuses autres séries de manga, dont "Dr Slump", paru entre 1980 et 1984 dans l'hebdomadaire Shonen Jump, autour d'une petite fille androïde à la force redoutable créée par un savant.

Le mangaka avait reçu en 2013 pour l'ensemble de son oeuvre le prix spécial du 40e festival international de la bande dessinée d'Angoulême.

Il avait également créé des personnages pour plusieurs jeux vidéo comme la série "Dragon Quest" ou le jeu de rôle des années 1990 "Chrono Trigger".

Avec Keystone-ATS

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[ITW] Brigitte Rosset dit "merci" à sa famille

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Brigitte Rosset dit “Merci”. La comédienne genevoise publie un livre dans lequel elle partage ses souvenirs de famille, elle se confie sur ses relations avec sa mère, sa sœur ou ses grands-parents.

Brigitte Rosset nous livre ses histoires de famille.

La comédienne genevoise publie “Merci”, un ouvrage dans lequel elle partage ses souvenirs d’enfance, ses relations avec sa mère, sa sœur ou ses grands-parents.

Ce livre est tiré d'un spectacle qu’elle a joué à Fribourg en début d’année. 

Brigitte Rosset revient sur la relation avec sa maman, un vrai personnage, avare en compliments, qui minimisait parfois les situations graves avec humour. Un tempérament qui a été parfois une chance parce qu’elle ne paniquait jamais, comme la fois où Brigitte Rosset, enfant, s’est fait renversée par une voiture:

Brigitte Rosset
"Ma mère m'a dit « Ah bah tu vois, c'est formidable, tu te fais pas écraser par n'importe qui » (...) Elle nous disait "il faut savoir des armes, il faut avancer e être indépendante ».

A travers ses souvenirs et ce travail de mémoire, Brigitte Rosset a envie de parler à un public large et ça marche:

Brigitte Rosset

Retrouvez l'interview en intégralité l'interview de Brigitte Rosset ci-dessous:

Brigitte Rosset

Brigitte Rosset sera en dédicace ce vendredi 5 décembre de 18h à 19h chez Payot Cornavin à Genève.

 

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[ITW] Astérix en Lusitanie: Fabcaro et Didier Conrad partent au sud

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Une personne regarde des reproductions des personnages des albums d'Asterix en avril 2025 au Chateau de Saint-Maurice (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)
Le célèbre Gaulois part au Portugal, un territoire qu'Asterix n’avait jamais foulé mais que le scénariste Fabcaro et le dessinateur Didier Conrad ont souhaité explorer tout en respectant une recette: faire rire, tout en restant fidèles à l’héritage d’Albert Uderzo et René Goscinny. Entretien en version longue.
Fabcaro & Didier ConradScénariste & Dessinateur
La Lusitanie de l’époque romaine n’était pas un terrain familier pour les auteurs. Si Fabcaro connaît le Portugal moderne, il reconnaît qu’il a dû « se documenter sérieusement » sur son passé antique. « C’est de là que vient l’histoire. Elle naît de la documentation. »

Je voulais respecter la tradition d’alternance entre albums au village et albums en voyage; le Portugal n’avait jamais été abordé

Fabcaro

Pour Didier Conrad, la reconstitution graphique du pays a nécessité un travail minutieux. Il a pu s’appuyer sur des documents historiques, des photos fournies par son acolyte, mais aussi sur des ressources numériques. « Même les costumes ont été pensés à partir de recherches », précise-t-il. « Il y a une reconstitution de la ville d’Olisipo – l’ancienne Lisbonne – que j’ai pu recréer à partir de modélisations 3D. »

Si l’on sait qu’Astérix et Obélix partent aider un petit Lusitanien croisé pour la première fois dans Le Domaine des dieux, le reste de l’intrigue est tenu secret. Aucune planche, aucune page n’a filtré. Une rareté à l’ère des aperçus en rafale.

On est dans une époque où tout est spoilé. C’est beau de se dire que le lecteur va tout découvrir en ouvrant l’album. C’est presque intemporel

Didier Conrad

Ce nouvel album, ancré en Lusitanie, suscite naturellement une attention toute particulière de la part du public portugais. Les auteurs en ont pleinement conscience. Le livre a d’ailleurs été présenté en avant-première à l’ambassade du Portugal, preuve de l’importance accordée à cette réception locale.

Quand l’ambassadeur nous a dit qu’il s’était marré, on a soufflé un peu. On s’est dit: ça va, on n’a pas fait trop de bêtises

Fabcaro

 

Fabcaro et Didier Conrad durant la présentation de l'album "Asterix en Lusitanie" à l'embassade du Portugal à Paris le 13 octobre 2025 (EPA/Teresa Suarez)

Travailler sur un mythe

Malgré le poids de l’héritage, les auteurs affirment travailler avec une grande liberté d’esprit. « Heureusement qu’on n’a pas la pression pendant qu’on travaille, sinon on serait tétanisés », sourit Fabcaro.

Didier Conrad, qui en est à son septième album, évoque un processus qui se répète. « C’est un rituel. Les lecteurs savent comment ça fonctionne, ils aiment ça. »

Leur but n’est pas de faire du Goscinny ou du Uderzo, mais de leur rendre hommage. « Goscinny, c’est inatteignable », reconnaît Fabcaro. « On fait ce qu’on peut, mais on essaie d’être à la hauteur. »

On a envie de faire un vrai Astérix. Pas une parodie. Pas un truc absurde

Et quand ils relisent les anciens albums, c’est toujours « par plaisir », pas par nécessité. L’univers est déjà bien en tête tout comme les albums fétiches. Pour Didier Conrad, ce sont Astérix chez les Bretons ou Astérix et Cléopâtre. Pour Fabcaro, ce jour-là, ce sera Le Combat des chefs.

Asterix en Lusitanie est lancé en simultané dans 19 langues. Didier Conrad a livré les dessins au début de l’été, les couleurs ont suivi. Fabcaro, lui, a travaillé le scénario dès la sortie de L’Iris blanc, jusqu’au dernier moment. « Je modifie des virgules jusqu’à l’impression », confie-t-il.
Avec IA

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Livres

Cosey embarque le lecteur des Alpes suisses jusqu'en Chine 

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(KEYSTONE/Thomas Delley)

Cosey publie son nouvel album “Yiyun”. Une bande dessinée qui mêle plusieurs thèmes très différents, la politique de l’enfant unique en Chine ou les papiers découpés. L’auteur s’amuse à perdre le lecteur dans une intrigue passionnante.

Des Alpes suisses à la Chine.

Voilà le voyage que nous propose Cosey. 

L’auteur de bande dessinée lausannois publie “Yiyun” son nouvel album dont l’action se déroule dans le Pays-d’Enhaut. Le personnage principal s’appelle Urs, il tombe amoureux d’une jeune Chinoise qu’il recroise chaque année en classe de neige. Cosey:

CoseyAuteur de BD
"Cette fille est totalement incohérente dans son comportement, ça ajoute encore au mystère. On n'y comprend rien. Mais c'est un peu le but, jusqu'à ce que finalement la vérité soit révélée à travers cette technique des papiers découpés."

Car Urs, le héros, réalise des œuvres en papier découpé pour se faire un peu d'argent. Un art qui passionne l’auteur. 

CoseyAuteur de BD

"Je suis allé prendre un cours. Je suis allé à Château-d'Œx, où il y a un musée du découpage. Et là, j'ai pris un cours et c'est fastidieux. C'est un travail avec une maîtrise constante, on ne peut pas se laisser aller."

Et au-delà de cette romance, l’histoire se transforme vite en intrigue. Cosey aborde un sujet délicat, celui de la politique de l’enfant unique en Chine:

CoseyAuteur de BD
"J'avais quand même une gêne, parce que je me disais, moi, le brave dessinateur suisse qui vit dans son petit confort, qui parle de ces horreurs, c'est un peu facile. Et j'ai pu rencontrer une dessinatrice chinoise qui s'appelle Maou, qui, elle, a traversé cette période. En discutant avec elle, je lui ai demandé de faire une introduction, au final, elle a dessiné huit pages."

Précisons que Maou, l’autrice lausannoise a publié "Fleur de prunier".

"Yiyun" est à retrouver dans toutes les bonnes librairies aux éditions du Lombard.

 

 

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Genève

Un auteur genevois reçoit le prix des Deux Magots

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Une femme passe devant le café des Deux Magots Cafe, à Paris, le 21 novembre 2002 (AP Photo/Michel Euler)

Le 92e prix des Deux Magots a été décerné lundi à Paris à l’écrivain genevois Joseph Incardona pour son roman "Le monde est fatigué" (Finitude, 2025). Il a également été retenu fin septembre dans la deuxième sélection du Prix Femina 2025.

Dans "Le monde est fatigué", Joseph Incardona suit le parcours d’Êve, sirène professionnelle dont les prestations émerveillent les foules dans les aquariums géants de Dubaï, Tokyo ou Brisbane. Mais derrière la grâce aquatique de cette créature de silicone se cache une femme mutilée, marquée à vie par un accident de la route. Le roman s’attache à sa quête de vérité et de justice: retrouver le coupable, rétablir les comptes, se venger.

Loin d’un simple thriller, le texte dépeint un monde saturé de faux-semblants. "Cela parle de solitude, de rébellion, de l’état du monde et d’une forme de superficialité", confiait l’auteur à la RTS à la sortie du roman. Un monde désenchanté, que le personnage d’Êve traverse, croisant sur sa route des figures grotesques, mais attachantes, comme Matt Mauser, détective obèse rongé par ses échecs.

Une voix mordante

A 56 ans, Joseph Incardona est loin d’en être à son coup d’essai. Né d’un père italien et d’une mère suisse, installé à Genève, il a signé une quinzaine de romans, ainsi que des pièces de théâtre, des nouvelles et un film coréalisé en 2013 (Milky Way).

En 2024, il proposait avec "Stella et l’Amérique" un road-trip grotesque et provocant où une prostituée réalisait des miracles. Une adaptation à l’écran n'est pas exclue.

Joseph Incardona succède au palmarès du prix des Deux Magots à Jean-Pierre Montal, récompensé en 2024 pour "La face nord" (Séguier). Créé en 1933 en réaction à l’académisme du Goncourt, il est doté de 7700 euros.

Avec Keystone-ATS

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Genève

[ITW] Thomas VDB: “je suis un patapouf de gentillesse”

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Thomas VDB présente "Fiascorama" publié aux éditions Buchet-Chastel. 

Pourquoi Thomas VDB a-t-il vexé, sans le vouloir, Nicola Sirkis, le chanteur d’Indochine? A quel moment a-t-il dû interpréter une boule de coton sur scène? Ou pourquoi une sortie en tyrolienne a-t-elle failli tourner au drame? Ces anecdotes croustillantes sont à découvrir dans "Fiascorama", le nouveau livre de l’artiste français.

Thomas VDB présente ses plus belles foirades.

Voilà sans doute la meilleure manière de résumer le dernier livre de l'humoriste français, de son vrai nom: Thomas Vanderberghe.

"Fiascorama" est le deuxième ouvrage de Thomas VDB dans lequel il confesse les fiascos de sa vie professionnelle et privée. Des moments de poisse qui nous font rire car précisons-le, ils ne sont jamais graves. Car oui, on rit, on rit beaucoup même en lisant ces lignes. On pourrait croire que l’auteur nous dévoile en avant première son prochain stand-up, mais ce n’était pas son intention de départ. Thomas VDB:

Thomas VDB
"L'idée ne m'était pas venue, mais ça m'est tellement suggéré ces derniers temps que je me dis, peut-être que mon prochain spectacle est écrit. Il y a plein de trucs qui pourraient être des anecdotes et qui pourraient se transformer en sketch, certainement."

Thomas VDB se définit lui-même comme un “patapouf de gentillesse”. Il n’a donc plus le choix, maintenant qu’il l’a écrit, il devra être extrêmement sympathique avec les gens qu’il croisera:

Thomas VDB
"Toute ma vie on m'a dit « Ah t'es sympa, on sent qu'on peut venir te parler ». Et donc je suis là « Ok bon, ça fait quand même beaucoup de conversations à avoir avec tout le monde ».  On m'appelle pour des plans. « Tu veux bien venir animer une soirée samedi soir ? Il n'y a pas de thunes, mais par contre il y aura du pâté et du vin, tu peux venir ». Et donc je suis là « Bon d'accord ».

Tellement gentil qu’à un moment de sa vie, Thomas VDB s’est retrouvé avec de parfaits inconnus dans son salon:

Thomas VDB
"Un jour je prête mes clés et je reviens chez moi, je vois un gars que je ne connaissais pas qui dort dans mon salon (...) il me dit « non mais je pensais que tu rentrais demain, mais en fait Clarisse elle m'a filé les clés ». Voilà donc je me suis retrouvé à boire un café un matin dans mon salon avec un mec que je ne connaissais pas."

Entre deux anecdotes, l’humoriste s’adresse parfois directement au lecteur “bravo, vous avez fait l’effort d’aller jusqu’à la page 149”. A t-il peur que les gens lâchent le bouquin?

Thomas VDB

"J'aime bien l'idée de m'adresser au lecteur en disant, on est à la moitié du livre, allez, on continue, on ne lâche pas l'affaire. Mais bon, je leur dis, vous avez le droit de sauter des pages."

Thomas VDB est un touche-à-tout. D’abord journaliste musical, il est passé par la scène, le spectacle de rue, le cinéma ou encore la radio. Des expériences qui n’ont pas toujours été aussi parfaites qu’il l’aurait souhaité et dont il parle avec honnêteté et toujours beaucoup d'humour.  

Ces fiascos peuvent s’expliquer par son TDAH. Sa compagne l’encourage à passer un test qui validera son Trouble du Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité. Un trouble qui a sans doute fait beaucoup pour son succès populaire:

Thomas VDB
"J'ai vu un spécialiste et le mec me dit que ça se soigne mais que ça va très bien avec mon métier et c'est vrai. Parce que ce côté où je change de sujet, j'ai une phrase qui s'arrête au milieu, ça fait partie de moi."

"Fiascorama" est publié aux éditions Buchet-Chastel. 

Le livre se termine sur une dernière boulette, l’ultime chapitre qui n’est pas conservé dans la version finale, il s'agit de sa première rencontre avec Thomas Dutronc.

Pour en savoir plus, retrouvez l’interview de Thomas VDB en intégralité ci-dessous:

Thomas VDB

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