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Culture

Les Géants débarquent à Genève !

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Après avoir fait le tour du monde, la célèbre saga va envahir la cité de Calvin à la fin du mois de septembre.

 

Un évènement hors-norme, qui va attirer plusieurs centaines de milliers de personnes de la région.

Pour ceux qui ne connaitraient pas ces célèbres personnages, les explications de Jean Liermier, le directeur général du Théâtre de Carouge, qui est à l’initiative de la venue des Géants :

 

Jean LiermierDirecteur général du Théâtre de Carouge

 

Deux géants, ou plutôt deux géantes, la Grand-mère et la Petite géante feront le déplacement à Genève. Elles raconteront des histoires sur la ville, mais lesquelles ? Anne-Marie Vennel, co-directrice artistique de la compagnie Royal de Luxe :

 

Anne-Marie VennelCo-directrice artistique de la compagnie Royal de Luxe

 

Le montant de ce projet gargantuesque est d’environ 2,2 millions de francs, financés pour une grande partie par des contributeurs privés. Et les retombées économiques seront conséquentes pour Genève comme l’explique Sami Kanaan, conseiller administratif de la Ville de Genève, chargé de la culture et du sport :

 

Sami KanaanConseiller administratif de la Ville de Genève, chargé du de la culture et du sport

 

Le parcours des Géants sera dévoilé le 15 septembre. L’évènement est programmé du 29 septembre au 1er octobre.

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Culture

"La Goldene Letter" de Leipzig pour le Suisse Dan Solbach

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Le designer graphique suisse Dan Solbach reçoit la plus haute distinction à Leizig pour un livre consacré au couple d'artistes et designers bernois Susi et Ueli Berger. (© OFC)

Parmi les vingt "Plus beaux livres suisses" 2022, quatre d'entre eux sont primés à Leipzig cette année par le concours international des "Plus beaux livres du monde". Le designer graphique suisse Dan Solbach reçoit la plus haute distinction "La Lettre d'or".

Basé à Berlin, Dan Solbach est une figure majeure de l'art contemporain qui ½uvre la plupart du temps en coulisses. Prolifique designer de publications artistiques, il a déjà été récompensé du Prix du "Plus beau livre du monde" en 2020 pour l'"Almanach Ecart", co-édité par la haute école d'art genevoise, la HEAD.

Cette année, Dan Solbach est primé pour - "Susi + Ueli Berger. Kunst am Bau und im öffentlichen Raum 1968-2008" (L'art dans le bâtiment et l'espace public). Il a collaboré pour la conception graphique avec Fabian Harb et Maria Peskina, a indiqué jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC).

Régulièrement primés

"Les livres suisses reçoivent régulièrement des prix à Leipzig pour la qualité de leur design graphique", a souligné jeudi Nicole Uldry, collaboratrice scientifique à l'OFC, interrogée par Keystone-ATS.

Trois autres productions suisses ont été remarquées en Allemagne parmi les 560 livres retenus provenant de 30 pays. Il s'agit de "Matter", conçu graphiquement par Fabian Bremer, Hannes Drissner et Pascal Storz (médaille d'argent)

Julia Born se voit décerner la médaille de bronze pour "Miriam Cahn. Meinejuden". Et le Studio Mathias Clottu reçoit la même distinction pour "The Polyhedrists: Art and Geometry in the Long Sixteenth Century" ("Les polyédristes: L'art et la géométrie au cours du XVIe siècle").

Exposition itinérante

Au niveau suisse, parmi 400 livres, vingt ont été distingués cette année par l'OFC et reçoivent l'appellation "Plus beaux livres suisses 2022". La liste complète se trouve sous : www.themostbeautifulswissbooks.ch et Instagram: @mostbeautifulswissbooks

Le vernissage de l'exposition aura lieu le 22 juin prochain, au Helmhaus de Zurich. Les 400 livres y seront présentés, ainsi que le catalogue.

L'exposition tournera ensuite en Suisse et à l'étranger. Elle sera visible à l'Ecal à Lausanne, à la médiathèque de Sion, à la villa dei Cedri à Bellinzone et à St-Gall. A l'étranger les livres primés l'an dernier ont par été montrés dans une vingtaine de villes en Europe, en Asie et aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Actualité

Paléo Festival : nos astuces si vous n'avez pas réussi à acheter de billets

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Paléo Festival

Essayé pas pu ? Les 200'000 billets du Paléo Festival se sont écoulés en 41 minutes, un record. Vous n'avez pas réussi à en acheter ? Heureusement pour vous, Benjamin Smadja et Elsa Duperray vous soufflent quelques astuces.

Première soirée à être complète, celle de samedi l'a été en 23 minutes, a déclaré Michèle Müller, porte-parole de Paléo à Keystone-ATS. Elle a été suivie du mardi, du vendredi, du mercredi, du dimanche et enfin du jeudi après 41 minutes.

Les abonnements six jours ont également trouvé preneur très rapidement. "Nous nous réjouissons de ce magnifique succès qui témoigne de la confiance du public", a-t-elle souligné. Le précédent record date de 2015, année pour laquelle les billets s'étaient arrachés en 52 minutes.

Le site a rencontré une petite surcharge vers midi et quelques personnes n'ont pas réussi à se connecter. Elles ont été réorientées rapidement vers un nouveau lien, a relevé Mme Müller.

A l'aube

Sur le site du Paléo, les premières personnes sont arrivées sur place à 4h30 du matin. Entre 300 et 400 personnes ont patienté pour acheter leurs billets aux caisses.

Rosalía, Black Eyed Peas, Martin Garrix, Aya Nakamura, Indochine, Lomepal, Placebo, Shaka Ponk, Jain, Bigflo & Oli, Pomme, Damso, Franz Ferdinand, Louise Attaque et les artistes de cette édition 2023 se produiront ainsi devant une plaine de l’Asse comble lors de cette 46e édition.

Encore des possibilités

Pour ceux qui n'ont pas de tickets, le festival rappelle qu'une bourse aux billets est ouverte depuis mercredi, permettant de revendre un billet en trop ou d'en acheter aux prix officiels. Des tickets y seront régulièrement remis en vente en fonction des retours.

Enfin, 1500 billets seront mis en vente chaque matin sur le site du Festival à 9h00, pour le soir-même. Aucun billet ne sera vendu aux caisses.

 

 

Plus d'informations sur l'application Paléo Tickets.

 

Avec ATS

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Culture

"Visions du Réel": le cinéma documentaire est sorti de son ghetto

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Emilie Bujès, la directrice artistique du Festival du film documentaire "Visions du Réel" à Nyon, a dévoilé la programmation de la prochaine édition, qui se tiendra du 21 au 30 avril (archives). (© KEYSTONE/ALEXANDRA WEY)

Le festival "Visions du Réel", qui se tient du 21 au 30 avril à Nyon, projettera les deux documentaires qui ont gagné à la dernière Mostra de Venise et à la Berlinale. Des films puissants qui prennent le pouls de l'époque.

Le cinéma documentaire est sorti de son ghetto et a rejoint les grands festivals internationaux. A la dernière Berlinale en février, le documentaire sur la psychiatrie du réalisateur français Nicolas Philibert "Sur l'Adamant" a gagné l'Ours d'Or.

A la Mostra de Venise, un documentaire sur la crise des opiacés "All the Beauty and the Bloodshed" de la réalisatrice américaine Laura Poitras s'est vu décerner le Lion d'Or. Il s'agit d'un voyage à travers la vie de la photographe Nan Goldin, connue pour ses clichés du New York underground, des malades du sida et de la crise des opiacés.

Donner de l'élan pour aller en salle

Les deux films seront visibles à Visions du Réel avant leur lancement en salles, "une façon de leur donner de l'élan en travaillant avec les cinémas, dont on connaît les difficultés", a relevé Emilie Bujès, la directrice artistique du festival lors d'une rencontre à Lausanne avec Keystone-ATS.

"Laura Poitras ne pourra pas être là, mais participera à un débat en ligne le soir de la diffusion du film, le premier dimanche du festival". Quant à "Sur l'Adament", il sera projeté - gratuitement et sur réservation - en préouverture du festival le jeudi 20 avril.

Même si Visions du Réel soutient le retour dans les salles, le festival reste sur une formule partiellement hybrique. Les amateurs de documentaires pourront voir une partie des films en ligne après leur diffusion dans une des six salles du festival, via un abonnement au coût modique.

Au total, le festival va présenter 163 films, dont 82 premières mondiales (films jamais diffusés), onze premières internationales (déjà diffusés uniquement dans le pays de production), deux premières européennes, et 26 premières suisses.

Un choix parmi 3000 films

L'équipe de programmateurs a fait son choix parmi les 3000 films, où 46 pays sont représentés au final, souvent avec le soutien de la Direction du développement et de la coopération (DDC). La parité a également été respectée avec 50% des films réalisés par des hommes et 50% par des femmes.

Pour permettre aux cinéphiles de se retrouver dans cette offre généreuse, le festival propose des parcours, regroupés autour de thèmes comme Affaires de famille, Deus ex machina, Planète en surchauffe, Hostilités et Emancipation.

Côté suisse, 37 (co)productions helvétiques sont proposées dans les sections du festival, dont trois en Compétition internationale (longs métrages): "While the Green Grass Grows" du réalisateur helvetico-canadien Peter Mettler tourné dans la campagne appenzelloise, "Pure Unknown" de Valentina Cicogna et Mattia Colombo, consacré à l'enterrement des migrants noyés en mer et "Antier noche" d'Alberto Martin Menacho, qui dépeint un petit village espagnol, dont la population décline.

Une section est uniquement dédiée aux (co)productions suisses, la Compétition nationale (longs et moyens longs métrages) avec 12 films, dont 11 premières mondiales et une première internationale. Parmi eux, trois films alémaniques: "Chagrin Valley" de Nathalie Berger sur un établissement destiné aux personnes atteintes de démence, un ciné-poème "Floating Islands" de Nicolas Humbert et Simone Fürbringer ainsi que "Ruäch" d'Andreas Müller et Simon Guy Fässler, consacrés aux Yéniches.

Côté romand

Du côté romand (en co-production), "Full Tank" de Benjamin Bucher et Julia Bünter, qui raconte l'histoire d'un entrepreneur fortuné, rêvant de participer au 24 Heures du Man. Il est coproduit par le Lausannois Jean-Stéphane Bron, un des trois cinéastes invités d'honneur de cette 54e édition, aux côtés de l'Argentine Lucrecia Martel et de l'Italienne Alice Rohrwacher.

On peut encore citer le nouveau film d'Emanuelle Tille "The Wonder Way". La réalisatrice embarque le spectateur dans un voyage à travers des territoires insolites. Et "Le fils du chasseur", tourné en Valais par Juliette Riccaboni, dans lequel un jeune essaie de se rapprocher de son père.

Un documentaire pour la reine du disco

L’iconique Reine du disco n'est pas oubliée avec le documentaire flamboyant "Love to Love You, Donna Summer", raconté par sa fille Brooklyn Sudano et le réalisateur oscarisé Roger Ross Williams, tandis que Matthieu Rytz, cinéaste nyonnais, viendra dévoiler "Deep Rising", sur l'exploitation minière en eaux profondes, après son lancement au festival du film indépendant de Sundance aux Etats-Unis, créé par Robert Redford.

Dans la section Compétition internationale moyens et courts métrages, on peut signaler "2720" sur une sortie de prison de Basil Da Cunha, dont les films ont été présentés à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes. Sans oublier Guillaume Brac, "une star" du cinéma indépendant français avec "Un pincement au coeur", le conte d'un été révolu.

Difficile d'imaginer un festival à Nyon sans hommage aux monstres sacrés du cinéma suisse disparus l'an dernier: Visions du Réel projettera "JLG/JLG: Autoportrait de décembre" de Jean-Luc Godard et "Les Hommes du port" d'Alain Tanner.

Enfin, le festival a un pan uniquement destiné aux professionnels - 1300 l'an dernier. Les TV, les festivals mais aussi les plateformes comme Netflix et Mubi ne manqueront pas ce nouveau rendez-vous annuel.

Accueil 28 mars

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Démissions en cascade au FIFDH

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Irène Challand © KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Trois membres du Conseil de fondation et la directrice des programmes quittent le FIFDH, le Festival du film et forum international sur les droits humains de Genève.

Comme un mauvais film pour le FIFDH. Le festival du film et forum international sur les droits humains de Genève fait face à une vague de démissions. Le Conseil de fondation a tenu une réunion à huis clos jeudi dernier, suite aux tensions apparues ces derniers mois au sein du Festival. Trois membres du Conseil de fondation et la directrice des programmes ont quitté le navire. Et ce à peine plus d’une semaine après la fin de sa 21e édition. Comment en est on arrivé là? La réponse d'Yves Daccord, président du Conseil de Fondation du FIFDH.

Yves DaccordPrésident du Conseil de fondation du FIFDH

Dans un communiqué de presse du FIFDH, Nadia Dresti, Ursula Meier et Stina Werenfels disent regretter le manque de soutien de la part de l’équipe opérationnelle et les conflits internes qui ont amené à la situation actuelle.  Constat partagé par la directrice des programmes Irène Challand qui dit ne pas vouloir mettre davantage sa santé en péril. 

Pas d'erreur de casting

Selon les conflits qui ont été mentionnés dans les médias, elle était au centre des tensions pour des accusations d'"incompétences" et de "volonté de contrôle extrême" qui auraient presque remis en cause l'organisation du festival. Alors que sa codirectrice avait déjà remis son mandat, elle était en arrêt de 50% et se disait victime de harcèlement. Une démission qui intervient 6 mois après la nomination d'Irène Challand. Etait-ce une erreur de casting? La réponse d'Yves Daccord.

Yves DaccordPrésident du Conseil de fondation du FIFDH

Afin de garantir une continuité, le président du FIFDH Yves Daccord reste lui en fonction. Il rend hommage à Mme Challand et regrette profondément les "circonstances" de ces démissions. Il faut une "remise en question du fonctionnement de notre festival et de ses objectifs", selon lui. Une tâche à laquelle le Conseil de fondation va s'atteler dans les prochaines semaines à Genève.

BR et MH avec ATS Keystone.

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Culture

Quarante-deux artisans à la rencontre de la population vaudoise

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Les Journées européennes des métiers d'art offrent la possibilité de rencontrer des artisanes et des artisans d'art dans leur atelier privé (ici Ian Ashdown, restaurateur d'armes anciennes et d'objets métalliques en 2019 à Onnens). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les Journées européennes des métiers d'art (JEMA) se tiendront dès vendredi et jusqu'au 2 avril en terre vaudoise. Gratuite, la manifestation organisée par le Canton offre la possibilité de rencontrer des artisans d'art dans leur atelier privé (38 propositions sur inscription) ainsi qu'au château de Morges (quatre propositions sans inscription).

Durant trois jours, 42 artisans, dont 14 nouvelles participations, transmettront leur passion et quelques-uns de leurs secrets professionnels, écrit l'Etat de Vaud dans un communiqué.

La présence de la relève sera assurée par la filière céramique du Centre d'enseignement professionnel de Vevey (CEPV) et la filière bijouterie de l'Ecole technique de la Vallée de Joux. La scénographie de l'espace d'accueil permanent situé au château de Morges sera signée par un apprenti polydesigner 3D du CEPV, Max Heer, dans le cadre de ses travaux de fin de formation.

Les traditionnels ateliers d'éveil gratuits (4-12 ans) et Rencontres écoles et métiers d'art sont reconduits. Les premiers se dérouleront au château de Morges (sur inscription) et permettront au public de se familiariser avec la mise en scène et de repartir avec une création originale. Les inscriptions aux deuxièmes, destinées aux classes vaudoises, ouvriront dès lundi pour des activités se déroulant entre fin avril et fin juin 2023.

Une nouveauté est annoncée en matière de médiation culturelle pour les écoles. L'appel à projets "La culture, c'est classe!" destiné jusqu'ici aux artistes professionnels, s'ouvre à deux artisans d'art désireux de transmettre leurs connaissances dans le cadre d'un projet participatif en milieu scolaire. Le dépôt des projets sera possible en août 2023 pour des interventions en classe au cours de l'année scolaire 2023-2024.

www.metiersdart.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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